Les bénéfices de l'IA et
comment limiter les risques
Décrire les bénéfices dus à l'arrivée de l'intelligence artificielle générative au service de la promotion historique et comment en limiter les risques. Question à Copilot (ChatGPT4)
L’intelligence artificielle (IA) générative est un outil qui permet de créer un contenu original à partir de données préexistantes, comme du texte, des images, des vidéos ou des sons. Elle peut être utilisée pour la promotion historique, c’est-à-dire pour faire connaître et valoriser le patrimoine historique d’un territoire, d’une époque ou d’une personnalité.
Les bénéfices de l’IA générative au service de la promotion historique sont :
Stimuler la créativité et l’innovation, en proposant des angles nouveaux, des idées originales ou des formats attractifs pour présenter l’histoire et le patrimoine.
Gagner du temps et des ressources, en automatisant certaines tâches répétitives ou fastidieuses, comme la transcription, la traduction, la rédaction ou la mise en forme de contenus historiques.
Augmenter la visibilité et l’accessibilité, en diffusant les contenus historiques sur différents supports et canaux, comme les réseaux sociaux, les sites web, les applications mobiles ou les podcasts.
Renforcer l’engagement et l’interaction, en offrant aux utilisateurs la possibilité de participer, de commenter, de partager ou de personnaliser les contenus historiques.
Les risques de l’IA générative au service de la promotion historique sont :
Garantir la qualité et la fiabilité, en vérifiant la pertinence, la cohérence, la précision et la source des contenus historiques générés par l’IA.
Respecter l’éthique et le droit, en veillant à ne pas porter atteinte aux droits d’auteur, à la vie privée, à la dignité ou à la sensibilité des personnes ou des groupes concernés par les contenus historiques.
Préserver la diversité et la pluralité, en évitant les biais, les stéréotypes, les discriminations ou les manipulations qui pourraient altérer la représentation ou l’interprétation de l’histoire et du patrimoine.
Pour limiter les risques de l’IA générative au service de la promotion historique, il faut :
Mettre en place des mécanismes de contrôle et de validation, en impliquant des experts, des utilisateurs et des régulateurs, pour vérifier la qualité, la fiabilité, l’éthique et le droit des contenus historiques générés par l’IA.
Développer des normes et des bonnes pratiques, en s’appuyant sur des principes et des valeurs partagés, pour encadrer l’utilisation, la diffusion et la conservation des contenus historiques générés par l’IA.
Favoriser la transparence et la traçabilité, en indiquant clairement la source, la méthode, le but et les limites des contenus historiques générés par l’IA, et en permettant aux utilisateurs de les consulter, de les modifier ou de les supprimer.
L’IA générative au service de la promotion historique est donc une opportunité à saisir, mais aussi une responsabilité à assumer, pour les acteurs du secteur culturel et patrimonial. Elle nécessite une collaboration étroite entre les historiens, les informaticiens, les juristes, les médiateurs et les utilisateurs, pour exploiter le potentiel de cette technologie tout en respectant les principes éthiques et déontologiques qui régissent le domaine de l’histoire et du patrimoine.
Si vous souhaitez en savoir plus sur l’IA générative et ses applications, vous pouvez consulter les sites suivants :
Numérique : la France se dote d’un comité de l’intelligence artificielle générative
Intelligence artificielle : son histoire et ses enjeux
L’intelligence artificielle générative - Bibliothèque publique d’information
Intelligence artificielle : une expérimentation dans la fonction publique
(selon Copilot)