GENEALOGIES rues 2 = x7
Histoire publiée février 2025>> racines du 93 InfosLilas
Q1 bd EUGÈNE DECROS °1864 +1938 arbre Decros-Perret marqueur=28332 histoire qr031 huret=41résultats nom=19/04/1939
Eugène DECROS n'aura pas pu assister à la réalisation de son boulevard, et pourtant il l'avait tant souhaité! Décédé en 1938, au cours de son sixième mandat (record de durée: 36 années), il restera comme le grand bâtisseur des Lilas. Cet enfant du bois est ambitieux pour sa ville; il la fait passer de 2.900 à 14.000 habitants en quinze années. On lui prête bien des surnoms: "le prince Eugène", "le pro-consul" ou encore "l’Empereur". Pendant son "règne" on voit sortir de terre une salle des fêtes (TGC), l'école de garcons Waldeck Rousseau, le square du théatre, un école de filles complètement rebatie (Romain Rolland), le gymnase Liberté, une cité-jardins, un dispensaire gratuit, on percera le bd de la Liberté, on prolongera le métro de la ligne 11 jusqu'à Mairie des Lilas. Et en 1930, il propose que la rue du Bois soit alignée, redressée, élargie et poursuivie jusqu'à Pantin, alors qu'elle s'arrête précisément à sa démarcation avec notre voisine. Il obtient que le CD (chemin départemental) n°35 ter soit requalifié en route stratégique, ce qui facilite le financement. Mais, agé de 74 ans, Eugène DECROS décède en juin 1938. Il laisse une femme Jeanne PERRET et une fille Valentine. Ironie de l'histoire, les travaux commencent seulement quatre mois après sa disparition. En 1939, le conseil municipal approuve par délibération que le nom du 11ème maire soit donné à ce qui devient le tout nouveau Boulevard Eugène DECROS.
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Eugène Decros (boulevard) - La rue du Bois, alignée, redressée, élargie. Déjà proposé en 1930 par la Municipalité. Travaux en octobre 1938. CD n° 35 ter, considéré comme route stratégique. Le nom du maire, décédé l'armée précédente, est approuvé par délibération du conseil en 1939.
QR031
Eugène DECROS - maire
°1864 +1938
le prince eugène: histoire
sépulture div6-ad-sep5 sur la carte
famille : arbre fiche
voie à son nom : sur la carte
QR031 màj 01/07/2024 à lire audio
Eugène DECROS, 11°maire et grand bâtisseur des Lilas °1864 +1938
Cet enfant du bois, on l'a surnommé "le prince Eugène", "le pro-consul" ou encore "l’Empereur".
Il succédait à Hector Ségaux, un ami de la famille qu'il avait rejoint au conseil municipal dès 1896.
Sa vie n'était pourtant pas toute tracée.
é en 1864 au 67 rue de Paris, 3 ans avant la création de la Commune, ce fils d'un marbrier funéraire venu du Tarn et Garonne fait l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs.
Son rêve: devenir architecte.
Le rêve fut pourtant contrarié par l'attaque d’hémiplégie de son père en 1886, ce qui l'oblige à rejoindre l’entreprise familiale, à peine revenu du service militaire.
Il lui succédera en 1896, avec sa toute jeune épouse, Jeanne Léonie Perret.
Et puis, il entre en politique et tout s’accélère : 2d adjoint en 1900, il devient maire en 1902.
Parallèlement, il milite au parti Radical Socialiste, dès sa création en juin 1901.
C'est à ce parti qu'on doit les lois fondatrices sur les Associations et la Laïcité.
Ses idées directrices: laïcité, solidarité, humanisme, tolérance, universalisme.
Il présidera aux destinées de la ville durant 6 mandats.
Avec un goût certain pour le faste et le protocole: fête du printemps, couronnement de la rosière, distribution des prix aux élèves méritants.
Tout se fait avec solennité : maire en frac et haut de forme, public en habit du dimanche, fanfare
et discours se terminant invariablement par un vibrant "...l’école laïque, républicaine, démocratique et sociale".
Eugène était un bâtisseur.
Aussitôt élu, Eugène Decros entreprend la modernisation et l’embellissement de sa ville.
Elle attire par son dynamisme, passant de 2.925 habitants en 1901 à 14.000 en 1915.
La voirie est assainie, l’éclairage public électrifié. L'ensemble des rues est progressivement pavé.
Une grande salle de conférences (actuel Théâtre-Cinéma du Garde-Chasse) est réalisée en 1905,
dans un projet incluant également une école de garçons (Waldeck Rousseau) et un jardin public.
La salle des fêtes restera longtemps la plus majestueuse et la plus grande de toute la région parisienne, accueillant nombre de réunions et de galas de soutien (notamment après la catastrophe de Courrières de 1906...)
En 1911, le boulevard de la Liberté est percé.
La guerre de 1914-18 vient faucher plus de 500 jeunes gens Lilasiens.
Un secours aux familles est organisé.
Le monument aux morts de Desruelles leur rend hommage au cimetière en 1925.
La cité jardin est réalisée en 1921-1931 pour des familles nombreuses, de condition modeste.
Un dispensaire, gratuit pour les bébés et jeunes enfants, est aménagé en 1927.
Et, couronnement de son œuvre, le métro arrive enfin à la Mairie des Lilas en 1937.
Sur son insistance, l'entrée en sera identique à celle de la station Opéra.
Toujours en exercice, il décède le 3 juin 1938, à 73 ans.
Bon vivant, proche des petits comme des grands de ce monde, il aura géré le budget de la ville avec la même rigueur que son entreprise, sans alourdir les charges de ses concitoyens, moins imposés qu'alentour.
Ainsi s’achève le règne d’Eugène Decros, détenant à ce jour le record de longévité des maires, dans l'histoire de la ville des Lilas.
