« Le remords d'Orphée »
Au commencement était le remords. Il n’y avait que le vide dans le cœur d’Orphée et l’absence au creux de ses entrailles. Le remords planait à la surface des eaux. Et, depuis son exil, María dit : “Que les ténèbres soient !” Car la lumière ne peut naître que de l’obscurité la plus profonde et seule l’aube apporte le sens.Ce livre invite à un crime de lèse-philosophie : sacrifier la raison pour que l’impossible s'accomplisse, afin que l’âme puisse enfin se mettre en route. Dans son périple, elle aura pour compagnie le chantre du Rhodope, le Chevalier à la Triste Figure, mais aussi des destins immenses : Vico le Napolitain, Unamuno le Basque, Lezama le Cubain et surtout la parole aurorale de María Zambrano. Pour être du voyage, il vous suffira de penser autrement, c’est-à-dire librement.« Nous n'aurons pas le Temps »
« Le Syndrome du Funambule »
« Éloge du point d’interrogation »
« De Socrate à Descartes »
« De Spinoza à Sartre »
« Fidel Castro est-il Socrate ? »