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Psaume 1:1
Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs.
Le premier psaume introduit plusieurs thèmes du livre des Psaumes. Il est bien de le mémoriser.
Heureux ! Cela veut dire ‘béni’. Cet homme est l’objet de la faveur exceptionnelle de Dieu. Il n’est pas maudit ; il n’a pas une vie flétrie par le regret, la déception ou le désespoir. Notons que ce sont les gens que Dieu bénit. Il les a créés en son image mais cette image a été gâchée par le péché. Maintenant les hommes ont la nature pécheresse d’Adam mais ils peuvent recevoir la grâce exceptionnelle de Dieu !
Qui ne marche pas... qui ne s’arrête pas... et qui ne s’assied pas. Nous sommes bénis pour ce que nous faisons, et pour ce que nous ne faisons pas, aussi pour ce que nous sommes. Nous remarquons le progrès dans la descente dans le péché. Si nous commençons une telle marche, nous pourrons nous trouver en train de nous arrêter, et enfin nous asseoir.
Conseil... voie... compagnie. Il y a aussi un progrès dans notre relation avec le monde. D’abord, nous suivons les conseils que donne le monde, ensuite nous imitons le monde, enfin nous nous trouvons avec le monde - les amis du monde.
Méchants... pécheurs... moqueurs. Faisons attention à ne pas ressembler à ceux qui ne connaissent pas Dieu, ni à ceux qui sont ouvertement en rébellion contre Dieu, ni à ceux qui se moquent de Dieu et de ses voies.
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Psaume 1:1
Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs.
Qui ne marche pas selon le conseil des méchants. ‘Marcher selon’ veut dire ‘suivre la direction de’. Le conseil des méchants est la mode de pensée qui prévaut dans ce monde et qui est inimitié contre Dieu. C’est l’opposé de marcher selon l’Esprit. Quand nous marchons selon l’Esprit, les habitudes de notre vie seront en opposition absolue avec les habitudes du monde autour de nous ! Nous vivons par la foi ; le monde vit par la vue ou ce qu’on peut prouver. Nous nous confions en Dieu Tout-puissant ; le monde encourage la confiance en soi-même ou en ses amis. En face des décisions, nous prions pour la sagesse de Dieu ; le monde analyse la situation pour trouver une solution logique.
Qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs. S’arrêter, c’est se tenir en place. On a pris une position, on refuse toute tentative de nous faire bouger ou reconsidérer, on est dans l’attente des ordres pour le service. Quel triste cas ! Au moins, en marchant on ne s’enracinait pas. S’arrêter, c’est commencer à graver certaines habitudes dans notre vie.
Qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs. C’est la dernière descente. On se sent confortable maintenant, comme Lot qui s’est assis aux portes de Sodom. Même en s’arrêtant, se tenant debout, il y avait l’espoir que cet homme va bouger bientôt. Mais maintenant qu’il est assis, il va falloir un effort énorme pour le changer.
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Psaume 1:2a
Mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Eternel.
Dans le verset 1, la description de l’homme que Dieu bénit est négative. Maintenant, l’auteur se réfère au positif. L’homme que Dieu bénit est celui qui aime la parole de Dieu. Il trouve des délices, de grand plaisir dans la parole de Dieu. Sa parole le fait tressaillir de joie. Il préfère la regarder, l’examiner en détail, et en parler avec d’autres que de faire toute autre chose. Il la met en pratique, non pas comme un devoir pénible, mais parce qu’il l’aime, ou plutôt il aime l’auteur, Dieu.
La loi de l’Eternel est d’abord sa volonté révélée concernant la conduite de son peuple, la relation qu’il veut avec son peuple, et les pratiques que son peuple doit faire ou éviter de faire pour continuer de marcher avec lui. La loi de l’Eternel peut s’appliquer à toute la Parole de Dieu, car la Loi donnée par Moïse est incomplète à part les psaumes et les prophéties et surtout l’accomplissement de tout en Jésus-Christ comme il est écrit au Nouveau Testament. Si nous faisons comparaison avec le premier verset, nous concluons que cette parole est le conseil du Dieu Très-Haut, elle révèle la voie de l’Éternel, et elle nous parle du trône où nous sommes assis avec Christ dans les lieux célestes.
Cette parole vient de l’Eternel - celui qui ne change jamais, celui qui est fidèle et qui a fait une alliance avec son peuple, celui qui est vivant et vrai. Sa parole est comme lui ; elle dure pour toujours, elle ne se passera jamais, elle s’accomplira, elle est vivante et vraie.