Une voie lui a été dédiée en 1939, le boulevard Eugène Decros, anciennement rue du Bois.
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Q5 all JEAN YANNE °1933 +2003 arbre Gouyé-Bonabeaux marqueur=28329 qr025 histoire h277 nom=09/11/2004
Située derrière la Mairie, l'allée Jean YANNE est une voie piétonne de 40 mètres à peine, la plus courte de la ville. Elle relie la rue Romain Rolland à la rue Georges Pompidou. En 2004, un an après son décès, la commune honore le célèbre comédien en attribuant son nom au nouveau passage. Chansonnier, animateur radio, metteur en scène, acteur, producteur, auteur de pensées et de dictionnaires de mots que "y a que lui qui les connaît".. Jean Yanne était un homme de spectacle inclassable. Sous l'aplomb d'un sourire goguenard, il traitait son succès avec nonchalance, juste pour être sûr de vivre libre. De son vrai nom Jean Roger Gouyé, Jean Yanne était un vrai Lilasien, pour y être né et y avoir passé sa jeunesse. L'arrière-grand-père de notre compatriote, Alfred, était caviste en gros et marchand de vin rue de Paris. Son père était lithographe, sa mère petite main chez Lanvin. Le dimanche midi, "Jeannot" leur rendait souvent visite, au 28 rue Jean Moulin (ex Henri Barbusse), en garant sa voiture de sport en face, dans le jardin sur rue de l'Institut Ségaux. En 2003, une crise cardiaque le brise en vol, agé de même pas 60 ans. Il est dorénavant l'hôte du cimetière communal, dans le caveau familal Bonnabeaux, du nom de sa mère.
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qr code
Jean YANNE - GOUYÉ de son vrai nom - décédé en 2003, à l'âge de 70 ans.
Chansonnier, animateur radio, metteur en scène, acteur, producteur, auteur de pensées et de dictionnaires de mots que "y a que lui qui les connaît".
Jean Yanne était un homme de spectacle inclassable.
Crispant les puissants qu'il rabrouait, caricaturant la médiocrité des lâches, débusquant la bêtise dans les tranchées du ridicule, il démystifiait par son verbe l'ordre des institutions.
Sous l'aplomb d'un sourire goguenard, il traitait son succès avec nonchalance, juste pour être sûr de vivre libre.
Un peu surpris de lui-même, il reconnaissait : "ma vie a été tout ce que je ne croyais pas".
Jean Yanne était un vrai Lilasien, pour y être né et enterré.
A ce titre, une allée porte son nom aux Lilas, derrière la Mairie, ayant ajouté sur la plaque de rue, en sous-titre, "Célèbre comédien".
L'arrière-grand-père de notre compatriote, Alfred, était caviste en gros et marchand de vin rue de Paris.
Son père était lithographe, sa mère petite main chez Lanvin.
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cimetière
Voie: créée dans le cadre de la rénovation du secteur Mairie-Crèche
Jean YANNE - Comédien (1933-2003)
De son vrai nom Jean Roger Gouyé, né le 18 juillet 1933 aux Lilas et mort le 23 mai 2003 à Morsains, est un acteur, humoriste, écrivain, réalisateur, chanteur, producteur et compositeur français.
Une allée porte son nom, derrière la Mairie, en ajoutant "célèbre comédien". Jean Yanne est un vrai Lilasien, pour y être né et enterré. Son arrière-grand-père, Alfred, était caviste en gros et marchand de vin rue de Paris. Lui-même voit le monde au bd de la Liberté (n°54): un signe pour l'auteur de la future boutade radiophonique "il est interdit d'interdire" qui fit florès en 1968? Son père est lithographe, sa mère est petite main chez Lanvin. Comme elle coud les déshabillés des mannequins, le petit Jeannot va parfois la voir pour admirer son travail.. et le galbe parfait des jeunes femmes. Journaliste en 1952, il fait ses débuts sur scène au Cabaret du vin. Sa rencontre avec Jacqueline, une jeune chanteuse, est un coup de foudre. Les tourtereaux s'installent rue de l'Avenir (Jean Moulin) aux Lilas, dans le même immeuble d'angle que ses parents, en face du Melting Pote d'aujourd'hui. Puis il rencontre l'homme de radio Gérard Sire qui le fait travailler pour la radio Europe n°1, avant qu'il ne passe à RTL, avec les Grosses têtes de Bouvard. Au cinéma, il joue avec Godard, Chabrol ou Lautner. Il monte à son tour des films branquignolesques comme "Tout le monde il est beau" ou "Deux heures moins le quart avant Jésus Christ". Deux enfants et de nombreuses conquêtes plus tard, il revient pourtant toujours aux Lilas, pour visiter ses parents, en fils délicat et attentionné qu'il est. Il gare sa Porsche en face, dans le jardin de l'institution Ségaux. Son père disparu en 1998, sa mère le suit en 2002. Jean Yanne est sous le choc. A peine un an après, son cœur affaibli s'arrête pour de bon. L'anticlérical compulsif remplira pourtant l'église des Lilas de tous ses compagnons de route loyaux et fidèles, comme Ginette Garcin, Mireille Darc, Daniel Prévost ou Philippe Clay et des autres qui l'ont croisé et estimé, comme Michel Serrault, Gérard Jugnot ou Bernard Haller. Le Père Nicolas Maine qui officie dit de lui qu'il était une boule de tendresse. De sa sépulture au cimetière de la ville, celui qui professait n'avoir ni dieu, ni maître (même nageur) ne laisse aux autres que des souvenirs d'instants de bonheur.
Q5 imp LECOMTE °1813 +1880 arbre Leconte-Boucot marqueur=30862 histoire h63 nom=???
