Certains brillants cerveaux, les multibilliardaires de la Silicon Valley, tels Sergey Brin, co-fondateur de Google, ou Peter Thiel, fondateur de PayPal, sont des 'Immortalistes'. L'appellation est trompeuse; en fait, ils pensent que nous pourrons un jour 'faire disparaitre la mort', et Dmitry Itskov, prévoit la vie éternelle pour 2045. Les Überrich du numérique investissent dans les biotechnologies pour éradiquer la mort.
Vaincre la mort - Atteindre l'immortalité - voilà un projet très égoïste et totalement ignorant.
Comment de si brillants individus - à l'aune des critères de réussite matérielle - peuvent-ils ignorer les recherches scientifiques en cours sur l'après-vie, dont les résultats montrent très clairement qu'il n'est pas nécessaire d'avoir un corps physique pour être en vie.
Si le millième des sommes qu'ils investissent dans les nouvelles biotechnologies, était investi dans la recherche sur l'après-vie, cela permettrait de financer bien des programmes scientifiques de recherches sur les NDE, les OBE, la TCI, la télépathie, la médiumnité, le remote viewing, les phénomènes psy, les états de conscience élargie... en bref, la nature de la conscience.
Bien sûr, cette vision repose sur une approche de la personne autre qu'uniquement matérialiste : elle permet d'affirmer que nous sommes plus que notre corps physique.
Mais alors de quoi ces geeks ont-ils si peur? Tous les communicants nous transmettent que les dimensions de la vie après la vie ne sont pas l'annihilation de l'être, bien au contraire.
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Woody Allen nous a prévenu 'la vie est une maladie mortelle' et il n'a pas peur de mourir, il préfère juste ne pas être là quand ça se produira!
Alors que faire car cet évènement peut se présenter à tout moment?
S'informer et se préparer à transitionner, serait-ce l'antidote à la peur de la mort?
Toute notre vie est, consciemment ou non, une préparation pour ce moment, car les sentiments, les émotions, les actions, les impressions que nous aurons cultivés, ou auxquels nous nous serons laissés aller de façon répétitives et paresseuses, façonneront notre expérience dans l'après-vie.
Durant cette vie-ci ou après, nous aurons à nous reconnaître responsables de nos actions et intentions. Si nous avons délibérement été malveillants, il nous faudra obtenir le pardon de notre victime et nous pardonner à nous-mêmes. Il semble que les deux parties restent liées tant que le pardon n'est pas accordé. Au final, il est altruiste de pardonner car c'est dans notre propre intérêt - appelons cela un égoïsme intelligent, gagnant-gagnant. Nous sommes à la fois responsables de nos actes et pourtant déterminés par nos automatismes inconscients, qu'il nous appartient de rendre conscient et de défaire.
Toutes les traditions spirituelles enseignent que si nous ne pouvons faire le bien, nous devons tout au moins nous abstenir de faire le mal. Cela implique de contrôler nos paroles et nos actions, s'interdire tout ce qui peut nuir aux autres, à la planète, et à nous-mêmes. Il est évident que nous faillirons plus d'une fois; l'intention qui sous-tend l'action est déterminante : avons-nous l'intention de blesser, sommes-nous malveillants?
Exercer sa vigilence et son esprit d'analyse semble être un bon entrainement pour plus tard. Reconnaître avec honnêteté nos motivations, même les plus obscures, nous rendra service dans cette autre dimension. Ici, dans la dimension physique, nos désirs et nos motivations peuvent être travestis - mais dans l'état vibratoire désincarné, nos désirs et nos motivations s'étaleront au su et au vu de tous car ils commanderont la luminosité de notre rayonnement et détermineront notre environnement. Ils façonneront ce à quoi nous ressemblerons et qui nous côtoierons. Il ne s'agit pas de se juger ni de se flageller mais d'être introspectif. Cette simple vigilence aura un effet transformateur.
