Lucidité

Etymologie : du latin lux, lucis = lumière, a donné, lucidus = lumineux. Lucide = "qui luit", Lucidité = "esprit clair".

Définition : qualité mentale consistant à voir les choses telles qu’elles sont. La vérité est reconnue, les mirages sont vaincus.

Rayons : qualité rattachée plus spécifiquement à la chaîne impaire (et donc à la Vie). 1ère qualité du R1 : "la Vision claire", 3ème qualité du R3 : "l’Illumination mentale", 4ème qualité du R5 : "la Révélation du chemin" et 3ème qualité du R7 : "le Pouvoir de penser".

La Lucidité est rattachée à l’aspect R3 de la lumière de l’âme.

La lucidité se développe lorsque la lumière de l’âme se déverse dans le mental et le cerveau. Elle est le fruit de la méditation (du contact avec l’âme) et du service. Elle repose sur une absence de fanatisme et une domination de l’émotionnel. Elle consiste en une capacité à fonctionner avec clarté sur le plan mental, à collationner l'information, à interpréter et rapporter correctement cette information, et à créer les formes-pensées ou concepts nécessaires à ces interprétations. Ce qui est vu avec lucidité peut plus facilement se matérialiser.

La lucidité est à mettre en rapport avec l’intuition. L’intuition est une fonction du mental qui permet à l'homme de saisir la réalité avec clarté et de voir cette réalité dépouillée des mirages et des illusions des trois mondes. Lorsqu'elle fonctionne en lui, n'importe quel homme devient capable d'agir directement et correctement, car il se trouve en contact avec le Plan, avec les faits à l'état pur et sans mélange et avec les idées exemptes de déformation ; faits et idées sont affranchis de toute illusion et viennent directement du Mental divin ou universel. Le développement de cette faculté amènera une reconnaissance mondiale du Plan et ce sera la réalisation la plus importante de l'intuition dans ce cycle mondial actuel.


Pratiques pour développer la lucidité :

  1. Surveiller vos désirs, motifs et souhaits vous traversant quotidiennement. Mettez l’accent sur tous ceux d’ordre supérieur et prohiber les désirs inférieurs.

  2. Chaque jour, cherchez à contacter le Soi supérieur et à refléter Ses vœux.

  3. Chaque jour, cherchez à calmer le corps émotionnel. Déterminer ce qui vous fait céder à la peur, à l’inquiétude, aux désirs personnels de toutes sortes, au découragement, à l’hypersensibilité et tendez à surmonter ces vibrations. Pour cela, cherchez à imprimer à ces basses vibrations un rythme nouveau, éliminateur et constructif. Détournez votre attention du bas astral, ne le laissez pas vous dominer, appliquez-lui la froide logique du mental, visez une approche scientifique et rationnel de vos peurs, désirs…

Lucidité et amour :

Tout le monde dit que la lucidité tue le plaisir, que plus la pensée est éveillée, moins le plaisir est grand. » En réalité, la pensée a été donnée à l’homme pour mieux vivre le véritable amour ; sans elle, la part animale, primitive, étendrait sur lui toute sa puissance. C’est la pensée justement, c’est l’intelligence à travers la pensée qui doit contrôler, orienter, sublimer les énergies.

Omraam Mikhaël Aïvanhov – Le Masculine et le Féminin – p 127-128.

Citations complémentaires :

Passage d’une idée du plan de l’intuition au cerveau : déformation de l’idée :

1. L'idée est perçue par le mental "maintenu fermement dans la lumière de l'âme".

2. Elle descend sur les niveaux supérieurs du plan mental où elle revêt la substance de ces niveaux. Elle demeure toujours une abstraction, de l'angle du mental inférieur. Celui qui recherche l'intuition devra noter soigneusement ce point.