Donnant sur le 52-54 rue de Romainville, l'impasse LECONTE est une voie privée, bien cachée derrière une porte métallique. Elle doit son nom à Philippe Eugène LECONTE, nourrisseur et époux de Jeanne BOUCOT, fille d'une lignée de cultivateurs de Bagnolet. Depuis la Révolution, les LECONTE (ou LECOMTE, selon les documents) sont nourrisseurs de père en fils. L'installation en ville de leurs établissements, souvent de quelques têtes seulement, vient d'une époque où on ne pratiquait pas encore la pasteurisation du lait. Pour nourrir sans risque les populations urbaines grandissantes, on avait eu l'idée d'amener les vaches à proximité du consommateur. Ces fermes de ville, appelées également vacheries, étaient apparues un peu partout, au cœur des villes, comme aux Lilas ou à Paris, qui en comptait plus de 5.000 à la fin du 19ème siècle. Mariés en 1848, Philippe et Jeanne habitent rue des Sablons, avant de s'installer au 40 rue de Romainville, à deux pas de l'impasse. Né sous l'Empire en 1813, Philippe LECONTE tient le rôle de conseiller municipal auprès de Victor François Xavier GUERIN DELAROCHE, durant les débuts du 1er maire des Lilas en 1867-1868. Il décède en 1880 à son domicile.
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Lecomte ou, mieux, Leconte: Nom d'un propriétaire. François Leconte tient le « Grand Moulin de la Galette » vers 1870. Mais, ici, il s'agit plutôt de Philippe Eugène Leconte, conseiller municipal à la création de la commune des Lilas en 1867-68. Lui-même habitait rue des sablons
Couple Leconte-Boucot= Nourisseurs à Bagnolet= idem parents Leconte; parents Boucot= cultivateurs a bagnolet
L'impasse lecomte donne sur le 54 rue de romainville, à 2 pas du 40 rue de romainville où est décédé philippe eugene leconte en 1880 (actuellement un immeuble=40 au 44 r de romainville)
Voie: cul de sac, fermé par une porte métal, ouvre au 52-54 r de romainville
Lecomte ou, mieux, Leconte: Nom d'un propriétaire. François Leconte tient le « Grand Moulin de la Galette » vers 1870. Mais, ici, il s'agit plutôt de Philippe Eugène Leconte, conseiller municipal à la création de la commune des Lilas en 1867-68. Lui-même habitait rue des sablons
Couple Leconte-Boucot= Nourisseurs à Bagnolet= idem parents Leconte; parents Boucot= cultivateurs a bagnolet
L'impasse lecomte donne sur le 54 rue de romainville, à 2 pas du 40 rue de romainville où est décédé philippe eugene leconte en 1880
Voie: cul de sac, fermé par une porte métal, ouvre au 52-54 r de romainville
am vavon
-pas de délibérations
-Liste Electorale 1871 : Eugène LECONTE, né en 1847 à Paris, corroyeur, 40 rue de Romainville
-LE 1871 : Philippe Antoine né en 1849 à Paris, corroyeur, 40 rue de Romainville
-LE 1871 : Philippe Eugène LECONTE, né en 1813 à Paris, propriétaire, 40 rue de Romainville -> signataire de la pétition en vue de la création de la commune
-L’impasse Lecomte existe dans recensement 1891 - mais pas de Lecomte dans la rue
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Q6 r LEON RENAULT °1856 +1930 arbre Renault-Larousse Aldebert Drouillet marqueur=29762 h50 63 140 295 nom=30/09/1943
Attention, un LÉON peut en cacher un autre! A l'endroit de la rue Léon RENAULT qui relie le bd du Général Leclerc à la rue de Paris, passait autrefois une sente LÉON. C'était du temps de Claude François LÉON. D'abord chef-jardinier au château de Romainville, il était devenu ce qu'on appelle un bourgeois. La Révolution le fait grimper socialement pour devenir le troisième Maire de la commune de Romainville en 1792, puis en 1794. La Sente d'un mètre de large sur notre territoire n'était pas encore une voie publique. Elle le devient en 1878 quand on décide d'ouvrir une voie nouvelle sur le même tracé. Les travaux du tramway l'ayant défoncée, elle est remise en état en 1896. Notre Léon RENAULT, quant à lui, nait en 1856. D'abord employé, il émerge au 20ème siècle, aux côtés d'Eugène DECROS, dont il devient l'un des deux adjoints en 1912, puis le premier en 1925. Il s'occupe surtout du Bureau de Bienfaisance, de la nomination des rosières et des mariages. Sa famille était originaire de Seine-et-Marne à Ormes-sur-Voulzie, où on y était sabotier, cultivateur ou employé des Chemin de fer. Après trois mariages, il décède en 1930 dans sa maison du 21 rue des Écoles (Romain Roalnd). Son nom est attribué en 1943 à l'ancienne Sente LÉON, devenue entretemps voie urbaine.
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Voie: chemin rural n°12 >> sente Léon 1880 >> rue Léon Renault 30/09/1943
Léon (rue et sente —› respectivement rue Jacques Catric en 1945 et rue Léon Renault en 1943). Ces deux chemins étaient vraisemblablement compris dans la propriété de Claude François Léon, jardinier-chef du château de Romainville, puis « bourgeois ». Maire en 1792 puis en 1794. Né en 1740, demeurant à Paris, rue Saint-Lazare, puis à Romainville en 1777 (G. Husson, page 154). La sente Léon avait un mètre de large au début du fixe siècle et traversait alors la propriété de Charles Rozière.
Léon Renault fut très longtemps l'adjoint d'Eugène Decros, s'occupant surtout du Bureau de Bienfaisance, de la nomination des rosières et des mariages
(la sente Léon était chemin rural n° 12 avant 1880).
