Q2   rue  ESTHER CUVIER   °1820  +1894   arbre Cuvier-Lecomte   marqueur=137677   histoire   h50 61 189   voie 05/09/1898   nom 05/09/1898

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La RUE ESTHER CUVIER présente la particularité de bifurquer à angle droit en son milieu. Rien d'étonnant donc à ce qu'elle se soit d'abord appelée rue de l'ÉQUERRE.  

On la rebaptisa pourtant le 05/09/1898, pour rendre hommage à la Veuve CUVIER, née LECOMTE, décédée quatre ans plus tôt (°1820 +1894). Selon le voeu de son défunt mari, propriétaire et ancien huissier, elle avait laissé la somme de 20.000 Francs Or en faveur de la construction d'une maison de retraite intercommunale, le futur Hospice de la Seigneurie à Pantin. Dans ses dernières années, le couple habitait au 5 Cité Saint-Germain aux Lilas. Esther était pourtant née dans l'ancien village de Belleville et le couple habitait auparavant le 19° arrondissement parisien. Le caveau familial des LECOMTE y étant, ils avaient donc choisi de reposer au cimetière de Belleville, voisin de l'ancien télégraphe. Cheminant dans le temps rue Esther CUVIER, on aurait pu trouver au n°6 une ancienne Graineterie, au n°13 l'ancienne maison du chanteur Chanteur rock-raï-chaâbi Rachid TAHA 1958-2018 ou au n°14 le tout premier Centre culturel et artistique municipal de la commune des Lilas en 1969-1988.

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bienfaitrice

Cette voie, auparavant dénommée rue de "l'Equerre", prit son nouveau nom de rue "Esther Cuvier" le 05/09/1898

A la mort de son mari (25aout1891), Esther Cuvier avait laissé à la ville un montant de 20.000 Francs-Or, suivant ainsi ses dernières volontés.

la rue Esther Cuvier et la rue d'Anglemont ont pris en 1898 le nom de deux donateurs en faveur de la construction de l'Hospice de la Seigneurie à Pantin (maison de retraite intercommunale), grâce à des legs testamentaires

Équerre (chemin, puis rue de l' —› rue Esther Cuvier) - A cause de sa configuration, ligne brisée à angle droit. Veuve du propriétaire Adolphe Cuvier, Esther exécute le testament de son mari en dormant une somme de 20 000 francs à l'hospice intercommunal de Pantin.

Q5   rue LECOUTEUX   °1801 +1860   arbre Lecouteux-Lecouteux   marqueur=29761   histoire   h63 124   voie= 1860?

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RUE LECOUTEUX, au milieu d'anciennes maisons fleuries, on voit encore le pavé affleurer sous le bitume. Cette ancienne voie tient son nom de Claude Alexandre LECOUTEUX (1801-1860) propriétaire dans cette ex partie de Romainville. A son époque, on s'intéressait encore peu aux premiers habitants installés là, si loin du centre. Les pionniers et leurs enfant avaient pourtant bien besoin d'une école. Claude Alexandre décida d'offrir une maison au n°1 rue de Bagnolet et l'on put alors commencer à enseigner à l'École du Bois. 

On sait que les LECOUTEUX étaient issus d'une des plus anciennes familles du plateau, au même titre que les DARGENT, GRAINDORGE ou DORY. En 1681, naissait déjà à Romainville un Louis LECOUTEUX, futur vigneron. Et notre Claude Alexandre avait épousé une autre LECOUTEUX, Marie Thérèse, cultivateur comme lui-même. Guère étonnant donc de les retrouver propriétaires de nombreuses parcelles sur notre sol lilasien. Pour l'anecdote, la voie était d'abord privée. Mais, défoncée par le roulage pendant les travaux du tramway, sa remise en état fut prise en charge par la commune. Notons qu'elle était alors deux fois plus longue que la ruelle que nous connaissons. Avant que le boulevard de la Liberté ne soit percé et reprenne une partie de son parcours en 1911, elle menait en effet jusqu'à l'actuelle avenue du Maréchal Juin. Sur son parcours, on aurait pu croiser : au n°2 le maréchal-ferrant PETITDIDIER à l'ancien relais de poste, au n°17 THOMAS-ANQUETIL, capitaine de la Compagnie des Francs-tireurs des Lilas durant le siège de Paris de 1870, ou encore les ROZIERE dont la propriété et l'usine donnaient sur le bout de l'ancienne rue LECOUTEUX.   