L'amour, plus qu'une simple émotion, est le courant spirituel qui sous-tend tout ce qui est, manifeste et non-manifeste - son opposé est la peur. Les esprits communicants nous recommandent tous de faire nos choix de vie depuis cette source en nous. Cultivons cette habitude autant que possible et notre transition se fera sans peur.
'Ciel' et 'Enfer' sont des états de conscience, d'ores et déjà présents en nous. Quand la colère, la peur, l'envie, ou la haine nous rongent, nous faisons l'expérience de l'enfer. Quand nous éprouvons amour, beauté et vérité, nous sommes en état de grâce.
Ressentons dès à présent notre éternité. La vie sur terre est une expérience temporelle qui ne dure que le temps d'un battement de cil à l'échelle de notre éternité. Remettons dans cette perspective toutes les épreuves qui se présentent à nous. Rien en fait ne dure, rien ne se déroule dans le temps. Ce sont nos filtres sensoriels qui nous donne à percevoir cette illusion. Et aussi l'illusion de notre séparation, d'avec les autres êtres ici-bas, et d'avec les êtres déjà transitionnés : quand nous retombons dans cette pensée matérialiste plombante, qui nous fait voir la vie physique sur terre comme la seule réelle et la mort comme la fin, qui nous fait douter de l'existence de l'âme, rappelons-nous que nous sommes en fait des êtres spirituels faisant une brêve expérience physique. La conscience survit, la conscience est éternelle, conscience est ce que nous sommes.
Sachant celà, nous ne pouvons plus redouter la transition car il devient alors évident que nous ne ferons que quitter le corps physique, qui nous aura hébergé un temps, et auquel nous nous serons totalement identifiés de façon bien mal avisée.
Il n'y a rien à craindre, nous nous retrouverons de l'autre côté tel que nous sommes, le corps physique en moins.
Vie et Conscience sont infinies et éternelles, changent forme mais jamais ne cessent.
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Cet article se propose de détailler le processus de transition d’un état incarné, notre état actuel, à un état désincarné suite à l’abandon du corps physique. Je m’appuie sur un texte publié par Roberta Grimes sur son site et intitulé ‘The happy process of natural death’.
L’heureux processus de la ‘mort’ naturelle
Il est toujours utile de se rappeler que la ‘mort’ est partie intégrante de la vie car le niveau de désinformation et de peur qui l’entoure encore au XXIe siècle est sidérant ! D’un côté la communauté scientifique ‘mainstream’ persiste dans sa croyance que la mort de notre corps entraîne la mort de notre esprit, tandis que le clergé chrétien prêche qu'après la mort nous pourrions nous retrouver à brûler en enfer, ou alors en souffrance au purgatoire, ou si nous sommes ‘méritants’ oisivement endormis au ciel jusqu'à la fin des temps. Les informations concernant le processus de la transition et de ses suites sont pourtant abondantes et disponibles aux esprits souhaitant s’informer.
Roberta Grimes écrit que nous planifions notre ‘mort’ dans le même temps que nous planifions notre vie. Notre mort est planifiée avant notre naissance afin d’être un retour facile et joyeux à notre vie éternelle véritable. Tous les événements importants de notre vie sont planifiés ; notre conscience supérieure prévoirait même deux ou trois options de sortie possible quand vient l’heure pour nous de quitter cette vie-ci. La ‘mort’ à un moment autre que planifié est bien sûr envisageable mais rare. Au niveau conscient nous ne savons presque jamais que notre esprit supérieur s’y prépare ; mais bien souvent après le décès, les proches se souviennent que le défunt avait passé ses derniers mois à régler des détails, à se réconcilier, à terminer des projets, à rembourser ses dettes et généralement à mettre les choses en ordre pour ceux qui restent.
