DEMOS-EDITOS (Notre éditorial)

N° 1*

LES ALGERIENS A LA MERCI DES MENTEURS, 

DES ESCROCS ET DES FAUX MOUDJAHIDINE

Dernier recueillement qui nous a été donné d'entendre. 

Bouteflika, à propos de l'attentat du jour de la veille du jour l'an 2011 en  Egypte : Bouteflika dénonce un horrible acte criminel !

Bouteflika ne l'a jamais fait pour des attentats en Algérie sauf lorsqu'il a été lui même ciblé. Une drôle d'attitude !

Messaâdia se ventant, de mensonge adultérin avec la haine, à Georges Marchais (ex Boss du PCF), qu'il était dans LES JEUNESSES COMMUNISTES ALGERIENNES AVEC A T I K A. Oui avec Boutef. Quelle misère ! 

Le témoin qui nous rapporté cette grossière affabulation, nous interpelle, si le défunt Messaâdia est au paradis, dans l'histoire du peuple qu'il a brimé et dans les annales (comme le panthéon de France) algériennes ? Il est du PCF et au parfum des affaires algériennes, comme il en raffole quotidiennement des plus délirantes.

L'auteur de cette vérité servie croustillante à AKHBAR DZAER (du mensonge d'un politicard algérien) était le traducteur de Messaâdia (parlant un français JUSTE VITAL) lors de sa rencontre avec le marxiste Georges Marchais. Depuis, ce dernier bloqua les rapports de son parti le PCF avec les algériens issus du PCA (Parti Communiste Algérien) et regroupés dans l'ancien PAGS (Parti de l'Avant-Garde Socialiste).

"LE TEMPS DES PLEUREUSES" (les femmes payées par les despotes et les religieux POUR PLEURER LES MORTS), telle est la signification des la déclaration du raïs algérien concernant les koptes. 

La même année un match de football a tourné au drame de la haine entre algériens et égyptiens et que tous efforts diplomatiques n'ont pu taire. A ce sujet, il faut relire les propos d'un certain Kamel Bouchama, dans la presse algérienne. Ex-commissaire du FLN spoliateur du pouvoir après l'indépendance, ancien secrétaire de l'UNJA et même ministre de la jeunesse, est le modèle de cadre algérien pour Abdelhamid Mehri, Messaâdia et nombreux "squatters" du sigle FLN à la barbe des historiques comme Boudiaf et Aït-Ahmed. Les propos de cet apôtre du parti qui a à son fronton la libération, et à ce jour... (ne sait-il pas encore en effet que l'Algérie a eu sa souveraineté en 1962) reflètent l'ignominie de basse échelle. Celle du discours de l'arabisme dont ils ont toujours gavé le peuple algérien.   

Quand un athée peut avoir le droit de vie CHEZ LES MUSULMANS, il faut que le chrétien PUISSE LIBREMENT PRIER ! 

Bouteflika ne sait-il donc pas que son pays bat le record mondial des victimes de l'islamisme.

Mais il n'est pas le seul à plaindre ! Parait-il toute la société et la patrie avec !

Edito N°2

Rendez-vous le 12 février à Alger pour une    marche de l'opposition

Ce titre est produit par Akhbar-Dzaer     

(original :    Algérie: marche de l'opposition le 12 février pour "le départ du système") dépêche de l'   AFP – 

ALGER — Une marche pour demander le "départ du système" a été fixée au 12 février à Alger par une Coordination nationale pour le changement et la démocratie, regroupant des organisations de la société civile et des partis d'opposition, a-t-on appris samedi auprès des organisateurs.

--

"La manifestation initialement prévue le 9 février aura finalement lieu le samedi 12 février, jour de repos hebdomadaire. Les travailleurs et les étudiant pourront ainsi y participer", a déclaré à l'AFP le président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH) Musatapha Bouchachi.

Cette coordination, née le 21 janvier dans la foulée des émeutes du début janvier qui ont fait cinq morts et plus de 800 blessés, avait alors annoncé son intention d'organiser une marche autour du 9 février, date anniversaire de la proclamation de l'état d'urgence en Algérie.

Une commission préparatoire a été installée à l'issue d'une réunion vendredi des initiateurs de cette manifestation, a ajouté Me Bouchachi.

Outre la LADDH, cette coordination comprend des syndicats autonomes d'enseignants, des organisations estudiantines, des partis politiques, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, opposition) notamment, et des représentants de la société civile.

"Nous réclamons un changement de régime", a déclaré de son côté à l'AFP le président du syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP) Rachid Maalaoui, responsable de la commission préparatoire.

Ils revendiquent la levée de l'état d'urgence, instaurée il y a 19 ans, mais surtout "le départ du système". S'appuyant sur les exemples de Tunisie et d'Egypte, ils ont souhaité adopter le slogan "système dégage", mettant l'accent sur les revendications économiques et sociales, dont le chômage des jeunes (plus de 20% d'entre eux sans emploi) et la crise du logement, fréquemment à l'origine d'émeutes.

Me Bouchachi, a indiqué que l'itinéraire de la marche sera communiqué deux jours avant sa tenue.

La Coordination s'attend à ce que l'autorisation des autorités pour leur marche du 12 février soit refusée.

Samedi dernier, d'importantes forces de l'ordre avaient quadrillé les entrées de la capitale et le centre-ville pour empêcher une marche organisée par le RCD. Les militants de cette formation s'étaient retrouvés bloqués devant le siège du parti par des centaines de policiers.

Les manifestations de rue sont interdites à Alger depuis juin 2001 quand une marche en faveur de la Kabylie avait tourné à l'émeute faisant huit morts.

POUR LIRE L'ARTICLE DANS SON CONTEXTE