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propriétaire, bienfaiteur

la rue Lecouteux tient son nom de Claude Alexandre Lecouteux qui a offert une maison au 1 rue de Bagnolet, afin d'y établir l'École du Bois

Lecouteux (rue) - Claude Alexandre Lecouteux, propriétaire dans le secteur, offrit une maison, 1, rue de Bagnolet, pour qu'on y fonde l'école du Bois. La rue Lecouteux donnait rue de Bagnolet à peu près à la jonction actuelle du boulevard de la Liberté avec cette rue de Bagnolet.

am vavon

05/03/1896   689   Remise en état des rues Léon et Lecouteux (voies privées) : défoncées par le roulage pendant les travaux du tramway : prise en charge par la commune

14/04/1899   1309   Rues Lecouteux et Léon, passage Rouget de l'Isle : obligation aux propriétaires de nettoyer ces voies 

-la rue existait déjà en 1860

Q5   imp MARIUS   °1909 +1942     arbre Llabourt (Marius)-Leblond   maitron   marqueur=30856   histoire   patrim93   h63   voie/nom=1875??

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L'IMPASSE  MARIUS est une voie privée, donnant sur le n°32 de la rue de Romainville. L'entrée close par un portail métallique est quasi confidentielle. Son caractère intime est accentué par la traversée de petits jardinets, avant de passer par dessous l'alignement de maisons à deux étages et de poursuivre à l'arrière de la parcelle.

On peut raisonnablement avancer que le nom de MARIUS utilisé pour cette voie est le nom de guerre du résistant Marcel LLABOURT.  Né en 1909 dans les Pyrénées-Orientales, il était "monté à Paris" avec ses parents pour s'établir hotelier-cafetier au Pré-Saint-Gervais. C'est là, en septembre 1941, qu'il fit la connaissance du Lilasien Lucien NOËL, employé du métropolitain, chef de la station Pelleport.  L'homme se présenta à lui comme un représentant de "la France libre" du général de Gaulle, en France occupée. Il ui remit une carte d’adhésion. D’autres rendez-vous eurent lieu où il fut question d’armes. Mais l’organisation naissante fut bientôt infiltrée par un indicateur des Renseignements Généraux. MARIUS fut arrété en octobre avec six autres membres du groupe, interrogé, jugé et exécuté au Mont Valérien en janvier 1942. Son nom y est gravé sur la cloche-mémorial. Marié avec la couturière Marcelle LEBLOND, il  laissait derrière lui deux enfants de 5 et 7 ans.   

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Marius:  Ancien propriétaire 

Voie: cul de sac, fermé par porte grille, au 32 r de romainville

La particularité de l’impasse Marius est de démarrer sous des immeubles, en retrait de la rue de Romainville, à l’arrière de jardins. Cette entrée, quasi confidentielle, accentue son caractère intime. Très étroit, il bénéficie cependant de l’implantation en retrait des maisons et des clôtures grillagées qui permettent des ouvertures visuelles sur les jardinets. Les maisonnettes généralement bien entretenues ont un à trois niveaux. Les travaux de rénovation ont apporté de nouveaux matériaux, le bois et le métal, sur des façades jusque-là revêtues d’enduits. Cependant la couleur, rouge, bleue des crépis était déjà présente

am vavon

-pas de délibérations

-Liste Electorale 1870 : Camille MARIUS, né en 1839 à Lyon, mécanicien, 1 rue de Romainville -> peu probable…

-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.

