PLAN: Citation/chanson/Filmes repère et inspirants | Commentaire généraux glanées | Commentaires postésEB
Par sujet/Thème:
SOLUTIONS?:
1-Choix politiques / -Actions effectives par secteurs conventionnels:
Prod&Activités/Economie primaire: AGRICULTURE&Sylv. | HABITAT | INDUSTRIE Manufaturière 'esssentielle'
Prod&Activités/Economie secondaire: INDUSTRIES mfg du confor/loisir/luxe/highTech/digital... | TRANSPORTS | ENERGIE (Nucleaire)
Prod&Activités/Economie tertaire: Loisir, Luxe,
2-Par princiep/concepts: Remettre en cause / changer de paradigmes? (solutions thématiques, idéaux, par sujets transversaux ou globalisants):):
SALAIRES | CROISSANCE | TRANSPORT | CONFORT | COMMERCE et ECHANGES |
Régime politique/Modèle Social: EtatSocial | EtaEco | LIBERALISME(%Marché du travail,...) |
DEMOGRAPHIE | SOBRIETE, Empreinte carbone, Métaux, | Dégonfler les villes, Décarboner l'économie.
: Mesure sur l'économie financières (plusvalue, imposition et taxations) |
+cf résumé des points clés / page 1-Société; Cf aussi Pour une vie meilleure (PERSOnnelt AMIcal et FAMIlial, Citoyen)
actions / page Sc&Tech > Energie utile (ENRs) > Shift Project
(page pour les exemples inspirants, directions à agir et actions. (pour les constats et surtout contrexemples, puis analyses et reflexions, cf Evolutions sociétale écologiques)
Sélection de chansons engagées pour une société meilleure :
>des chansons historiques incontournables:
.chansons révolutionnaires telle la La Marseillaise (1792) dont j'exècre certains passages ses consoeurs 'Ah ca Ira, La Carmagnole), Le Chant des Canuts(chant de revolte ouvriers de Lyon); Bella ciao(
.chansons exaltée sur la vie chahutée: Le temps des cerises (1866/La commune de Paris: ode à une ambulancière morte à Paris pendant la Semaine sanglante); Les loupiots(1895: ode aux enfants dans la misère); d'autres antimilitaristes: Le Chant des Canuts(1935: ode à la beauté du monde, fuachée par la guerre des nazis); L'insurgé(1884:; s'insurger contre la société, déjà avec une conscience écologique!);
>Pierre Perret: son air parfois simpliste, enfantin, ... PP distille des textes superbes et engagés.
Amour, Liberte, Vérité, il faudra choisir... /YT (parole a 2016/Bruno Dangrezat)
Au nom de Dieu (/YT (parole à 2017/arramy evelyne)
La femme grillagée(/YT (parole à 2017/pascal gruet) | et... La femme Battue |
Lily | mais aussi... La petite Kurde (/YT, paroles à 2018/Laurent Potelle) | Malika (/YT, parole à 2017/arramy evelyne)
>Histoire "Raison d'y croire" (Laurent Ladouari, lié au ShiftProject). à lire ou écouter(30min). Gentille pt histoire d'un enfant qui attend que l'invention de son père qui la présente en Suède soit publiée dans une 'gazette de la finance'. Plein de pt clins d'oeils aux solutions en gestation, contrariées par l'actualité,... "La soln" est elle dans la technologie?, ou le but le contact humain, avec son père, sa mère, la positière/aubergiste,... !
Collection de petits mots/textes inspirants, a titre de révolté ou de lamentation ou lassitude... alternant avec d'autres de bon sens ou raison ou ouverture d'esprit, d'après des commentaires glanés ici et là[source], parfois modifiés:
[20201-PascaleHuet/voeux] ... (en guise de voeux de la nouvelle année, elle s'excuse envers ses enfants).
[2020/FB-Claire Ruc] Nous savons que la situation de la planète au point de vu écologique est catastrophique. Nous sommes aux pays des ventilateurs. Tout le monde fait du vent mais rien ou si peu de concret. Je suis coupable des connaître la situation et de ne rien faire pour ma survie.
"Parole, Parole, Parole..." dites par BB a nos petits enfants. Le chef de l'ONU, le pape, ... chacun sent le vent tourner, et si peu agissent pour le bien climatique/humain à la hauteur de leur pouvoir. M'enfin, ca va dans le bon sens, chacun à le droit de dire, d'écouter et y croire. Ca va qd meme dans le bon sens, a force les Trump et Bolso pourraient s'isoler
[20106.FBe 4 juin à 08:47/LeRubanDeLaTerre] Dans votre vie, vous aurez besoin très sans doute d'un médecin, d'un banquier, d'un policier, ... et au delà d'ingénieurs et ouvriers pour avoir fabriqué une chaise ou une voiture... Mais tous les jours, trois fois par jour, vous avez besoin d'un agriculteur!
(section a déménager/?beaj?)
Peut on appliquer ces préceptes/de la décroissance à des entreprises (à des pays, au monde)? JMJ botte en touche, disant que, certes, personne (lui même) n'accepte facilement que son activité régresse /sauf cause de force majeure/ (quid du pouvoir/influence, du revenu - ce qui nous branche dans un modèle évolution par crises).
La question n'est pas d'accepter de la décroissance, mais soit accepter de réduire notre niveau de vie (ce qui semble impossible à installer rapidement, sauf dictature ou guerre), soit donc plutôt d'accepter moins de consommation énergétique à périmètre de satisfaction de ses besoins égal (faire vivre honnêtement ses employés; et être content des taches et résultats accomplis, en paix avec son environnement cad sans le léser, exploiter abusivement).
Une entreprise pourra faire vivre honorablement ses employés (et prodiguer du bien/service alentour) à périmètre d'activité équivalent voire décroissant, s'il est plus efficient:
-ex1 l'entreprise dépense moins d'énergie par unité d'activité mais ne baisse pas ses prix de vente, ce qui lui permet de payer pareil ses employés (et augmenter son capital), ou peut les payer mieux, et alors aussi peut même réduire un peu son activité de façon à juste satisfaire ces employés et son capital (sans croissance): décroissance par plus d'efficience énergétique.
-ex2 les employés acceptent d'avoir moins de besoins de loisir/confort et un salaire corolairement moindre mais couvrant aussi bien (voire mieux!) leurs besoins essentiels (besoins de l'économie primaire: pour manger, se protéger,...); du coup l'entreprise, et les autres, n'ont plus besoin de produire des biens et services non essentiels (économie tertiaire/quaternaire minimisé). décroissance par de moindres besoins de consommation.énergie. Ceci suppose ne pas avoir l'esprit colonialiste, ne pas empiéter sur le travail/revenu d'autres entités (ou alors de façon réciproque, synergique). Ce qui semble assurément difficile dans la culture actuelle ou ne pas croitre c'est "régresser" face à la concurrence, ne pas conquérir d'autres marchés/activités/profits c'est mourir,...
On confond croissance et développement: Croitre c'est plus produire (et plus consommer, pour pas plus de besoins primaires). Se développer c'est produire autrement (qualité, efficience), ce qui dans notre monde actuel ne se fait pas sans croissance, mais pourrait permettre sans croissance de moins travailler à satisfaction égale des besoins essentiels. On peut meme se développer pour s'adapter à des conditions plus difficiles, qui requierent moins d'activité: ex adapter son rythme et modifier son type d'activité en période trop chaude ou froide. Ex extrême: hiberner! Le développement peut servir donc une régression temporaire avec maintient de la résilience.
(autres notes/dires de JMJ)
On mondialisait des choses rares et/ou a faible rapport de volume-poids/valeur: l'or, le sel, la soie. A présent on mondialise des objets à fort volume et/ou poids, faible valeur (coton,petrole, objets plastiques,...). Il est plus probable qu'à l'avenir un sac Vuitton puis rester mondialisé (créneau du luxe) que des pots plastiques pour jardin.
Aujourdui on s'affranchit du temps/horaires, de l'énergie/cout matériaux, extraction, et transformation (par économie d'échelle): le train part a tel heure, qu'il y ait du vent ou pas, des clients ou pas,... On seche un récolte d'aliment l'hivers (autrefois que l'été)? Mais de fonctionnement de disponibilibilité et efficacité et rapidité maximales nous coutent très cher, en fait pour l'instant à l'environnement.
Apprendre la sobriété: moins consommer de qui est surperflux / mieux consommer ce qui est essentiel (besoins primaires)
ne pas chercher la disponibilibilité des biens, l'efficacité et rapidité des actions, ... maximales.
https://theshiftproject.org/article/crise-climat-plan-transformation-economie-chantier-urgence-crowdfunding/(1h55 dont 1h de Q&R)
+ relai sur https://www.facebook.com/TheShiftProjectThinkTank (avec commentaires), et Youtube (sans commentaires), + sur Tweeter, LinkedIn, Whatsapp
Ok l'intro (+15min mais un peu long (normal...); 2m partie (stratégie generale/Nicolas Raillard) assez nul;
*Priorités sur l'axe Agriculture/alimentaire(Felix Lallemend): Relocaliser les systeme agricoles/alimentaires à l'echele du territoie, changer les; agit sur l'emmploi agricole;: canger les mode de production et emission associées
*Priorités sur l'axe Mobilité(Romain Grandjean/aeronautique et automobile coté contreparties/actions court-terme): reduire le besoin de déplacements pour diminuer le nb de km parcourus (travail-domicile; loisirs); report du modle voiture solo vers des alterantive (transport partagé, plus remplis;...); trnasformation du parc automobile; rendre al mobilité decarbona accessible et désirables par tous/plus. Donc liens avec l'urbanisme; le monde du travail... evolution de d' l'industrie des cycles.
