Auto contre poteau - 23 septembre 1929
AYDOILLES
Auto contre poteau. — Samedi 21 septembre, vers 10 heures du matin, M. Veyrier, industriel à Bruyères, se rendait en auto-limousine à Epinal, par Aydoilles, quand arrivé dans cette localité et ayant actionné son appareil avertisseur avant d'atteindre la bifurcation située aux environs de la tuilerie Bastien, il se vit obligé d'obliquer brusquement à droite, pour éviter une collision avec une auto, allant aussi vers Epinal et pilotée par M. H. Alexandre, de Golbey, sortant au même moment du chemin bifurquant à sa gauche.La collision fut évitée, mais l'auto de M. Veyrier se précipita à bonne allure contre un poteau téléphonique. Le choc fut très violent et la voiture, sérieusement endommagée, se renversa sur place tandis que son conducteur était blessé à la joue gauche, peu grièvement.La gendarmerie de Bruyères, informée, vint procéder à l'enquête sans retard. D’après ses constatations, M. H. Alexandre aurait eu le seul tort de ne pas avoir laissé passer M. Veyrier avant lui, une auto venant de gauche devant céder le pas à celle venant de droite, en vertu du code de la route.
Article publié dans le journal Le Télégramme des Vosges
Auto contre poteau. — Samedi 21 septembre, vers 10 heures du matin, M. Veyrier, industriel à Bruyères, se rendait en auto-limousine à Epinal, par Aydoilles, quand arrivé dans cette localité et ayant actionné son appareil avertisseur avant d'atteindre la bifurcation située aux environs de la tuilerie Bastien, il se vit obligé d'obliquer brusquement à droite, pour éviter une collision avec une auto, allant aussi vers Epinal et pilotée par M. H. Alexandre, de Golbey, sortant au même moment du chemin bifurquant à sa gauche.La collision fut évitée, mais l'auto de M. Veyrier se précipita à bonne allure contre un poteau téléphonique. Le choc fut très violent et la voiture, sérieusement endommagée, se renversa sur place tandis que son conducteur était blessé à la joue gauche, peu grièvement.La gendarmerie de Bruyères, informée, vint procéder à l'enquête sans retard. D’après ses constatations, M. H. Alexandre aurait eu le seul tort de ne pas avoir laissé passer M. Veyrier avant lui, une auto venant de gauche devant céder le pas à celle venant de droite, en vertu du code de la route.
Article publié dans le journal Le Télégramme des Vosges