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Psaume 1:2b
Et qui la médite jour et nuit !
L’homme qui est béni par Dieu aime sa parole. Il ne met pas sa Bible sur l’étagère pour n'en prendre avec lui qu’à l’église le dimanche ! Au contraire, il la lit toujours ; il en médite. On ne peut pas méditer sans lire d’abord. Parfois il faut mémoriser un verset ou un passage pour pouvoir méditer à toute occasion possible (exemple : si on se réveille la nuit, c’est plus facile de méditer sur un verset déjà mémorisé que d’allumer une lampe pour le lire d’abord).
Il la médite : il réfléchit sur elle, il pèse chaque mot, il la considère, il cherche des moyens par lesquels il peut la pratiquer. Ses pensées ne se préoccupent pas de ses propres paroles, ni de la conversation ou conduite des autres, ni avec ce que ce monde apprécie ou considère populaire. Ses pensées se préoccupent de ce que Dieu lui dit. La Parole de Dieu lui parle des pensées de Dieu, de ses œuvres, de son dessein, de son peuple.
Cette activité ne doit pas se faire de temps en temps, quand c’est convenable, ou quand l’homme se sent en avoir besoin. C’est une activité qui doit se faire jour et nuit, c’est-à-dire, continuellement, qu’il soit jour ou nuit. Chaque moment libre, il pense est repense sur la parole de Dieu. Voilà l’homme que Dieu bénit. Même si c’est seulement qu’il augmente en connaissance des choses de Dieu, c’est une grande bénédiction ! D’avoir ensuite communion avec Dieu, de recevoir des instructions pour la journée et la direction pour sa vie - qui ne voudrait pas de telles bénédictions ! Et Dieu en ajoutera d’autres en abondance.
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Psaume 1:3a
Il est comme un arbre planté près d’un courant d’eau.
La bénédiction de l’homme qui aime la loi de Dieu est décrite ici. Il est comme un arbre. Comme un arbre, il portera du fruit qui va nourrir les autres, qui va leur donner le plaisir, et qui va produire encore d’autres arbres ! Comme un arbre, il donnera de l’abri. Quand il rencontra des personnes accablées par les épreuves, ses paroles et son comportement les soulageront le cœur. Comme un arbre, il en fera, non une seule fois dans sa vie et c’est tout, mais continuellement toute sa vie. Comme un arbre sur lequel les oiseaux trouvent un lieu où se reposer ou même faire leur nid, il sera une source de rafraîchissement pour l’âme qui s’est égarée et pour les messagers du Roi.
Surtout, il ressemble à l’arbre planté près d’un courant d’eau. Étant toujours rafraîchi, il devient tout vert, c’est-à-dire, il rafraîchit d’autres au plus haut niveau. Comme cet arbre dont les racines tirent continuellement l’eau dont il a besoin, sans dépendre des pluies intermittentes, il médite toujours sur la Parole de Dieu et n’appuie pas que sur un seul message par semaine ou seulement cinq minutes avec le Seigneur par jour ! Le mot ‘eau’ en hébreux est au pluriel - les eaux ; la source est abondante. Jésus a dit (Jean 10:10) : Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance. Son désir c’est que nous ayons d’abondantes bénédictions, un riche héritage. Alors il a pourvu un fleuve qui ne tarit jamais ; nous ne pouvons pas épuiser la Parole de Dieu.
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Psaume 1:3b
Qui donne son fruit en sa saison, Et dont le feuillage ne se flétrit point.
La croissance de l’arbre et la prise continuelle de l’eau et des aliments contribuent à produire du fruit. Mais le fruit apparaîtra en sa saison. Le temps de fruit viendra ; alors persévérons avec fidélité. Notons que c’est aussi son fruit, non pas celui d’un autre ! Ne nous comparons pas avec les autres pour être ni découragés ni orgueilleux. Dieu veut que nous portions notre propre fruit ; c’est la sorte de fruit pour laquelle il nous a préparés. C’est le fruit qu’il sait fera le plus de bien pour les autres. C’est le fruit qui apparaîtra au meilleur moment, au moment qui rendra le plus de gloire à Dieu.