*Priorités sur l'axe Industrie/ILMR: Ind.Lourde, Manufacturièrer,Recyclage&Dechets (Maxime Efoui-Hess): construire/inventer un systeme industriel permettant de produire des futurs transités; production résiliente de facon générale, avec dependant aux intrans extérieurs); donc penser les flux de matière, recyclage) et éenrgie.
*Priorités sur l'axe Santé(Matthieu Sattler et Laurie Marrauld et Marine Srfati): attenuer la dépendance énergétique quel incidence sur les métiers; modes de vie plus sains, plus frugal.
?Mathieu Auzanneau(++)
*Priorités sur l'axe Urbanisme(Olivier Davideau et Marie Jorio; ?+Remi Babut/Batiment): repenser la forme et densité urbaines pour satisfaire les enjeux (Alimentaiotn, Mobilité, Industrie, Santé) de facon écoresponsable et resiliente:
*Priorités sur l'axe Defense&Sécurité(Clement): gendarme, armée et industrie... Faire émergie les leviers clé liés à la stratégie globale (decarbonation, ...): culture de la sobriété + protection régalienne des ressources energétiques
*Priorités sur l'axe Culture(Anaîs Roesch et Samuel Valesi;): la culture joue un role dans la transition pour les fictions/croyances qui nous animent (l'argent, la force/puissance,...). C'est aussi des industries/emplois donc soumis aux contraintes energie/carbone/... Cela retentit sur la Mobilité (ex accès aux évènements) ; le numérique (la culture represente la moitié de la bande passante); peur et motion faces aux risques (climatique, sanitaires,...). Comment s'ouvrir au monde sans l'abimer d'avantage.
*Priorités sur l'axe Numérique(Maxime Efoui-Hess++):4% des émissions du monde, donc aussi soumis aux contraintes. Role structurant pour l'industrie, la culture/équilibre psychique,... Quand et pourquoi deployer des infrastructures pour ce soit compatible avec les contraintes (peut appelrr à de la sobriéténumérique), et que ce soit un atout pour la transition. Rend le numérique comme une activité matérielle (devirtualiser).
*Priorités sur l'axe Energie(Erwan Proto+Nolwen Brossier): quelle quantité et type d'énergie pour quels besoins; renovation du batiment;
*Priorités sur l'axe EnseignementSup&Recherche(Clémence Voreux): L'orienter pour ne pas agragver l'impact écollogique (décarbonner, occupation des sols trop impt?; alimentation); la mettre au service de la transition;
Q&A: + Jean-Neol chargé des affaires publiques +Ilana Tolédano
Pas d'axe orienté directement sur les Q sociales, de justice,... car ... mais elles font sont essentielles en fait à tous ces sujets, en sont la raison finale. Elles en decouleront, ou du moins se develloperont accompagnant le shiftproject mis en oeuvre par des spécialistes de ces sujets sociaux qui le font mieux
Mon commentaire:
Bravo pour le travail de reflexion sur ce cadre/esprit de travail, pour moi pas un plan du projet. Je trouve que les présentations restent globalement très au niveau général et déclarations de bonnes intentions, et manquent d'exemple précis. Les Q&R et conclusions ont apporté certes plus d'éléments/corps à un (futur) plan, mais a tous vents. Un plan clair s'appuyerait sur sur des travaux initiés (synthèses et guides déja édité, en cours ou a faire), de premieres priorités factuelles (quitte à les reévaluer et reajuster). Justement le coté dynamique des projets n'est guère évoqué, or c'est plus que necessaire!
15 secteurs ca noie. Par ex l'axe Enseignement/recherche serait plainement intégrable à celui de la Culture (sensu lato).
Si les actions pour chaque secteurs sont déjà) ambitieus, que dire de la vision globale évoquée! il ne faudrait pas virer à celle d'un gourou, ou s'exprimer en termes physique (effrayant pour les politique, et le tout public). Elle risque de s'accrocher aux paradigmes de vie actuels... Je pense que le meilleur véhicule et communicant élargi d'une vision renouvellée (si ce n'est révolutionnaire) de nos sociétés est de passer par la culture (collaborations avec des artiste s'emparant de données du Shiftproject).
Il aurait été souhaitable d'afficher en court de vidéo une slide listant les priorités de chaque secteurs, + à la fin (et/ou début) un organigramme des projets/interlocuteur ppal. Cad concrétiser les choix/plan d'action, d'autant que le shiftproject parle de travailler sur le concret!
Des communication longues (idem du site web). "Créer un envie" de nouveaux shifters, d'initier un débat nationnal,... demandera une communication avec des récapitulatifs/synthèse, de synoptique d'informatiions clé (des visuels simples), qq vidéos courtes (2-9min) et qq intermédiaires (20min).
Priorités de Gael Giraud(Economiste)/du moins revus par un député JeanFrancois Longeaot(Doubs): renovation du bati, mobilité verze; fret ferroviere; reaménangement du territoire en faveur des systemes agricoles circuit cour; reloca industrie
Rique sur le cuuivre (pic pourrait arriver vers 2060), les métaux rares (PV,...);
Developpe des villes moyennes, rondes, avec couronne de polyculture.
Redevelopper les reseau ferrovière dense qu'on a detricoté (pas les Belge, Allmange, ni x)
Relocaliser les indisutries qui s'y pretent: on à la main d'oeuvre, il faut de la réactivité (conception),...
Construire des banques qui peuvent investir vert (vraiment, sans lien a des actifs fossiles)): de nvl banques, car les gd banque ne peuvent le faire ou en semblant (ca devaloriserait leus fonds bruns (construits sur les eergies fossibles).
Favoriser les monnaies locales (ou bon putile pour que les populations se reapproprient leur monnaies). Ex payer une partie du salire des fonctionnaires en monaie locale. Bien sur les banques€£$ n'y sont pas favorables, car un partie des transactions leur échappent.
Repenser les communs: y consacrer une souveraineté/collectivité minimale. +l'inscrire dans la constitution pour en garantir l'inviolabilité sur le long
manifeste_de_unabomber_199e5_theodore_kaczynski: manifeste (pages) d'un terroriste 'Unabomber' qui aurait un QI de 167 jeune (+/wiki).
Postulats de son manifeste: le progrès techno conduit au désastre, il faut un effondrement, l'éradication de la société technologique
Lecture 20200128 de qq passages: pensée extrêmiste de l'homme dans le monde avec des élucubrations sur le 'gauchisme' nota 'sursocialisé'... (pur justifier un ' neo-luddisme' qu'il soit anarchisme violent ou autre) et pourtant des reflexions interessantes: ex
>p.27-28: les besoins de l'homme en 3 groupes (1:faciles à satisfaire, 2:difficiles, 3: 'impossibles'); les société evoluée par le pouvoir nota on fait passe des besoins 2 en 1, dons 1 et 3 dominent avec sentiment d'insatisfaction (de pouvoir, d'impossible). les société ancestrales était très structurées sur les besoins 2 via la force et le pouvoir libre à exercer par tous.
Pensée technocritique > néo-luddite ('casseur de machine'; option antiviolente: ex des ZADistes; option violente: ex des faucheurs, Unabomber)
Perte de prise de l'individu sur le 'pouvoir'
>p.35-37: dans la société moderne satisfont leur besoin de processus de pouvoir par , 78/soumission assouvie , 79/ motivation hors du commun pour un besoin assouvissable , 80/satisfaits par la publicité/mkg , 81/; 82/es biens matériels satisfont leur besoin deprocessus de pouvoir, 83/pridentification a une puissante orga, 84/par activiité compensatoire
VideoYT/ThinkerView, 1:02:01 Vincent Mignerot : Anticiper l'effondrement ?
L'humanité comptait 5Mio d'humain à la prehistoire qu'on peut considerer comme une charge humaine maximale en équlibre naturel avec la Terre. Puis 200Mio à l'an 0, 500Mio au 16em siècle, et 7.495Mia en 2018.Pas plus que les animaux ou plantes, l'homme ne peut pas appréhender sa croissance exponentielle pour son rapport à la nature et son évolution.
La substitution causale: l'individu humain (et l'Homme) a acquis la capacité à attribuer à qq d'autre que lui la responsabillité de ses propres actes, sous le couvert d'une cause (mythe, religion, idéal moral, de société,...). Pt etre, mais je crois qu'avant l'homme n'était pas spécialemnt ecoresponsable -mis a part au niveau de qq individus agés, sages,...-.
L'europe n'a qu'un peu de charbon et de l'agriculture, comparé aux autres c'est peu, elle doit compter sur d'autres ressources que naturelles pour maintenir son rang: autrefois la colonisation, puis l'économie financière, et pour l'avenir l'économie de l'information/numérique. Qu'elle activité peut etre sure au long terme? Aucune réponse possible, sauf que les activité essentielles (primaires: manger, se protéger) dont necessaires!, donc devront etre durables. Le reste c'est des effets de mode, de culture,...
Il y a possibilité que la chute de l'énergie soit telle qu'elle ne justifie plus l'utilisation de la guerre/violence (qui coute chèr; les banques ne prêterait pas sans perspective de retour sur investissement). Donc esquisse de desamorcage
En résumé: Plusieurs voies de révision des conditions d'héritage réglementées par nos sociétés permettraient de réduire les inégalités entre individus, tout en s'efforcant de respecter le 'sens naturel de la dotation par héritage'.
