C - Italiens Romantisme

Romantisme

Au milieu du xviiie siècle, au moment où l'on redécouvre Pompéi et Herculanum, l'Italie et toute l'Europe s'intéresse aux peintures murales, sculptures et autres objets découverts lors des fouilles de ces deux villes antiques. C'est dans ce contexte de regain pour l'Antiquité que naît à Rome un nouveau style artistique, le néo-classicisme.

La diffusion de ce courant artistique est également lié à l'influence que la France va exercer sur la péninsule après la campagne d'Italie de 1796-1797 puis celle de 1799-1800 menées par Napoléon Bonaparte. Il ramène en effet de l'Italie sous domination française la peinture néoclassique qui va ainsi s'étendre dans toute l'Europe avec les conquêtes napoléoniennes.

Comparé à d'autres pays européens, notamment la France et l'Allemagne, le néoclassicisme s'est relativement peu propagé parmi les peintres italiens. On peut néanmoins citer Pompeo Batoni qui est considéré comme l'un des précurseurs du néoclassicisme en Italie ou encore Giuseppe Bossi et Andrea Appiani qui étaient peintres officiels de l'Empereur Napoléon.

La période, appelée le Risorgimento, est aussi celle d'un « resurgissement » des racines culturelles de l’Italie, que ce soit à travers la littérature, la peinture ou la musique : on met en avant le passé glorieux du pays pour mieux démontrer la nécessité d’une unification qui redonnerait son poids à l’Italie. C'est dans ce cadre que s'inscrit le romantisme italien à la fin xviiie siècle jusqu'aux années 1870, puisant ses références dans l'Antiquité mais aussi le Moyen Âge. Ce mouvement contre le classicisme part de Venise, avec son principal représentant Francesco Hayez qui réalise de nombreuses peintures historiques basées sur des sujets puisés dans le Moyen Âge se rapprochant plus du style troubadour que du romantisme de ses contemporains d'Europe du Nord.

Le romantisme gagne le nord de l'Italie et conquiert notamment Milan avec des peintres tels que Eleuterio Pagliano, Giuseppe Bertini ou Tranquillo Cremona, ce dernier ayant par ailleurs été l'un des initiateurs du mouvement lombard scapigliatura qui va influencer le peintre Daniele Ranzoni.

Le purisme italien issu du mouvement nazaréen allemand se développe entre 1830 et 1860. Il est marqué par la volonté de renouveler l'art religieux par l'étude des anciens maîtres italiens, et notamment les primitifs italiens. L'interprète principal du mouvement à Rome est le peintre Tommaso Minardi avec le sculpteur Pietro Tenerani et le peintre allemand Friedrich Overbeck. Parmi les peintres ayant rejoint ce mouvement, il faut citer Luigi Mussini, qui travaille en Toscane ainsi que Antonio Ciseri et Constantino Brumidi qui ont tous deux Minardi comme maître, ou encore des élèves de Mussini comme Alessandro Franchi, Amos Cassioli et Cesare Maccari. À partir de 1861, la vogue du purisme commence à décliner, supplantée par le mouvement des macchiaioli et des véristes.

Le vérisme, héritier du naturalisme et du réalisme français, est un style de peinture qui est principalement représenté en Italie par un groupe d'artistes, les macchiaioli. Les artistes les plus marquants de ce mouvement sont Giovanni Fattori, Silvestro Lega et Telemaco Signorini. Ce groupe est le précurseur de l'impressionnisme qui se développe au début des années 1860 et des artistes comme Federico Zandomeneghi vont évoluer du vérisme à l'impressionnisme.

Andrea Appiani

Andrea Appiani, né le 31 mai 1754 à Milan et mort le 8 novembre 1817 dans la même ville, est un peintre italien néoclassique. Il se rend d'abord célèbre pour ses peintures de fresques, empreintes de grâce et de douceur.

Andrea Appiani naît à Milan le 31 mai 1754, dans une famille noble mais pauvre. Il y étudie à l'école de l'Ambrosiana avec Carlo Maria Juges, au grand hôpital d'anatomie avec Gaetano Monts, à l'académie de Carlo Maria Giudici, puis devient l'élève d'Antonio de Giorgi.

De 1783 à 1784 il est à Florence où il fréquente l'école de Dominique Chelli. En 1790 et en 1791 il voyage pour étudier à Rome, Parme, Bologne, Florence et Naples .

Il peint le portrait du général Bonaparte à la bataille de Lodi en 1796, puis celui du Premier Consul en 1800 (à Milan) et celui de l'Empereur (en roi d'Italie) en 1805, et de nombreux autres portraits de la famille impériale.

