Le concept du beau renvoie implicitement (pour moi) à l'idéalisme platonicien.
Pour échapper à ce contexte, je proposerais un effort de décomposition, sur des dimensions qui ne seront bien sûr pas orthogonales, et qui sont déjà présentes dans les pages publiées précédemment :
Dialogue sur l'art, L'art en soi, Information ouverte, Against Interpretation