Léon Renault fut très longtemps le 1er adjoint d'Eugène Decros (de 1902 à 1930). Il s'occupait surtout du Bureau de Bienfaisance, de la nomination des rosières et des mariages
am vavon
- délibérations : rue Léon existait déjà en 1880
18/11/1878 178 Ouverture d'une voie nouvelle en remplacement de la sente Léon reliant la rue de Bagnolet à la route départementale
05/03/1896 689 Remise en état des rues Léon et Lecouteux (voies privées) : défoncées par le roulage pendant les travaux du tramway : prise en charge par la commune
29/06/1896 765 Classement de sentiers : sente Léon et sente des Noyers sauf accord du Conseil de Romainville : projet demandé à l'agent voyer
14/04/1899 1309 Rues Lecouteux et Léon, passage Rouget de l'Isle : obligation aux propriétaires de nettoyer ces voies
28/02/1902 1802 Demande de M. Renault au sujet du bureau de tramways de la place Paul de Kock : ouverture du bureau 5 minutes avant le départ du premier tramway : approuvé
25/02/1903 1961 Reconnaissance de deux sentes : classement dans la voirie rurale des sentes Léon et de la Croix de l'Epinette : approbation des plans : demande de mise à l’enquête
05/02/1910 462 Communication de M. le Maire : décès de l'épouse de M. Renault : condoléances
18/05/1912 sans n° Procès verbal de l'installation du Conseil municipal et de l'élection d'un maire [M. Decros] et de deux adjoints [MM. Renault et Chrétien]
26/05/1913 sans n° Affaire Feld-Renault : Mme Feld, directrice de l'école de filles et M. Renault, maire adjoint : saisie de la direction de l'enseignement
10/12/1919 sans n° Procès verbal de l'installation du Conseil municipal et de l'élection du Maire [M. Decros] et de deux adjoints [MM. Renault et Girard]
13/03/1922 sans n° Remboursement des avances faites par la municipalité dans l'exercice des fonctions municipales : M. Renault
17/05/1925 sans n° Procès verbal d'installation du Conseil municipal et de l'éleciton du Maire et de deux adjoints : M. Decros, Maire ; M. Renault, 1er adjoint ; M. Girard, 2e adjoint
07/04/1944 Lettre de madame veuve Renault
20/09/1943 Dénomination de rue Léon Renault à l'ancienne sente Léon devenue voie urbaine
-Liste Electorale 1892 : Léon Renault, né en 1856 à Les Ormes (Seine et Marne), employé, 110 rue de Paris
-LE 1924 : Léon RENAULT, né en 1856 à Les Ormes, propriétaire, 21 rue des écoles
Q6 sente PATIGNY °1888 +1964 arbre Patigny-Puyfages marqueur=30218 histoire h66 ?? voie/nom=??
Quand Louis DUMONT se lance dans la création d'un nouveau lotissement, à côté de la nouvelle Cité-Jardins, Marcel PATIGNY se décide en 1929 à tenter lui aussi l'aventure. A l'est de ces deux projets, il ouvre une sente qui portera son nom. Orienté Nord-Sud, elle débouche aujourd'hui sur le restaurant et la terasse de chez Betty, au 65 bd du Général Leclerc (119 bd de la Liberté autrefois). Marcel PATIGNY et son épouse Alice PUYFAGES ne sont pourtant pas des promoteurs professionnels. Ils viennent d'un milieu simple, originaire du Nord, des Ardennes, de la Moselle. Ses aïeux étaient ferblantier, menuisier, manouvrier, domestique. Seuls le grand-père et l'oncle de Marcel ont entamé un début d'ascencion sociale, en entrant dans le corps des Douanes. C'est dire l'aventure dans laquelle il se lance, quand il se met à acheter des maisonnettes en fibro-ciment à Defarbus. Lui-même emménagera dans l'une d'entre elles. Et c'est ainsi qu'on devient entrepreneur, avant d'être qualifié de propriétaire dans les documents administratifs. Né en 1888, il décédera en 1964 à 76 ans.
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Patigny: Marcel et Alice Patigny étaient propriétaires. Ils achetaient à Defarbus des maisonnettes en fibro-ciment qu'ils louaient. Eux-mêmes en habitaient une.
Voie: ?
am vavon
-pas de délibérations
-Liste Electorale 1924 : PATIGNY Marcel Léon Marc né en 1888 à Maubeuge (Nord), imprimeur, 101 boulevard de la Liberté
-LE 1929 : PATIGNY Marcel Léon Marc né en 1888 à Maubeuge (Nord), entrepreneur, 119 boulevard de la Liberté
-LE 1937 : PATIGNY Marcel Léon Marc né en 1888 à Maubeuge (Nord), propriétaire, 119 boulevard de la Liberté
-n’apparait plus sur les listes électorales à partir de 1946
-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.
sgo
sur le plan 1942 sectionL cite jardins AD093CA_2074W_1771_C
119 bd de la liberté= 65 bd du general leclerc = précisément la sente patigny!!! = OK pour Marcel Léon Marc Patigny
105 bd de la liberté= 51 bd du general leclerc actuel
Q2 av PAUL de KOCK °1793 +1871 arbre de Kock-Souhaut marqueur=27432 qr033 huret base huret=82resultats nom=19/11/1885
L'avenue Paul de KOCK est une partie de l'ancienne rue du Château qui partait de la rue de Paris pour aller jusqu'au Château du Moulin, celui de la marquise de Montesson, à l'emplacement de la Tour TDF actuelle. Cette partie sud reçu son nouveau nom en 1885, quatorze ans après le décès du célèbre romancier. La partie nord a conservé son appellation de rue du Château, de l'actuel Lycée Paul Robert à la rue Paul Langevin. On a quelque peu oublié aujourd'hui que Paul de KOCK (1793-1871) était un romancier à succès du 19° siècle. Il habitait l'hiver à Paris dans son appartement du 8 bd saint Martin, préférant l'air pur des Lilas en été. A partir de 1840, il avait une maison de plain pied au n°6 de sa rue. En 1871, il ne survécut pas à l'occupation prussienne, au saccage de sa maison et à la destruction de ses deux arpents de bois. Ce qu'il surnommait son petit était Abbotsford avait disparu. La maison qu'on voit au jourd'hui à la place n'est pas la sienne mais une nouvelle construction des Patrelle, les fabricants d'arôme qui produisaient à côté, rue du Garde-Chasse. Paul de KOCK eut l’audace, en pleine époque romantique, de se consacrer à une littérature légère annonçant le vaudeville. Sous la Restauration et le second empire, il eut un succès fou. Il est vrai que le public se reconnaissait dans son œuvre, de KOCK y peignant le monde des commis, des grisettes, des servantes et des valets. Il fut en outre l’auteur de plusieurs chansons qui, inconnues de son vivant, connurent un très grand succès plus tard lorsque, mises en musique, elles furent interprétées par Yvette Guilbert (Madame Arthur, Quand on vous aime comme ça...). Il est enterré au cimetière des Lilas (sep 4-ap-5). Sa fille Caroline repose dans la même division, un peu en arrière, dans une sépulture dont les lettres gravées sont désormais usées par le temps.