Son feuillage est toujours vert : l’homme béni par Dieu rafraîchit toujours, étant toujours rafraîchi. Quoique soient les circonstances autour de lui, il reste une source de bénédiction pour les autres. L’ombre qu’il fournit est assez pour que le pauvre voyageur puisse se reposer à l’aise. Sommes-nous des gens avec lesquels les autres se trouvent confortables ? Sommes-nous des gens dont les autres aiment la compagnie ? Il ne flétrit pas ; ses feuilles ne se corrompent pas. Galates 6:8 - Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption ; mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle.
Notons que les fruits et le feuillage représentent des bénédictions, non pas pour nous personnellement mais pour les autres. Pour être béni, il faut être source de bénédiction pour les autres. Dieu donne comme nous donnons ; il pardonne comme nous pardonnons.
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Psaume 1:3c
Tout ce qu’il fait lui réussit.
Pourquoi ? Il réussit parce que Dieu le bénit ; il le guide dans le droit chemin par sa parole. Cet homme réussit parce qu’il suit les préceptes de Dieu qu’il trouve dans la Parole. Son grand désir c’est de glorifier Dieu qui lui a parlé de choses si belles et précieuses à son cœur.
Quand ? Il réussit dans ses affaires quotidiennes, dans ses projets à long terme, dans la direction qu’il donne à sa famille, dans son service pour Dieu. Il est possible que de temps en temps, le monde va l’examiner et penser qu’il n’a aucun succès. Mais en réalité il prospère ! Si Dieu tarde à répondre à sa prière, c’est pour lui donner quelque chose de plus glorieuse. Dieu le châtie parfois mais c’est pour qu’il ressemble à Jésus, qu’il soit pur comme lui, saint comme lui. Si Dieu lui permet de passer par des épreuves pénibles, c’est pour l’honneur et la louange et la gloire quand Jésus-Christ reviendra. Les épreuves ne font qu’augmenter sa récompense. Il prospère toujours ; là où il ne semble pas réussir, le temps viendra où on verra que ces échecs étaient des avantages déguisés !
Comment ? C’est par la puissance de Dieu. Aucun homme ne pourra régler ses affaires pour avoir la réussite totale. Proverbes 16:7 - Quand l’Éternel approuve les voies d’un homme, Il dispose favorablement à son égard même ses ennemis. Il est le seul qui puisse arranger toutes les circonstances, toutes les ressources, tous les manques, tous les gens concernés, et tous les désirs et décisions de l’homme lui-même pour que toutes choses concourent au bien (Romains 8:28).
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Psaume 1:4
Il n’en est pas ainsi des méchants : Ils sont comme la paille que le vent dissipe.
Il n’en est pas ainsi des méchants. Quel contraste absolu avec les pieux qui aiment la parole de Dieu ! Les méchants ne sont pas bénis. Tout ce qui appartient aux justes, ne leur appartient pas. Parfois ils vont sembler réussir, par exemple quand un homme impie devient riche. Avec ses richesses il peut même donner de l’ombre de sécurité financière aux autres. Mais le jour viendra où ses richesses périront avec lui. Il est de beaucoup préférable de mettre sa confiance dans le Dieu qui est toujours fidèle que de la mettre dans des richesses incertaines (1 Timothée 6:17).
Ils sont comme la paille que le vent dissipe. Le méchant, étant séparé de Dieu qui seul donne valeur à la vie, n’a aucune valeur, aucune utilité, aucune capacité de nourrir les autres. Il n’a pas de vie en contraste avec le juste qui est comme un arbre. La paille nourrit pas ; les hommes n’en veulent pas ; elle se sépare du blé assez facilement en la battant ; elle n’a pas de poids, donc est facilement dissipée par le vent. Le méchant n’a rien en lui pour nous nourrir. C’est vrai que Dieu a beaucoup de patience envers les pécheurs, mais ceux qui ne se repentent pas, il les éloignera de lui. Un peu de persécution, ou épreuve, ou jugement suffit de voir la différence entre le juste et le méchant. Spirituellement, le méchant ne pourra pas résister le vent du jugement de Dieu.
Voilà pourquoi il est nécessaire de ne pas marcher selon le conseil des méchants mais selon l’Esprit.
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Psaume 1:5
C’est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, Ni les pécheurs dans l’assemblée des justes.