Constat: les gens (et francais en particulier) sont très attachés en général à l'héritage, et ca se comprend. On peut dire que le plus souvent il y une composante affective, mais c'est plus encore par bienveillance/précaution pour ses enfants (ou les personnes affectionnées), et parfois avec d'autres motivations psychologiques (de ne pas laisser ses biens à l'état ou autrui...).
Il est manifeste que les modes et conditions d'héritage actuels (nota Fr) favorisent la réussite des ayants droits -ajouté aux atouts éducationnels, et conditions de vie-, ce qui n'est en soi pas choquant ni pour les parents ni pour les ayants droits, mais le devient dans le cadre social, cad envers les plus démunis. Les individus naissent sans choisir leurs parents et donc sans choisir un héritage; au contraire les parents peuvent bien d'avantage choisir/favoriser les conditions de développement de leurs enfants, à leur niveau, et via la société qu'ils contribuent à édifier.
Les différences de richesse apportée par l'héritage initient une première inégalité -de richesse à la naissance- contrariant l'égalité de droits (à la naissance) vantée dans nos démocraties (à cet égard hypocritement). Mais on pourra y trouver, sinon une justification, du moins une certaine acceptation: la vie du Terre n'est pas égale pour tous, l'animal ou la plante aussi ne choisit pas son lieu de naissance, riche en nutriments faciles à collecter et calme, ou au contraire pauvre sec et misérable ou dangereux. La société ne peut etre responsable de tout, et garantie une égalité de droit jusqu'aux fondements de la naissance. Ensuite les parents disposent aussi d'une certains égalité de droits à disposer de ce qu'ils ont, et selon un ordre reconnaissons le naturel, pour leurs progéniture de préférence. Enfin l'enfant peu très bien naitre avec un avantage physique ou matériel, le mettre à profiter ou non, consommer cet héritage ou le gaspiller, alors que la société raisonnable n’entend pas pas disposer à sa seule volonté de toutes les richesses ou ses seuls desseins. Bref, il existe une inégalité de dotation à la naissance, irresolvable à la liberté des individus que la (notre) société reconnaît.
L’iniquité d'un l'héritage fort se révèle surtout parce qu'elle gâche aveuglément le mérite des individus, qui pourra être favorisé (sans vertu) ou défavorisé (ne pas pouvoir se développer et s'exprimer, alors que le mérite est revendiqué par les tenant d'un droit fort à l'héritage (pensée de droite)! Que penser des chances de réussite d'un 'fils de riche' qui s'avérera 'peu/incapable' bien que favorisé par son patrimoine hérité, versus un fil de pauvre, doué mais défavorisé par le milieu, l'éducation, le patrimoine,.. , ceci sans présumer des réalisation de ces individus fils sur des enjeux personnels ou à retombées sociales.
A l'iniquité ou pourra ajouter une injustice sociale, dans la mesure ou la richesse acquise par un individu-parent- résulte en bonne partie des conditions de vie prodiquées par la société, et non à son seul travail. Il est ain,si logique ainsi qu'une part de son héritage revienne à la sociét plutot qu'automatiquement via ses héritiers, mais la question est dans quelle proportion?!
L'héritage (fort ou non) a des vertus sociales sans équivalent, comme motiver les individus (pour leur progéniture), faire lien affectif des enfants aux parents et plus largement à la culture sociale, cad cimenter les relations sociales (familiales, et jusqu'au clanisme/appartenance régionnale ou culturelle) - sans ignorer les effets inverses (conflits d'héritage,...). Car l'héritage au delà de sa sa nature et valeur financière), est aussi (surtout) matériel. On pourra parler d'un droit à l'héritage affectif qui découle de la nécessité pour tout individu d'avoir des racines, et même un sentiment de possession (aussi assez nécessaire dans nos sociétés/cuture) de biens personnels à ses origines tant familiales que culturelles.
Plus délicate est l'inéquité qui découle éventuelement du choix du/des légataires: un parent peut deshériter ses enfants volontairement, se faire manipuler par faiblesse psychologique à léguer tout ou partie à un tiers, ... Un héritage peut quitter la famille, la ville/région ou pays pour des raisons discutables (optimisation fiscale) et meme de facon anticipée (l'héritier quitte le pays et change de nationnalité avec ses propriétés: ne devrait il pas s'acquiter une part au pays qui a contribué à l'élever... ?). Reglement l'héritage affronte le domaine de la liberté chere à notre culture.
Question: Ne pourrions nous pas envisager des modes ou conditions de transmission du patrimoine de chacun à la fois respectueuse des motivations individuelles (des légataire comme des héritiers), et des enjeux d'égalité citoyenne?
-une répartition des héritages collective et équitable sur la base de la seule valeur (financière) (meme montant d'office pour tous, sur des patrimoines mis en commun - comme l'impot), avec des attraits théoriques (d'ailleurs discutables), semble irréalisable, non seulement difficile mettre en place mais surtout à accepter et appliquer. Et n'adresse aucunement la valeur affective de l'héritage matériel.
-le plafonnement de l'héritage parraitra brusque et inacceptable à beaucoup. Elle ne réglera pas l'équité pour les jeunes citoyens nés de familles pauvres. Elle renforcera le problème des patrimoines 'lourds', cad difficiles ou impossibles à répartir et entretenir par les enfants (ou ayant-droits - ainsi des chateaux)
-imaginer un droit d'héritage 'personnalisé', avec une modalité (ou part) 'financière' et une modalité 'affective' ? ou l'usage des biens en héritage est dissociable (tt ou parite) de la propriété. Ou l'héritier pourrait choisir (si majeur, ou apres sa majorité) entre différents biens dans un plafond/budget.
Pistes: Pourquoi ne pas imaginer:
-pour toute succession, le cédant désigne ses ayants droits et les patrimoines immobilier, mobilier, financiers, avec un poids (répartition) entre ayant droits (avec eventuelle évaluation en valeur financiere ou limitations...). Ce qui correspond +/- à ce qui se fait actuellement avec le testament. Mais le leguant est plus informé du cadre social des successions:
.sur les proportions de patrimoine légués (moyenne de ce qui se pratique) + ce qui est recommandé (aspect politique), par type de bien (financier/immobilier/mobilier/...) et par type d'ayant droit. Ceci n'est aucunement contraignant.
.sur l'imposition sur les successions, en rappelant qu' une part est retenue par la société (impot d'héritage) traduit la contribution de la société à l'édification du patrimoine privé + une autre correspond à une adhésion (obligée!) de l'individu à une redistribution liée au projet social de tempérer les inégalités de dotation de naissance (cad surtout pouvoir verser un patrimoine minimum unique pour tous, acad aux enfants de pauvres). L'impot vaut pour les legs dans la 'norme' (montants bas/hauts), et les parts d'héritage en decà et au delà de 'normes' sont soumises à des régimes d'imposition différents (part non ou moins imposée . part plus imposée pour redistribution par l'état).
.Des regimes successoriaux et.ou d'imposition particuliers sont à prévoir pour les patrimoines d'interet collectif (patrimoine supportant une activité sociale) et culturel nationaux (ex chateaux): statut de propriété ou imposition aménagés (usufruit, différés,...) selon déclaration / un éventuel engagement à le perdurer, entretenir, améliorer,...
-à la succession, le patrimoine est évalué à la fois en montant financier global, et en nature avec les poids de cession fixés par le cédant entre ses ayants droits lors de son dernier testament (ou en cas de non testament, avec les règles par défaut - équité, entre les ayants droits définis +/- comme actuellement).
-intuitivement, il faudrait que les héritiers, à leur majorité (pblm/asynchronicité), puissent eux aussi mettre en balance des options/choix, voire des échanges, plutot que recevoir d'office alors que d'autres options hors défunt seraient plus acceptées. Très/trop compliqué voire irréaliste sans doute... Même admettons que celà puisse être possible, un accord arrangé entre héritiers risque d'être bien rare en fait, mais par principe cela me semble souhaitable de le prévoir possible dans la cadre de la succession. S'ils ne s'accordent pas c'est le partage du légataire qui prévaut. il faudrait meme un mécanisme qui empeche le deshéritage des ayants droits prioritaires selon la loi (enfants), avec un minimum de part (cf infra 'norme infra'). Très/trop compliqué voire irréaliste? A voir... car il ne me semble pas souhaitable qu'il y ait une toute puissance de partage des légataires, quand les biens ... héritent aussi de la société, qu'il y a des inégalités induites que la société devra compenser,.. Un facon de ressoudre un tel correction du partage, est 1)d'imposer plus l'héritage à titre de réséserve, et avec usufruit 2)de favoriser les échanges/accord apreès partage réalisé (voie amiable) 2)pour les cas d'héritiers potentiels lésé du fait du légataire, de les 'servir' avec l'impot de l'héritage (dans une proportion de la norme infra), 3)d'utiliser l'usufruit généreusement pour compenser l'imposition forte, en faveur des héritiers naturels, engagés sur des projets d'interet public (chateaux; gites;...).