Le jour de notre transition se doit d’être le plus heureux et le plus beau jour de notre vie. C’est le jour où nous retrouvons nos êtres chers que nous pensions ne plus jamais revoir, le jour où nous pouvons voir et serrer dans vos bras les guides qui nous ont accompagné et conseillé au cours de cette vie et le jour béni où nous nous défaisons de cette illusion et retournons à la joie de notre vraie condition. Notre ignorance culturelle volontaire sur la mort signifie que trop de gens bâclent leur transition et s’égarent temporairement.
Abordons donc ici ce qui arrive réellement au cours d’une ‘mort’ bien planifiée dont la plupart d’entre nous ferons l’expérience.
Gardons l'esprit ouvert ! Approchons notre ‘mort’ avec confiance en sachant que le processus sera facile et heureux et que nous serons à tout moment assistés par des êtres chers. Peut-être nous endormirons-nous ici pour nous réveiller ‘là-bas’, cependant la plupart d'entre nous resterons éveillés pendant au moins une partie du processus de transition.
Nous commencerons le processus de séparation de notre corps dans les heures qui précèdent notre ‘mort’.
Bien que variable et personnelle, en général ce qui ressemble à une guérison partielle est le premier signe de cette séparation. Les personnes comateuses peuvent se réveiller, peut-être même s'asseoir et converser normalement. Les personnes atteintes de démence, incohérentes depuis des années, peuvent participer à une conversation avec leur entourage. Il semblerait que la douleur et la peur disparaissent complètement, nous nous sentons mieux, bien présents et réconciliés avec le fait de notre ‘mort’. La séparation partielle de notre corps énergétique - notre esprit, ou notre ‘âme’ - du corps physique sur le point de mourir serait la cause de tous ces changements positifs.
Quelques heures avant la mort,le timing est variable, des visiteurs se manifestent autour du lit du mourant, ce que l’on nomme ‘deathbed visitors’. Des personnes que nous savions mortes se présentent à la personne mourante ; cela peut se produire déjà deux semaines avant le décès, mais le plus souvent, ces visiteurs se présentent au cours des deux derniers jours. Pour le mourant, c'est une expérience sidérante ! Imaginez, vous êtes en train de mourir, pas mal à l'aise et pas vraiment inquiet, mais toujours incertain quant à la suite, soudain papa apparaît dans un coin supérieur de la pièce, d’apparence solide et dans la force de l'âge. Il se met à vous parler dans votre tête et vous lui répondez mentalement. Il peut descendre au milieu de la pièce ou rester partiellement visible dans un angle du plafond. D'autres êtres chers décédés, tous resplendissants, ou même des animaux de compagnie, peuvent le rejoindre. Cette apparition soudaine d'êtres chers, longtemps après leur décès, est si captivante que le mourant s’arrête d'interagir avec ses visiteurs vivants. Parfois, certaines personnes présentes dans la pièce perçoivent également ces visiteurs et il leur est même possible d’accompagner la personne mourante au tout début de son voyage de transition. Raymond Moody détaille dans ‘Glimpses of Eternity’ cet intéressant phénomène d’expériences de mort partagée.
Mourir activement est un processus graduel. Dès que vous voyez votre premier ‘visiteur’ à votre chevet, vous savez que tout ira bien, alors ce qui arrive ensuite peut se révéler très intéressant à ceux qui restent conscients. Représentez-vous votre corps terrestre tel une poupée russe. Une ou deux couches extérieures vont maintenant mourir - celle composée de matière, et peut-être aussi l’aura énergétique (sans certitude). Mais les corps énergétiques internes soutenant l’esprit incarné survivent à la mort. Vos corps imbriqués doivent donc se séparer. Les personnes restées conscientes pendant tout ce déroulement disent que la séparation commence dans les doigts et les orteils et progresse vers le torse ; c’est une sensation de nombreux petits fils se cassant à l'intérieur du corps. R. Grimes compare cela à des bandes velcro qui se séparent. La partie énergétique qui vous quitte se ‘dé-velcroïse’ de votre corps physique et se rassemble dans votre poitrine. Elle quitte le corps à travers la paroi thoracique ou par le sommet du crâne et s'élève dans les airs. Les personnes au chevet peuvent parfois apercevoir une brume ténue grise. Maintenant qu’elle est libre de toute matière, son taux vibratoire augmente rapidement, de sorte que très vite les vivants ne peuvent plus la voir. Ce brouillard, c'est vous ! Il contient votre conscience, et selon certains témoignages, ce processus de quitter le corps est extrêmement agréable. Flottant dans les airs au-dessus de votre corps, invisible à quasiment toutes personnes vivantes, vous vous reconstituez en un être d'apparence solide et encore rattaché à votre corps physique par un cordon lumineux appelé corde d’argent. Vous étreignez joyeusement vos ‘deathbed visitors’. Vous êtes tous solides, jeunes et beaux.
