Ces champions médaillés qui ont donné leur nom à nos équipements sportifs - racines du 93

Histoire des lieux et de celles et ceux qui leurs ont donné leur nom :

Gymnase Ostermeyer, Piscine Mulinghausen, Salles de lutte Kouyos-Liamis et d'escrime dOriola


les sports= huret p318, histoire du terrain, gymnase inaug 1986, jj salles 1971 en charge de l'office de sports


INTERVIEWS Todo:

  • sylvie salle/jean jacques salles: ancien cons mpal sports, puis maire

  • lionel benharous: ancien cons mpal sports, puis maire actuel

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DIFFUSION

journal du 93 + est ensemble


INTRO

Paris et la seine-saint-denis organisent les jo 2024

Mais, aux Lilas aujourd'hui, qui sont ces champions médaillés dont les établissements sportifs portent le nom?


STRUCTURE

4 chapitres= la carrière de chaque sportif, puis une brève sur l'établissement

ATHLETISME

Micheline OSTERMEYER 1922-2001

arbre familial

sur la carte

wiki

livre entre obre et lumiere

les-nuits-de-france-culture/micheline-ostermeyer

olympics.com/fr/infos/micheline-ostermeyer-athletisme

docplayer.fr/1215173-A-nos-olympiques-le-pas-de-calais-les-j-o-www-echo62-com-n-3-janvier-2012-issn-1254-5171-p-18-19.html page9

nom ostermeyer = dcm 491 07/10/1996

inauguration floréal echo des lilas nov 1986 n°246 p6


Micheline Ostermeyer, épouse Ghazarian, est une athlète et une pianiste française. Lors des Jeux olympiques de 1948, à Londres, elle décroche 3 médailles, l'or au lancer du poids et au lancer du disque et le bronze au saut en hauteur. Médaillée à 3 reprises lors des championnats d'Europe, elle remporte douze titres de championne de France, dans six disciplines différentes. °1922 +2001


Enfance et formation

Micheline Ostermeyer, née le 23 décembre 1922 à Rang-du-Fliers, est la fille de Henri qui occupe plusieurs fonctions, directeur d'un centre d'Orphelins au Touquet, professeur puis ingénieur à la Société des Potasses d'Alsace. Sa mère, Odette, est professeur de piano et son grand-père maternel, Lucien Laroche, est le fondateur du conservatoire de Vannes.

Micheline Ostermeyer hérite de son côté paternel, adepte de gymnastique suédoise, son goût du sport, avec notamment l'opposition avec les garçons de son âge]. De son côté maternel, elle hérite de la passion du piano, que sa mère commence à faire pratiquer dès l'âge de quatre ans, et que son grand-père la fait se produire en public à l'âge de huit ans.

Elle passe sa jeunesse en Tunisie où sa famille s'installe en 1929, alors protectorat français], où elle apprend le piano. Vu ses capacités, elle revient en France et entre au Conservatoire avec l'aide de Lazare-Lévy.

Durant la Seconde Guerre mondiale, elle retourne en Tunisie où, grâce à son père, elle découvre le sport, pratiquant le basket-ball et l'athlétisme. Dès la fin de la guerre, elle revient à Paris, obtenant le premier prix de piano au Conservatoire le 13 juillet 1946 (« Je consacre cinq heures par jour au piano et cinq heures par… semaine au sport ! »)[4] et devient concertiste.

Carrière sportive

Ostermeyer, vivant alors à Tunis, qui vient d'obtenir son baccalauréat en juin 1941, dispute les championnats du Tunisie où elle remporte le 60 m, les concours de saut en longueur et saut en hauteur, les lancers du disque et du poids. À son retour de Tunis elle se rend à la Fédération française d'athlétisme où, malgré les sourires devant ses récits de ses performances, notamment de sa pratique combinée du lancer du poids et du saut en longueur[3], elle obtient la possibilité d'intégrer un groupe d'entraînement au stade des vallées. En 1946, elle dispute les championnats de France à Bordeaux où elle remporte les titres du saut en hauteur et du poids, établissant un record de France dans cette discipline[3]. Elle participe aux championnats d'Europe d'Oslo où les concours du poids et du saut en longueur se déroulent en même temps. Cinquième avec 1,57 m du saut en hauteur remporté par sa compatriote Anne-Marie Colchen avec 1,60 m, elle remporte la médaille d'argent du poids avec 12,84 m, derrière la Soviétique Tatyana Sevryukova.