-les legs dans la 'norme' sont imposés selon un régime 'normal'. Ex de régime fixe genre 20% d'impot si leg -20% à +30% de la moyenne nationale), ou plutot avec un régime linéaire (20% +/- un proportion de l'écart à la moyenne, doit disons de 15% à 30% d'impot)
-les legs infra la 'norme' sont imposés selon un régime à taux minimum fixe (ex 5%) voire null (legs <-20% de la moyenne nationale)
-les legs supra la 'norme' sont imposés selon leur régime à un taux augmentant en fonction de l'écart à la moy natl et/ou la valeur du leg, linéairement ou plutot proportionnel voire exponentiel et même avec plafond (100% d'impot au dela d'un tranche). Ex impot de 20% pour une valeur de +30% de la moy natl > +50% pour +60% de la moyenne nationnale puis 80% pour +80% de la moy natl, 90% pour +200%,... plus intelligible avec des taux d'impot par tranches. Ou Ces reglages de taux peuvent et très plus ou moins 'durs' selon l'option sociale, on peut prévoir d'autre formes de transmission: usufruit, reconnaissance sociale, ....
-les ayant droits peuvent aussi refuser tout ou partie d'un leg, en faveur de l'état (par defaut) ou d'ayants droits, et s'il demande l’équivalent sous autre forme (sans etre prioritaire) notamment en usufruit.
-il y a enfin (et surtout!) un partage en usufruit: les biens sont légués en usufruit aux héritiers, éventuellement indépendemment du leg financier, selon les volontés du:des légataires (evtlm arrangéable entre héritiers). Ce mécanisme permet de satisfaire bien mieux le role affectif de l'héritage, mais aussi les besoins vitaux d'héritier dans le besoin sirtout si deshérités, en réduisant considérablement les contraintes ou interférence des valeurs financières que représentent les biens.
On pourra faire un analogie avec l'indivision, qui est sur la valeur/possession, mais permet avec accord des tous les héritier que l'un utilise le bien (avec éventuelle contrepartie). Une 'indivision ede l'usufruit' seviendrait encore plus difficile... et il s'agit bien sur d'éviter les problèmes de l'indivision qui (notammet au fil des générations) mene à l'inutilisation, l'abandon, des discordes, ... Ces problèmes seraient déjà en bonne partie évités si/du fait que le bien n'est plus possédé en valeur financière par les héritiers, mais en usufruit partagé (et non usufruit indivis)! Les héritier en usufruit seront moins opposés à laisser un héritier profiter du bien à partir du momment ou ils ne peuvent rien en tirer ($) de plus que (eux aussi) l'utiliser. Il reste à concilier plusieurs héritiers demandeurs à utiiliser le bien... disons seulement sur la 1ere génération, car il suffit d'ajouter une érosion forte de droit d'usufruit à la 2m et 3m génération (et encore plus bien sur l'éventuelle valeur financière possédée); ajouter aussi une possibilité qu'un héritier puisse plus facilement 'racheter' le bien s'il l'utilise/valorise (et alors l'accord de tous les héritiers (d'usufruit) n'est plus nécessaire! Si l'un se manifestait (enfin) à vouloir utiliser...il y a alors difficulté, mais peu sérieuse face à la durée et précocité d'usage). A défaut de rachat, le bien familial pourra devenir un bien commun (collectif: de la commune>état), et les usufruiters qui en profite a été invité (apreès 1rer année) à verser une compensation/loyer montant progresivement au niveau du marché.
Ce héritage en usufruit partagé aurait un role en dvpm des territoires: il favoriserait l'occupation des sols et biens en campagne, réduisant la métropolisation, la desertification des campagnes,...Un role social aussi: il (devrait) permet(tre) aux plus nécessiteux ou vertueux (d'un héritage) d'utiliser un bien familial, sans le posseder. Et devenant un bien commun, il permettrait à l'instance publique (la commune) de pouvoir en faire bénéficier d'autres nécessiteux ou vertueux à loyer modéré.
Le tout est certainement difficile à équilibrer entre simple partage financier et usufruits utilisé ou non..., Par ex pour obtenir une maison ou un bijou dans son entier alors que les legs de droit ou la part de legs post-droit ne sont pas suffisants. Quand l'ayant droit n'a pas assez d'argent, sur la succession ou ne peut pas ou ne veut pas rallonger de sa poche, il est éligible à un droit d'usage (partagable!: un quantième) sur le bien auprès de l'état contre indemnité d'occupation (favorable à l'ayant droit), ou s'il préfère de pre-emption à payer (à des conditions favorables d'emprunt, voire avec un différé). Il faut donc sans doute 'inventer' une correspondance entre usufruit et valeur financière en post droit, meme si celle ci ne vaut pas valeur en transactions,...: un quantième d'usufruit proportionnel a la valeur non héritée (en post-droit, ou imposée)...
L'idée est que 1)l'état n'est pas prioritaire dans la répartition des legs, et qu'il donne toute facilité aux ayants droits à négocier leurs post-droit selon les volontés du cédant et d'eux memes; et que 2) l'ayant droit, pour garder ces biens post droit (50% au delà de sa cote part de droit), doit s'engager à verser une part à la collectivité ou rendre un service à la collectivité: investir, faire travailler le bien avec un role social,... Il est d'avantage usufruitier du patrimoine post-droit, qu'héritier, à des conditions d'autant plus avantageuse qu'il s'engage à les gèrer dans l'intéret de la collectivité. Pour sa génération suivante, il devrait faire passer ces biens automatiquement en catégorie 'post-droit' (ou les échanger avec des biens cedables 'de droit'). Ce système de post-droit 'en usufruit' permet de satisfaire un droit 'légitime' à recevoir un maximum du cédant selon ses volontés, et en profiter lui (et not si en interet public), sans l'intégrer à son patrimoine propre de plein droit à céder.
Enfin, ou poourrait voir dans l'usufruit d'héritage une sorte de 'crédit ou reconnaissance social'?: le droit a utiliser un bien d'un ancètre (riche) serait percu comme une reconnaissance sociale héritable (de l'ancetre à l'ayant droit): l'ayant droit bénéficie du privilège d'utiliser le bien, d'autant qu'il le maintient comme patrimoine et le faire vivre pour l'interet public.
Ajoutons qu'il faut régler le sujet des frais de succession(à retrancher?). Certains touchés par des hommes de loi pour leur travail à règler la succession de façon traçable et assermentée. Il ne faudrait pas que ca explose! Peut etre parfois l'état pourrait se rémunérer sur la gestion de l'ensemble des legs hors post-droit touchés et reversés (infra). .
-les legs n'atteignant pas la moyenne nationale sont compensés par le fond des legs au delà des legs post-droit (cad les 50% des legs post-droit non preemptés par les ayants droits). Les ayants droits plus 'pauvres' que la moyenne nationale sont ainsi aidés à repartir avec un patrimoine amélioré vers la moyenne (au pire pour une sans aucun héritage, 50% de la moyenne nationale).
-Reflexions: avantages, limitations
.Cette répartition harmonisante vers une égalité du patrimoine, qui jouerait un rôle ascenseur social, serait donc financée par les plus 'riches' de facon progressive pour chacun (pauvre comme riche), tout en stimulant l'investissement social. Gérer en usufruit un patrimoine devenu d'état peut etre une sorte de reconnaissance sociale, qui complèterait la reconnaissance sociale basée trop (quasi!) exclusivement sur l'argent.
.de telles modalités semblent et resteraient très probablement plus complexes que les actuelles (déjà plutot compliquées!?) tant pour les cédants que les ayants droits, mais elle seraient bien sur à affiner par des spécialistes pour en préciser la pertinence, faisabilité, équitabilité,... Ce qui parait compliqué ou 'irréaliste' peut ne pas tant le devenir par des solutions adaptées, quand on en mesure de réelles vertus,... Il faut partir de la situation ou tout citoyen serait convaincu par les bienfaits tant sociétaux qu'individuels d'un principe de transmission en partie plafonné sur la moyenne nationale, et les facilités à acquérir (ou préempter, occuper ou gérer) les legs postdroit.
20190120 - Entre démocratie participative et représentative... ! cf la page Scrutin:
-le scrutin à choix multiple ordonné: une solution pour contribuer à améliorer la démocratie?
-reconnaitre le bulletin blanc, et même l'utiliser comme un ingrédient pour améliorer la démocratie?
https://www.clicanoo.re/clicazot/Article/2019/01/17/Les-deux-jambes-de-la-Democratie_564289#comment-113708
Bien vu et bien écrit. La tête et leS jambes. Et ce n'est pas qu'une tête qui puisse coordonner (contrôler) 2 jambes. C'est aussi 2 jambes qui peuvent porter une tête.
En dépits des clichés, la tête des travailleurs/de la base a son mot à dire autrement que par 1 vote tous les 5 ans, mais à ce jeu là les moyens déjà existants sont peu utilisés (?biaisés): trop d'abstention aux votes (voter blanc même si non comptabilisé serait déjà une chose); syndicats désaffectés; négligence à solliciter ses députés, asso de consommateurs toujours trop insuffisantes face aux grosses sociétés, lobbyes, ,... Seules les pétitions internet font le plein... Aux mots écrits et dits (vote, pétition, coup de gueule dans la rue), au delà d'un RIC réclamé (illusion?), bien d'autres mode d'actions remontant (ou non!) la hiérarchie et le pouvoir sont à développer. Souvent par des associations (non merkantiles) ou des entreprises/actions locales. Regarder le film https://greenpeacefilmfestival.org/film/nouveau-monde/. Raisonner en économie de partage/collaborative/relationnelle et locale avant la propriété individuelle (d'objets, de terre, d'argent, de pouvoir,...). Dans une telle économie qui tourne bien -humainement-, il n'est plus crucial d’être dirigé ou de retoquer tel dirigeant.
