2014
PERMACULTURE
ancienne méthode d'irrigation
http://www.permaculture.co.uk/readers-solutions/clay-pot-irrigation-simple-adaptation-ancient-technique
PERMACULTURE ?
La permaculture est un art de vivre qui associe l'art de cultiver la terre pour la rendre fertile indéfiniment avec l'art d'aménager le territoire. Elle n'est pas un mode de pensée mais un mode d'agir qui prend en considération la bio-diversité des écosystèmes12 ; elle est un ensemble de pratiques, de principes, et un mode de pensée visant à créer une production agricole durable. Cette production tend à être très économe en énergie (travail manuel et mécanique, carburant...) et respectueuse des êtres vivants et de leurs relations réciproques. Elle vise à créer un écosystème productif en nourriture ainsi qu'en d'autres ressources utiles, tout en laissant à la nature « sauvage » le plus de place possible.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Permaculture
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La FNAB (Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique) devrait donc mettre en place un nouveau logo, destinés aux agrobiologistes français qui respectent les normes plus contraignantes que celles de l'Europe. Il y a donc plusieurs niveaux en agriculture biologique.
AB signifie Agriculture Biologique. Il garantit que l'aliment contient au moins 95% d'ingrédients issus du mode de production biologique. Cette certification est placée sous le contrôle d'un organisme indépendant et agrée par les pouvoirs publics.
Union Européenne et Agriculture Biologique. Label certifiant qu'un produit est issu de l'agriculture biologique pratiquée sur le territoire européen. Le logo européen n'est pas obligatoire et est peu utilisé. Il cède généralement la place à des logos nationaux ou indépendants.
L’agriculture biologique est un système de production agricole basé sur le respect du vivant et des cycles naturels1, qui gère de façon globale la production en favorisant l'agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques2.
Pour atteindre ces objectifs, les agriculteurs biologiques doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent notamment l'usage d’engrais chimiques de synthèse et de pesticides de synthèse, ainsi que d'organismes génétiquement modifiés.3
Les agriculteurs qui pratiquent ce type d'agriculture misent, par exemple, sur la rotation des cultures, l'engrais vert, le compostage, la lutte biologique, l'utilisation de produits naturels comme le purin d'ortie ou la bactérie Bacillus thuringiensis, et le sarclage mécanique pour maintenir laproductivité des sols et le contrôle des maladies et des parasites.
L'agriculture et le jardinage bio-dynamiques :
l'agriculture du 21ème siècle
Rediffusion du reportage de France3 Alsace sur la bio-dynamie en
L'AGRICULTURE BIO DYNAMIQUE
" L’agriculture bio-dynamique est une agriculture assurant la santé du sol et des plantes pour procurer une
alimentation saine aux animaux et aux Hommes. Elle se base sur une profonde compréhension des lois du « vivant »
tellement dégradée qu’elle n’est plus capable de se guérir elle-même et qu’il est nécessaire de redonner
au sol sa vitalité féconde indispensable à la santé des plantes, des animaux et des Hommes grâce à des ...
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L'incroyable disparition de nombreuses espèces végétales est due à la réussite d'une seule espèce : l'Homme. Qui, par la pollution qu'il occasionne, la surexploitation qu'il valorise et le réchauffement climatique qu'il génère, a perturbé l'écosystème à un rythme cent fois supérieur au cours naturel d'extinction. Ajoutons à cela un appauvrissement des espèces végétales comestibles savamment orchestré.
La perte de la biodiversité s'accélère à une vitesse jamais enregistrée dans l'histoire de la planète. Depuis que la machine a remplacé le muscle, l'homme a intensifié l'agriculture. Pour produire plus de variétés ? Non, par souci de rendement ! Et cette production intense, portant le nom pervers de « révolution verte », se définit en cinq points : monoculture, haut rendement, engrais chimiques, pesticides et mécanisation.
Peu à peu, les fruits et légumes que l'on caractérisent aujourd'hui d'anciens, ont laissé leur place à de nouvelles variétés à haut rendement. Les espèces liées à l'agriculture extensive ont régressé au fur et à mesure que le marché mondial des semences est devenu un enjeu économique colossal.
Les multinationales procèdent à une sélection des espèces végétales massivement commercialisables, ce que l'on peut constater des jardineries jusqu'aux supermarchés : les graines sont le plus souvent des produits hybrides. Comment les reconnaît-on ? Au calibrage quasi parfait des produits, à la couleur intense, mais surtout à leur beauté malgré les semaines qui passent. Le meilleur exemple étant la tomate. Posez-la dans votre frigo et trois semaines plus tard, elle n'aura pas changé d'aspect !
Et c'est sans compter sur la perte de la biodiversité : alors qu'il existait plus de 7 000 variétés de tomates au début du siècle dernier, l'Union Européenne en dénombre à peine 150 de nos jours, dont 70 à peine sont commercialisées. Et sur nos étals, à peine 5 co-habitent !
Autre fruit, même constat : la pomme. Au début du 20e siècle, la France pouvait s'enorgueillir de 3 600 variétés de pommes. Aujourd'hui, seule un petite dizaine est présente sur les étals de nos marchés.
