BassesConsommations

« Les ampoules basse consommation émettent des ondes électromagnétiques, sont des mini-usines d'éclairage, et contiennent du mercure, toxique » : c'est ce que prétend Annie Lobé, qui se présente comme « journaliste scientifique » dans une longue pseudo-démonstration vidéo que l'on reçoit de plus en plus souvent, accompagnée du message « il ne nous reste plus qu'à nous éclairer à la bougie ».

Alors que les ampoules à incandescence sont sur le point de disparaître de la circulation, il est temps de démonter la rumeur.

Les lampes dégagent-elles des ondes ?

Oui, comme tous les appareils électriques. Le ballast électronique inclus dans l'ampoule et qui permet de produire la lumière en émet, mais dans des proportions jugées non dangereuses pour la santé. Le Scientific Committee on Emerging and Newly Identified Health Risks(SCEHNIR), organisme indépendant qui a travaillé pour la Commission européenne, a publié le plus récent et officiel rapport sur les risques liés à la sensibilité lumineuse.

http://www.rue89.com/hoax/2009/08/22/non-lampoule-basse-conso-nest-pas-dangereuseIl prévient seulement les autorités contre l'exposition prolongée, dans des conditions extrêmes et à une distance inférieure à 20 cm, à la lumière de ces lampes dites « fluo-compactes », et met en garde contre d'éventuelles séquelles pour la peau et les yeux. Oui mais « ces lampes ne sont pas faite pour être collées à la joue, dès qu'on s'éloigne, le champ magnétique diminue considérablement », remarque le Syndicat de l'éclairage.

Le mercure peut exister sous 3 formes dans le corps :

le Hg 0 : C'est celui qu'on trouve dans les thermomčtres, et qui est métallique

le Hg 1 : ou mercure organique, lié au poisson. Il nous vient aussi des plombages lors de la déglutition.

En effet, ce sont certaines bactéries qui transforment le mercure métallique en mercure organique. Notons que sous cette deuxičme forme, il est environ 50 fois plus toxique que sous la forme métallique

le Hg 2 : qui est une forme inorganique du mercure.

C'est sous cette forme qu'il se dépose dans les dents.

Les membranes cellulaires ne présentent pas de barričre contre les vapeurs de mercure. Le métal atteint ainsi le cerveau sans aucun problčmes

On a pu établir un lien entre le mercure et la maladie d'Alzheimer. En effet, lorsque le mercure arrive dans les cellules nerveuses, il provoque les męmes réactions que celles provoquées par la maladie d'Alzheimer.

Lors d'autopsies du cerveau faites sur des personnes décédées de la maladie d'Alzheimer, on a mesuré quatre fois plus de dépôts de mercure et deux fois plus de dépôts d'aluminium dans leur cerveau que dans celui de personnes mortes de mort naturelle.

Lorsque qu'il arrive dans l'organisme, le mercure s'y disperse, privilégiant cependant certains endroits précis oů on le trouve en plus grande concentration.

Les sportifs de haut niveau ne peuvent pas avoir de mercure dans leurs muscles, ces derniers étant trop utilisés. De ce fait, on trouve un haut pourcentage de sclérose en plaques chez ces personnes.

Ne pouvant se fixer dans les muscles, le mercure migrera ainsi essentiellement dans les cellules nerveuses. Notons que, chez les autres personnes, le mercure est réparti de façon plus ou moins réguličre dans le corps.

http://www.ateliersante.ch/mercure.htm

Depuis la révolution industrielle de la fin du 19čme sičcle, nous avons tous malheureusement (et incontestablement) été exposés ŕ un univers de plus en plus toxique et pollué.

Parmis les plus dangereux de ces polluants figure le mercure, considéré comme le métal lourd (non radioactif) le plus toxique.

il n'existe AUCUNE fonction métabolique pour laquelle on sache que le mercure serait indispensable.

Le mercure est considéré comme toxique quelle que soit sa concentration dans l'organisme et peut causer une trčs grande variété de perturbations psychologiques, comme des problčmes nerveux ou musculaires, des changements d'humeur, des problčmes avec les organes ou les systčmes, et des problčmes physiques généraux comme fatigue, faiblesse et pâleur.

Le mercure est un métal lourd présent naturellement dans l'environnement sous différentes formes chimiques. A température ambiante, sa forme pure, le mercure élémentaire, est liquide et a tendance à former lentement des vapeurs de mercure au contact de l'air. Dans la nature, le mercure se retrouve plus souvent sous forme de mercure inorganique et de mercure organique. Plus en anglais…

1.2 Des phénomènes naturels (ex. : l'activité volcanique, l'érosion des roches) et certaines activités humaines (ex. : l'exploitation minière, la fabrication et l'utilisation de certains produits, l'utilisation de combustibles) peuvent provoquer des rejets de mercure dans l'environnement. Une fois rejeté, le mercure peut alors facilement voyager entre air, eau et sols, pouvant passer d'une forme à une autre du fait de certains procédés naturels. Plus en anglais…

1.3 Le mercure peut avoir des effets néfastes sur les organismes vivants et sur l'environnement. Ces effets dépendent de la forme sous laquelle se présente le mercure ainsi que de la dose d'exposition, etc...

http://www.greenfacts.org/fr/dossiers/energie.htm

Le mercure est l'élément chimique de numéro atomique 80, ce qui signifie que quatre-vingts électrons tournent autour du noyau d’un atome de mercure. Ce métal est à l’état liquide quand il est à température ambiante. On s’en sert notamment pour fabriquer les amalgames à base d’étain utilisés pour obturer les dents. Le chlorure mercurique (ou sublimé) est mortel à partir de 1 g. L’intoxication par le mercure est appelée hydrargyrisme ou hydrargyrie. Le mercure participe actuellement à divers médicaments, et tout particulièrement aux antiseptiques puissants comme le Mercurochrome ou dibromo-hydroxy-mercuri-fluorescéine ; il est également employé en ophtalmologie. Industriellement, le mercure est utilisé dans l’industrie électrique ainsi que dans la fabrication de thermomètres, des batteries, des piles, des vernis et de la peinture.

http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/mercure-3003.html