Croix funéraires

Croix funéraires

1800 - Croix funéraire de Pierre Henry, curé.

Cette croix funéraire (85 x 57 cm) de Pierre Henry, curé de Soulme de 1786 à 1800 environ, était jadis appuyée contre le mur de séparation entre le cimetière et le presbytère. Elle a aujourd'hui disparu, sans doute volée...

1806 - Croix funéraire de François Rivir, curé.

Encastrée dans le mur de séparation du cimetière et du presbytère, cette croix funéraire est partiellement abîmée. C'est celle de François Rivir, curé de Soulme de 1800 à 1803 environ.

Croix d'occis.

La croix d'occis - ou littéralement croix de tué - n'est pas à proprement parler un monument chrétien car elle n'est pas un crucifix et ne représente jamais la figure du Christ. Elle est en général édifiée souvent sur le bord d'une route ou d'un chemin, à l'endroit où une personne a trouvé la mort de façon accidentelle ou violente. La plupart du temps, la pierre porte une inscription épigraphe rappelant le nom de la personne décédée à l'endroit et les circonstances de sa mort.

1856 - Croix d'occis de Amour Renson, bourgmestre de Gochenée (route de Rosée).

La croix d'occis d'Amour Renson, bourgmestre de Gochenée, se trouve sur le bord droit de la route de Soulme à Rosée, une centaine de mètres après l'ancienne maison du garde chasse.

1869 - Croix d'occis de Joseph Rigaux (lieu-dit Falize).

Cette croix d'occis se trouve au lieu-dit Falize, situé au Sud du village, lieu aujourd'hui en friche et ayant jadis servi à l'exploitation des pierres pour la construction des maisons du village. Elle commémore le lieux du décès de Joseph Rigaux.