Mais ce qui lui vaut par-dessus tout les faveurs de l'Empereur, ce sont les fresques du palais royal à Milan, qui sont autant de monuments à la gloire du conquérant.

Victime en 1813 d'une attaque d'apoplexie qui le laisse paralysé, il vit après la chute de Napoléon dans le dénuement et s'éteint dans sa ville natale le 8 novembre 1817.

Andrea Appiani est l'un des représentants majeurs du néo-classicisme italien. L'éclat, le charme et l'harmonie de la couleur sont les qualités qui distinguent la manière de celui qu'on surnomma le peintre des grâces.

Tranquillo Cremona

Tranquillo Cremona (10 avril 1837 - 10 juin 1878) était un peintre italien. Il était né à Pavie et était le frère du mathématicien Luigi Cremona. Il a été formé comme jeune homme chez Giovanni Carnovali. Il a vécu à Venise de 1852 à 1859. Cremona a déménagé à Milan et est devenu membre du mouvement Scapigliatura, caractérisé par des attitudes bohèmes, tendances.

Ses peintures ont un style balayé par le vent, dépourvues de la linéarité de Hayez et d'autres universitaires et rappelant celles de l'école de Venise et du Titien. Les contemporains d'Among Cremona dans ce mouvement étaient Giuseppe Rovani, Corrado Bozzoni, Antonio Tantardini, Giuseppe Grandi, Ferdinando Fontana et Daniele Ranzoni. Son travail consistait principalement en portraits et ses sujets étaient souvent des femmes. Il a également peint de grands sujets tels que Marco Polo À la cour de Kubla Khan et Scènes de Faust de Goethe.

Les coups de pinceau créent souvent des figures éblouissantes, scintillant leurs marges dans leur environnement. Les actions de son sujet restent souvent d'une signification cryptique, autre qu'une observation transitoire de rencontres et de comportements humains.

Sa technique rappelle le pittura de tocco e di macchia (peinture de toucher et de points) pratiquée par des peintres tels que Titian, Rembrandt ** et des maîtres baroques ** du nord de l'Italie du XVIIIe siècle tels que Crespi, Guardi, Piazzetta et Bazzani. Ses deux œuvres sont au Museo Cantonale d’Arte de Lugano. Sa peinture est intitulée La Melodia (1874, collection privée) a une femme au piano, dans une désintégration impressionniste **, le visage bascule en partie, nous invitant à considérer la composition musicale comme le sujet des coups de pinceau, au lieu de personnes ou d'objets dimensionnels.Une oeuvre achevée quelques mois avant sa mort , L'edera (1878; Le lierre, se référant uniquement à un brin de la plante à une marge), une figure embrasse passionnément une figure distante. La nature de la situation, peut-être même le sexe de la personne ci-dessous, ne semble pas réglé.

Il était un ami de l'écrivain Scapigliatura Carlo Dossi. Les nouvelles éditions des œuvres des écrivains et des poètes de Scapigliatura présentent souvent les peintures de Crémone sur leurs couvertures. Cremona est décédé à Milan, à l'âge de 41 ans, d'une maladie intestinale subite, attribuée à une intoxication par les pigments à base d'huile qu'il avait elle-même fabriqués et qu'il testait habituellement en les étalant sur la peau nue des bras.

Francesco Hayez

Artiste majeur du romantisme historique italien du milieu du xixe siècle à Milan, Francesco Hayez, né le 10 février 1791 à Venise et mort le 12 février 1882 à Milan, est un peintre italien qui fut un artiste important du romantisme italien reconnu pour ses grandes peintures d'histoire, inspirées du Moyen Âge et de la Renaissance, ses allégories politiques, et pour la grande finesse de ses portraits.

Issu d’une modeste famille vénitienne, il va, porté par l’ambition, s’élever au sommet. Formé dans l’atelier de Francesco Maggioto, il entre en 1806 à l’Académie Nouvelle des Beaux-Arts de Venise. Trois années plus tard, Hayez obtient une bourse d’études pour poursuivre son apprentissage à l’Académie Saint Luc à Rome. Il restera quelques années dans la ville éternelle (il y suit alors les cours de Canova) avant de partir pour Naples pour honorer une commande (Ulysse à la cour d’Alcinoos, 1815). En 1823, Hayez s’installe à Milan, il y passera le restant de ses jours. Peintre de choix de l’aristocratie lombarde, il se taille rapidement une réputation exceptionnelle. Il deviendra ainsi professeur puis directeur de la fameuse Académie de Brera. Considéré par Stendhal comme le meilleur peintre de son temps, Hayez fut en tout cas celui de l’Italie réunie. Il participa même à l’ascension de la famille de Savoie, ascension qui permettra cette unification.

