La jeunesse algérienne sous la tyrannie des hyènes.

Tourner-en-rond... Le monopole qui fait exiler la belle jeunesse.

Parmi les 2 millions d'Algériens vivants à l'étranger de Brillants ENTREPRENEURS, corporation qui exprime le génie créateur de l'individu, sa dextérité, son audace et son attrait pour la prospérité.

Environ 15 000 médecins formés à l'université algérienne sont en France, sous-payés par rapport à leurs collègues autochtones ou simplement les autres européens. Leur syndicat s'intitule « Syndicat des Médecins Etrangers », leur secrétaire algérien est un docteur en réanimation, une spécialité dont l'Algérie est en déficit.

En Algérie, quand un jeune cadre arrive fraîchement dans son premier boulot, il est dirigé et reçu par LE CORROMPU, l'INCOMPETENT ET LE CHEF DE LA SECTION FLN/RND. Ce dernier parti a compacté les compétences. Il est son directeur et son chef de service, qui vérifiera s'il sera retenu ou pas !

Il faut, s'imaginer faute de, connaître comment et que vivent les petits amateurs de théâtre ? A Bouira, Sédrata, Mazouna, Aïn-Defla, Laghouat et j'en passe les bourgades à renfermer des structures hostiles à leur génie... 

Face aux directeurs de maison de jeunes, au contrôle de l'identité nationale et à la cynique censure sans morale, le prétexte est : est-ce que son texte n'est pas Juif ! Les pièces théâtrales liquidées, parce que jugées communistes (ou contraires aux valeurs nationales), se confrontent simplement au contrôle bureaucratique. L'exclusion laisse les jeunes qui rêvent de les créer, sur le carreau ! Plus nombreux les spectacles jugés contre l'Islam et même la révolution, que ceux donnés à la TV et dans les salles en faillite ! 

Il faut ressentir que vivent les jeunes musiciens privés du fil de guitare, sous pénurie. 

Quand les moudjahidine viennent leur demander de chanter lors d'une commémoration : du 5 juillet, du 1èr novembre et même du 19 mars. L’ancien combattant aux 2 villas rutilantes, qui vient les voir, ne s’excuse même pas devant son propre fils... Car sa fille est déjà sous hidjab comme un sexe à bannir devant les yeux des autres hommes... quans il l'oblige de faire "fausse note". 

Oui, quand-même le propre rejeton du moudjahid est membre du groupe de jeunes amateurs de musique, tentant d’exploiter le délabré équipement de la maison de jeunes de la localité, il lui dit : … "pour un fil manquant à une guitare, on ne va pas célébrer en fanfares…" Une guitare où un fil fait défaut, résonne faux ! Et notre ancien ne le comprend pas !

Le pays qui enfante les "haragas", est dans l’irrationnel d’une misère démographique. 

Cette nation qui a des écoles qui passent pour des Médersas de Talibans… Ne mérite-t-il pas une révolution !