sgo

arrêté en même temps que lucien noël, même réseau, exécuté mont valérien

habitait le pré st gervais, 0 lien découvert aux lilas avec l'impasse marius

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Q5   imp PELLETIER   °1817 +1877   arbre Pelletier-Derwy   marqueur=30887   histoire   h63  

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L'IMPASSE  PELLETIER  porte le nom du Lilasien Auguste Nicolas PELTIER, propriétaire d'une maison au bout d'une looongue bande de terrain qui relie le 176 rue de Paris à la rue Lecouteux (n°47 de l'actuel boulevard de la Liberté). Longeant sur une soixantaine de mètres nord-sud le fond de l'ancienne propriété de l'industriel ROZIÈRE, elle menait jusqu'à leur maison, située tout au bout.  

Auguste PELTIER avait vu le jour en 1817 à la Fère, dans l'Aisne, tandis que son épouse Barbe DERWY était née en 1810 à Altsheim, pas loin de Völklingen, la cité jumélée avec les Lilas dans l'Allemagne d'aujourd'hui. La jeune Barbe était pourtant française de naissance, puisque sous Napoléon 1er, on était là dans le départemlent n°100 dde l'Empire, celui de Mont Tonnerre. 

Lui fabriquait des cadres qu'il commercialisait à Paris dans son échoppe du 37 rue Galande, tout près du plus vieil arbre de Paris -un robinier- en face de Notre Dame. On peut lui reconnaître d'avoir été un Lilasien de la 1ère heure, puisque en 1869, il parraina dans notre mairie l'enfant des HERTMANS-LICHT, le tout premier couple marié aux Lilas le 26 octobre 1867 (acte n°1 du 1er registre). Il s'éteignit dans sa maison à l'âge de 60 ans, suivi par son épouse seize années plus tard. L'impase PELLETIET est sur les cartes depuis au moins 1900.

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Pelletier:  Ancien propriétaire 

Voie: impasse fermée par un portail, ouvre au 174-176 rue de Paris. Déjà sur les plans de 1930

am vavon

14/10/1895   616   Admission dans les écoles supérieures : demande Pelletier : vote de la dépense

= « M. Pelletier demeurant 71 rue des écoles »

-Recensement 1896 : au 71 rue des écoles : M. Pelletier Louis Marcel, 34 ans, ébéniste et sa femme Rosalie née Lonne, 39 ans, journalière et leurs trois enfants, Louise Andrée, 14 ans, Marcel, 9 ans et Henriette, 7 ans -> peu probable…

-Liste Electorale 1924 : PELLETIER Henri Edmond Noël né en 1890 à Marseille, mécanicien, 2 passage Ponsard

-LE 1924 : PELLETIER Louis Augustin né en 1879 à Paris, ajusteur mécanicien, 169 rue de Paris

-LE 1924 : PELLETIER Georges Anatole Blaise né en 1884 à Fleury aux choux, débitant de vin, 10 rue de la République

-> peu probable…

-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.

sgo

sur les plans 1900  1930  1933  1939  1942 ...

auguste nicolas peltier (pelletier) fabricant de cadres à paris5, 37 rue galande (à 2 pas du square medieval rené viviani, +vieil arbre de paris, face à nd de paris= robinier de 424ans (°) 

parrain du 1er enfant du 1er couple marié aux lilas, les hertmans-licht le 26/10/167

avec  sa femme barbe derwy née en sarre, habitait 21 rue lecouteux= parcelle en bout de l'impasse peltier, donnant actuellt sur le 47 bd de la liberté, à gauche du resto namasté-himalaya

après son décès 1877 sa femme s'est remariée avec frederic danjou, 

disparus de la circulation en 1891 (après recenst + avis de disparition)

Q5   imp WEYMILLER   °.... +....   arbre veymiller-batut   marqueur=30885   histoire   huret    h50 67 93 118 135 165 208   actesx5??   voie/nom=avant 1867??