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écrivain romancier
la 1ère partie de la rue du château prend ce nom en 1885, l'écrivain y ayant vécu jusqu'à sa mort en 1871
Paul de Kock (avenue) - La première partie de la rue du Château prit ce nom en 1885, le romancier y ayant habité presque jusqu'à sa mort. Pavée en 1905.
Paul de Kock (place et square) - Programme décidé le 26 août 1901 (écoles, salle des fêtes et square). A l'intersection de l'avenue et de la rue de Paris. La place est pavée en 1907. Alors le square ouvre ses portes, mais seulement le jeudi et le dimanche dans un premier temps. Bien que dénommé « square », ce jardin public est triangulaire Avant 1905, l'endroit s'étendait presque du Rond-Point à la rue de Paris sur 8 000 m2. Jardin réaménagé à partir de la délibération du 31 mars 1934.
Q5 pass PONSARD arbre Ponsard-Brave Gourgaud marqueur=30855 histoire h63 voie/nom=??
Reconnu par la ville sous cette dénomination en 1925, le passage PONSARD relie la rue de Romainville par le haut à la rue de Noisy-le-Sec par le bas. A cet endroit, il y a un demi-siècle, on peut dire que l'histoire d'Eugène PONSARD et de Marie BRAVE était réglée comme du papier à musique. Elle est artiste pianiste, lui est marchand de musique. Elle habite rue de Noisy, lui rue de Romainville. Ces deux là ont tout pour convoler, quand ils se disent oui en Mairie des Lilas, le 9 juin 1877. Leurs familles en ont fait du chemin avant qu'ils ne se rencontrent dans notre commune: pour elle, c'est depuis les Vosges par sa mère, pour lui, depuis Conflans-sur-Seine, sur la route de Troyes. Sans enfant connu, leurs chemins se séparent vingt ans ans après. Elle épouse un second mari, tôlier. Lui devient tourneur en fer. Ils sont toujours faits du même métal. Le dernier domicile d'Eugène PONSARD sera au 26 rue de Romainville, à l'angle du n°2 du passage qui longe son terrain. C'est là qu'il décède en 1897. Puisqu'il en était l'ancien propriétaire, on continuera d'appeler la voie par son nom, jusqu'à il soit consacré par décision du Conseil Municipal.
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Ponsard: Ancien propriétaire filae filae
Voie: passage ouvert, entre 24-26 r de romainville et 107-111 av pasteur
am vavon
-délibérations : existait déjà en 1911 / reconnue en 1925
27/07/1911 sans n° Commission des chemins : rapport : dépôts d'ordures dans les rues, établissement de bordures et de caniveaux sur le coté droit de la rue de Bellevue, aménagement de terre plein d'amorce du nouveau boulevard, construction du plafond de la salle des fêtes, réfection du soubassement et du bitumage du trottoir des écoles du centre, établissement d'une double voie de dégagement avec terre plein central entre la rue de Paris et la rue du Bois, ouverture d'une rue entre le chemin de grande communication 36 bis et la place Paul de Kock, rescindement des immeubles Bordier, Tripier et Touzet rue du Garde chasse, création d'une place au carrefour de la rue des Bruyères, de l'avenue Pasteur et de la rue de Romainville, alignement et nivellement (passages Ponsart et Griselin, rue Léon, impasse des Bruyères), acquisition de terrains pour dégagement de l'impasse des Bruyères de la rue Jules David et de la rue de Romainville
15/04/1925 sans n° Reconnaissance de diverses voies : rues du Château, Bernard, d'Anglemont, Léon, des Noyers, de la Liberté ; sentes des Groseilliers et des Galis ; passages Griselin, Félix Houdart, de l'Hortensia, des Lilas, de la Mairie et rue Yvonne, des Panoramas, Ponsard, des Sablons, Rouget de l'Isle ; impasse des Bruyères ; rues du Tapis vert, Esther Cuvier, du Regard
-Liste Electorale 1892 : Constant PONSARD, né en 1843 à Chatel (Ardennes), cultivateur, 71 rue du Bois
-Liste Electorale 1892 : Prosper Eugène PONSARD, né en 1836 à Confis Conflans sur Seine (Marne), rentier, 26 rue de Romainville <OK
-Apparait pour la première fois sur le recensement 1936 : « passage Ponsard » mais pas de Ponsard dans la rue
GENEALOGIES rues 3 = x9 = 4 femmes (esther cuvier, francine fromond, raymonde salez, weymiller) + 3 à finir (lecouteux, marius, pelletier + 2 incertains (giraud, marcelle)
esther cuvier francine fromond giraud maybe lecouteux todo marcelle maybe marius tofinish pelletier tofinish raymonde salez weymiller
Histoire publiée mars 2025>> racines du 93 InfosLilas
Q2 rue ESTHER CUVIER °1820 +1894 arbre Cuvier-Lecomte marqueur=137677 histoire h50 61 189 voie 05/09/1898 nom 05/09/1898
bienfaitrice
Cette voie, auparavant dénommée rue de "l'Equerre", prit son nouveau nom de rue "Esther Cuvier" le 05/09/1898
A la mort de son mari (25aout1891), Esther Cuvier avait laissé à la ville un montant de 20.000 Francs-Or, suivant ainsi ses dernières volontés.