3. L'âme projette sa lumière vers le haut et vers l'extérieur. L'idée, faible et nébuleuse, émerge dans la conscience de l'homme. Elle est révélée, tout comme un objet se trouve révélé lorsque le faisceau lumineux d'un puissant projecteur est projeté sur lui. Le mental, s'efforçant de demeurer en contact conscient, ferme et constant avec l'âme, capable de voir dans le monde supérieur par l'intermédiaire de "l'œil de l'âme largement ouvert" enregistre l'idée avec toujours plus de clarté.

4. Révélée, l'idée devient alors un idéal pour le mental attentif et finalement quelque chose qu'il faut désirer et matérialiser. La faculté du mental de construire des formes-pensées entre alors en jeu ; l'énergie de l'idée agit sur la "substance mentale", vitalisée par la reconnaissance de l'âme, et l'idée accomplit ses premiers pas véritables vers sa manifestation. Un idéal est une idée qui s'est incarnée.

Tels sont les premiers pas vers la matérialisation. La manifestation devient possible. Et ainsi se produit l'illusion.

5. La déformation se produit maintenant, provoquée par plusieurs causes :

1. Le genre de rayon de l'égo colore l'interprétation que l'homme donne de l'idée. Il colore la forme-pensée construite. En termes symboliques, la pure lumière est changée en lumière colorée. L'idée est alors "revêtue de couleur, et, par-là le premier voile descend".

2. Le point d'évolution atteint par l'homme a aussi son effet ; il s'y ajoute la qualité de l'intégration entre les trois aspects de la personnalité et l'alignement entre l'âme, le mental et le cerveau. Ces éléments, étant nécessairement imparfaits, produisent une imprécision dans les lignes générales et, par conséquent, dans la forme finale. Nous avons donc :

a. L'intégration imparfaite de la personnalité.

b. L'imprécision de la forme-pensée proposée.

c. Le matériel inapproprié par conséquent attiré pour la construction de la forme-pensée.

d. Le déplacement du centre d'attention, en raison du caractère vague de l'idéal perçu.

e. L'instabilité du rapport entre le mental et l'idée perçue.

3. La qualité du développement du corps mental du disciple produit le prochain "voile" qui descend sur l'idée. L'idée a changé sous l'influence de la couleur du rayon de l'âme ; maintenant, le changement qui la déforme encore davantage provient du genre de rayon du corps mental généralement différent de celui du rayon de l'âme.

Ce sont les pas ultérieurs vers la matérialisation. La forme manifestée revêt une qualité particulière. Ainsi se produit l'illusion.

6. L'illusion se manifeste généralement de sept manières :

1. Par une fausse perception d'une idée. Le disciple ne peut pas distinguer entre une idée et un idéal, entre une idée et une forme-pensée, ou entre un concept intuitif et un concept mental. Cette manière de produire l'illusion se rencontre le plus souvent chez les aspirants. L'atmosphère mentale dans laquelle nous vivons tous est une atmosphère d'illusion. C'est également une atmosphère ou champ de contact conscient où se rencontrent toutes sortes de formes-pensées. Certaines sont placées là par la Hiérarchie afin d'être découvertes par les hommes ; certaines sont des formes- pensées construites par les hommes autour d'une idée ; d'autres sont de très anciens idéaux qui ont été abandonnés mais qui persistent encore en tant que formes-pensées ; d'autres encore sont absolument neuves et, par conséquent, sans grande force, mais très attirantes. Toutes ont été créées par l'homme à quelque stade de son développement individuel et racial. Beaucoup sont les enveloppes de concepts qui ont fait long feu depuis longtemps ; d'autres sont embryonnaires ; d'autres encore sont statiques et stabilisées.