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L'ancien passage WEYMILLER est devenu une IMPASSE, voie privée accessible par une grille de porte métallique. Clos d'un mur du côté nord (la Poste), il débouche  au sud entre les 41 et 43 de la rue Romain Rolland. Quant à la RUE WEYMILLER reliant la rue de Paris à l'actuelle rue Romain Rolland, elle changea de nom en 1945, prenant celui de la résistante Raymonde SALEZ, morte en déportation. La rue et le passage étaient déjà cités dans les délibérations du conseil municipal de 1881 et figuraient sur les 1ères cartes détaillées des Lilas en 1900. 

Une Mme WEYMILLER fait partie des pétitionnaires ayant demandé la réouverture de la chapelle Saint-Louis-des-Bois en 1858. Elle est également dans la liste des bienfaiteurs des fêtes patronales de 1860-61-62, aux côtés du comte d'Anglemont et de quelques autres. En 1862, elle est propriétaire d'un théâtre au 90 rue de Paris. C'est cette salle de spectacle qui sera louée à la Paroisse (de 1870 à 1887) après de gros travaux, pour que l'office de l'abbé Teulet puisse se dérouler dans un lieu mieux adapté à la commune qui venait de se constituer.

Les rares éléments d'état civil disponibles amènent à identifier cette madame WEYMILLER avec Catherine BATTU, née à Clermond-Ferrand en 1815 et mariée à Martin WEYMILLER, lui-même originaire du Cher en 1810. Dans cette famille, tout le monde ou presque était portefeuilliste, c'est à dire fabricant de portefeuilles et porte-monnaies : son mari, son beau-frère, elle-même, son frère, son fils et son petit-fils. Après le dècès de son mari en 1857, elle épousa un ancien sergent militaire, Henri DUTERTRE, avec lequel elle ne vécut que sept années. Ils se suivirent dans la tombe en l'espace de quatre mois en 1869-70.  

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Huret relevé par sgo

h118 Le cardinal accepte la réouverture et vient bénir la chapelle le 10 novembre 1858, sous le vocable de Saint-Louis des Bois. Parmi les pétitionnaires, on remarque un « fabricant », un cordonnier, deux serruriers, un découpeur en marqueterie... Y figurent notamment Bogelot, Boisgontier, Borrel, Catelle, Clesse, Desvaux 6, Dory, Gille, Gourdon, le cordonnier Dumont, Jacquet, Mayet, Patrelle, Pavard, Petitdidier, Reignard, Sam¬son, Sarazin, Vallet, Léon Voilent, Mme Weymiller... - et Tempestini, qui semble le « leader ». 

h135  Rappelons-nous les occupants du Haut Bois en 1856-1858, les Boisgontier, les Patrelle, puis Ber-nard Gay... Apprenons que figurent, dans la liste des bienfaiteurs de la fête patronale de 1860-61-62, aux côtés de Mme Weymiller et du comte d'Angle-mont, un Meulé, du Pré Saint-Gervais, et les Bagnoletais Souchet et Guilbert. 

h66  Rigal (passage) - A côté de l'ancienne église. Rigal était propriétaire du bâtiment cultuel qui avait appartenu à Mme Weymiller, puis à la veuve Dutertre en tant que salle de théâtre (1869). Disparaît au percement du boulevard de la Liberté.

h67  (passage et rue rue Raymonde Salez) - Mme Weymiller y habitait avant 1867. Un Weymiller était portefeuilliste (brunisseur) et l'autre maçon, à la naissance de notre commune. En 1867, un certain Salez habitait Weymiller Les Lilas, qui était ouvrier maçon, comme Weymiller. Curieusement, c'est à la rue Weymiller qu'on donnera le nom de Raymonde Salez, jeune Lilasienne morte en déportation pendant la dernière guerre.

h93  Vers 1862, Marne exploite un restaurant 141, rue de Paris. Clesse, Dominique, puis Fontane' tiemient des « salles à danser » dans le Bois. Alors, Mme Weymiller est propriétaire d'un théâtre, au 90, rue de Paris.