Certes aussi les jambes des acteurs politiques et économiques feraient bien de marcher de temps en temps à l'usine ou au champs.
Ce qui m'amène à penser qu'il serait bon que tout citoyen puisse avoir une double activité sociale, sans être classé ou au pouvoir ou au peuple. Avoir le droit de consacrer 1/4 de son temps professionnel sur des projets de société locaux validés par la société, sans que le patron puisse s'y opposer. Et une reconnaissance autrement que financière/directe (à inventer: ?des "crédits" de service rendu à la société, ?qui comptent pour la retraite).
(=>à déplacer dans une page spécifique, car sujet technique ; //Energie)
Remplacer des voitures à petrole (importé) par des voitures électrique n'est pas une solution vertueuse autant qu'on le dit, dans les conditions actuelles, tant pour le climat global que pour le travail local,.. pas qu'à long terme mais à court/moyen terme:
-La moité de la valeur ajoutée des voiture électriques correspond à la batterie (contre 15% pour le pétrole dans la voiture thermique). Or on ne produit pas de batterie (bien qu'on dise avoir dsavoir faire), ca repose sur de l'importation de matériaux qu'on n'a pas et ont une disponibilité couteuse et/ou limitée (non durable): Pb, Lithium, ... Idem de la partie electronique, qui dépend de terres rares pour les circuits électroniques, du Neodyme pour les aimants,...
-Remplacer des importations de pétrole par des importation de métaux précieux et terres rares ne fera ainsi que déplacer les dépendances, pollutions,
-Comme une bonne partie de la valeur ajoutée est au niveau de l'électronique, et que nous ne produisons en France pas ou peu, cela reviendra sur le moyen et long terme à supprimer de l'emploi sur le secteur automobile. Certes au niveau conception / developpement (et design, marketing, vente) nous pourrons maintenir une plus value, mais ceci s'exporte peu(face aux US, la Chine), et fait perdre son avantage technologique (copie). Sur le moyen/long terme donc, ce leadership supposé pouvoir perdurer de génération en génération de vehicules ne pourra pas compenser les pertes de plus value sur une production localisée ailleurs en grand partie. Sauf a écraser les couts de production, au détriment de l'envirionnement et travailleurs sociaux des producteurs, accaparer une partie de la plus value sur des activités d'import/export, elles meme couteuse en energie (dont dans de l'emploi 'parasite' à l'activté primaire): l'activé tertiaire rongera les économies globales.
-On raisonne à périmètre constant, hélas quand on améliore une machine, rendue moins chère, ou plus vertueuse au niveau local (pour la la voiture, c'est plus de Co2 émis, ni particules,...), cela encourage à plus de consommation, aux importations/exportation,...
Réduire et améliorer le transport des animaux vivants.
[Thema/La7-20200929: +++] 700 000 animaux sont exportés d'Eu, 150 000 pour des élevages, le reste (80%!) pour etre abattu! Un effet de la mondialisation, qui est abérrant, et déresponsabilise les sociétés à consommer / produire / tuer les animaux. Le pire est que les conditions de transport sont le plus souvent incroyables (ex: boeufs; c'est autorisé 29h d'affilée, de 5 à 30°C, avec 1.5m2 par animal; la chaleur monte vit). Moutons et agneaux vers les pays arabes. Taux de mortalité malgré l'abreuvement. Stationnement en pleine chaleur. Des transports dérogent ai cadre légal: arfois 13jours! Les veaux gardés pour leur mère laitière sont envoyés pour abattage à moins cher, comme quasi des sous-produits. Ceci résulte du fait qu'il est moins cher d'engraisser ici, et d'abattre là. Le système génère une souffrance animale aberante (llong trajet, le jeune veau ne sait pas boire seul,..).
Pourtant des conditions de transport des animaux plus décentes sont possibles, comme dans les frontières de l'europe, ou ce n'est pour autant pas rose (car pas toujours respecté: surcharge de bétailleres; chargement sans le controle d'un véto, chargement/dechargement avec un élévateur,...).
Montrer que les citoyens ne veulent pas de transport animal, que ce n'est pas nécessiare, c'est au système de production de s'adapter, de ne pas produire si les conitions locales ne le permettent pas, de A à Z.
Le transport animal est favorisé par la demande forte du maghreb, les principaux importateurs sont Turquie, Liban, Egypte. Port de Carthagène est un plaque tournante, vers les pays arabes, nota Lybie. Le transport animal vivant est justifié par le 'besoin' dans ces pays de sacrifice rituel (égorgé, sans etre étourdit). Ils arrivent souffrants, et sont abattus (pas dans les standards Eu; on n'y peut rien? si!/infra). Dechargement en suspendant les animaux par 2/1 patte. Il n'y a parfois aucun abattoir, en fait une forte proportion abattus par les particuliers. Il a aussi des tortures (au liban, en égypte: yeux crevés ou utilisé pour retourner l'animal sur le dos; maltraitance/coups; ). Cette cruauté normalisée resulte d'abord de la considération locale de l'animal comme un objet, et de l'habitude/culture, et non d'un besoin cultuel (abattage halal, (fallacieux) car l'islam parle de trancher la gorge rapidement, entrainant une mort rapide et indoloreà. Le transport d'animal vivant perdure car moins cher, pas de chaine du froid, tout l'animal est utilisable sur place,...
La situation dépasse celle des imports depuis l'Eu: les boeuf importés au liban viennent apres 3-4 semaines de transport depuis les USA, du Brésil (ou l'élevage justifie la deforestation). On utilise de vieux cargos, qui consomment plus de gasoil, qui éliminent le lisier directement en mer. Cad ajoute un fort impact éco/climatique à celui de l'élevage déjà très fort.
La loi de 201504 Eu impose que le bien etre animal doit etre assuré jusqu'à destination finale. Mais ce n'est pas encore trop respecté. En interne, et surtout à l'export. Imposer et controler cela n'est pas aisé, vu le nb de convois,... Renforcer les controles certes, mais il faut d'autres solutions qui rendent les controles plus faciles/productifs (aléatoirement, et ciblés). Il est aussi des solutions parfois simples et limitées, intimantes, et d'autres plus ambitieuses qui demandent d'abord un courage politique. Par ex les vendeurs Eu ne savent en général pas comment sont traités les animaux qu'ils vendent: les informer et impliquer. Par ex interdire l'export sans engagement du client sur cette pratique non autorisée en Eu. Voire bannir l'export vivant vers certains pays (ne permettre que l'export des animaux abattus en Eu, et pourquoi pas Halal aux normes Eu et conditionnés adhoc). Obliger les transporteurs ou agents des structures de transit (ports/marchés) à documenter l'état des animaux à l'arrivée (une photo par animal) sur une plateforme a disposition de l'acheteur, a dispo des controles véto/sanitaires,douanes. Et veiller à éviter que des transits non aggréés se developpent.
Voulons nous continuer à etre complice des pratiques qu'on réprouve sur notre sol (halal fallacieux), en les alimentant massivement par nos exportation 'aveugles'?
Le commerce à longue distance existe depuis très longtemps, considérons la route de la soie ou le marché triangulaire des esclaves. La différence avec la situation actuelle est qu'il porte sur des matières et objets essentiels. On échangeait et acheter à fort prix (route soie) du thé, des soies, contre x?x; (marché triangà du travail, du sucre, ... contre de la pacotille. C'était des aliments de luxe, des objets de confort, ... A présent on importe du soja ou du fer dont la privation empeche la poursuite de l'activité primaire ou secondaire locale. Sans soja, on ne produit plus de poulet. Sans fer on ne produit plus de voiture, et de facon générale de machines qui sont à présent l'essentiel de l'économie(valeur), activité, emploi. On s'epose à dépendre de l'économie étrangère dans une proportion dont ne peut plus prévenir la fluctuation par compensation d'autres activités propres.
Foresterie / Sylviculture
-Tenir compte dès à présent du réchauffment climatique prévu pour des siècles dans le choix des essences: plus resistantes à la secheresse, chaleur. Mais ce sont aussi des essences souvent plus longues à pousser, donc en tenir compte par rapport aux besoins.
-Anticiper dès à présent l'exploitation de certaines forets avant leur maturité (de production de bois) car ils sont probablement appelés à etre déprécies avec la modification du climat: ex de forets d'épiceau qui dépérissent, sont attaquées par les scolytes, ... Tenir compte aussi de l'évolution des besoins de pratiques (de la foret: role d'épuration de l'atmosphère; consommation bois de chauffe et d'oeuvre appelés à croitre par enjeux ecoesponsable % fossiles et plastiques; loisirs appelés à pt etre s'y developper; ...)
-Les forets monospécifiques ne semblent pas une bonne idée en général. Jouer +s essence permettent de maximiser la résilience (au cahngement climatiqu), la biodiversité, et meme parfois la production globale (bois+sous bois).
-Eviter d'abord la destruction de la foret pour des besoins discutables (cas de l'Amazonie/exploitation de l'or, agriculture intensive et polluante, routes et habitant mitant les espaces protégés,...).
Agriculture s.l.
