Montée à l’Oule 21/08/2015

Date de publication : Aug 24, 2015 8:10:30 PM

Dernière montée du Haut Bréda de l’été : Départ de Gleyzin pour arriver au refuge de l’Oule (700 m de déniv). Nous sommes 4 du BGSA : Georges, Steph, Julien et moi. Au niveau filles : les 2 habituées Fred et moi et Julie la copine de Jean-Paul.L’année dernière, j’ai souvenir de trombes d’eau ce qui nous avait poussé à retarder le départ afin de laisser passer l’orage : les fortes coulées de boues et d’eau nous avaient contraints à faire la montée tous ensemble en mode rando donc sans chronos, pour des raisons de sécurité.

Cette année la météo est parfaite alors le départ est donné à 18H30 et c’est parti ! Après une première partie légèrement descendante puis bien roulante, ensuite ça monte assez raide. Le sentier est très chouette avec pas mal de cailloux. Arrivée en dessous du refuge, je double la copine de Steph qui est montée avant en mode rando : rando ou course c'est toujours sympa, l'essentiel c'est d'arriver au refuge peu importe le temps que l'on met !

Nicolas Blanc arrive premier en 37min 10, suivi de Rémi Bidolini (dans les 39 min 20), puis Georges en 39 min 46, et Steph juste derrière.

Pour finir, nous partageons l’ultime et traditionnel apéro à Gleyzin en petit comité mais toujours aussi sympa. Gilbert nous informe que c’est Lionel Perrin et moi qui remporteront les fameux trophées. Ceux-ci devraient être remis au mois de décembre dans une salle à Pinsot. Il nous rappelle également que la montée au Crêt du poulet au départ de St Pierre d’Allevard aura lieu en novembre comme l’année dernière.

Caro.

Je sens Fred qui me talonne : elle se rapproche et moi je me sens super mal : pas de souffle, pas de jambes et le cœur qui s’emballe par moments. Je ne suis pas remise de mon rhume et la respiration est un peu difficile. Il faut dire aussi que Fred est en grande forme en ce moment : sa préparation pour le 47 kms de l’Echappée Belle est bénéfique. Je tiens bon quand même et réussit à ne pas me faire doubler : j’arrive en 47 min 38 et Fred en 48 et des broutilles, ouf ! J’ai eu chaud !