La rupture de la corde d'argent représente le moment effectif de notre mort.C’est cette attache à notre être énergétique qui a permis au corps matériel de rester en vie. Dès qu’elle se rompt, le cœur physique s’arrête. Et nous nous sentons en pleine forme, jeune, vigoureux et ravi de pouvoir nous affranchir de ce vieil ancrage corporel ; mais les personnes vivantes que nous aimons et qui sont restées à notre chevet réalisent que notre corps vient de mourir. C'est le moment le plus dangereux de notre existence ! Nos actes seront dorénavant décisifs, nous dit-elle.
Il est essentiel de suivre les ‘deathbed visitors’. Nous sommes aussi vulnérables quand nous sortons de notre corps en train de mourir que lorsque nous sommes sortis du canal génital, et cela serait la raison pour laquelle notre décès programmé inclut des ‘deathbed visitors’. Nos visiteurs essaient de retenir notre attention, et ils nous encouragent à les accompagner sur le champ, car s’attarder auprès des proches endeuillés nous expose au risque de rester ‘earthbound’ (collé à la densité terrestre).
Notre état à venir se trouve exactement ici où nous sommes, mais son taux vibratoire est plus élevé. Concevons notre esprit comme un poste de télévision et notre mort comme un simple changement de chaîne, toutes les fréquences existent dans un même espace mais à des longueurs d’ondes différentes. Une fois notre corde d'argent rompue, nous aurons l'impression de bouger physiquement mais en réalité nous- et ceux qui nous accompagnent - élevons nos vibrations personnelles, nous passons de ce que nous pourrions appeler le canal physique au canal légèrement supérieur de l'au-delà. Ce processus n'implique ni tunnel ni lumière! Ce cliché issu des expériences de mort imminente semble être un simple dispositif d’assistance aux personnes qui sortent de leur corps de façon inattendue.
Pour la plupart des personnes, la transition c’est comme pénétrer dans un rapide brouillard.La pièce autrefois solide où nous sommes morts devient floue et vaporeuse puis disparaît. Tandis que devant nous le brouillard se lève pour révéler un nouveau monde magnifique et intensément coloré mais solide et étonnamment terrestre. Il existe quelques canaux d'après-vie inférieurs et nombre d’autres supérieurs, tous existent à peu près dans l’espace où nous nous trouvons ; le Summerland où nos familles se rejoignent pour nous accueillir est magnifique et vaste, au-delà de notre capacité d’imagination ou de description. En ce qui nous concerne, après avoir simplement quitté notre corps et retrouvé des êtres chers que nous pensions avoir perdus, nous nous retrouvons soudainement jeunes et beaux, et nous nous tenons sur une terre ferme dans un environnement semblable à la Terre, mais de loin plus magnifique que tout ce qui existe sur Terre. Il n'y a qu'amour et joie dans l'air et la pure lumière blanche qui irradie si complètement cet endroit se perçoit comme un amour au-delà de notre capacité à contenir.