h138  Quelques opiniâtres construisirent eux-mêmes leurs bicoques, devant lesquelles le philosophe aurait pu inscrire cette devise : « Pauvre, mais libre. » Mais l'opération n'était pas réalisable n'importe où. En effet, en 1900, le prix des terrains varie de 5 francs le mètre carré à la Ferme à 26 francs rue Weymiller, dans le centre, pour atteindre 30 francs dans la nouvelle avenue Pasteur. 

h165  Quelques corporations s'éteignirent faute de clients. Le premier maréchal-ferrant fut Charles Petitdidier, rue Lecouteux (1857). Dix ans après, on note la présence de trois selliers et d'un carrossier. A la fin du siècle, le charron Combat, rue Weymiller, était conseiller municipal. 

h195  Dès 1872, on a songé à bâtir un hôtel de ville digne d'une commune urbaine. On a pensé acheter un terrain nie Weymiller 

h208  En octobre 1872, on acquiert 2 806 mètres carrés rue Weymiller, à 15 francs le mètre. 

h208  Les écoles communales, toutes groupées rue Weymiller avant 1905 (actuellement angle Raymonde Salez-Romain Rolland).

h298  De son côté, l'abbé Boyer avait loué, le 17 décembre 1868, l'ancien théâtre Weymiller au 90, rue de Paris, plus spacieux que la chapelle. 

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propriétaire

habitait 88 r de paris a son décès 23/01/1870= le bloc de maison à l'ouest de la mairie, avec son fils Auguste Paul

mme weymiller habitait passage weymiller xx rue raymonde sallez( ex rue weymiller) avant 1867; à cette date un weymiller était portefeuilliste (brunisseur) et l'autre maçon

vieux métiers:

• portefeuilliste=  1°) fabricant de portefeuilles  2°) moderne: employé de banque qui s'occupe de la tenue du portefeuille des clients 

• brunisseur= brunit ou polit les metaux

Weymiller (passage et rue rue Raymonde Salez) - Mme Weymiller y habitait avant 1867. Un Weymiller était portefeuilliste (brunisseur) et l'autre maçon, à la naissance de notre commune. En 1867, un certain Salez habitait Les Lilas, qui était ouvrier maçon, comme Weymiller. Curieusement, c'est à la rue Weymiller qu'on donnera le nom de Raymonde Salez, jeune Lilasienne morte en déportation pendant la dernière guerre.

Voie: cul de sac, fermé par un portail, ouvre au 41-43 rue de Romainvile, derrière la Poste

am vavon

-délibérations : existait déjà en 1881

-pas de mention dans les listes électorales de 1867 à 1960

-Passage + rue weymillier : existent sur le 1er recensement en 1891 – mais pas de weymillier dans la rue

les rues SPÉCIALES

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Ne quittons pas cette série sur les rues méconnues des Lilas, sans mentionner quelques ORIGINALITÉS, avec ces RUES  un peu SPÉCIALES. Bonnes balades!

• Les plus ÉTROITES >> 80cm= passage des Lilas,  1m90= avenue Louis Dumont 

• Les plus COURTES >> 40m= allee Jean Yanne,   42m= allée Chanoine Piquet,  45m= avenue Madeleine Odru=  47m= sente Groupe Manouchian,  50m= cour Saint-Paul,   55m= rue du regard,  57m= passage Fontaine-Saint-Pierre,   63m= allée Cardinal Lavigne

• Celles qui PASSENT par  DESSOUS >> impasse Marius, passage de l'Hortensia, rue Francine Fromond, allée Cardinal Lavigerie 

• Les rues ESCALIERS >>  allée des Hortensias,  sente Groupe Manouchian, allée Cardinal Lavigerie

• Celles qu'on a BLOQUÉES à la circulation en leur milieu >>  rue d'Anglemont,  rue du Regard,  cité Saint-Germain

