Service d'autobus - 12 octobre 1928
Canton de Bruyères
Comment M. Divoux sert les intérêts du canton
On nous écrit :
Durant près de trois mois, les habitants des communes de Aydoilles, Fontenay, Méménil, Viménil, Girecourt, Gugnécourt Destord, Nonzeville, Pierrepont, Padoux, Bult et Sainte-Hélène eurent le bonheur de jouir des avantages du service d’autobus de la Société générale des transports départementaux Epinal-Sarrebourg.Chacun était heureux d’en profiter, car en peu de temps on pouvait aller, soit sur Rambervillers, soit sur Epinal.Mais malheureusement, ce bien-être si apprécié ne fut pas sans déplaire au tenancier du service d’autobus Epinal-Rambervillers.Alors il alla demander aide et protection au grand conseiller général du canton de Bruyères, sachant d’avance qu’il marcherait dans sa combine.De l’entrevue des deux compères, il sortit une pétition stipulant qu’il y avait bien assez du père Launois pour faire le service de Rambervillers-Epinal.Et le conseiller général du canton de Bruyères apposa sa signature en tête de la liste. La pétition fut remise entre bonnes mains pour satisfaire ceux qui n’admettent pas que le soleil luise pour tout le monde.
Article publié dans le journal Le Télégramme des Vosges - 12 octobre 1928
Comment M. Divoux sert les intérêts du canton
On nous écrit :
Durant près de trois mois, les habitants des communes de Aydoilles, Fontenay, Méménil, Viménil, Girecourt, Gugnécourt Destord, Nonzeville, Pierrepont, Padoux, Bult et Sainte-Hélène eurent le bonheur de jouir des avantages du service d’autobus de la Société générale des transports départementaux Epinal-Sarrebourg.Chacun était heureux d’en profiter, car en peu de temps on pouvait aller, soit sur Rambervillers, soit sur Epinal.Mais malheureusement, ce bien-être si apprécié ne fut pas sans déplaire au tenancier du service d’autobus Epinal-Rambervillers.Alors il alla demander aide et protection au grand conseiller général du canton de Bruyères, sachant d’avance qu’il marcherait dans sa combine.De l’entrevue des deux compères, il sortit une pétition stipulant qu’il y avait bien assez du père Launois pour faire le service de Rambervillers-Epinal.Et le conseiller général du canton de Bruyères apposa sa signature en tête de la liste. La pétition fut remise entre bonnes mains pour satisfaire ceux qui n’admettent pas que le soleil luise pour tout le monde.
Article publié dans le journal Le Télégramme des Vosges - 12 octobre 1928