Un grand nombre sont en train de descendre des niveaux de l'intuition ; quelques-unes sont encore illuminées par la claire lumière de l'âme et prêtes à se manifester. Un grand nombre d'autres formes-pensées sont en voie de désintégration. Certaine de ces formes, ou idées incarnées, sont de nature destructive, en raison du type de substance dont elles sont formées. D'autres sont constructives. Toutes sont colorées par l'énergie de certains rayons. Un grand nombre de ces formes sont nécessairement construites par les activités personnelles ; d'autres sont en voie de construction par l'intermédiaire de l'âme de même que par l'activité de l'âme et de la personnalité. Il est donc essentiel que chaque mental agissant correctement ait une juste perception. Il faut que les aspirants apprennent à distinguer :

a. Entre une idée et un idéal.

b. Entre ce qui a pris forme et ce qui est en processus de désintégration.

c. Entre ce qui est constructif et ce qui est destructif.

d. Entre les formes et les idées anciennes et les nouvelles.

e. Entre les idées et les formes de rayon, lorsqu'elles colorent les présentations supérieures.

f. Entre les idées et les formes-pensées et entre celles qui sont créées à dessein par la Hiérarchie et celles créées par l'humanité.

g. Entre les formes-pensées raciales et les idées de groupe.

Je pourrais citer bien d'autres différenciations, la liste ci-dessus suffit à montrer la nécessité de justes perceptions, et à indiquer les sources de la prédominance de l'illusion mondiale causée par de fausses perceptions.

La cause en est un mental non entraîné, non illuminé.

Le remède est dans l'entraînement selon la technique du Raja Yoga. Cet entraînement doit aboutir à la capacité de maintenir le mental fermement dans la lumière, de percevoir correctement et d'avoir une juste attitude mentale. C'est à ces justes attitudes intérieures que se référait le Bouddha lorsqu'il décrivit le Noble Sentier Octuple ; elles impliquent la capacité de parvenir à une juste élévation mentale. Oui, mes frères, je dis bien une juste élévation et non pas une juste attitude.


2. Par une fausse interprétation. L'idée, entité vitale ou germe de puissance vivante, est perçue par une vision partielle, déformée par l'imperfection de l'équipement mental et fréquemment réduite à quelque chose de futile. Le mécanisme qui permet de la comprendre n'existe pas.

Bien que l'homme mette en jeu ce qu'il a de meilleur et de plus élevé, bien qu'il soit dans une certaine mesure capable de maintenir son mental dans la lumière, ce qu'il offre cependant à l'idée est encore très inadéquat. Ainsi se manifeste l'illusion par une fausse interprétation.

La cause est une surestimation des propres pouvoirs mentaux. Le péché par excellence du type mental est l'orgueil qui colore toutes les activités dans les premiers stades.

Le remède est le développement d'un esprit prudent.

3. Par une fausse appropriation des idées. Ce qui provoque l'utilisation fausse d'une idée est la faculté de dramatiser et la tendance, propre à la personnalité, d'affirmer le petit soi ; elles amènent l'homme à s'approprier une idée comme si elle lui appartenait et à lui donner une importance exagérée parce qu'il la considère comme sienne. Il se met à construire sa vie, autour de son idée, à considérer comme ayant une grande importance ses desseins et ses objectifs, s'attendant à voir les autres reconnaître que cette idée est sienne. Il oublie qu'aucune idée n'appartient à qui que ce soit, qu'elles viennent du plan de l'intuition et qu'elles sont un don et une propriété universels ; elles n'appartiennent à aucun mental. Sa vie comme sa personnalité est subordonnée à l'idée qu'il a d'une idée et à l'idéal qu'il se fait de l'idée. L'idée devient dramatiquement l'agent du dessein de la vie qu'il s'impose à lui-même, le conduisant d'un extrême à l'autre. Ainsi se manifeste l'illusion par une fausse appropriation.

La cause en est une surestimation de la personnalité, une impression exagérée des réactions de la personnalité sur l'idée perçue et sur tous ceux qui tentent de venir en contact avec la même idée.

Le remède est un effort constant afin de décentraliser la vie de la personnalité et de la centrer sur l'âme.