Elle participe aux Championnats du monde universitaires de 1947 (médaille d'or en saut en hauteur et en lancer du poids) et aux Jeux de Londres en 1948 où elle remporte deux titres olympiques au lancer du poids et au lancer du disque, et une médaille de bronze au saut en hauteur, tout en donnant un concert le soir de sa victoire au lancer du poids. Elle est la première athlète française championne olympique, mais a été dépassée par la suite par les quatre titres de Fanny Blankers-Koen.

Au disque, discipline qu'elle découvre seulement trois semaines avant les Jeux, elle progresse d'un mètre à chaque essai, pour terminer avec un lancer à 41,92 m pour devancer au dernier essai l'Italienne Edera Cordiale qui menait le concours et la Française Jacqueline Mazéas. Cinq jours plus tard, elle dispute le lancer du poids, discipline où elle détient la deuxième performance mondiale de l'année derrière Tatyana Sevryukova, absente du fait de la non affiliation de son pays au CIO. Dès son premier essai, elle lance le poids à 13,75 m. Elle devance l'Italienne Amelia Piccinini qui réalise 13,09 m. Malgré plusieurs essais autour de 13,60 m, Ostermeyer ne bat pas sa performance initiale mais remporte son deuxième titre olympique. Le saut en hauteur est la dernière épreuve d'athlétisme des Jeux. En franchissant 1,61 m, un nouveau record de France, elle figure parmi les trois dernières concurrentes du concours. Elle échoue à 1,65 m et remporte la médaille de bronze, derrière l'Américaine Alice Coachman, championne olympique, et la Britannique Dorothy Tyler, toutes deux franchissant 1,68 m.

Athlète complète, elle remporte douze titres de championne de France dans six disciplines différentes, que ce soit dans des courses, lancers ou sauts (60 m, 80 m, haies, 4 × 100 m, hauteur, poids, disque et pentathlon) et elle bat dix-neuf records de France (un au 80 m haies, un en hauteur, dix au poids, quatre au disque et trois au pentathlon).

Elle remporte deux nouvelles médailles de bronze aux championnats d'Europe de Bruxelles (80 mètres haies et lancer du poids) en 1950, après ses médailles d'argent sur 100 m et au poids gagnées en 1946.

Des blessures perturbent sa carrière. D'abord au plateau tibial, blessure occasionnée lors des championnats de France de pentathlon, en juillet 1950, blessure qui l'a conduite à déclarer forfait lors des épreuves du pentathlon et du saut en hauteur des championnats d'Europe de Bruxelles[11]. En mai 1951, elle se fait un claquage à la cuisse gauche dans une compétition à Paris[12]. Elle participe toutefois au concours de poids le mois suivant au Mans. En juillet, lors des championnats de France à Colombes, elle est devancée par Paulette Veste. Elle dispute encore un France-Italie à Gênes. Un médecin découvre une déformation de la colonne vertébrale[13]. Elle doit alors arrêter la compétition sportive. Elle ne compte seulement neuf sélections en équipe de France A de 1946 à 1951 (elle sera également licenciée au Stade français en fin de carrière).

Alors qu'elle vit au Liban où elle s'est mariée à Beyrouth en octobre 1952, elle remporte avec le club de la Société sportive arménienne le titre de championne d'Afrique du Nord et du Liban en basket-ball en 1953. Elle évolue au poste de pivot[14].


Carrière musicale

Ostermeyer effectue son premier concert à Tunis le 12 juin 1935, à l'âge de douze ans. Après l'obtention du premier prix de piano au Conservatoire le 13 juillet 1946, elle prépare en 1947 le concours international de piano de Genève, où elle se classe quatrième parmi 900 concurrentes. Elle mène alors la musique et l'athlétisme en parallèle. Son problème de colonne vertébrale, qui la contraint à porter de nombreux mois un corset, ne l'empêche pas de continuer son « métier de concertiste, sa vraie vie ». Au retour du Liban, en 1954, dans l'attente de la naturalisation de son mari, ce qui retarde ses études et ses possibilités de carrière, elle doit subvenir aux ressources de sa famille en enchainant les concerts. Pour avoir un salaire fixe, elle prend un rôle de professeur de solfège au conservatoire de Lorient, poste qu'elle occupe pendant huit ans. Après la mort de son mari en 1965, par cancer du pancréas, elle part enseigner au conservatoire de Saint-Germain-en-Laye où elle enseigne pendant douze ans.

Elle passe les dernières années de sa vie à Grémonville (Seine-Maritime).