la rue Esther Cuvier et la rue d'Anglemont ont pris en 1898 le nom de deux donateurs en faveur de la construction de l'Hospice de la Seigneurie à Pantin (maison de retraite intercommunale), grâce à des legs testamentaires
Équerre (chemin, puis rue de l' —› rue Esther Cuvier) - A cause de sa configuration, ligne brisée à angle droit. Veuve du propriétaire Adolphe Cuvier, Esther exécute le testament de son mari en dormant une somme de 20 000 francs à l'hospice intercommunal de Pantin.
Q007 rue Francine FROMOND °1917 +1945 arbre Fromont marqueur=28624 qr007 histoire hXXXX nom=XXXXX
Q6 sente GIRAUD °.... +.... arbre ToDo marqueur=29791 h66
du nom de l'ancien propriétaire
am vavon
23/02/1898 1130 Demande de M. Giraud, pompier : remboursement d'une somme de 40 F : livret de Caisse d'épargne
15/09/1953 Sente Giraud. Classement dans la voirie urbaine
-Liste Electorale 1892 : GIRAUD Jules Victor, né en 1871 à Paris, boucher, 52 rue des Bruyères
-LE 1902 : GIRAUD Pierre, né en 1868 à Marennes (Charente Inférieure), typographe, 43 rue de Bagnolet
-LE 1902 : GIRAUD Adolphe Marius né en 1880 à Paris, tourneur sur métaux, 54 rue de l’avenir
-LE 1914 : GIRAUD Charles Paul né en 1884 à Rochefort, coiffeur, 4 rue de Romainville
-LE 1914 : GIRAUD Louis Albert, né en 1849 à Vendôme, apprêteur, 15 rue de l’avenir
-LE 1914 : GIRAUD Onésime-Marcel, né en 1876 à Montoumain, employé, 11 rue de l’est
-LE 1914 : GIRAUD Charles Emile, né en 1874 à Paris, cocher, 12 rue Bernard
-LE 1914 : GIRAUD Charles Léon, né en 1870 à Metz, inspecteur, 5 rue Jules David
-> peu probable…
-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.
sgo
figure (sans nom bien sur) sur une vue aerienne 1931 "giraud sente 1931 les lilas centre-mairie remonterletemps via dst lilas 20170517"
sur le plan de "1933 plan les lilas maj d'apres photo aériennes, entrepr photo-aeriennes moreau, 63 bd serurier paris19 annotee"
sur le plan 1939 "girault sente 1939 carte defense passive lilas ACLL_3H5"
sur le plan 1942 "Liberte bd de la 139 & 120 roneo usine 1942 section L les lilas cadastre cote1771 ad093 via am lilas "
la sente borde l'ouest des bureaux des Ronéo auxquels elle doit fort probablement son existence; établissements implantés en 1920-1925
la sente relie l'avenue du général Leclerc et la rue des Noyers
!!! aurait du s'appeler Rue Charles Ménard - mort en déportation selon dcm Session ordinaire du 23 décembre 1953 https://maitron.fr/spip.php?article158948
>> TODO = matrices cadastrales modernes / période 1900-1925
Q5 rue LECOUTEUX °1801 +1860 arbre Lecouteux-Lecouteux marqueur=29761 histoire h63 124 voie= 1860?
propriétaire, bienfaiteur
la rue Lecouteux tient son nom de Claude Alexandre Lecouteux qui a offert une maison au 1 rue de Bagnolet, afin d'y établir l'École du Bois
Lecouteux (rue) - Claude Alexandre Lecouteux, propriétaire dans le secteur, offrit une maison, 1, rue de Bagnolet, pour qu'on y fonde l'école du Bois. La rue Lecouteux donnait rue de Bagnolet à peu près à la jonction actuelle du boulevard de la Liberté avec cette rue de Bagnolet.
am vavon
05/03/1896 689 Remise en état des rues Léon et Lecouteux (voies privées) : défoncées par le roulage pendant les travaux du tramway : prise en charge par la commune
14/04/1899 1309 Rues Lecouteux et Léon, passage Rouget de l'Isle : obligation aux propriétaires de nettoyer ces voies
-la rue existait déjà en 1860
Q2 r MARCELLE °1871 +1912 maybe marbre arcelle maybe rue marqueur=30902 h16 24 60 63 arbresx2?? nom=???
Marcelle: Ancien propriétaire
Voie: démarre au 139-141 bd Eugène Decros et se poursuit avec la rue de la Convention, 107 m d'altitude
1874 Le chemin des Crêtes était un sentier en corniche, qui surplombait "l'abîme". Son tracé correspond sensiblement à celui de l'actuelle rue Marcelle, limite entre Pantin et les Lilas.
1911 La plâtrière de la rue Marcelle est comblée par les terres dégagées lors du creusement du métro Pré Saint-Gervais, ligne 7.
1937 Le conseil municipal envisage de modifier la limite Lilas-Pantin, rue de la Convention et rue Marcelle. Une ligne brisée serait remplacée par une autre légèrement moins brisée.
