Mirage 2000D

Cet appareil biplace (pilote + opérateur d’armement) est en fait un dérivé du Mirage 2000B. Dassault l’a d’abord développé comme chasseur bombardier nucléaire (version N ; premier vol le 3 février 1983 ; entrée en service en 1988 ; septante-cinq appareils livrés à l’armée de l’Air française) à même de remplacer les Mirage IV ; ensuite comme chasseur polyvalent (version D ; premier vol le 19 février 1991 ; entrée en service en 1993 ; quatre-vingt-six appareils livrés à l’armée de l’Air française) à même de prendre le relais des Mirage III et F1.

Mirage 2000 D à Koksijde (Belgium) ce dimanche 5 juillet 2009 (#)

Sa vitesse maximum est de mach 2,2 et son rayon d’action de 3333 km (pour la version N). Neuf points d’ancrage disposés sous la voilure et le fuselage rendent à même cet appareil d’emporter 7260 kg d’armement (missiles air-air Magic 2; ASMP nucléaire ; Apache ; missiles air-sol ; bombes ; bombes à guidage laser ; paniers à roquettes ; etc). Il peut aussi recevoir des réservoirs externes. Sa longueur est de 14,5m ; son envergure de 9,1 m et sa hauteur de 5,1 m.

Mirage 2000 D à Koksijde (Belgium) ce dimanche 5 juillet 2009 (#)

Mirage 2000 D à Koksijde (Belgium) ce dimanche 5 juillet 2009 (#)

Mirage 2000 D à Koksijde (Belgium) ce dimanche 5 juillet 2009 (#)

Mirage 2000 D à Koksijde (Belgium) ce dimanche 5 juillet 2009 (#)

xxx