-Distinguer l'agriculture selon ses usages par rapport à l'utilisation des surfaces:
.Surfaces/Agriculture produisant des aliments
.Surfaces/Agriculture produisant des matériaux: textile, ... (ou pourra y rattacher la production de boi / cf §-Foresterie)
.Surfaces/Agriculture à role écologique: préservation de la biodiversité (via les haies, .. ; quoique primairement l'agriculture est de tuer la biodiversité naturelle, on peut considérer une biodiversité agricole' (faune commensale; cultvars;... ) et meme naturelle: haies), des espaces (role anti érosion); de l'atmosphère (le plus important)
.Utilisations des Surfaces conurrentes: /transports: routes et parkings, maisons et batiments, ...
-Une évolution de l'agriculture écoresponsable n'atteindra par l'équation finale sans satisfaire 2 principes clé:
.payer les aliments plus chers: pour redistriuer plus de pluvalue aux agriculteurs, pour de l'innovation, financer la puit de CO2 et moins d'émission de GES et polluants (engrais, pesticides, hormones,...).
.manger moins de viande: seule solution relativement 'facile' à mettre en place pour un rsultat moins de CO2 et GES émis et moins d'eau consommée.
-Développer l'agriculture 'biologique' va bien sur dans le bon sens, a divers égards, mais il faut garder à l'esprit qu'il y a des inconvénients, et elle ne constitue donc par en soi la solution
.convertir les bovins à l'herbe + qq compléments alimentaires cultivés loalement (soaja, luzerne) permettreait de diminuer par 2 l'émission de méthane et l'essentiel des culture de ceréales liées.
-Stimuler l'innovation de l'agriculture, mais pour sa il lui faut des moyens (autre raison pour mieux payer les aliments).
.réduire au maximul l'elevage hors sol (qui ext très exigent en production amont et aval).
-Convertie l'alimentation énergie des machines vers des agrocarburants. cf §-Energie.
-Une mesure phare au niveau économique passe par des décisions politiques qui changent ou les contraintes, ou les règles:
.la taxation carbone: sans doute la mesure phare des économistes, qui considère que cela induira un réajustement des activités économiques/industrielles/activités pour optimiser à la baisse les émission CO2. Ce concept est hélas ssans doute non suffisant, et souffre de limitations +/- adressables par une complexification excessive des rglementations: emission de GES, autres polluants,
-reorienter l'urbanise non plus sur les transports voiture)
-developper l'électrificiation des transports 1)du fret ferroviare; 2)du fret maritime 3)des voyageurs terrestres (trains, voiture) 4)de la petite mobilité (vélo). Prioriser les transports collectifs est plus rapide et efficace. L'electrificiation des transports est préférale aux agrocarburants.
-reduire la construction en ciment, et compenser par de la construction bois. (ex de UK qui construit moins que fr avec pop. comparable)
-définanciariser l'économie: cf §-Finance. Car la vue est trop court termiste (ou fallacieusement long termiste, via larentabilité qui repporte en dette le risque).
Plan: Questions (géneral) [ enjeux et soln/sujets particuliers:
-Construire un mix énergétique adaptés à nos enjeux actuels, qui sont 1:décarboner 2:industrie energie intégrée à nos processus (dont peu de pollution, autres atout (ex avec l'hydraulique: irrigation, loisir)
= cf page Energie (mix). Pour en resortier qq point clés:
-Pousser les ENRs, en préservant la valeur ajoutée en France/Europe: cad pour le PV et léolien developper nos indiustries du secteurn
. PV: oui à developper mais en préservant la valeur ajoutée en France/Europe, mais pas sur les suface agricoles ou non mais 'encore libres': cad privilégier sur les parkings (ombirères), zones inudstrielles, toits d'habitats, ...
. éolien oui à developper mais en préservant la valeur ajoutée en France/Europe,sur les zones propices (cote, hauteurs) en préservant cependant un équilibre des pauasages non modifiés, et revoyant de la rehabilisation de site (base ciment)
.biomasse/agrocarburant: oui à developper mais sans concurrence aux surfaces agricoles, cad essentuellement avec les dechets organique (et la sylviculture devrait on fournir bien plus que l'agriculture s.s. et l'élevage!)
. MicroHydraulique: oui, meme si ca comptera peu quantitativement: car conso locale / attachement des proprio de ces équipement,...
. Hydrolien (marin): oui mais à réflechier: conso carbone amont, entretien, ... car des aout (égularité, donc nuit, hivers)
. Hydrogène: non pas spécialement, du moins tant que pas de production verte, sauf pour des ppli pertinences (pour mobilité, ciment, acier,...).
. Nucléaire: oui du moins maintenir les capacités de production. Le choisi de oui developper ou oui mininal (decroissance/appel à disparaitre) dépendra d'un reflexion publique necesseraire entre les options de production dénergie et de besoins/consommation (sobriété)...
-Réduireles productions les plus carbonnées: en France on a peu de lattitude à présent, car ils reste peu de prod.electr fossille,... (mais ailleurs: réduire drastiquement voir arreter le charbon en Allegmange, Chine,... le gaz shiste aux US...)
-optimisations par la digitialisation (reseau, ...): à developper bien sur mais sans virer à
-Optimiser (et réduire) l'approvisionnement energie de l'Industrie: cf § supra: faire de l'acier et ciment avec de l'hydrogène
-Optimiser (et réduire) l'approvisionnement energie de l'agricultuure: cf § supra: ex agrocarburants pour les machines agricoles
* Les questions mal posées par les inquiets/paranoiaques/climatosceptiques/écologues extrémistes:
-Le dérèglement climatique est il réversible? (à quelle vitesse? les espèces auront elle survécu? ou été capable de passer le changement, à quel prix (de mortalité, de souffrances, d'adaption/évolution devenu elle irreversible?,... = répondre a cette question sans enjeu/conséquences est inutile.
Le climat (et tout processus qui nous dépasse) pourrait être réversible que cela ne motivera pas à anticiper le risque de perdre, et se battre pour éviter de perdre,►sa grandmère a cause d'une seule canicule prévisible, ► son enfant a cause d'ouragans plus fréquents ou conséquents sur l'activité humaine, ► laisser disparraitre les manchots du Groenland dont l'inslandis commence à fondre et qu'on prévoit devoir disparaitre d'ici 1000 à 2000ans, meme si l'H disparraissait avec ses machines et n'emettait donc plus aucun CO2, sans refuge suffisant pour ces manchots au nord canada ni sur la banquise qui a déja réduite de 20% en 30ans et est prévu se réduire à un glacon impermanent flottant non accroché au pole nord. ►laisser se developper des conditions de vie (climatiques, ou équipements technologiques les compensant) propres à pousser les gens à se réfugier sur des régions moins désastreuses et pourquoi pas celles les plus préservées ou devenue plus propices, naturellement ou à renforts d'investissements par les hommes les plus riches, puissants (un telle crise socio-migratoire sera t elle 'reversible'?!)
-N'est il pas causé car on est trop nombreux sur Terre? Quelle question cynique quand 1% des hommes (les plus riches des sociétés 'developpées' esstlmt occidentales) sont responsables de 50% des causes du dérèglement climatique en 200ans (les émissions CO2, mais aussi autres pollutions). Les pollueurs ne seront assurément pas les payeurs ni les plus fortes victimes. Ils sont déjà responsables assurément de la noyade programmée des populations qui n'ont souvent rien demandé à avoir une voiture par personne et autres luxes inconséquents de pays riches, des maldives et autres atols polynésiens qui vivent de 1 à 5m d'altitude protégé par un caillou recifal qui blanchit avec le rechauffement climatique et s'effritera avec les vagues au fil des ouragans plus nombreux, et avant que 6m d'élévation des océans déjà amorcé avec la fonte du groenland et de la banquise articque et meme parteillement de l'antactique. Et qui est le 'on' de la question? est ce 'nous les hommes', tous et avec des machines pour tous ou que pour les plus riches; ou est-ce que seuls les plus riches ou futés pourront survivre aux nouvelles conditions de vie qu'ils ont induites; est-ce les mammifères, ... ou le scorpion et la fourmi qui elles ne devraient pas avoir de mal a survivre. Il est quasi sur que certains hommes arriveront à survivre réfugiès aux endroits restés ou devnus vivables, sous un dome recréant un ecosysème ou il y plus de chance que l'H y aura appris la finitude, recycler ses déchets, l'économie circulaire, ...; voire meme survivre dans un navette puis sur une autre planete. Mais il est aussi certain que ce n'est pas la demographie qualifiée de galoppante en Afrique ou ailleurs qui est la cause du dérèglement climatique: c'est la prétention que l'on puisse faire profiter tous les homme de toujours plus de machines et de confort de plus en plus souvent (et meme en temps réel - continu) sur des activités de moins en moins essentielles et de plus en plus virtuelles (jeux vidéos), cela en travaillant physiquement toujours moins.
-Il y a des solutions !? (La technologie ne peut elle pas etre plus efficiente et resoudre les problèmes écologiques?): voilà une question qui motive l'espoir par une fuite en avant avant de se pose des questions sur quels problèmes, pourquoi, pour qui! Le comment (la solution technique) ne vaut rien sans contexte ni but. Oui il y a des solutions pour apporter de l'eau dans un désert, pour protéger coute que coute une ville de l'immersion marine, pour refroidir un immeuble entier, pour synthétiser des nutriments protéique, minéraux ou autres,... Mais veut on habiter la meme région devenue désertique ou accepter de migrer dans l'ancien désert devenu tropicalisé ou la steppe aride de mongolie devenue plus tempérée. Veut on cloitrer la ville et y vivre derrière des diguer de 20m de haut en brulant du pétrole ou du nucléaire pour activer des pompes en continu? Veut on vivre reclus dans des immeubles climatisés et alors se defouler sous un dome protecteur. Veut on manger des aliments de synthèse bien colorés, gélifiés, texturés, ou bien des poudres dans de l'eau, ou meme des liquides bus ou injectés, ou bien pouvoir continuer à ceuiller des fruits et consommer les meme taypes d'aliments 'naturels' ou issu d'un ature certes domestique qu'on appele agriiculture? Veut on continuer à avoir toutes les machines possibles avec un usine nucléaire à moins de 100km ou entouré de 100km2 de panneau PN ou éolienne, ou bien reserver les machine aux seuls usages essentiels ou trop ereintant pour un homme?