Même la pomme de terre n'a pu échapper au sort de l'agriculture intense : le meilleur exemple de cette standardisation se trouve chez Mac Do', dont les frites qui alimentent les fast-foods du monde entier sont faites à partir des 4 mêmes variétés de pommes de terre.
Les inconvénients pour l'homme et la planète sont multiples : pour toujours produire plus, les produits de l'agriculture intensive contiennent de nombreux pesticides, ce qui provoque une perte de vitamines, un manque de goût, sans parler des risques pour l'environnement et pour la santé de l'homme.
En cultivant des espèces calibrées et à haut rendement, les multinationales et les supermarchés ont réussi à standardiser notre alimentation au détriment de la biodiversité. Ce qui leur permet de réaliser des économies conséquentes, mais également la création d'un profil idéal de consommateur-type.
La course au rendement pour les uns et la culture de surconsommation pour les autres ont conduit l'Homo Economicus à modifier son comportement et ses habitudes alimentaires. Ce n'est plus la nourriture qui grignote le budget familial, mais les dépenses afférentes au logement et aux transports. Si la nourriture arrive en 3e position, c'est à coup de changements conséquents : la consommation de viandes et produits industriels augmente, tandis que celle des fruits et légumes diminue.
lire +++
http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2343_fruits_legumes_consommation.php
Pour beaucoup, cultiver bio signifie simplement ne pas utiliser de produits chimiques. Pourtant ce n'est pas suffisant, le jardinage biologique implique en réalité une approche et une gestion radicalement différente.
Etymologiquement "bio" (du grec "bios") signifie "vie". Cultiver bio implique donc un respect de toutes les formes de vie en présence : minérales, végétales, microbiennes, animales et humaines. Ce n'est pas là une simple question de principe mais bel et bien une condition de base à un bon équilibre du microenvironnement que constitue un jardin (ou une exploitation agricole).
Les maladies ou autres invasions de "nuisibles" résultent toujours d'un déséquilibre. Ces déséquilibres sont la conséquence directe de la disparition de zones enherbées, des friches, de tas de bois ou de pierres, des mares... Autant de niches écologiques pour des nombreuses espèces animales garantes d'un équilibre naturel.
Ainsi, la Vie, sous toutes ses formes, devrait être au centre des préoccupations de tout jardinier ou agriculteur biologique. Mais qu'en est-il en réalité ?
http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2761_jardinage_biologique.php
Invisible et dangereux. Qui suis-je ?
L'homme produit chaque année 400 millions de tonnes de produits chimiques. Utilisés massivement dans l'agriculture, mais aussi dans des produits de la vie quotidienne, ils ont un pouvoir de dissémination très important. Nous les retrouvons notamment dans notre alimentation et sont soupçonnés d'être à l'origine de nombreuses maladies comme le cancer.
C’est pourquoi le WWF agit en soutenant des programmes de prévention, en faisant la promotion de l’agriculture responsable et en incitant les collectivités à gérer leurs déchets raisonnablement
18/11/2011
Après dix ans de recherche, le groupement scientifique sur les sols a dressé le premier bilan de l'état des sols en France, lors d'une conférence donnée le 18 novembre 2011. Celui-ci est nuancé avec des points positifs et des préoccupations pour le futur.
Parmi les points positifs, on compte « de faibles teneurs pour la majorité des contaminants et une bonne gestion de certaines propriétés des sols » : acidification, teneur en potassium, biodiversité. « Les sols ne sont pas morts », a insisté Dominique Arrouays, de l'Inra.
FRATERNITE OUVRIERE
A Mouscron, le potager le plus dense est sans conteste celui de Gilbert et Josine Cardon. Ce couple cultive naturellement des milliers de plantes... et en fait bénéficier les autres via les Fraternités ouvrières. Une association d’éducation permanente ouverte à tous pour recevoir un conseil “jardin” ou donner un coup de main. Reportage : Pierre Wuidart et Antoine
http://www.notele.be/index.php?option=com_content&task=view&id=6971&Itemid=254
L'HOTEL A INSECTES
des chutes de planche qu'il me restait, j'ai fabriqué un hôtel à insectes. Le bois a été protégé avec un mélange d'huile de lin et d'essence de thérébentine pour ne pas faire fuire ou intoxiquer les hôtes.
L'objectif est double :
- attirer les insectes qui ont un rôle bénéfique au jardin (pollinisateur, prédateur...),
- pouvoir observer de près ces petites bêtes.
http://verger-et-rucher-de-l-estey.over-blog.com/article-l-hotel-a-insectes-44615013.html
Fabriquer un insecticide naturel maison, avec des produits naturels, pour polluer moins la terre et les plantes de votre jardin, ce n’est pas très difficile. Il suffit de le vouloir, de s’organiser un peu et de suivre quelques recettes que vous donne régulièrement consoGlobe.
http://www.consoglobe.com/fabriquer-propre-insecticide-naturel-1858-cg
un livre à lire
http://www.biodiversite2012.org/documents/CP-delannoy-economie_A42.pdf