• Les rues FRONTIÈRES qui portent un DOUBLE NOM selon le côté où l'on se trouve >>  avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny  OU  rue de Romainville, rue du Bois  OU  boulevard Eugène Decros,  rue Paul Langevin  OU  rue du Fort,  avenue Lénine  OU  rue de Paris

• Les nommées Pas encore RECONNUES par Google >> allée des Lilas,  place Samuel Paty,  esplanade Serge Gainsbourg, esplanade des Droits des Enfants,  esplanade Audre Lorde

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la plus ÉTROITE = pass des lilas 80cm, av louis dumont 1m90 

la plus COURTE = 40m/allee jean yanne   42m/allee chanoine piquet   45m/av madeleine odru   47m/sente groupe manouchian   50m/cour saint paul   55m/r du regard   57m/pass fontaine st pierre   63m/all cardinal lavigne

celles qui PASSENT par  DESSOUS = impasse marius, passage de l'hortensia, r francine fromond, all cardinal lavigerie 

les rues ESCALIERS = sente groupe manouchian, all cardinal lavigerie, allée des hortensias

celles qu'on a BLOQUÉES au milieu= r d'anglemont,  r du regard   ..  ou au bout= cité st germain

les rues FRONTIÈRES à DOUBLE NOM = av du mal de lattre de tassigny-r de romainville, av faidherbe-bd eugene decros, r du bois-bd eugene decros, r paul langevin-r du fort, av lenine-r de paris 

les nommées NON RECONNUES par Google: allée des lilas, place samuel paty, esplanade serge gainsbourg, esplanade des droits des enfants, esplanade audre lorde

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celles qu'on a DIVISÉES pour en renommer une partie: liberté/gal leclerc, avenir/barbusse/jean moulin,  

les autres SANS ISSUE = imp marius,  villa des bruyeres,  imp des bruyeres, imp du bois

celles qu'on a FERMÉES d'un seul côté=  villa chassagnolle, villa eve hubert

les autres rues PIÉTONNES = all genevieve antonioz de gaulle, r jacques catric

les SANS NOM/rue intérieures/ domaine privé= derrière le musée des vampires, dans le quartier des sentes

les FRONTIÈRES dont la VOIRIE n'appartient PAS aux LILAS (même pas partagée) = av des frères flavien, , r paul doumer (romainville?)...

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Q6   sente GIRAUD   °.... +....   arbre ToDo   marqueur=29791   h66

du nom de l'ancien propriétaire

am vavon

23/02/1898   1130   Demande de M. Giraud, pompier : remboursement d'une somme de 40 F : livret de Caisse d'épargne

15/09/1953   Sente Giraud. Classement dans la voirie urbaine

-Liste Electorale 1892 : GIRAUD Jules Victor, né en 1871 à Paris, boucher, 52 rue des Bruyères

-LE 1902 : GIRAUD Pierre, né en 1868 à Marennes (Charente Inférieure), typographe, 43 rue de Bagnolet

-LE 1902 : GIRAUD Adolphe Marius né en 1880 à Paris, tourneur sur métaux, 54 rue de l’avenir

-LE 1914 : GIRAUD Charles Paul né en 1884 à Rochefort, coiffeur, 4 rue de Romainville

-LE 1914 : GIRAUD Louis Albert, né en 1849 à Vendôme, apprêteur, 15 rue de l’avenir

-LE 1914 : GIRAUD Onésime-Marcel, né en 1876 à Montoumain, employé, 11 rue de l’est

-LE 1914 : GIRAUD Charles Emile, né en 1874 à Paris, cocher, 12 rue Bernard

-LE 1914 : GIRAUD Charles Léon, né en 1870 à Metz, inspecteur, 5 rue Jules David

-> peu probable…

-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.