Le Baiser reste le chef d’oeuvre de Francesco Hayez, la peinture qui fera sa renommée à travers l’Europe dans la seconde moitié du XIXème siècle. Pourtant, en 1859, le vieux peintre n’en est pas à son premier essai. Celui que Stendhal considérait comme le meilleur peintre de son temps s’est illustré à plusieurs reprises dans le genre de la peinture troubadour, peignant des scènes historiques et littéraires, à l’instar des peintres romantiques français. En 1823, il représente le mariage de Roméo et Juliette et immortalise le dernier baiser des deux amants (Le dernier baiser de Roméo et Juliette, Villa Carlotta), dont l’excès de réalisme scandalise la société milanaise.

Giovanni Fattori

Giovanni Fattori est un peintre un dessinateur, et un aquafortiste italien du XIXᵉ siècle. C'est l'un des plus importants représentants du mouvement des Macchiaioli.

Il étudie d'abord à Livourne, puis à Florence (1846-1848) auprès de Giuseppe Bezzuoli, portraitiste et peintre d'histoire de tendance romantique. Cette formation le marquera longtemps (Marie Stuart au camp de Crookstone, 1859, Florence, G. A. M.), même après l'époque où il commença à fréquenter, au café Michel-Ange, le cercle des premiers " macchiaioli ", auquel il n'adhéra, poussé par Giovanni Costa, qu'après 1859. Dans son tableau le Camp italien après la bataille de Magenta (1861-62, Florence, G. A. M.), avec lequel il remporta le concours Ricasoli, les résultats de ses plus récentes recherches se manifestent. Toutefois, sa nouvelle manière, fondée sur le contraste des zones de couleurs claires et sombres rendant le schéma des masses, est mieux adaptée à ses tableaux de petites dimensions. D'abord traitées comme des esquisses, ces peintures deviennent ensuite des œuvres indépendantes, conçues pour elles-mêmes (les Soldats français, 1859). Parallèlement à l'exécution de ses grands tableaux de bataille (Bataille de Montebello, 1862, musée de Livourne ; Assaut à la Madonna delle Scoperte, 1864, id.), Fattori réalisa aussi une importante série de petits formats, souvent étirés en longueur, proportion soulignée par un jeu de bandes de couleurs contrastées. C'est avec des compositions de ce type que Giovanni Fattori trouve ses meilleurs accents, riches d'un discret lyrisme (Cabanon en bord de mer ; la Rotonde des bains Palmieri, 1866, Florence, G. A. M. ; Pinède à Castiglioncello ; la Meule, musée de Livourne ; Madame Martinelli à Castiglioncello, id ; Repos, 1887, Brera).

Il fut nommé professeur à l'Académie de Florence en 1869. Au cours des décennies suivantes, il continua à peindre des tableaux militaires (Bataille de Custoza, 1876-1880, Florence, G. A. M.) et des scènes rustiques (le Marquage des taureaux). Son langage pictural est alors marqué par une accentuation de la construction graphique, à laquelle s'ajoutera, un peu plus tard, une tendance sentimentale propre au vérisme social (l'Estafette, 1882 ; le Cheval mort, 1903). Il laissa également des portraits (Portrait de sa première femme, 1864, Rome, G. A. M. ; Diego Martelli à Castiglioncello, Milan, coll. Jucker ; Portrait de sa belle-fille, 1889, Florence, G. A. M.), qui rappellent parfois les modèles de Bezzuoli, ainsi qu'une importante production de gravures qui contribuèrent à le faire considérer comme la plus forte personnalité du mouvement des Macchiaioli. La G. A. M. de Florence conserve un bel ensemble de ses œuvres, dont on peut également voir des exemples au musée de Livourne.

Silvestro Lega

Silvestro Lega est un peintre italien du mouvement des Macchiaioli au XIXᵉ siècle. Lega est un des plus importants représentants de ce mouvement artistique avec Giovanni Fattori et Telemaco Signorini, qui gardera certains principes de sa formation puriste et s'imposera la prédominance de la figure sur le paysage.