Je voudrais ici rendre un point bien clair. Il est très rare que les idées parviennent directement des niveaux de l'intuition à la conscience mondiale et au mental humain. Le stade de développement actuel ne le permet pas encore. Les idées viennent des niveaux de l'intuition seulement lorsqu'il y a un contact constant avec l'âme, une puissante maîtrise mentale, une intelligence bien entraînée, un corps émotionnel purifié et un bon système glandulaire, résultant de ce qui précède. Réfléchissez-y.

Lorsqu'elles sont d'un ordre très élevé, la plupart des idées sont amenées dans la conscience du disciple par son Maître et lui sont communiquées par télépathie mentale ; la chose est possible en raison de la sensibilité du disciple au "don psychique des ondes" ainsi que cette faculté est nommée dans l'enseignement tibétain ; les idées sont alors perçues dans l'activité réciproque établie entre disciples. Lorsque les disciples s'assemblent, stimulant ainsi réciproquement leur mental et concentrant leur attention, il arrive fréquemment qu'ils parviennent à établir un contact avec le monde des idées, ce qui autrement serait impossible, et à formuler de nouveaux concepts. En outre, certaines grandes idées existent en tant que courants d'énergie sur le plan mental. Les disciples peuvent entrer en contact avec elles et les obliger à se manifester, grâce à leur attention entraînée. Ces courants d'énergie mentale, colorée par une idée fondamentale, sont placés là par la Hiérarchie. Lorsqu'il les découvre et les contacte, le néophyte est enclin à considérer ce fait de manière personnelle et il attribue l'idée à sa propre sagesse et à son propre pouvoir. Vous remarquerez donc combien il est nécessaire que ce qui est contacté soit correctement compris et interprété.

4. Par une fausse direction donnée à l'idée. C'est dû au fait que le disciple ne voit pas encore les choses comme elles sont. Son horizon est limité, il fait preuve de myopie. Sa conscience perçoit un fragment d'idée fondamentale qu'il attribue à un domaine d'activités avec lequel il n'a absolument aucun rapport. Il commence donc à travailler avec cette idée, l'envoyant dans des directions où elle n'est d'aucune utilité ; il commence à la vêtir d'une forme qui ne lui convient aucunement, l'exprimant d'une manière qui lui enlève toute utilité. Ainsi donc, dès le premier contact, le disciple est sujet à l'illusion ; aussi longtemps qu'elle dure elle renforce l'illusion collective. C'est là une des formes les plus communes de l'illusion et l'une des premières façons dont l'orgueil mental du disciple peut être brisé. Il s'agit là d'une illusion par mauvaise application initiale conduisant à utiliser ou à diriger faussement l'idée.

La cause est un mental limité et non inclusif.

Le remède est la formation du mental en vue de le rendre inclusif, bien développé sous l'angle de l'intelligence des temps modernes.

5. Par la fausse intégration d'une idée. Chaque disciple a un plan pour sa vie, un champ de service qu'il a choisi sinon il n'est pas disciple. Ce peut être le foyer, ou l'enseignement, ou encore un champ plus vaste, mais c'est toujours un domaine déterminé où il exprime ce qu'il y a en lui. Dans ses méditations grâce au contact avec les autres disciples, il peut percevoir une idée qui est peut-être importante pour le monde. Immédiatement il la saisit et cherche à l'intégrer dans le dessein et le plan de sa vie. Il se peut qu'il n'ait d'elle aucun besoin précis qu'il ne devrait pas s'en occuper. L'activité exagérée de son mental est sans doute responsable du fait qu'il s'en soit saisi. Les disciples ne doivent pas nécessairement travailler avec toutes les idées qu'ils perçoivent et contactent ; ils ne le comprennent pas toujours. Le disciple se saisit donc de l'idée et cherche à l'intégrer dans ses plans il essaie de travailler avec des énergies pour lesquelles son tempérament ne l'a pas préparé. Il impose un courant d'énergie à son corps mental auquel celui-ci est incapable de tenir tête ; et le désastre s'ensuit. Beaucoup de bons disciples font preuve d'un mental exagérément actif et fertile ; ils ne parviennent à aucun objectif constructif, à aucune activité constructive dans leur vie. Ils saisissent chaque idée qu'ils rencontrent, sans discernement. Il s'agit là de l'illusion provenant du désir d'acquérir.