André Halphen l'a décrit au printemps 2003 : « Douce, paisible, effacée, à l'opposé de toutes celles qui jouent les stars après avoir gagné un titre ou deux ».

Elle était la petite cousine de la journaliste québécoise Jocelyne Cazin, née à Vire dans le Calvados en 1950.


Hommages

Elle est immortalisée dans le geste du lancer du disque dans une statue de bronze de Jacques Gestalder érigée à l'INSEP.

Trophée Micheline Ostermeyer

Trois ans après sa mort, en 2004, est créé le Trophée Micheline Ostermeyer. Il est attribué chaque année par l'association Club INSEP Alumni à un sportif ou une sportive de haut niveau dont le parcours, comme celui de Micheline, s'inscrit dans une double réussite sportive et autre. Le trophée est une petite réplique de la statue de bronze sculptée par Jacques Gestalder, représentant Micheline lançant le disque, et érigée en bordure du stade d'athlétisme Gilbert-Omnès de l'INSEP.

Liste des lauréats

2004 : Michel Jazy (athlète)

2005 : Yannick Noah (tennisman)

2006 : Isabelle Autissier (navigatrice)

2007 : Annie Famose (skieuse)

2008 : Alain Calmat (patineur artistique)

2009 : Stéphan Caron (nageur) ...


GYMNASE

Gymnase Micheline Ostermeyer - gymnase sur la carte Rd93 gymnase=1996 (Salles 1983-2001)

Architecte(s): TAILLIBERT Roger

Date de construction: 1996

Gymnase 15 rue Paul Langevin. Construit en sous-niveau de la cour de récréation/terrain de sport de l'école mitoyenne et inauguré en 1966. Il est utilisé tant par les écoliers de Paul Langevin que par les lycéens de Paul Robert.

NATATION

quid de Raymond MULINGHAUSEN 1920-2009

wiki

sur la carte

arbre familial rd93

dcm 384 30/04/1971 achat terrain204 r de romainville

diagnostic patrimoine lilas 2005 p181 piscine


Raymond Mulinghausen: Champion de plongeon multi-médaillé (6 titres au tremplin, 14 en haut-vol) et athlète absolu (boxe, football, water-polo), juge international aux JO de 1976-80-84-88, organisateur né et statisticien, vice-pdt bénévole à la Fédé Fr. de Natation. 1920-2009


Champion Amateur et athlète absolu par sa polyvalence (boxe, football, plongeon) et ses performances, Raymond Mulinghausen refusa les avances professionnelles de l'AS Monaco pour conserver son statut amateur de plongeon. Longtemps athlète le plus titré de France (20 fois champion de France), potentiel champion olympique aux Jeux olympiques de Tokyo, annulés par la Seconde Guerre mondiale, années de forme pleine et entière.

Il compensa en s'engageant dans les Pompiers de Paris pour échapper au STO (Service du travail obligatoire). Il y demeura 5 ans, multiplia les actes de bravoure, et fut cité à l'ordre du Régiment à la Libération.

Du championnat d'Angleterre en 1946 aux premiers Jeux méditerranéens à Alexandrie en 1951, il rafla tous les titres aériens, sur son passage. Blessé au pectoral gauche à Monaco en 1947, il prit malgré une douleur lancinante la 5e part aux Jeux olympiques d'été de 1948 à Londres.

C'était l'âge d'or du plongeon français, jamais égalé à ce jour, avec son trio star Nicole Péllissard, Raymond Mulinghausen et Mady Moreau, qu'il entraîna jusqu'à ce qu'elle obtînt le titre de vice-championne olympique aux Jeux olympiques d'Helsinki en 1952.

Proposé par le Comité national olympique et sportif français comme juge olympique aux Jeux olympiques de Montréal en 1976, il fut rappelé par la Fédération internationale de natation en tant que meilleur juge international aux Jeux de Moscou en 1980, jeux de Los Angeles en 1984, jeux de Séoul en 1988. Il « descendit de son échelle » avant les Jeux de Barcelone en 1992 en disant « Place aux jeunes ».

Organisateur né et statisticien, il servit en bénévole la Fédération française de natation, au sein de la commission fédérale de plongeon et de la commission fédérale de water-polo dont il fut vice-président.


PISCINE

Piscine tournesol (Piscine Raymond Mulinghausen) - piscine sur la carte Rd93 piscine=1976 + 1981-82 (Rabeyrolles 1959-83)

Architecte(s): SCHOELLER Bernard

Date de construction: 1976


Piscine: Construite en 1976, incendiée en 1981, reconstruite en 1982. Partie du centre sportif Floréal.