Silvestro Lega est né le 8 Décembre 1826 Modigliana, le pays Romagne Toscane, par Antonio Mancini et Giacoma. Antonio Giacoma a épousé sa seconde femme, le 18 Juin, 1820, étant la première femme Domenica Nediani est morte en couches en 1812, après avoir donné naissance à neuf enfants en douze ans. Malgré l'adoption de la première femme, Antonio a continué à entretenir d'excellentes relations avec la famille noble et riche d'elle, de sorte que leur succès consécration sociale et la famille, qui en 1818 a donné le détenteur inscrit de diverses usines et particulièrement actives dans l'artisanat et des textiles en « agriculture. Plus modeste était plutôt la marche Giacoma Mancini, sert déjà à la maison-League. Il était une femme humble, mais d'une grande intelligence, de sorte que le même enfant se souvenir d'elle en ces termes: « Ma mère était l'éducation la plus aimante et une bonne éducation de sa famille. Jusqu'au début des années ont été placés sous la protection des piaristes ».

Il restait peu d'informations de l'enfance Silvestro Lega, dans tous vraiment passé au sein de la grande famille et plusieurs frères aînés. En 1838, il inscrit dans les piaristes de Modigliana, l'étude distraitement et sans membre à part entière: il était dans ces années, cependant, qui a explosé au début et incontrôlable, sa vocation artistique.

Après avoir terminé en 1843 dix-sept ans Ligue a déménagé à Florence, attirés par la perspective d'étudier dans une ville d'une grande artistique et échapper à un environnement familial qui a souffert en appuyant sur les difficultés économiques. Arrivé dans la ville de Florence au début du printemps de 1843, il s'installe dans la maison sur le frère de bord de la rivière, John, copiste médiocre des anciens maîtres qui - en vertu de son statut de « peintre officiel « - en 1845 est venu même à mentionner dans la Nouveau guide historique art de Florence, aux côtés de noms certainement plus célèbres, comme ceux de Carlo Ademollo, Pietro Benvenuti, Giuseppe Bezzuoli, Thomas Gazzarrini et Adolf von Stürler Luigi Mussini.

Il est inscrit à l'Académie de Belle Arti à Florence le 30 mai 1845, la Ligue sera compiette un cours d'étude brillante, malgré ont offert un excellent enseignement (Benedetto Servolini et Gazzarrini). Il est venu de reconnaître que l'art ne va pas avec un esprit amateur, mais les connaissances nécessaires pour connaître les règles nécessaires pour la mettre en œuvre «bien gars que je connaissais tout de suite que par griffonner sur les murs pour dessiner un profil très différent. » Après cette percée, cependant, il est venu de se sentir la tradition académique du temps stérile et mortifiant: ayant gagné cette pensée est venue d'abandonner les cours de l'Académie et, en même temps, de quitter la maison de son frère, avec qui il n'a jamais d ' En outre entretenu de bonnes relations.

Il était donc qu'en 1845 ou peut-être en 1846, la Ligue est allé à l'école privée puriste Luigi Mussini, dans lequel effectué, comme une deuxième année sage, musique sacrée: Il était une toile particulièrement populaire, en particulier par ceux qui voulaient récupérer la peinture du XVe siècle et le début du XVIe siècle. Pendant ce temps, le ferment révolutionnaire qui se développait en Toscane après l'ascension à la papauté de Pie IX a également pris la ligue qui, avec enthousiasme et joie de jeunesse, il se porte volontaire. Son implication dans les batailles du Risorgimento a marqué un revers de sa carrière de peintre, cependant, il a commencé à cultiver assidûment après le retour de l'avant. Après le « mouvement généreux et poétique de '48 » a échoué « dans le tourbillon soulevé par les sectes et par le démagogue audacieux et ambitieux » Ligue a passé dans l'étude de Antonio Ciseri, objet maître de sa plus grande vénération ( « ce nouveau professeur de m'inebriò »). campagnes militaires ont également commencé Finite assister à des réunions du turbulent café Michel-Ange, hantent connu des artistes et des patriotes. Bientôt, cependant, la Ligue se détourna de la coterie d'artistes qui se sont réunis à cet endroit, car il croit inapproprié leur attitude collégiale que leurs prétentions de la liberté de création, l'artiste considéré comme trop abstrait et donc inutile.