La cause est la cupidité et l'égoïsme du petit soi même si le disciple ne le comprend pas et s'il est sous l'emprise du mirage que constitue l'idée même de son propre désintéressement.

Le remède est l'esprit d'humilité.

6. Par la fausse incarnation des idées. Il s'agit surtout ici des difficultés rencontrées par les âmes évoluées qui arrivent en contact avec le monde de l'intuition, qui ont l'intuition de grandes idées spirituelles, qui ont la responsabilité de leur donner une forme, automatiquement, spontanément, grâce à l'activité entraînée et rythmique de l'âme et du mental, toujours en étroite collaboration. L'idée est contactée, mais elle est revêtue d'une matière mentale qui ne lui convient pas ; dans sa voie vers la matérialisation, elle prend donc une mauvaise direction. Elle se trouve, par exemple, intégrée à une forme-pensée de groupe dont la coloration, la note fondamentale et la substance ne conviennent pas à ce qu'elle doit exprimer. Cela arrive beaucoup plus souvent que vous ne le pensez. C'est l'application, sur un plan élevé, de l'axiome hindou : "Mieux vaut le dharma personnel que celui d'autrui".

Il s'agit là de l'illusion provenant d'un faux discernement en ce qui concerne la substance.

La cause est le manque d'entraînement ésotérique à l'activité créatrice.

Le remède est l'application des méthodes de cinquième rayon, méthodes du plan mental.

L'aspirant moyen commet rarement cette forme d'erreur ; elle se réfère à une illusion qui est un test pour beaucoup d'initiés d'un degré assez élevé. (…).

7. Par une fausse application des idées. Que de fois le disciple tombe dans cette forme d'illusion ! Intuitivement, et aussi avec intelligence (notez la différence entre les deux termes) il contacte une idée et il l'applique mal. C'est sans doute là un aspect de l'illusion globale, ou illusion de l'ensemble du plan mental, avec laquelle l'homme moderne entre en contact. L'illusion varie d'âge en âge, suivant ce que cherche à faire la Hiérarchie, ou suivant le cours général des pensées des hommes. Le disciple peut donc être poussé à une activité erronée et à une application erronée d'idées, parce que prédomine dans son esprit l'illusion collective produite par les Six types d'illusions auxquels je me suis référé plus haut.

Je pourrai continuer à m'étendre sur les manières dont l'illusion prend au piège le disciple imprudent, mais ce que j'en ai dit suffira sans doute à provoquer en vous l'analyse constructive qui conduit de la connaissance à la sagesse. Vous avez remarqué que les sept voies principales de l'illusion sont :

1. La voie de la fausse perception.

2. La voie de la fausse interprétation.

3. La voie de la fausse appropriation.

4. La voie de la fausse direction.

5. La voie de la fausse intégration.

6. La voie de la fausse incarnation.

7. La voie de la fausse application.

Le Mirage, problème mondial p 39 à 46.


Le véritable amour ou sagesse voit avec une clarté parfaite les imperfections de chaque forme, et tend chaque effort pour aider la vie intérieure à se libérer des entraves. Il reconnaît sagement ceux qui ont besoin d'aide et ceux qui ne nécessitent pas son attention. Il entend avec précision et voit la pensée du cœur, cherchant toujours à fondre en un tout les travailleurs dans le champ du monde. Ceci n'est pas accompli aveuglément mais avec discrimination et sagesse, séparant les vibrations contraires et les plaçant dans des situations diverses. Trop d'accentuation a été mise sur ce qui est appelé l'amour, interprété par l'homme suivant sa place dans l'évolution, et pas assez sur la sagesse, qui est l'amour s'exprimant dans le service, un service qui reconnaît la loi occulte, la signification du temps, et le point atteint. Lettres sur la Méditation Occulte p 278.