Identifiable à sa coupole jaune, la piscine Tournesol des Lilas est emblématique de cette architecture de la croissance qui a marqué les esprits de nombreuses générations. Elle est le résultat de la volonté de l’État de promouvoir l’industrialisation et la production en série pour en baisser le coût et pour favoriser l’apprentissage de la natation pour le plus grand nombre. Bernard Schoeller, son architecte, remporta les premiers prix des deux concours lancés en 1969 par le Secrétariat d’État chargé de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs. S’inscrivant dans l’opération "1000 piscines", elle fut tout d’abord édifiée à titre de prototype à Nangis (Seine-et-Marne) en 1972 avant d’être commercialisée. Avec celle de Bondy, elle est la seconde piscine Tournesol construite dans le département de la Seine-Saint-Denis et l’une des 7 issues de l’opération "1000 piscines", qui comprenait également les modèles Caneton, Iris, Plein-Ciel et Plein-Soleil.

Le Secrétariat d’État destinait ces piscines à de petites agglomérations, comme l’était à l’époque la Ville des Lilas avec ses 20 000 habitants. De plus, bénéficiant d’une subvention de 50% et conçue avec une partie mobile afin de convenir hiver comme été, elle répondait aux besoins d’une population large et aux finances de cette commune de banlieue. Le terrain qui lui est attribué, de forme triangulaire, est situé au sud-est de la ville, à proximité de l’ensemble de logements de la cité des Sentes, sorti de terre quelques années auparavant. C’est en effet en 1976 que la piscine des Lilas, qui sera rebaptisée quelques années plus tard du nom du champion de France de plongeon Raymond Mulinghausen, est construite. Victime d’un incendie 6 ans plus tard, la municipalité fait le choix de la reconstruire à l’identique en récupérant des éléments d’autres piscines Tournesol abandonnées comme par exemple la charpente métallique de la piscine de Contes dans les Alpes-Maritimes" . Entre 1972 et 1982, ce sont en effet 183 modèles Tournesol qui ont été réalisés en France. La municipalité fit à nouveau appel à son concepteur, Bernard Schoeller, dont le cabinet était toujours en activité, pour l’aider dans ce projet.

A l’exception d’un petit local abritant les installations techniques, l’ensemble des éléments du programme est regroupé à l’intérieur de la piscine. D’un diamètre de 35 m au sol, elle comprend le bassin de 25 x 10 m, et les annexes (blocs-eau, vestiaires, hall d’entrée ...) mais permet aussi, grâce à l’ouverture mobile de sa paroi sur 120°, d’accéder à une plage extérieure. En effet, la piscine est couverte d’une coupole autoporteuse composée d’une charpente métallique de 36 arcs comportant une structure tridimensionnelle en treillis soudés mise au point par l’ingénieur Thémis Constandinis. Cette structure est recouverte de tuiles en plastique inaltérables que l’architecte étudie avec Matra-Plastique, produites selon des couleurs différentes, elles laissaient la possibilité aux municipalités de choisir parmi 6 coloris. Afin d’apporter une lumière naturelle dans l’ensemble du bâtiment, la coupole est percée de hublots, donnant à cette piscine encore aujourd’hui cette image si caractéristique de coquille d’oursin ou de soucoupe volante. A l’intérieur, les équipements, conçus également en plastique mais cette fois de couleur bleue et blanche, contribuent à rappeler l’imaginaire de cette culture pop, des loisirs et d’un accès au plus grand nombre. L’industrialisation des composants de ce modèle dont 85% furent fabriqués en usine (charpente, vestiaires, cloisons, couverture et équipements) explique son succès. La reconstruction à l’identique en 1982 atteste des possibilités de réutilisation des éléments constructifs et offre à ce titre des perspectives intéressantes.



