Le percement des chemins départementaux

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La détermination des tracés des chemins départementaux est soumise au conseil municipal qui doit en délibérer. Les discussions sont rudes, les propositions de l’administration préfectorale parfois combattues comme les intérêts de propriétaires influents. Bon nombre de délibérations sont prises dans ce sens et des budgets alloués pour faire accélérer les travaux. C’est la grande affaire des décennies 1840 - 1870.

Les délaissements

2 - Chemin de Cailly à Clères

4 - Chemin de Cailly à Bosc-le-Hard par le Bois Durand

5 - Chemin de Cailly à Esteville

7 - Chemin de Cailly à Collemare et Roquemont (1867)

10 - Tronçon du chemin de Cailly à la Rue Saint Pierre et raccourcissement de la rue des sept psaumes

12 - Tourne à gauche et remplacement par une placette

13 - Chemin de Cailly à Rouen d’une part et à la Rue Saint Pierre d’autre part

Les ajouts et améliorations

1 - Percement du CD n°44 de Fontaine le Bourg, Saint Germain sous Cailly vers Cailly (1852). Arrêté à moins de 2 km de Cailly. Le conseil municipal du 28/05/1856 demande qu’il soit terminé. Canalisation de la rivière.

3 - Percement du CD n°6 vers Claville Motteville et Clères (1844)

6 - Percement/élargissement du CD n°44 vers Yquebeuf et Roquemont (1867)

8 - Comblement du gué, Construction d’un pont et canalisation du Cailly

9 - Remplacement du gué et construction du pont (1847)

11 - Destruction de maisons et percement du CD 6 vers Buchy (1850-51)

14 - Percement du CD 12 vers Saint André sur Cailly (1856)

Si l’usage des chemins et sentes délaissés perdure, les remembrements des années 1970-80 les font disparaître dans leur grande majorité.

Sources :

- Archives municipales - Archives départementales.