Actif dans la deuxième guerre d'indépendance en Avril 1859 un artilleur, après son retour à Florence League, il a commencé à être plus amical aux jeunes collègues du café Michel-Ange, et a même pris part à leurs rassemblements festifs. Cette facilité retrouvée correspond à un nouveau saut qualitatif dans son art. La preuve de cette nouvelle force picturale sont les quatre tableaux représentant des épisodes militaires du Risorgimento qui a effectué la Ligue pour la compétition Ricasoli tenue à la fin de 1859. La première partie lui a valu une grosse somme d'argent à la Ligue qui, par conséquent, pourraient se trouver dans un nouveau lieu via Santa Caterina, dans un quartier où ils ont vécu beaucoup d'autres artistes, tels que Giovanni Fattori. Ils sont cependant les trois autres tableaux de la série - dans ce cas, la Retour de tirailleurs italien d'une reconnaissance, les perdus Reconnaissance des chasseurs dans les Alpes et Une embuscade de tirailleurs italien en Lombardie - être l'indépendance la plus créative exemplaire vient de conquérir par la Ligue, qui est ici pour la première fois témoigne d'un grand équilibre de la composition, le « détachement absolu de différentes écoles avaient. » En se référant à 'embuscade, il a reconnu qu ' « il était moi; Il commence à faire ce qu'il se sentait comme il voulait et comment il savait ".

Ce fut l'une des périodes les plus heureuses de l'artiste, qui dans ces années avait découvert la beauté de la peinture en plein air, qui a attendu avec la plus grande diligence. Cette sérénité retrouvée est également due à des raisons personnelles: il a été au cours d'une séance de peinture en plein air à « vergers et fermes de la campagne humble et modeste qui a couru à côté de l'Arno, appelé Pargentina », qui Ligue a rencontré avec la famille Batelli, avec qui il a formé une compréhension immédiate. Le Batelli, en fait, étaient heureux d'accueillir la Ligue à leur domicile après avoir commencé à souffrir des incertitudes économiques progressistes. Ligue, en particulier, est tombé amoureux follement en Virginie, vingt vieille femme six années qui était allé vivre avec leurs parents après la malheureuse affaire avec ce double Giuseppe Puccinelli, dont il venait de se séparer.

La sympathie avec la Virginie est vite devenu intime, et les deux tissait une relation qui ne manqua pas d'être approuvé par les différents membres de la famille Batelli. Après l'engagement avec la Virginia Lega, animée par une force créatrice extraordinaire, il a travaillé dur et a produit une quantité considérable de peintures. Une mention spéciale doit être aumône, la grand-mère, la conjecture, le ucitrice, le lecteur, les jeunes mariés, curiosité et, surtout, La chanson de l'étourneau, la visite, et la pergola. La tranquillité intérieure sur laquelle la Ligue avait établi leur propre régime de la vie quotidienne, cependant, brisé depuis les années trente, quand il a frappé le premier deuil de la famille, la mort de son frère Dante, et surtout aimé la Virginie, frappé par la tuberculose en Juin 1870. depuis lors, la Ligue, bien que emboîtera à travailler dur, gagner même la médaille d'argent dans l'Exposition nationale de 1870 Parme, a été marquée par un profond désespoir. Ce fut le début d'une crise grave, encore plus pénétrant après la critique que son ami Telemaco Signorini fouetté contre sa peinture, il a atteint son apogée avec l'apparition d'une maladie oculaire grave à long terme, l'empêcherait à la peinture.

Lega, cependant, a réussi à laisser derrière cette crise interne profonde et de trouver la paix d'esprit, grâce à la bonté des amis (en particulier les marteaux et Matilde Gioli). Après avoir finalement tourné la page de la Ligue est revenu à être très actif, tant en termes de social et artistique. Il a exposé, en fait, en studio Gioli Via Orti Oricellari (1879) et l'Exposition internationale de Donatello Company (printemps 1880). Il a également occupé, de récupérer de vieilles amitiés, et de nouvelles intrecciarne: Une mention spéciale va à l'association avec le peintre suisse Arnold Böcklin, il a honoré avec un portrait. De plus, ces dernières années, d'ailleurs, la Ligue a assidument Gabbro, l'arrière-pays de Livourne, où « il a eu la chance de connaître le comte Roselmini que Edward vivait avec sa femme, presque constamment, la belle villa Poggiopiano; et ce fut l'occasion qui lui a permis, ces dernières années, de rester longtemps dans ce pays, beau et fort ". La maîtresse de cette maison, Clementina Fiorini, était une femme énergique et laborieuse qui a vraiment apprécié l'attitude « parasite et de mauvaise humeur « League. En se fondant sur cette amitié, la Ligue avait la sécurité de ne pas être oublié, ni seul, et a passé l'ancienneté si sereine et digne. Il est mort, enfin, le 21 Septembre 1895 à l'hôpital de St Giovanni di Dio, à Florence