-
* Enjeux et Solutions par sujets
Plan: Genéral(principes) | (productions, usages, fabrications aval) 5G | d'acier | ciment | Plastic
-Général: Administrer certaines industries dans l'optique de decarboner (et idem pour d'autres necessités collectives), et reglementer les usages correspondants:
.nota les production très énergivores: acier, ciment, verre, ... (cf § infra).
.ex demande à nos entreprises de l'automobile de developper des voitures à très faible consommation (2-4L/100km) et en contrepartie les protéger par du protectionnisme. Cela doit etre accompagné d'incitation forte au consommateur et disuassion sur les fortes cylindrées.
-Ne pas s'engager dans la 5G (sans étude bénéfice/risque honnête):
.d'abord pour la croissance de traffic internet attendu x4-5 quantitativement (et qualitativement diminué?) et la corrolaire surconsommation électrique et surdomage éco-socio: un but de la 5G est clairment daugmenter le débit nominal, permettre une meilleur résolution, pour tous,...). Il n'est nul question d'y associer de limitation, restriction d'usage, de durée de consommation par internaute (au contraire),.... Le but industrialocommercial est d'abord l'extension du marché, cad la massivification tant temporelle (débit nominal ccru x?5, résolution accrue, temps réel,...) que des supports (on passe d'1 TV par foyer en 19?80 à 2-3 appareils multimédia présentement (smartphone, tablette, ordi, TV, bipper, montre connectée,...) et bientot 20 ou 50 objets connectés par personne (la voiture, mais aussi la plupart des machines et objets de la vie courante-déjà trop nombreux- souvent en temps réel, des lumieres ou du frigo à la balance ou le robotménager, la brosse a dent, le miroir-suivi-médical,...; ajoutons les machines des entreprises, la (télé) surveillance publique ou privée, ...); massivification aussi des fréquence d'usage, la démocratisation/accès aux pays/population nouveaux (pays "sous-développéés") et l'extension d'accès n'importe ou sur la planète (couverture du reseau toujour plus étendue: 100% dans les pays 'avancés', cable>fibre; antennes>satelites/ballons google, ...).
.ensuite pour la conso de metaux lourds des mobiles et ordi ou objets alimentés par la 5G (pollution d'extraction avec de acies,;...: il est estimé que lacture écologique serait double de la conso electrique des appareils.
.aussi pour les pblm que la 5G va possiblment plus amplifier que résoudre: fracture numérique (inégalité d'accès), addiction au numérique (et desocialisation, égoisme, agressivité,....) et pblm de cybersécurité (en forte croissance). A chacun de ces problèmes la 5G n'apporte pas en soit un gain technique, mais une opportunité de dérives supplémentaires. Les solutions sont d'abord question de raison sur les utilisations de l'internet.
.enfin aussi pour beaucoup de supposés bénefices fallacieux et finalement pervers ou du moins contraires à d'autres besoins plus essentiels: la logique industrielle et commerciale avance de avantages de la 5G qu' il s'agit de relativiser aux justes besoins d'internet, et aux autres besoins (techn de comm ou non, energétique, ...) en concurrence, et dans un monde limité à présent contraint, jusqu'aux besoins primaires (l'alimentation à sécuriser face au déréglement climatique). Par ex
La 5G est plus efficiente, en ce qu'elle consommer d'électricité par octet transporté. Mais cela est totalement abolis par la croissance x4-5 du flux internet
Est il pertinent d'augment le debit internet pour qu'au moins la moitié servir de nouveaux besoins non essentiels ou assurés déjà autrement vidéos, film streaming,..à, dont 1/3 pour du porno; la 5G est elle justifiée à 1/3 pour regarder du porno en ht résolution dans l'ascenseur?
On trouve à venter des applications farfelues ou qui donne long à penser sur le monde qu'on souhaiterait. Par ex certains pronent avec la 5G des troupeaux connectés: le but est de produire plus (on en revient avec les bovins, de ne pas les perdres, d'éviter la perte d'animaux à cause de loups,... Déja faudrait il justifier le besoin de voitures connectées (pour rouler plus souvent/facilement, nota en ville et sur les autoroutes... là ou il faudrait le moins en basculant sur plus de transport collectifs!)
-acier : réduire son utilisation dans des applications comme ....; Optimiser la production (acier DRI/H2)
-Développer la production d'acier basée sur l'hydrogène et non sur le gaz naturel (ou d’autres combustibles carbonés), sans que cela signifie pouvoir continuer produire et consommer toujours plus d'acier (c'est qu'il faut aussi faire l'inverse: Sobriété!).
[alcimed 201904] En effet, la production d'acier réprésente 4à9% des GES ce qui est très significatif. Typiquement le charbon ajouté dans un haut fourneau (780kg/tonne d'acier!) apporte via sa combustion à la fois un pouvoir réducteur du fer oxydé (via libération de CO et H2), et la chaleur requise pour la fusion. L' H2 peut apporter une solution très interessante, surtout pour l'étape de réduction des oxides de fer (alternativement aux hydrocarbures (gaz, pétrole, carbon), et éventuellement pour produire la chaleur réquise pour la fusion du fer(mais a fort cout!). Il faut quand meme ajouter une source de carbon pour former l'alliage acier. La recherche investit de nombreuses modalités (dont la co-utilisation de CO) mais à ce jour la production d'un acier vraiment vert (autant qu'il le peut être!) pei à devenir opérationnelle et rentable (raisons techniques, economiques) malgré des avancées dans divers groupes, utilisant de l'H2 gris (fossile transformé) sidérgiques , utilisant de l'H2 gris (fossile transformé) (Midrex(US), Voestalpine(Au), Hydrit(Sw), Ovoko et Thyssenkrupp./[r], ArcelorMitlal/[r] ferait déjà 30000T acier vert, prévoi 120KT en 2021: voir dite DRI-EAF ( aciérie électrique))). La decarbonation de la sidérurgie utilise aussi de l'H2 gris (reformé de combustibles fossiles, ou issu de coke riche en H2/CO), et une voir dite 'SmartCarbon' aussi avec H2(cf ArcelorMitlal/[r]). Cette voie reste cependant un avenir très attractif qui devrait developper la production de fer pré-réduit (plus connu sous le nom de DRI – Direct Reduced Iron - ne nécessitant pas de charbon). Cette filère suppose la maturation d'une production d'hydrogène de masse verte (R&D Eu Ulcos, Course(Jp), et Grhyd pour le transport), et restera gourmande en énergie (
40% des coûts de fabrication de l’acie) donc en concurrence sur les modes de production et consommation d'énergie.
Alternativement l’acier recyclable est produit dans des aciéries électriques, et sa part augmente sensiblement d’année en année, mais reste minoritaire.
Cette substitution de source d'énergie (par H2) peut interesser d'autres process de combustion à très haute température (métallurgie, cimenterie, briquetterie, verrerie, papeterie,...).
-ciment : réduire fortement son utilisation dans des applications comme l'habitat (en faveur de l'ossature bois, ...);....; Optimiser la production de ciment
-Optimiser la production de ciment
-Plastiques: réduire fortement son utilisation dans des applications comme l'emballage (en faveur des neoplastique biodégradable, et des 'anciens emballage tel que le carton ou l'osier ou les liens...);
-Contraintes reglementaires sur la production de plastiques d'origine combustibles fossiles, pour leur cout écologique.
-Developper les néoplastiques: à base d'algue, mais, .... : cf page neomatériaux
-Switcher les emballages plastique vers les emballages biodégradable classiques souvent délaissés à tord (pour la facilité d'attractivité visuelle du plastic coloré, imprimés,...), qui peuvent aussi bénéficier d'améliorations/innovations.
-Repenser les atouts supposés du plastic (solidité, imprimabilité, resistance à l'humidité,...) par rapport au produit à emballer, la durée et conditions d'usage de l'emballage: le plastic n'est toujours plus pertinent (ni pratique): temps de déballage;
-Developper la pertinence de l'emballage: nombreux légumes n'ont pas besoin d'etre emballés ou il suffit de readapter les modes de collecte, stockage, distribution, commercialisation. Developper notamment les fonctions mutliples de l'emballage (servir de récipient, de marqueurs, de compost, ...)
.
Résumé/points repères: (=>cf sur la page)
-developper le solaire thermique et TD: solaire thermique :sur les tous habitats qui utilisent de l'ECS, et notamment quasi obligatoire sur toute construction neuve. enmaintenir le nucléaire,
* Moulte médiaux sociaux/activistes climatiques, ou écologiques, ou ....) relayent des solutions locales alternatives, en général locale,
Les actions alternatives relèvent d'un peu tout les milieux/secteurs:
-education
-impliquer des sociétés commerciales, de production,...