Pour conclure, rappelons que la mort n’est pas une extinction mais un éveil à ce que nous sommes depuis toujours. Le point de focal de notre conscience se déplace d’un plan physique à un plan vibratoire supérieur qui lui est maintenant librement accessible, après une période plus ou moins courte d’égarement ou de sommeil réparateur. Repètons-le, nous n’allons nulle part après la ‘mort’, nous sommes déjà là. Ce n’est pas un changement de lieu mais un changement d’état, de taux vibratoire. Nous ne sommes pas un corps avec une conscience mais une conscience animant temporairement un corps physique d’une certaine densité vibratoire donnée.
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À l’heure où tant de personnes meurent à l’hopital, éloignées de leurs proches interdits de visite, et juste une poignée de personnes autorisée à assister aux funérailles, il me semble essentiel pour la paix de l’esprit des mourants et de leurs êtres chers de témoigner du fait que Personne ne peut mourir seul -
Ce texte est extrait de Death is of Vital Importance par Elizabeth Kubler-Ross, que je ne pense pas avoir besoin de présenter. Psychiatre et auteure, ses recherches et ses travaux avant-gardistes et inédits, de même que sa volonté inflexible forcèrent la profession médicale à changer sa vision de la fin de vie et à mettre en place des soins palliatifs permettant aux patients de mourir dans la dignité. http://ekr.france.free.fr
Il y a trois raisons pour lesquelles personne ne peut mourir seul. Outre l'absence de douleur et l'expérience de l’intégrité physique dans un corps simulé et parfait, que nous pourrions nommer corps éthérique, les personnes auront aussi conscience qu'il est impossible de mourir seul. Cela vaut autant pour quelqu'un qui meurt de soif dans un désert à des centaines de kilomètres de toute âme qui vive que pour un astronaute ratant son entrée et errant dans l’espace jusqu'à mourir par manque d'oxygène. Les patients se préparent lentement à la mort, comme c'est souvent le cas avec les enfants atteints de cancer. Quelques temps avant la mort, ils commencent à réaliser qu'ils ont la faculté de quitter leur corps physique - ils ont ce que nous appelons une expérience hors du corps. Nous faisons tous ces expériences hors du corps dans certains états de sommeil, mais très peu d'entre nous en sommes conscients. Les enfants mourants, beaucoup plus réceptifs, sont plus spirituels que les enfants du même âge en bonne santé. Ils prennent conscience de ces courts voyages hors de leur corps qui les aident à effectuer leur transition et à se familiariser avec leur destination prochaine. Au cours de ces voyages hors du corps, les patients mourants perçoivent la présence d'êtres qui les entourent, les guident et les aident. Voilà la première raison pour laquelle nous ne pouvons pas mourir seul. Les jeunes enfants les appellent souvent ‘camarades de jeu’. Les religions les ont appelés anges gardiens. La plupart des chercheurs les appellent ‘guides’. Peu importe le label que nous leur donnons. Il est important de savoir que depuis le moment de la naissance, depuis le premier souffle jusqu'au moment de notre transition qui met fin à cette existence physique, nous sommes accompagnés par ces guides ou anges gardiens. Ils nous attendent et nous assistent dans la transition de cette vie à l’autre vie après la mort.
La deuxième raison pour laquelle nous ne pouvons pas mourir seuls : nous serons toujours accueillis par les êtres chers qui nous ont précédés dans la mort et que nous avons aimés. Ce peut être un enfant que nous avons perdu des décennies plus tôt, ou une grand-mère, un père, une mère ou tout autre personne qui aura été importante pour nous.
La troisième raison pour laquelle nous ne pouvons pas mourir seuls : lorsque nous laissons notre corps physique, même temporairement avant la mort, nous évoluons dans une dimension où n’existe ni temps ni espace. Dans cette dimension, nous pouvons être partout où nous choisissons d'être, à la vitesse de notre pensée. Un jeune homme qui meurt au Vietnam et pense à sa mère à Chicago, se retrouve à Chicago à la vitesse de sa pensée. Si vous périssez dans les Rocheuses pris dans une avalanche et que votre famille vit à Virginia Beach, vous serez à Virginia Beach à la vitesse de votre pensée.