Les méchants ne pourront pas se tenir fermes devant Dieu le Jour du Jugement. Nous voyons des hommes parfois qui résistent, qui surmontent des circonstances adverses, qui ont le courage et la détermination de vaincre sur le défi le plus redoutable. Mais devant Dieu, l’homme ne compte même pas ! Dieu est le Créateur, le Tout-Puissant ; l’homme est la créature, fait de poussière, faible. (Ésaïe 40:15) Voici, les nations sont comme une goutte d’un seau, Elles sont comme de la poussière sur une balance. Mêmes les nations sont d’aucune conséquence. Devant Dieu, l’homme est obligé de céder, soit maintenant pour devenir un enfant de Dieu, soit au Jour du Jugement.
Il est impossible que les pécheurs et les justes puissent vivre en harmonie. Leur voie, leur but, leurs désirs, leurs actions, leurs amitiés, leurs afflictions ne se concordent point. C’est une formule pour le désastre de se lier avec un non-croyant sous un joug étranger. Il peut arriver de temps en temps qu’un juste cède et s’arrête sur la voie des pécheurs pour un moment, mais il ne peut pas y rester longtemps. Soit il va se repentir, soit il va être châtié. De même, un pécheur ne peut pas rester longtemps dans l’assemblée des justes. Il ne sera pas du tout confortable, il ne pourrait pas faire ce que font les justes, il n’aimera pas Dieu comme font les justes. Soit qu’il les quitte, soit qu’il devienne juste par la foi et les rejoigne !
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Psaume 1:6a
Car l’Eternel connaît la voie des justes.
On peut dire qu’il y a trois niveaux de connaissance. On peut connaître dans le sens de savoir que quelque chose existe, par exemple, savoir qu’il y a une théorie de relativité. Ensuite, on peut connaître dans le sens d’être familier avec, par exemple, connaître qu’Albert Einstein a conçu les théories de relativité et a donné la formule, E=mc2. Enfin, on peut connaître dans le sens de maîtriser et pratiquer, par exemple, un professeur qui peut enseigner ces théories, ou un astronome qui peut calculer la vraie vitesse d’un corps céleste. Mais la connaissance de l’Éternel inclut et dépasse toutes celles-ci.
Il connaît la voie des justes. Il connaît son existence : c’est lui-même qui est son créateur. Il connaît cette voie jusqu’au moindre détail, faisant concourir toutes choses pour notre bien. Il connaît cette voie parce que lui-même, il pratique la justice. Il appelle aux hommes de lui ressembler, d’être saint comme lui, de pratiquer l’amour, le pardon et la bonté comme lui. Cette voie c’est la voie de Dieu.
Les justes sont en contraste avec les pécheurs, ceux qui se révoltent contre Dieu et qui ne l’aiment pas. Les justes appartiennent à Dieu, ils sont de son côté, ils le connaissent, ils lui ressemblent. Souvenons-nous que la seule façon de devenir juste c’est par la grâce, par la foi en Jésus-Christ. On ne peut jamais devenir juste en suivant les œuvres de la Loi, par ses propres efforts. On est juste seulement parce que Dieu nous a fait justes.
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Psaume 1:6b
Et la voie des pécheurs mène à la ruine.
Suivre la voie des justes, c’est aller vers Dieu. C’est avoir pour destination le Paradis, d’être avec lui, et avoir la vie éternelle. C’est participer à la gloire de Dieu.
Mais la voie des pécheurs mène à la ruine. Le pécheur est en train de s’éloigner de Dieu. Sa destination c’est l’enfer où il existera toujours mais il sera à jamais séparé de Dieu. Quelle terrible fin - sans joie, sans espérance, sans bénédiction, sans Dieu. Mais ce n’est pas seulement le pécheur qui va être ruiné. Sa voie même va terminée dans la ruine. (Proverbes 16:25) - Telle voie paraît droite à un homme, Mais son issue, c’est la voie de la mort. La voie du pécheur semble maintenant si logique, si prospère, si promettante. Mais un jour elle sera dévoilée. On va comprendre un jour que cette voie n’était qu’un mensonge, et la réalité c’est que Dieu a dit vrai, et la voie de la foi était la meilleure.
Comment devient-on un pécheur ? En étant né dans la race humaine. Oui, nous sommes déjà disposés à suivre le péché en révolte contre Dieu par le fait que nous sommes de la postérité d’Adam. Nous avons sa nature pécheresse. Laissés à nous-mêmes en enlevant les restreints de la société, des lois ou des coutumes, et nous pourrions commettre le pire des péchés. (Romains 3:23) - Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Mais la grâce de Dieu a pourvu le moyen d’échapper au jugement (Actes 16:31) - Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé.