RECHERCHE METIERS ANCIENS ET/OU INSOLITES
1/Témoins de la vie agricole dans la commune
Vus sur le recensement 1891 :
-la famille Gallez, tous journaliers, résidant au 10 rue de Paris : Jean 39 ans, Victorine 36 ans et leurs fils Victor : 17 ans / 8 autres enfants : Julien 10 ans, Auguste 12 ans, Julie 11 ans, Elisa 6 ans, maria 9 ans, Jeanne 3 abs, Pierre, 1 ans et Julia 8 mois-> environ 200-250 journaliers en 1891
-5 cultivateurs : Faucheur Eugène Nicolas Désiré (46 ans, 6 rue de la fontaine saint pierre), Blot Edouard (60 ans, 6 avenue du rondpoint), SERRE François (48 ans, nourrisseur au 27 rue du 14 juillet), PAPIER Pierre Louis (79 ans, 61 rue des écoles), Perreau Claude (58 ans, 99 rue de Paris)
-Rey Antoine, 38 ans, nourrisseur, 9 rue du Pré Saint Gervais
-FREMONT Joseph, 37 ans, grainetier, 5 rue du Coq Français
-GUEPARD Joseph, 49 ans, laitier, 12 avenue du rondpoint
-Monteil Gérard, 45 ans, nourrisseur, 39 rue du Tapis vert
-LEROUX Louis, 41 ans, meulier, 57 rue des écoles
-Hiest Jules, 38 ans + son frères Désiré, 48 ans, marchands de chais, 52 rue de Paris
-YUNG Nicolas, 44 ans, champignonniste, 11 passage des hortensias
-Maubert François, 39 ans, « fort aux halles », 154 rue de Paris : Les forts des Halles étaient des manutentionnaires qui transportaient les marchandises de l'extérieur vers l'intérieur des pavillons des anciennes Halles de Paris
-5 fruitiers également
Vus sur le recensement 1936 :
-Pochard François, né en 1879 (Finistère), laitier, 44 rue du Garde-Chasse
-LABORDE Joseph (né en 1906) et son frère Louis (né 1902 dans les Basses Pyrénées), chevriers, 10 rue de la Paix
Pour illustrer :
Cartes postales :
1fi3
29 - Les Lilas avenue des Lilas
1909
Berger, chèvre, moutons, animaux, élevage
1fi121
sans titre - Graineterie A. Courvoisier
1910
Graineterie A. Courvoisier 123 rue de Paris
3J9
Fond Huret :
-2 photographies Les Etablissements/Chais Houdart (vers 1900)
-1 photographie Eolienne installe par M. Chaumont dans sa propriété rue du Bois avant 1900 (sd)
-1 photographie La Famille Dargent aux vendanges (sd)
-1 photographie La Fenaison sur le Fort entre les deux guerres (sd)
-1 photographie La Fenaison sur le Fort vers 1910 (1910)
-1 photographie Les Maraichers de Romainville aux Halles de Paris en 1908 (1908)
-1 photographie Jardin rue du Bois (sd)
2/ Artisanat et commerces (quasi) disparus
Vus de 1891 à 1946 : plumassière, cartonnier, tisserand, fabricant de rondelles de cuir, sellier, porcelainier, verrier, monteur en bronze, batteur d’étain, vannier, tabletier, mégissier etc.
Vus en 1891 :
-Bion Lucien, 38 ans et son fils Henri, 19 ans, horlogers, 22 rue de l’égalité
-Maes Charles, 51 ans, mercier, 4 cour saint Paul
-DUDET Claude Marie, 72 ans et ses 4 enfants : Louis 24 ans, Elisabeth 28 ans, Marie Louise 19 ans et Marguerite 16 ans sont marchands de nouveauté, 118 rue de Paris -> dans le même genre : droguiste/quincaillier/droguiste
-MICAUD Auguste, 60 ans, lapidaire, 4 avenue du rond-point
-la famille ECKARD, batteur d’or et doreur, 7 rue du château
-GAILLARD Valbert, 48 ans, galochier 123 rue de Paris
-Leyter Désiré, 47 ans, sabotier, 158 rue de paris
-GOBIN Albert, 29 ans, billardier, 118 rue de Paris
-Vigouroux épouse Berthonieux, 37 ans, éventailliste, 13 rue des Bruyères
-Cluet Paul et sa femme Emma, 30 ans et 32 ans, limonadiers, 130 rue de Paris
Vus en 1936 :
-Blanchet Georges, né en en 1894 (Loir et cher), limonadier, 12 rue Bernard
-Crousaz Oscar, né en 1895 en Suisse, cabaretier au 28 rue de l’avenir
-Eugène LECONTE, né en 1847 à Paris, corroyeur, 40 rue de Romainville
-PECHIERAS Auguste (né en 1884 dans la creuse) et son fils René (né en 1913, Seine), balanciers, 6 rue Jules David)
-Briey René, né en 1912 dans la Marne, sellier à Hermès, 2 rue La Rochefoucauld
-Van Mierlo Jean, né en 1897 (Hollande), souffleur de verre, 2 rue de Bagnolet
-Buteaud Jeanne, née en 1903 (Belfort), chapelière, 2 rue de Bagnolet
-Dujardin René et Amélie, fabricants de tricots, 11 rue chassagnole
-Duchaussoy Marcel né en 1897 (Seine), marchand de couleurs, 8 rue Esther Cuvier
-ZALLAIRE André, né en 1911 (Seine), charron, 133 cité jardins (Chaque ville et village employait auparavant un charron. Le charron était un artisan spécialisé dans la fabrication et la réparation des véhicules en bois, tirés par des chevaux, avant l’ère des voitures que nous connaissons aujourd’hui. Ces artisans étaient très importants puisque ces véhicules permettaient de transporter les hommes mais aussi les chargements agricoles. Les Lilas, alors agricole, commerçait avec Paris. Les récoltes étaient vendues aux halles de Paris, où elles étaient apportées par voiture à chevaux. Les charrons étaient notamment spécialisés dans la fabrication et la réparation des roues. C’était donc un artisan polyvalent puisqu’il devait à la fois savoir travailler le bois et le fer. Avec la mécanisation de l’agriculture et l’avènement des pneus en caoutchouc dans les années 1920, ce métier a peu à peu périclité. En France, il reste moins d’une dizaine de charrons toujours en activité.)
-Gerbaut Jeanne, née en 1917 (Seine), mercière – son époux Maurice né en 1911 (Seine) est manœuvre à l’usine Kalker aux Lilas
-Venon Germaine, née en 1895 (Seine) est posticheuse à Cuverville Paris, 2 rue Léon
Pour illustrer :
1fi457
Les Lilas La rue de Paris
1917
Marchand de perruque/postiche, laitier, caviste La vendange, bar au rendez-vous de l'Egalité, voiture à cheval, tramway
-SANIMORTE Jean Baptiste, né en 1876 (Loire) et ses fils Claude, né en 1905 (Loire) et Auguste (né en 1907), teinturiers
-Louis AUBIN et sa femme Paule, nés en 1896 (Eure et Loire), bimbelotier au 2 passage de la Mairie
Pour illustrer :
1fi122
sans titre - Quincaillerie J. P. Provost
sd
Quincaillerie J. P. Provost angle rue de l'Avenir et rue de Paris, Sage-femme 15 rue de l'Avenir
-Jarry Pierre, né en 1878 (Seine), fourreur, 99 rue de l’avenir
-Baraz Ber (né en 1890 en Ukraine), sa femme Feiga ‘née en 1896 en Pologne) et leurs deux fils Alexandre (né en 1915) et René (né en 1917), fourreurs, 4 rue de Pré-Saint-Gervais -> tous déportés sauf René en juillet 1943
Pour illustrer :
1j14 : Carte professionnelle « Fourrures 18 avenue Faidherbe – Les lilas » de Mme Coquet (sd)
1fi110
sans titre - Cordonnier
sd
Coordonnerie Laakoff 29 boulevard de la Liberté
