Auteurs: KHADRAOUI ZIANE et OUANOUKI YACINE
Le groupe animal le plus néfaste que la terre n’a jamais connu est les sauterelles, effectivement les sauterelles causent des dégâts et des pertes énormes sur le plan agricole et ceci depuis long temps ; notons que dieu a considérer les animaux comme étant des soldats parce qu’il les a envoyer aux Egyptiens à l’époque des pharaons pour dévaster leurs récoltes en guise de preuve (voir le verset ci- dessus).
Ils dirent : « Nous avons souffrent avant que tu vienne à nous comme après ta venue »
Il dit peut être votre seigneur fera t-il périr votre ennemi et, après la disparition de celui- ci, vous donnera-t-il la terre, pour avoir vous vous comportez ? »
Nous avons frappé les gens de Pharaon par des années de disettes et la pénurie des fruits,- peut être auraient- il réfléchi ?
Il disaient, lorsqu’un bonheur leur arrivait :
ceci est pour nous ! »
Mais quand un malheur les frappait, ils rendaient Moïse et ses compagnons responsables de leur sort.
Est- ce que leur sort ne dépend pas uniquement de dieu ? mais la plupart d’entre eux ne savent rien.
Ils dirent « quel que soit le signe que tu nous apportes pour nous ne croirons pas en toi ! »
Nous avons envoyé contre eux l’inondation, les sauterelles, les poux, les grenouilles et le sang, comme signes intelligibles.
Vu le désastre causé par ces animaux, on qualifié ce fléaux comme une des catastrophes naturelles tel que le tremblement de terre, les inondations, les maladies…).
Parmi les types fondamentales des animaux, les orthoptères.
On peut citer, la sauterelle (schistocera gragaria), la sauterelle de Africaine migrateur( (locusta migratoria) les quelles sont végétariennes et les pertes qui résultent de leur passage sont conséquents surtout qu’elles menacent la stabilité des zones agricoles des pays les développés en Afrique ce qui implique le phénomène de la famine, le quel fera appal aux aides internationaux.
Pour les dégâts causés par la sauterelle en Afrique et en Asie selon MOKKADEM (1999) : En 1944 : 7 millions de vignes soit 19 % de la superficie globale plantée au Libye.
En 1954 : 55 millions de céréales sont détruite au Saudan.
En 1958 : 167000 tonnes de céréales équivalent à l’alimentation d’1 million d’habitants sont détruite pendant 1 an en Ethiopie.
En 1962 : 4000 hectares de coton sont détruite en Inde.
Au fait l’homme reste stupéfait devant tel phénomène et se pose des questions :
Comment un si petit animal produit des dégâts important ?
On peut expliquer et justifier ce phénomène par fait que :
* Une sauterelle consomme en une journée, en quantité, la récolte égale à son poids cette quantité augmente au fur et au mesure que la larve se développe jusqu’au dernier stade d’une sauterelle adulte qui atteint environ 2 grammes de poids et ceci après (02) à 03 semaines de croissance, en ce stade le désastre atteint son sommet, (KAREM, 1989).
* Selon les statistiques et ce qui à été dit au par avant, 40 millions de sauterelles percevraient 20 tonnes impérativement 500.000 sauterelles percevraient environ 1 tonnes : ce dernier nombre dévorai 1 tonnes de récolte équivalent à une quantité consommée par 2500 personnes, ( NUREIN, 1989 in ZERGOUN, 1994).
En ce qui concerne l’Afrique, aucun effort à été préconisé pour lutter contre les multiples attaques des criquets en différentes régions notamment les hauts plateaux en 1845.
Dernièrement une invasion de criquet à été signalée en 1950 et 1962, 1963 et 1968.
En 1987 des nuées de criquet a envahit (de genre Schistocera gregaria) l’atlas saharien et une para- pénétration en région du Tel, (SI AMMOUR et ZOUGHAILECH, 1995). Notons que ce passage à conduit l’Algérie à des pertes matérielles importantes estimées comme suit :
* 40 millions de Dollars.
* L’emploi de 450.000 L de produits chimiques.
* La mobilisation de 45 avions et 2000 personnes, sur une superficie d’environ 200.000 hectares, (CHARA, 1987).
Selon MOKKADEM (1999), l’invasion de criquets de 1867 en Algérie à causé la famine de 500.000 personnes. Des spécialistes en matière ont montrer que les insectes ont causer la désertification des anciennes villes.
Dans le même conteste on signale que la dernière invasion en Algérie fût en 1988 mois d’Avril, à induit à des dégâts de récoltes agricoles notamment les végétaux vivaces car l’invasion était survenue en période de floraison de la quasi- totalité des végétaux médicinales au aromatiques. Notons que les fellah n’ont pas pris leur dispositions pour lutter contre ces insectes et voir même, ils n’ont pas essayer de les chasser aux champs.
On observe ici en Algérie que la reproduction des criquets non migrateurs se fait dans plusieurs régions, selon la culture … on trouve en premier rang D. alifans, O. volxemi, L. watenwilans).C. barbarus, et d’autres souches…
Pour confirmer ce fleux, de grandes efforts de chercheurs internationaux devient êtres déployés pour mètre fin à cet insecte. Pour cela une organisation minutieuse doit être installée pour harmoniser les différentes réseaux d’échange d’informations.
Il y’a lieu de signaler que l’importante information citée au dessus consistent en :
L’étude de la science des …. Et de tout ce qui concerna les régions de reproduction, côté géographique et sa relation avec l’environnement et le climat.
L’étude de ces différents stades évolutifs depuis la pondaison jusqu’au l’âge adulte.
Parmi les chercheurs qui ont contribuer dans l’étude du criquet en régions de l’Afrique du Nord et spécialement en Algérie où trouve… (CHOPARD, 1943).
Concernant notre région steppique, on’ a pu observer l’intérêt de quelques chercheurs qu’ils portent aux variétés de criquets existant comme …(CHOPARD, 1938, 1943).
On peut aussi tirer quelques études effectuées dans la région par CHERAIR (1995), BENKEDDACHE (1996).
On peut dire que ces études ont contribué à grande échelle sur la classification des espèces, sur l’écologie et sur la biologie.. aussi ces études peuvent contribuer à la préparation des données ou encor à la banque d’informations spécialisée en orthoptères de façon générale et en … de façon particulière afin de cerner le problème de nuisance que cet insecte produit sur les production agricole.
Le but de notre mémoire est basé sur l’étude des variétés existant ; notre travail vient pour renforcer et poursuivre les recherches.
EL AÄRAF EL AYA 129 133.