sgo

figure (sans nom bien sur) sur une vue aerienne 1931 "giraud sente 1931 les lilas centre-mairie remonterletemps via dst lilas 20170517"

sur le plan de "1933 plan les lilas maj d'apres photo aériennes, entrepr photo-aeriennes moreau, 63 bd serurier paris19 annotee"

sur le plan 1939 "girault sente 1939 carte defense passive lilas ACLL_3H5"

sur le plan 1942 "Liberte bd de la 139 & 120 roneo usine 1942 section L les lilas cadastre cote1771 ad093 via am lilas "

la sente borde l'ouest des bureaux des Ronéo auxquels elle doit fort probablement son existence;  établissements implantés en 1920-1925

la sente relie l'avenue du général Leclerc et la rue des Noyers 

!!! aurait du s'appeler Rue Charles Ménard - mort en déportation selon dcm Session ordinaire du 23 décembre 1953  https://maitron.fr/spip.php?article158948

>> TODO = matrices cadastrales modernes / période 1900-1925

Q2   r MARCELLE   °1871 +1912 maybe   marbre arcelle maybe rue    marqueur=30902   h16 24 60 63   arbresx2??   nom=???

Marcelle:  Ancien propriétaire

Voie: démarre au 139-141 bd Eugène Decros et se poursuit avec la rue de la Convention, 107 m d'altitude

1874 Le chemin des Crêtes était un sentier en corniche, qui surplombait "l'abîme". Son tracé correspond sensiblement à celui de l'actuelle rue Marcelle, limite entre Pantin et les Lilas.

1911 La plâtrière de la rue Marcelle est comblée par les terres dégagées lors du creusement du métro Pré Saint-Gervais, ligne 7.

1937 Le conseil municipal envisage  de modifier la limite Lilas-Pantin, rue de la Convention et rue Marcelle. Une ligne brisée serait remplacée par une autre légèrement moins brisée. 

1941 Rectification actée. Très légère, elles n'affecte guère la superficie de la commune.

On continue alors de remblayer les plâtrières. Celle de la rue Marcelle est comblée par les terres dégagées lors du creusement du métro Pré Saint-Gervais.

am vavon

22/05/1930   Aménagement de la zone du Fort de Romainville : ouverture des rues n° 2, 4 et 14 [n° 2 : entre la rue Guillaume Tell et la rue Marcelle ; n° 4 : entre la rue n° 2 et le terrain militaire ; n° 14 : espaces libres voisins de la rue n° 2] : favorable

-la rue existait déjà en 1930

-LE 1892 : MARCELLE Georges, né en 1871 à Paris, « côtier d’omnibus », 12 rue Meissonnier (blague à part, cette profession pourrait rentrer dans l’article des métiers insolites)

-Apparait sur le recensement de 1926 – mais pas de « Marcelle » dans la rue

Q99   rue Raymonde SALEZ   °1919 +1943   arbre Salez   marqueur=29546   qr008    histoire  hXXXX   nom=XXXXX

Q007   rue Francine FROMOND   °1917 +1945   arbre Fromont   marqueur=28624   qr007   histoire  hXXXX   nom=XXXXX

les RÉSISTANTS-ES  =2ème vague  ca1945

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Q5   pl COLONEL FABIEN   °1919 +1944   Arbre   marqueur=29562   wiki    h50 63 80 290   nom=01/06/1945

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Q1   r FRANCINE FROMOND   °1917 +1944   Arbre   marqueur=28624   marqueur=29572   wiki   base   qr007   nom=29/06/1945

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Q5   r JACQUES CATRIC   °1919 +1943   Arbre   marqueur=28342   maitron   cimet   plaque   qr009   h50 63 283 284   nom=31/08/1945

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Q2   r JEAN DUDA   °1912 +1944   Arbre   marqueur=28343   qr013   h50 58 284   nom=01/06/1945

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Q5   r JEAN POULMARCH   °1910 +1941   Arbre agrallperes   marqueur=28345   h282   base   h50 62 282   nom=01/06/1945

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Q2   r LUCIEN NÖEL   °1900 +1942   Arbre   marqueur=28347   marqueur=29550    qr042   h63 283   nom=01/06/1945

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Q5   r RAYMONDE SALLEZ   °1919 +1943   Arbre   marqueur=29546   qr008   h50 67 282   nom=???

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