3/ Métiers autour des lavoirs
Vus dès 1891 (notamment des femmes : lingères)
Persistance en 1936 :
-Georges Gustave, né en 1891 (Seine), maitre de lavoir, 3 rue de l’Avenir
-Jacob Louise, née en 1869, Seine, blanchisseuse, 20 rue de Bagnolet
Pour illustrer :
1fi9
7 - Les Lilas rue de l'Avenir et l'Eglise
sd
Lavoir de l'Avenir, Eglise
1fi390
39 - Les Lilas La Rue de Paris
sd
Lavoir et bains, voiture à cheval
1fi 75
Les Lilas Cité Jardins Allée des Dalhias
sd
Cité Jardins, Blanchisserie Lux
1fi76
Les Lilas Avenue des Dalhias (Cité Jardins)
sd
Cité Jardins, Blanchisserie Lux, La Fraternelle
3J19 : 1 photographie du Lavoir Bains avec les blanchisseuses (128 rue de Paris) (1906)
3/ Entrée dans l’ère industrielle – à partir de 1910’s : de plus en plus d’ouvriers en tout genre
Exemples vus : manœuvre, toupilleur, polisseur, riveur, tourneur, ajusteur, fraiseur, caoutchoutier, rectifieur, ciseleur, ébarbeur, coquilleur, machiniste, nickeleur, ouvriers en ressort à l’usine Picot des Lilas, rotativiste, galvanoplaste, contremaitre
Femmes très présentes dans les industries textiles : tisseuse, confectionneuse, brocheuse, découpeuse, brunisseuse, décolleteuse, bonnetière, graisseuse, passementier, tricoteur, ceinturonnier, corsetière, gainier, maillocheuse, casquettier, culottière, boutonnière, giletière bonnetier, cravatière, apprêteuse, « petite main », tricoteur, dentellière, baleinière, bobineuse
Vus en 1891 :
-PATRELLE, fabricant de caramel, 19 avenue du rondpoint
Vus en 1936 :
-Steffen Albert, né en 1883, aromeur chez Patrelle , 4 rue Bernard - sa femme, Berthe, née en 1878, rinceuse de flacon à Patrelle
-Bickel Georges, né en 1910 (Seine), fumiste, 3 rue d’Anglemont
-Lacaze Louise, née en 1889 (Seine), vernisseuse à Verecke aux Lilas - ses filles Raymonde, née en 1923, est brodeuse, Marcelle, née en 1920, est confiseuse, 5 rue d’Anglemont
-Moreau Lucien, né en 1915 (Seine), ferblantier, 11 rue de l’avenir
-Toussaint Léon, né en 1864 (Seine), estampeur, 57 rue de l’avenir
-Marsollier Médéric, né en 1885 (Sarthe) et sa femme Marcelle, née en 1889 (Seine), linotypistes, 77 rue de l’avenir
-Adler David et Rebecca (née en 1894 et 1905 en Pologne), mireurs d’œufs à l’usine Sadac à Paris, 22 avenue Faidherbe -> déportés en aout 1942
Pour illustrer :
1fi365
10 - Les Lilas Panorama pris de la Barrière
1908
Porte des Lilas, Tramway, usines
1fi366
5 - Les Lilas Vue Générale
1923
Porte des Lilas, Octroi, Tramway, voitures à cheval, usines
1fi367
150 - Les Lilas L'entrée du Pays Vue Panoramique
1913
Porte des Lilas, voiture à cheval, usines
1fi369
58 - Les Lilas aux fortifications Panorama de la rue de Paris et du Pré-St-Gervais
1915
Porte des Lilas, Tramway, usines
1fi650
Vue aérienne des usines Ronéo 130 et 139 boulevard de la Liberté Les Lilas (Seine)
1934
Usine Ronéo
1fi651
6625 - Les Lilas Boulevard de la Liberté Usine Ronéo
sd
Usine Ronéo
1fi652
6624 - Les Lilas Boulevard de la Liberté Usine Ronéo
1953
Usine Ronéo
1fi653
321 - Les Lilas rue des Bruyères Sortie des ouvriers de l'usine Kalker
sd
Usine Kalker, Restaurant
1fi654
Publicité Kalker manufacture générale de caoutchouc Les Lilas (Seine)
sd
Usine Kalker
1fi655
Usine des Lilas, métiers rectilignes J. Ohresser Fabrication du Jersolaine
1926
Usine Ohresser
1fi656
Usine des Lilas, métiers rectilignes J. Ohresser Fabrication du Jersolaine
1925
Usine Ohresser
SERIE 2F1 - En tête courriers industries locales
-Ronéo -> 1924
-MATFER ou ETABLISSEMENT MORA (Découpage, emboutissage, estampage, ferblanterie, tôlerie, mécanique) : 44 rue Henri Barbusse et 13 rue du Tapis Vert -> 1959