ESCRIME

quid de Christian d'ORIOLA 1928-2007 -


wiki

arbre familial geneastar

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Christian d'Oriola: Escrimeur français, multi-médaillé, au fleuret individuel ou par équipe, aux Jeux Olympiques et aux Championnats du monde de 1947 à 1958. Surnommé d'Artagnan. °1928 +2007


Christian d'Oriola (1928-2007), escrimeur, double champion olympique au fleuret en 1952 et en 1956. Né à Perpignan, il compte 7 titres de champion du monde dont 4 individuels (1947, 1949, 1953, 1954) et 3 par équipes (1947, 1951, 1953). Favori des jeux Olympiques de Londres, en 1948, à la faveur du titre mondial décroché l’année précédente à l’âge de 19 ans, il cède en finale devant son coéquipier Buhan avec qui il obtient toutefois le titre par équipes. Quatre ans plus tard, il remporte l’or en individuel et par équipes lors des Jeux d’Helsinki. Il n’a à l’époque aucun rival, mais le passage au fleuret électrique, auquel il est farouchement opposé, hypothèque la suite de sa carrière. Pendant 2 ans, avant les Jeux de 1956, il travaille d’arrache-pied pour se familiariser à ce nouveau procédé et parvient à conserver son titre, portant à 4 le nombre de ses médailles d’or olympiques. 10 fois champion de France, il a achevé sa carrière sur une décevante septième place aux Jeux de Rome en 1960. Christian d’Oriola est le cousin de Pierre Jonquère d’Oriola, double champion olympique d’équitation.


X 16.6.1971 Kate Delbarre wiki Kate Delbarre-d'Oriola, née Catherine Delbarre le 8 juin 1925, est une escrimeuse française. Elle est connue pendant sa carrière comme Kate Bernheim, du nom de son premier mari. Conseillère juridique, formée et licenciée au F.C. Mulhouse1.

En fleuret, elle remporte quatre médailles d'argent et deux médailles de bronze par équipe lors des championnats du monde d'escrime de 1952, 1953, 1954, 1955, 1956 et 1958. Elle participe aux Jeux olympiques de 1956, dont elle est 5e à titre individuel, et de 1960. Elle est également championne de France en 1961.

En 1971, elle se remarie avec le célèbre champion d'escrime français Christian d'Oriola4. Elle est capitaine de l'équipe de France féminine de fleuret dans les années 1970, avec laquelle elle remporte une médaille d'argent aux Jeux olympiques de 1976 puis une médaille d'or aux Jeux de 1980.

SALLE d'ARME

Salle Christian d'Oriola salle d'arme sur la carte Rd93 salle=1983 (Rabeyrolles 1959-83)

Date de construction: 1983


Salle d'Arme: inaugurée en 1983, escrime, karaté, yoga et sports scolaires, partie du centre sportif Floréal

LUTTE

Charles KOUYOS-LIAMIS, 1928-1994

geneanet TODO

médaille de bronze aux Jeux olympiques en lutte libre et gréco-romaine (1948)

h276 Voici quelques autres champions lilasiens, après la dernière guerre : Le catcheur Lefèvre, le lutteur Combrouze, le boxeur Saboudjian, Charles Kouyos, médaille de bronze aux Jeux olympiques en lutte libre et gréco-romaine (1948), Guy Collignon, plusieurs fois champion de France entre 1965 et 1972, Marc Elckoudt, trois fois champion de France 1975-1976 et le judoka Michel Rabut, champion d'Europe en 1962...

arbre familial rd93

wiki

sur la carte

challenge mitry mory

enseignement de la lutte livre 1984


Charles Kouyos: Lutteur français, médaillé de bronze aux Jeux olympiques de Londres en 1948. Technicien à la FFL, démonstrateur à l'Insep de Vincennes, entraîneur des appelés du contingent au bataillon de Joinville. °1928 +1994

Charles Kouyos est médaillé de bronze olympique lors des Jeux olympiques d'été de 1948 à Londres.

Kouyos est aussi présent aux Jeux d'Helsinki en 1952 en lutte libre, mais il déclare forfait.

Il est pendant de nombreuses années l'un des techniciens en vue de la Fédération française de lutte (FFL). Il fut démonstrateur à l'Institut National des Sports de Vincennes et participe à ce titre à de nombreux stages nationaux. Il se voit ensuite confier l'entraînement des sportifs qualifiés de la section de lutte olympique des appelés du contingent au Bataillon de Joinville. À ce titre il assure notamment la période de transition lorsque le Bataillon de Joinville quitte la Redoute de Gravelle pour rejoindre son affectation à Fontainebleau en 1967, lors de la fondation de l'EISBJ (Ecole Interarmées des Sports & Bataillon de Joinville)



SALLE de LUTTE

Salle Charles Kouyos - salle sur la carte Rd93 salle=1983 (Rabeyrolles 1959-83)


Salle de lutte romaine: inaugurée en 1983, lutte, culture physique, sports scolaires, partie du centre sportif Floréal