juillet 2014
Une nouvelle étape vient de débuter sur le site provençal du chantier d'ITER (International thermonuclear experimental reactor), la future machine qui testera la possibilité de fabriquer de l'énergie par fusion thermonucléaire, à l'image de ce qui se produit dans le cœur du Soleil. Le 10 juillet on a commencé à couler le béton de la partie centrale de l'installation, là où s'élèvera le réacteur expérimental. Cette vidéo d'Universcience.tv, produite en 2013, résume les principaux défis du projet et d'un chantier pharaonique qui devrait s'achever au début de la prochaine décennie.
Warkawater (Warka est le nom d’un figuier africain symbole de fertilité) est constituée d’un filet à mailles fines de nylon ou polypropylène qui condense la vapeur d’eau présente dans l’atmosphère. En bas de la tour, un réservoir permet de collecter jusqu’à 100 litres d’eau potable par jour, selon son créateur. L’ensemble est adossé à une structure tressée à partir de matériaux naturels locaux et ne pèse que 60 kg.
DE L'EAU POTABLE ET GRATUITE
En Éthiopie, les villageois sont souvent obligés de marcher plusieurs heures avant d’atteindre une source d’eau à la qualité douteuse. « Warkawater a été conçue pour fournir de l’eau potable, protéger l’environnement mais aussi fournir un débouché financier aux habitants des villages », explique Arturo Vittori. Car si une tour coûte environ 550 dollars, elle fournit de l’eau gratuitement par la suite. « Une fois qu’ils ont appris à construire une tour, les locaux pourront transmettre leurs connaissances aux villages alentours », poursuit-il. Cinq prototypes ont déjà été fabriqués et exposés, notamment à la biennale de Venise. Arturo Vittori espère construire les deux premières tours en Éthiopie courant 2015 et cherche des soutiens financiers pour essaimer l’Afrique.
http://www.wedemain.fr/Warkawater-la-tour-qui-transforme-l-air-en-eau_a544.html
Jusqu'à présent, les nombreuses communautés rurales dans ce cas étaient obligées de ramener des bidons d'eau à pied, parfois très loin et sur des chemins escarpé
http://www.linternaute.com/science/environnement/dossiers/06/eau-potable/12.shtml
Un filet capteur de brouillard consiste à récupérer les fines gouttelettes d'eau contenues dans les nuages et la brume grâce à un long filet constitué de mailles très fines, et c'est en ce sens que l'on peut considérer cette technique comme une manière désapprovisionnement en liquide.
Cette méthode est expérimentée pour le moment surtout dans des pays comme le Chili et le Pérou, où l'accès à l'eau potable demeure difficile et le brouillard régulier.