-BALTEX ou ANCIENS ETABLISSEMENTS ACQUERIN, BEUGIN & Cie : 17 à 23 rue de Bagnolet. Atelier de broyage, trituration de produits minéraux ou organiques en milieu aqueux. Manufacture d’articles en latex ballons-réclame : vessies, ballons-musique, ballons-sonde – Gants de ménage – Bonnets de bain -> 1957
3J18
Fond Huret :
-Publicités de diverses industries parues dans la presse locale (1930’s-1960’s)
-Mandat de paiement des établissement Ohresser (1934)
-Bon de commande avec entête de l’usine de Bois et charbons « Chantier de l’avenue Pasteur » de M. Garin (121-123 avenue Pasteur) (photocopie – sd)
-1 photographie Le Personnel de l’usine Vilhard plus tard Kalker (4 aout 1890)
-1 photographie Les usines Oheresser rue de Romainville vers 1910 (1910’s)
-1 photographie La Maison Patrelle construite à la place de la Maison Paul de Kock (1986)
-1 photographie Les ateliers Carimantrant boulevard de la Liberté en 1937 (1937)
-1 photographie L’usine Hemmen 45 rue de Bagnolet vers 1910 (1910’s)
-1 reproduction d’une gravure Vue de l’usine 12 rue de Pantin aux Lilas (sd)
-1 photographie Usine Rosenwald vers 1910 (1910’s)
-1 reproduction d’une gravure Kalker 58 rue de Paris/2 à 16 rue des Bruyères à la veille de la dernière guerre (sd)
-2 photographies Construction du 1er étage Chez Kalker (avant 1914) (1910’s)
-1 photographie Les ouvriers de chez Kalker en 1912 (1912)
-1 photographie Les ouvriers de chez Kalker avant 1914 (1910’s)
1 photographie Sortie des usines Kakler vers 1905 (1905)
-1 photographie Les Ouvriers de chez Kalker (sd)
4/ Employés communaux
Vus en 1891 :
-Cousin Henri 67 ans, garde champetre pour la commune - son fils, Henri Claude, 35 ans, comptable pour la commune
-Colombier Evariste, 54 ans, appariteur - sa femme Grosmaire Catherine, 53 ans, concierge de la Mairie
-Corlouer François Marie, 32 ans, receveur d’octroi (L’octroi était un impôt local indirect perçu par les municipalités. C’était un prélèvement sur la valeur des marchandises les plus importantes telle que le vin, l’huile, le sucre ou encore le café par exemple. L’octroi avait aussi pour fonction de contrôler les marchandises et ainsi d’éviter la contrebande. L’octroi désigne aussi bien l’impôt que l’administration chargée de prélever cette taxe. Le surveillant d’octroi était donc celui qui percevait cet impôt pour la municipalité. Il travaillait dans des bureaux d’octroi, bâtiments placés de manière stratégique sur le territoire. Ces bureaux cernaient la ville, créant des portes d’entrée à franchir, à l’image d’un péage aujourd’hui. Bien souvent, les bureaux étaient situés au rez-de-chaussée et le surveillant était logé à l’étage du bâtiment. Il y en 3 aux Lilas + + +L’octroi est supprimé en 1943, supprimant ainsi le métier de surveillant d’octroi.)
Vus en 1936 :
-Morvillers René né en 1904 (Seine), employé d’octroi Porte des Lilas – 4 rue du Bois
Vus dans la SERIE K - Registre salaire 1945 :
-Lelarge Raymonde, entrée à la Mairie le 01/12/1937 : commis
-Perrel Anatole, entrée à la mairie le 29/07/1930 : chef cantonnier
-Dupont Jules, entrée à la mairie 01/06/1930 : cantonnier = au total 8 cantonniers à cette époque : En France, la voirie s’organise à partir du XVIIIème siècle et distingue deux catégories de routes : les routes royales ou nationales et départementales, gérées par les ingénieurs des Ponts-et-Chaussées (rattachés au ministère des Travaux publics) et les chemins vicinaux, gérés par le service vicinal des mairies. Les chemins vicinaux sont des chemins publics qui relient les bourgs entre eux ou les hameaux à leur centre. Ils appartiennent aux villes qu’ils traversent et sont donc à leur charge, sous l’autorité du maire. Les cantonniers vicinaux étaient les agents qui s’occupaient de l’entretien de ces routes. Ce métier a disparu en 1940, lorsque les services vicinaux ont été rattachés au service des Ponts-et-Chaussées.
