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Organisation des Christadelphes

Organisation des Christadelphes.

Nous croyons que c’est ici la vie éternelle, que nous devons connaitre le seul vrai Dieu (Jahvé ou Jéhovah), et son fils Jésus (ou Yeshua) –Christ le Messie qu’il as envoyé. (Jn 17:3)

Ont est sur qu’ont peut seulement adorer Un seul Dieu, le Seigneur ton Dieu, et nous le servirons lui seul (Lu 4:8)

Le trait véritablement distinctif des Christadelphes c’est qu’ils trouvent dans la Bible leur seule source d’autorité et de croyances. Pour nous la Bible est la parole de Dieu, et L’Écriture est entièrement inspirée par Lui (2 Pierre 1: 20, 21 ; 2 Timothée 3: 14-17).

Si nous nous appelons chrétiens, nous devons nous fier aux Écritures avec tout autant de confiance que Jésus et ses apôtres ; nous devons admettre que la vie éternelle dont parle la Bible sera vécue sur la terre et non pas dans les cieux, et nous devons reconnaître que nous sommes pécheurs et mortels, sans espoir de vie, sauf en Jésus.

Comme Frères de Jésus ont veut suivre la théorie Jésus nous à donner et qui sont écrit dans le Nouveau Testament. Pour nous le Message de Jésus est quelques chose très important. Mais toutes les paroles de l’Ancien Testament et du Nouveau, inspirées de Dieu, sont données aux hommes et aux femmes pour leur salut. A cause de cette attitude envers la Bible, les Christadelphes croient que leur foi est identique à celle enseignée par Jésus et ses apôtres.

Nous reconnaîtrons que la foi en Jésus-Christ est essentielle pour notre salut. Un chrétien doit accepter tout l’enseignement de Jésus s’il désire vraiment devenir son disciple

Notre justice doit surpasser celle des scribes et des pharisiens et ceux de cette monde; ils doivent faire plus que les autres; en faisant l’aumône, en jeûnant, en priant, ils ne doivent pas imiter les hypocrites; en cherchant d’abord le royaume de Dieu, ils ne doivent pas ressembler aux païens. (Matthieu 5: 13, 14, 20; 6: 1-9, 16-18, 33)

Nous voulons êtres des apprentis de Jésus. En s’appelant “disciple” qu’est-ce qu’on fait? On annonce tout simplement qu’on est en train d’apprendre quelque chose. Et c’est ça notre attitude d’êtres ouvert pour étudier la Bible et d’apprendre tous les jours. Le disciple chrétien jouit du privilège ineffable d’avoir pour maître un homme sans pareil, “puissant en œuvres et en paroles” Le fils de Dieu. (Luc 24: 19).

Chez nous tout le monde sans exception: n’importe qui; “qui que ce soit”; Tous ceux qui veulent, peuvent boire “l’eau de la vie.” Il n’y a pas d’argent à payer: “vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.” (Matthieu 10: 8).

Personne n’est exclu pour des raisons de race, de classe, ou de sexe: “Il n’y a ni Grec, ni Juif, ni circoncis, ni incirconcis, ni barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre; mais Christ est tout et en tous.” (Colossiens 3: 11).

Quant à l’âge, on n’est jamais trop vieux pour commencer mais on peut être trop jeune pour être disciple en vérité. En s’enrôlant, on accepte une invitation et pour pouvoir l’accepter on doit être capable de penser sérieusement: “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes.” (Matthieu 11: 28-29). Les petits enfants ne sont ni fatigués ni chargés. Tout enfant, on ne peut pas prendre son parti, quoiqu’on puisse commencer à s’y préparer. Encore plus frappantes sont les paroles de Jésus qui suivent: (Luc 14: 26-33).[1]

Le mot français “église” provient du grec “ecclesia” et signifie l’assemblée de ceux qui ont été appelés à sortir de leurs groupements antérieurs: “Simon a raconté comment Dieu a d’abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d’elles un peuple qui portât son nom.” (Actes 15: 14). C’est par la prédication de l’évangile qu’Il a mis ce dessein en opération. Les individus écoutent la parole et y obéissent en se faisant baptiser: “grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de cœur à la doctrine dans laquelle vous avez été instruits.” (Romains 6: 17. Lire tout le chapitre). Et cet acte d’obéissance est d’abord un acte individuel, dû à Dieu lui-même; ce n’est que secondairement que ce même acte nous associe à tous les autres épars dans le monde entier et dans tous les siècles qui ont de la même façon exprimé leur foi en Jésus.

