Paloumayres et palombières
Deux couloirs, partant de la salle à manger, permettent de s’adonner à la chasse entre les repas ;
Je remercie Carmen et Jean-Louis Gausserand de leur excellente collaboration.
J’ai visité leur palombière implantée en Médoc en novembre 2008, vers 14h30. Je ne m’étais pas annoncé. Je n’avais pas pris rendez-vous. Mes hôtes ne me connaissaient pas. L’accueil a été des meilleurs (ils m’ont même invité à partager avec eux leur repas !).
Je ne suis plus chasseur depuis plus de 30 ans et j’envie des gens qui vivent leur passion et qui veulent partager avec les autres, transmettre aux autres..
Je retiens de ces moments (comme pour la chasse à la tonne) que ce qui importe pour eux, ce n’est pas le tableau de chasse, c’est la convivialité.
Combien passent-ils d’heures à faire autre chose que chasser ? Je m’imagine en voyant cette cabane qui en réalité est composée d’une grande salle à manger d’où partent 2 couloirs pour chasser. La convivialité autour d’un bon repas est le centre des préoccupations de ces épicuriens. Ca se voit. C’est ce qui saute aux yeux.
[1] un paloumaïre, ou paloumayre : un chasseur de palombes