1941 Rectification actée. Très légère, elles n'affecte guère la superficie de la commune.
On continue alors de remblayer les plâtrières. Celle de la rue Marcelle est comblée par les terres dégagées lors du creusement du métro Pré Saint-Gervais.
am vavon
22/05/1930 Aménagement de la zone du Fort de Romainville : ouverture des rues n° 2, 4 et 14 [n° 2 : entre la rue Guillaume Tell et la rue Marcelle ; n° 4 : entre la rue n° 2 et le terrain militaire ; n° 14 : espaces libres voisins de la rue n° 2] : favorable
-la rue existait déjà en 1930
-LE 1892 : MARCELLE Georges, né en 1871 à Paris, « côtier d’omnibus », 12 rue Meissonnier (blague à part, cette profession pourrait rentrer dans l’article des métiers insolites)
-Apparait sur le recensement de 1926 – mais pas de « Marcelle » dans la rue
Q5 imp MARIUS °1909 +1942 arbre Llabourt (Marius)-Leblond maitron marqueur=30856 histoire patrim93 h63 voie/nom=1875??
Marius: Ancien propriétaire
Voie: cul de sac, fermé par porte grille, au 32 r de romainville
La particularité de l’impasse Marius est de démarrer sous des immeubles, en retrait de la rue de Romainville, à l’arrière de jardins. Cette entrée, quasi confidentielle, accentue son caractère intime. Très étroit, il bénéficie cependant de l’implantation en retrait des maisons et des clôtures grillagées qui permettent des ouvertures visuelles sur les jardinets. Les maisonnettes généralement bien entretenues ont un à trois niveaux. Les travaux de rénovation ont apporté de nouveaux matériaux, le bois et le métal, sur des façades jusque-là revêtues d’enduits. Cependant la couleur, rouge, bleue des crépis était déjà présente
am vavon
-pas de délibérations
-Liste Electorale 1870 : Camille MARIUS, né en 1839 à Lyon, mécanicien, 1 rue de Romainville -> peu probable…
-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.
sgo
arrêté en même temps que lucien noël, même réseau, exécuté mont valérien
habitait le pré st gervais, 0 lien découvert aux lilas avec l'impasse marius
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Q5 imp PELLETIER °.... +1879? arbre Pelletier-Derwy marqueur=30887 histoire h63 voie/nom=??
Pelletier: Ancien propriétaire
Voie: impasse fermée par un portail, ouvre au 174-176 rue de Paris. Déjà sur les plans de 1930
am vavon
14/10/1895 616 Admission dans les écoles supérieures : demande Pelletier : vote de la dépense
= « M. Pelletier demeurant 71 rue des écoles »
-Recensement 1896 : au 71 rue des écoles : M. Pelletier Louis Marcel, 34 ans, ébéniste et sa femme Rosalie née Lonne, 39 ans, journalière et leurs trois enfants, Louise Andrée, 14 ans, Marcel, 9 ans et Henriette, 7 ans -> peu probable…
-Liste Electorale 1924 : PELLETIER Henri Edmond Noël né en 1890 à Marseille, mécanicien, 2 passage Ponsard
-LE 1924 : PELLETIER Louis Augustin né en 1879 à Paris, ajusteur mécanicien, 169 rue de Paris
-LE 1924 : PELLETIER Georges Anatole Blaise né en 1884 à Fleury aux choux, débitant de vin, 10 rue de la République
-> peu probable…
-La rue n’apparait sur aucun des recensements de 1891 à 1946.
sgo
sur les plans 1900 1930 1933 1939 1942 ...
auguste nicolas peltier (pelletier) fabricant de cadres à paris5, 37 rue galande (ca square medieval, +vieil arbre de paris, face à nd de paris)
parrain du 1er enfant du 1er couple marié aux lilas, les hertmans-licht le 26/10/167
avec sa femme barbe derwy née en sarre, habitait 21 rue lecouteux= parcelle en bout de l'impasse peltier, donnant actuellt sur bd de la liberté
après son décès 1877 sa femme s'est remariée avec frederic danjou,
disparus de la circulation en 1891 (après recenst + avis de disparition)
Q99 rue Raymonde SALEZ °1919 +1943 arbre Salez marqueur=29546 qr008 histoire hXXXX nom=XXXXX
Q5 imp WEYMILLER °.... +.... arbre veymiller-batut marqueur=30885 histoire huret h50 67 93 118 135 165 208 actesx5?? voie/nom=avant 1867??
propriétaire
habitait 88 r de paris a son décès 23/01/1870= le bloc de maison à l'ouest de la mairie, avec son fils Auguste Paul
mme weymiller habitait passage weymiller xx rue raymonde sallez( ex rue weymiller) avant 1867; à cette date un weymiller était portefeuilliste (brunisseur) et l'autre maçon
vieux métiers:
portefeuilliste= 1°) fabricant de portefeuilles 2°) moderne: employé de banque qui s'occupe de la tenue du portefeuille des clients
brunisseur= brunit ou polit les metaux
Weymiller (passage et rue rue Raymonde Salez) - Mme Weymiller y habitait avant 1867. Un Weymiller était portefeuilliste (brunisseur) et l'autre maçon, à la naissance de notre commune. En 1867, un certain Salez habitait Les Lilas, qui était ouvrier maçon, comme Weymiller. Curieusement, c'est à la rue Weymiller qu'on donnera le nom de Raymonde Salez, jeune Lilasienne morte en déportation pendant la dernière guerre.
