Lire 2 Rois 7:1-20
2 Rois 7:9
Ils se dirent l’un à l’autre : Nous n’agissons pas bien ! Cette journée est une journée de bonne nouvelle... Venez maintenant, et allons informer la maison du roi.
Ces lépreux ont fait la décision de partir. Ils étaient victimes de famine comme les habitants de la ville. Nous pouvons imaginer la piètre générosité des citoyens envers eux ! Alors ils ont décidé de chercher de l'aide parmi les Syriens au lieu de mourir près de la ville. C'était notre cas spirituellement. Nous avons eu faim de la justice. Personne ne pouvait nous aider. Le péché nous a rendus malades et nous étions morts spirituellement dans nos péchés. Nous avons décidé de partir et chercher en Jésus le salut.
Ces lépreux ont saisi le butin : il y avait à manger et à boire, des richesses et des vêtements en abondance. En Christ nous avons acquis un butin : un véritable festin, une abondance de richesses spirituelles et des vêtements du salut et de la justice.
Ces lépreux ont reconnu leur responsabilité. Ils étaient en train de jouir de l’abondance pendant que d'autres mouraient. Ils ont compris que ce n'était pas bien, qu'il fallait s’hâter à transmettre la bonne nouvelle qui leur a été confiée. Reconnaissons notre responsabilité de transmettre les bonnes nouvelles du salut en Christ. Ce n'est pas bien de nous régaler et nous enrichir sans en parler aux autres.
Ces lépreux ont proclamé les bonnes nouvelles, d'abord à la maison du roi, ensuite aux gardes de la porte, et à tout le peuple. Ils ont parlé de leur expérience. Faisons de même. Proclamons la bonne nouvelle de Christ à l'église et à tous.
Lire 2 Rois 8:7-15
2 Rois 7:11
L’homme de Dieu arrêta son regard sur Hazaël, et le fixa longtemps, puis il pleura.
Élisée a aidé beaucoup de monde. Pourquoi ? D'abord, parce qu’il a vécu près de Dieu. Ben-Hadad a voulu qu'Élisée consulte Dieu. Avant il était son ennemi (2 Rois 6:13,14). Mais maintenant qu’il est malade, il cherche son aide. Il a même honoré Élisée en s'appelant “son fils” et en donnant un grand présent. Il savait qu'Élisée pouvait prier à l'Éternel et qu’il connaissait les secrets de Dieu. Il était près de Dieu à Damas aussi que chez lui. Il était près de Dieu quand il était honoré aussi que quand il a été poursuivi. Sa proximité de Dieu dépendait sur l'état de son cœur. Il était humble, juste, et un homme de prière.
Élisée a pu aider les autres parce qu'il a eu compassion pour eux. Élisée n'a pas dit de mensonge au verset 10. Normalement cette maladie n'était pas à la mort. Mais Hazaël allait tuer le roi. Élisée regardait Hazaël en pleurant. Dieu lui révélait que l'homme devant lui allait détruire son peuple ; il serait meurtrier, et cruel envers les innocents. Hazaël n'avait aucune compassion. Ces actes de terreur il a appelé des grandes choses ! Il disait, en effet, qu’il n'était pas digne de faire de telles choses. Peut-être qu'on n'est pas cruel, mais indifférent aux souffrances des autres. Pleure-t-on pour les peines des autres, pour l'incrédulité et le jugement des hommes ? Un non-croyant était irrité contre des prédicateurs qui prêchaient sur l'enfer. Il a déclaré qu'un seul avait le droit de prêcher sur l'enfer - l’évangéliste D. L. Moody, qui parlait de l'enfer avec des larmes aux yeux...