-professeur de chant + professeur de dessin + professeur de gymnastique + professeur de sténodactylo (Mme Andrée Douchet) + professeur d’enseignement ménager (Mme Lucienne Dorand) + professeur de couture (Mme Simone Dunel) : En France, l’enseignement ménager émerge dans les années 1880, mais ce n’est que vers 1900 que des professeures qualifiées sont formées. Il est dispensé dans les écoles primaires et les primaires supérieures de filles, mais aussi dans des écoles spécialisées. A partir de 1925, se développe en parallèle les « arts ménagers ». De nombreux salons sont organisés afin d’exposer les nouveaux outils ménagers. Entre 1930 et 1940, les textes du Front populaire renforcent l’enseignement ménager des filles à l’école pour les préparer au « métier » de ménagère et à la maternité. Sous le gouvernement de Vichy, l’idéologie de la mère au foyer devient une « affaire d’Etat ». Cet enseignement devient obligatoire à la fois dans les écoles publiques et les écoles privées. Cette obligation est reconduite après la Libération, dans une France nataliste, soucieuse de la reconstruction. Les années 1950 sont l’âge d’or de l’enseignement ménager. Il est défendu par les femmes au niveau international. Puis, au début des années 1960, il périclite peu à peu en raison de la mixité grandissante des écoles.
-Employée de bureau dactylographe
Pour illustrer :
3J23
-1 liste écrite à la main des dépenses engagées en 1899 pour rétribuer le personnel communal (sd)
-1 photographie du cantonnier M. Kubické (1912)
-1 photographie des allumeurs de réverbères (sd)
-1 photographie d’un agent de voirie (sd)
1fi30
19 - Les Lilas rue de Bagnolet
1906
Octroi
1fi351
11 - Octroi des Lilas et de Bagnolet rue de Noisy
1908
Octroi, Usine Fabrique de…, Restaurant
1fi572
Les Lilas Porte des Lilas
sd
Octroi, voiture
5/ Termes désuets
Vus en 1891 :
-Lacour Joseph, 43 ans, publiciste, 47 rue de Romainville
-Brest Joseph, 62 ans, domestique et Maria Zélie Brosseri, 60 ans, bonne à tout faire – tous les deux chez Lambin d’Anglemont, homme de lettres au 35 avenue du rondpoint -> persistance des domestiques encore e, 1936 chez les médecins, avocats, ingénieurs Ponts et chaussées
Vus en 1936 :
-Kubické Pierre, né en 1877 (Seine), employé aux écritures, 28 rue Bernard
-Beaumont René, né en 1892 (Seine Inférieur), camelot sur les marchés, 29 rue du coq français
-Jamois Jules, né en 1889 (Sarthe), voyageur de commercial – ancêtre de représentant de commerce/commercial, 11 rue de l’est
-Le Bailly Blanche née en 1901 (Seine), téléphoniste, 9 rue de l’est
-DOUCE Félix, né en 1918 (Seine), télégraphiste aux PTT, 17 cité jardins (vus dans le même genre : « postiers des PTT », « Receveur PTT »)
-filles de salle -> serveuse
6/ Métiers insolites
Vus en 1891 :
-Marlier Désiré, 38 ans, homme de peine, 20 rue du 14 Juillet
-Mangon Marie, 42 ans, sagefemme, 8 passage de l’ancienne église
Liste électorale 1892 :
-MARCELLE Georges, né en 1871 à Paris, côtier d’omnibus, 12 rue Meissonnier
Liste électorale 1914 :
-GIRAUD Charles Emile, né en 1874 à Paris, cocher, 12 rue Bernard – vu aussi « cocher livreur » jusqu’en 1936
Vus en 1936 :
-Coudurier Marie, née en 1862 dans la Meuse, sagefemme 4 boulevard de la liberté
Pour illustrer :
1fi5
2290 - Les Lilas La rue de l'Avenir
sd
M. Coudurier Sage Femme au 15 rue de l'Avenir, Quincaillerie
1fi15
14 - Les Lilas rue de l'Avenir prise de la rue de Paris
sd
M. Coudurier Sage Femme, Quincaillerie
1fi17
9 - Les Lilas rue de l'Avenir
sd
M. Coudurier Sage Femme, Quincaillerie
1fi594
35 - Les Lilas rue du 14 juillet
1918
Sage femme Coudurier
-Troquard Germaine, née en 1915 (Seine et Marne), mannequin, 18 rue de l’avenir
-COMBROUZE Charles (né en 1921), groom, 1 cité jardins
-Gatinois Raymond (né en 1907 dans la Sarthe) est boulanger à la boulanger La Fraternelle aux Lilas – sa femme Georgette Navarre (née en 1910 (Yonne) est « porteuse de pain » pour la même boulangerie, 23 rue cité jardins
Série 2F1 :
-Usine KOPLEVITCH (28 boulevard de la Liberté) : Elevage de volailles pratiqué dans les caves de l’immeuble, plaintes voisinage (1933)
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