Entre tous ceux-là il existe une communion étroite qui ne dépend nullement de nationalité, de proximité, et qui est bâtie sur la même base qu’au premier siècle: “Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s’augmenta d’environ trois mille âmes. Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières.” (Actes 2: 41-42).

Si nous nous appelons chrétiens, nous devons obéir au commandement de Jésus et prouver la réalité de notre foi en nous soumettant au baptême par immersion.

Et pour continuer dans cette communion il faut rester fidèle à l’enseignement des apôtres, et aussi “marcher dans la lumière,” c’est-à-dire suivre de près les commandements divins et soumettre toutes nos pensées, toutes nos paroles et toutes nos actions à l’examen de Christ: “si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion (autrement pas) et le sang de Jésus son fils nous purifie de tout péché.” (I Jean 1: 7).

Nous voudrions suivre l’exemple de la vie de Jésus, obéir à ses commandements, commémorer sa mort, et nous tenir à l’écart de toute la méchanceté du monde.

Tâcher d’élargir ces conditions, c’est inviter le désastre: “il y a un seul corps et un seul esprit, comme aussi vous avez été appelés à une seule espérance par votre vocation; il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous” : en tous ceux qui acceptent ce seul salut. (Éphésiens 4: 4-6).

La communauté n’a pas de ministres rémunérés ni de robes officielles ni de cérémonies compliquées ni de leader humain ni de conseil législatif. Chacune de nos assemblées ou — ecclésias — (ecclesiae - mot grec du Nouveau Testament qui signifie assemblée et qui est à l’origine du mot français église) est indépendante et prend en charge ses propres affaires. Néanmoins elles sont toutes basées sur un modèle semblable - chaque membre de l’assemblée a la même importance au sein de la communauté, mains certains sont démocratiquement élus pour exercer des fonctions particulières.

A la réunion du dimanche pour — romper le pain — il y a des cantiques, des prières, la lecture de certains chapitres de la Bible, et une — exhortation — (c’est a dire des paroles d’encouragement destinées à édifier ceux qui sont présents). Le pain et le vin sont partagés parmi tous les — frères — et les — sœurs — qui y assistent.

Nous souhaiterons ardemment le jour où toute la terre sera remplie de la gloire de Dieu et sera rendue parfaite par l’œuvre du Seigneur Jésus. La Bible révèle que le dessein de Dieu aboutira au perfectionnement de notre monde et de ses saints par la puissance régénératrice de notre Père céleste.

La Bible invite chacun d’entre nous à participer à cet état glorieux.

Pour nous Christadelphes (« frères et sœurs en Christ »), l’enseignement de la Bible est une unité : nous ne saurions comprendre la fin de la Parole de Dieu (l’Apocalypse) sans en lire le commencement (la Genèse).

Les Christadelphes lisent la Bible chaque jour. Certaines utilisent un petit guide, ils lisent chaque année l’Ancien Testament une fois et le Nouveau Testament deux fois.

L’un des nombreux avantages de cette lecture c’est que chaque jour ils peuvent vérifier leurs croyances à la lumière des Écritures. (Ce guide est disponible et peut être obtenu gratuitement sur demande).

[1] “Si quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Et quiconque ne porte pas sa croix et ne me suit pas, ne peut être mon disciple.

Car lequel de vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied d’abord pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi la terminer, de peur qu’après avoir posé les fondements, il ne puisse l’achever, et que tous ceux qui le verront ne se mettent à le railler, en disant: Cet homme a commencé à bâtir, et il n’a pu achever?

Ou quel roi, s’il va faire la guerre à un autre roi, ne s’assied d’abord pour examiner s’il peut, avec dix mille hommes, marcher à la rencontre de celui qui vient l’attaquer avec vingt mille? S’il ne le peut, tandis que cet autre roi est encore loin, il lui envoie une ambassade pour demander la paix.

Ainsi donc, quiconque d’entre vous ne renonce pas à tout ce qu’il possède ne peut être mon disciple.”