Voie: cul de sac, fermé par un portail, ouvre au 41-43 rue de Romainvile, derrière la Poste
am vavon
-délibérations : existait déjà en 1881
-pas de mention dans les listes électorales de 1867 à 1960
-Passage + rue weymillier : existent sur le 1er recensement en 1891 – mais pas de weymillier dans la rue
GENEALOGIES rues 1 = x6
Histoire publiée janvier 2025>> racines du 93 InfosLilas
NOM des RUES 1= Locum ipse, etc
GENEALOGIES rues 4 = x7
les RÉSISTANTS-ES =2ème vague ca1945
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Q5 pl COLONEL FABIEN °1919 +1944 Arbre marqueur=29562 wiki h50 63 80 290 nom=01/06/1945
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Q1 r FRANCINE FROMOND °1917 +1944 Arbre marqueur=28624 marqueur=29572 wiki base qr007 nom=29/06/1945
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Q5 r JACQUES CATRIC °1919 +1943 Arbre marqueur=28342 maitron cimet plaque qr009 h50 63 283 284 nom=31/08/1945
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Q2 r JEAN DUDA °1912 +1944 Arbre marqueur=28343 qr013 h50 58 284 nom=01/06/1945
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Q5 r JEAN POULMARCH °1910 +1941 Arbre agrallperes marqueur=28345 h282 base h50 62 282 nom=01/06/1945
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Q2 r LUCIEN NÖEL °1900 +1942 Arbre marqueur=28347 marqueur=29550 qr042 h63 283 nom=01/06/1945
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Q5 r RAYMONDE SALLEZ °1919 +1943 Arbre marqueur=29546 qr008 h50 67 282 nom=???
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les rues SPÉCIALES
la plus ÉTROITE = pass des lilas 80cm, av louis dumont 1m90
la plus COURTE = 40m/allee jean yanne 42m/allee chanoine piquet 45m/av madeleine odru 47m/sente groupe manouchian 50m/cour saint paul 55m/r du regard 57m/pass fontaine st pierre 63m/all cardinal lavigne
celles qui PASSENT par DESSOUS = impasse marius, passage de l'hortensia, r francine fromond, all cardinal lavigerie
les rues ESCALIERS = sente groupe manouchian, all cardinal lavigerie, allée des hortensias
celles qu'on a BLOQUÉES au milieu= r d'anglemont, r du regard .. ou au bout= cité st germain
les rues FRONTIÈRES à DOUBLE NOM = av du mal de lattre de tassigny-r de romainville, av faidherbe-bd eugene decros, r du bois-bd eugene decros, r paul langevin-r du fort, av lenine-r de paris
les nommées NON RECONNUES par Google: allée des lilas, place samuel paty, esplanade serge gainsbourg, esplanade des droits des enfants, esplanade audre lorde
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celles qu'on a DIVISÉES pour en renommer une partie: liberté/gal leclerc, avenir/barbusse/jean moulin,
les autres SANS ISSUE = imp marius, villa des bruyeres, imp des bruyeres, imp du bois
celles qu'on a FERMÉES d'un seul côté= villa chassagnolle, villa eve hubert
les autres rues PIÉTONNES = all genevieve antonioz de gaulle, r jacques catric
les SANS NOM/rue intérieures/ domaine privé= derrière le musée des vampires, dans le quartier des sentes
les FRONTIÈRES dont la VOIRIE n'appartient PAS aux LILAS (même pas partagée) = av des frères flavien, , r paul doumer (romainville?)...
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les rues COMME PARTOUT
PRINCIPES de la RÉVOLUTION = r du 14 juillet, r de l'égalité, r de la paix, r de la prévoyance, r du progrès, r de la liberté, bd de la liberté, r rouget de l'isle, r de la convention, r de la fraternité,
FLEURS & ANIMAUX= all des hortensias, pass de l'hortensia, pl des myosotis, sente des oeillets, r des bruyères, villa des bruyères, pass des lilas, sente de l'aigle (?), r du coq français
rue qui MÈNENT à = r de romainville, r de noisy le sec, r de bagnolet (ex), r de paris, r du pré saint gervais,
TOPONYMIE = pl des sources du nord, r des sablons, r des villegranges, imp des villegranges, imp du bois, pass des panoramas, pass bellevue, r de bellevue, r du garde chasse, r de la croix de l'épinette, r de l'est, r du centre, r du regard,
SAINTS = cour saint paul, r st germain, cite st germain, all cardinal de la vigerie, pass de la fontaine st pierre,
Saint-Paul (cour) - Un canton du Pré Saint-Gervais portait, au XVifie siècle, le nom de Saint-Paul (à peu près à l'endroit où se dresse maintenant l'ensemble Babylone). L'auteur ignore pourquoi l'impasse lilasienne s'appelle ainsi (cette cour était derrière l'ancienne église).
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ARTISTES, poètes, romanciers.. (hors locaux)= r henri barbusse, r charles peguy, all vincent dindy, all alfred capus, all charles lecoq, all andre rivoire, all kistemaeckers
POLITIQUES = all jean monnet, r paul langevin, r du pdt robert schumann, bd jean jaures, pl marc sangnier, r paul doumer (romainville?), r georges pompidou, av waldeck rousseau, av georges clemenceau, pl völklingen (?), , r de la rochefoucauld (caisse d'épargne?)
GUERRES (hors locaux)= résistance, miltaires, déportés, martyres = années 1945'= pl charles de gaulle, rd point pierre brosolette, r jean moulin, pl du colonel fabien, r normandie niemen, r madeleine odru, r du 11 novembre, r du 8 mai 1945, r guynemer, pl du vel d'hiv, r du marechal koenig, voie de la déportation, pl des martyrs du genocide arménien, av du marechal juin, av des combattants en afrique du nord, bd du general leclerc de hautecloque
FEMMES dates de nomination= 2023 2024 pl marie trintignant, espl audre lorde & pourquoi pas une place catherine bagot devant le commissariat?
pl MARIE TRINTIGNANT °1962 +2003 Arbre marqueur=150845 wiki nom=??/11/2023 comédienne, victime de féminicide
espl AUDRE LORDE °1939 +1992 Arbre marqueur=156342 wiki nom=07/06/2024 Audrey Geraldine Lorde
DOCTEURS & SCIENTIFIQUES = all du dr courcoux, all du dr calmette, av pasteur, square henri dunant, all joseph depinay
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