-monde associatif
-sauver la vie: ex les baleines sont estimée stocke 33tonnes CO2 par individu + via ses excréments qui nourrissent le phytoplancton (/Brut nature FR 14 avril ·Les baleines sont des puits de carbone + Etude 'Finance&Developpement2019) LE FMI et l'OBG GreateWhatelConservancy estiment que les balleines rendent des services écologiques d'un valeur de 1000 milliard de dollar (annuel?). Et 1.7milliard de tonnes de CO2 serait stochées chaque année grâce aux baleines si on reconstituait leur population avec l'ère industrielle
EXEMPLES DE SOLUTIONS ALTERANTIVES (ECOLO>GIQUE, VERTES,...)
(a transferer sur pages parcatégories/dédiées
-LE Walipini: serre enterrée a 4m ce qui bénéficiera de al chaleur terrestre (30°F), du soleil, de la pluie,...: solution un peu lourde a construire, mais qui peut avoir sa pertinence si climat tempéré à froid, nappe pharatique a >4m de profondeur, pertinence dans un relief pentu (plus aisé à creuser, orienter,...°;... mais risque sol pauvre ou travail de sol...
PLAN: * Remettre en cause / changer de paradigmes? (solutions thématiques, idéaux, par sujets transversaux ou globalisants):):
SALAIRES | CROISSANCE | TRANSPORT | CONFORT | COMMERCE et ECHANGES |
Régime politique/Modèle Social: EtatSocial | EtaEco | LIBERALISME(%Marché du travail,...) |
DEMOGRAPHIE | SOBRIETE, Empreinte carbone, Métaux, ENERGIE (Nucleaire)
| Dégonfler les villes, Décarboner l'économie.
| FINANCE: Mesure sur l'économie financières (plusvalue, imposition et taxations) |
YT/GreenLetter20201-Maxime de Rostolan(Fermes d'avenir). "Permaculture/agroécologie"
Explique très bien comment l'agroécologie répond à la majorité des grands enjeux sociétaux (Santé, Emploi, Environnement(Pollution/Rechauffement Climatique/Eau);... *);, de facon evidente et majeure, pourtant on n'y recourt pas mais à des solutions plus couteuses et partielles!
* et par effets moins patents ou souvent indirects (parfois apparement contradictoires) retentissent sur les derniers autres grands enjeux sociétaux: l'économie (IAA), la retraite, la paix sociale, le loisir/tourisme, ...
- Eau/pollution: Ex de la polution de l'eau à Munich en 1993. (à 15'30-17'30)Solution envisagée d'abord: construire une nouvelle centrale de potabilisation, à 10Mds €. Après études écologique, on se rend compte que la pollution est due essentiellement à 250 agriculteurs. Solution retenue: sommer ces 250 agriculteur à passer en agriculture bio, en les soutenant ce qui coute moins que les 10Mds€ et effet plus durable. En 3ans l'eau est redevenue potable... et gratuite (car 'eau produite' par les agriculteurs)
- Santé: il est aussi assez clair que l'agri bio génère des aliments plus sains, plus nutritifs, qui se conservent mieux, ... et donc permet une alimentation plus saine, avec une incidence sur la santé favorable et potentiellement très favorable meme s'il est plus difficule à documenter les effets directs et surtout indirects (moins de maladies civilisationnelles/de prospérité'). Certes l'alimentation bio demande plus de temps de préparation par le consommateur final (ce qui produit des effets positifs aussi). Elle n'est pas incompatible avec l'industrie agroalimentaire, sous réserve de problème de prix qui est un autre débat/enjeux, au contraire même (solution au temps de préparation) (meme si l'IAA se retrouve moins pertinente à certains égards).
- Environnement(Pollution/Rechauffement Climatique/Eau): (à 20'30) il est à présent clair aussi que l'agroécologie pollue de facon insignifiante (ex des composts&lisiers) comparé à l'agriculture conventionnelle(intensive). Meme mécanisée (tracteurs), elle émet bcp moins de CO2 et particules fines/nano car recourt très limité au tracteurs et machines (qui moins nombreux et moins renouvellés polluent moins en amont (abrication) et aval (dementellement/recyclage). Elle ne consomme pas d'engrais chimiques (petroliers). Elle ne ruiselle pas de nitrate et peu de matières organiques, au contraire les stocke dans le sol. Elle ne crée pas d'érosion comme les grandes cultures intensives qui perdent leur limons, nutriments naturels et engrais dans les cours d'eau (lessivage; érosion), retiennent moins l'eau,... L'effet bénéfique de l'agri bio pour le climat repose en fait plus sur les sols.
Ainsi en se substituanit à l'agri conventl, elle fait non seulement réduire localement puis globalement la plupart des pollutions, en proportion de leur production (et non inversement!), mais elle tamponne et diminue la pollution générée par l'agri intensive et par les villes et les transports: role de poumon purifiant l'air et l'eau des surface cultivées (plus vertes, plus de jours/an), et via les surfaces libérées (retour à la foret), notament grace à des sols plus épais/riche/complexe (restaurés, enrichis), qui jouent un role de capteur, assimilateur et depolluant, vis à vis du carbone(CO2>mat.orga), de nitrite/nitrate et autres nutriment naturels mais aussi de polluants exogènes (bioassimilés et dégradés),
Enfin l'agri bio clairement développe la biodiversité: il suffit de sa ballader dans des fermes bio dès 1 an de leur création (et dans les espaces alentours, eventuellement libérés de l'agric intensive... extensive!) pour voir des oiseaux qui se rarefiaient, mais idem dans et sur le sol (insectes, petits mammifères), .et en 2-5ans revenir des espèces éteintes (flore, gros mammifères) car la Nature est resilient quand on lui en donne l'occasion.
- Emploi: il est clair qu'une ferme bio embauche plus d'employés par kg de nourriture produits. Que le rendement est moindre, du moins pour les légumes et fruits pratiqués en grandes culture (ceréales, betterave, pommes,...). Par contre la productivité pa unité de surface est supérieure! On peut dire que l'agriculture conventionnelle est intensive cad en consommation d'énergie (et technicité,...) mais extensive en (grandes) surface (+/- désertifiées) et en (faible) population agricole (exploitée, endettée), tandis que l'agriculture bio est intensive en faibles surface et fort emploi humain. L'enjeu d'emploi ne se limite pas aux agriculteurs: s'il faut retirer ss dt qq emplois industriels (pour les machines), il faut ajouter des emploi dans la distribution (meme en favorisant les circuits-courts). Et l'efet emploi se prolonge sur l'autre grand enjeu de nos société, la retraite.
+qq autres trucs sympa:
- 2% des paysans dans le monde ont un tracteur... or les 98% de paysans sans tracteurs nourrissent bien ?50% de la population mondiale! [à 25'40] Ou pourra faire des constats homologues avec la qté de pétrole brulé par l'agriculteur, les engrais consommés pour produire 1kg de nourriture, ... Ce met en relief qu'on voit le monde au prisme occiental: on ne peut pas dire qu'on ne peut pas se passer d'un agriculture moderne, intensive, ... pour nourrir l'humanité, sans reconnaitre qu'on prétend ainsi implicitement que tous les humains devraient etre nourris comme 20% ou 50% des hommes les plus 'mieux nourris', du moins à l'occidentale. Et ceci quoi qu'il en coute à la santé et à l'environnement du fait des polutions de l'agriculture intensive: faut il imposer toutes les maladies générées par l'agriculture à tracteurs, responsable de nos modes de vie modernes (alimentation et cadre de vie polluées, aimentation trop grasse et sucrée et abondante) cad imposer à toute l'humanité par ex un forte prévalence de l'obesité, maladies cardiaque, cancers,.. A l'inverse on pourra dire que l'humanité nourrie sans tracteurs a ses propres maladies, une espérance de vie moindre,... Certes, mais il faudra moduler le propos! l'alimentation 'sans tracteur' est moins responsable que d'autres facteurs comme le manque d'eau ou d'accès à l'eau (probleme d'abord technique et climatique, parfois politique), l'insalubrité et lhygiène (problemes techniques, aussi culturel (castes), démographie des villes), les guerres et migrations économiques,...! Serions nous prets à troquer nous maladies de riche contre celles des paubres à capacité de soin égal pour tous? Non. Serions nous pret pour éviter cela de troquer une agriculture intensive contre une agriculture de subsistance ou en version moderne ''bio"? Difficile de dire oui pour une agriculteur occidental empétré dns ses crédits, le système. Mais au niveau e las société globale, oui!
--Comment expliquer que l'agri bio soit (30%) plus chere que l'agri conventionnenlle? Est-ce temporaire, faut il s'y résoudre?
C'est tout simple: car on a externalusé tous les couts et domages créés par l'agri intensive, mécaniste et chimique: comptablement, on a tout mis dans d'autres colonnes de sorte que le pollueur n'est pas le payeur: dans la colonne agricutlure qui généré de beaux bénéficies, d'ailleurs redistribués pas spécialement aux agriculteurs. Mais les autres postes/colonnes se retrouve débitrices sur la solidarité sociale, et les générations futures. Les algues vertes? il faut les mettre dans la colonne environnement *qui n'a pas de revenus propres!-. Les innondations/erosions? aussi environnement. Les maladies
-il ne s'agit pas de ne voir que le pic oil (sa menace d'arrivée ou qu'il est passé et il faut une transition), ou que le réchauffement climatique, ... Si on dezoome, le pic oil c'est un accident ponctuel dans l'histoire énergétique de l'humanité. Et se serait avoir l'esprit étroit de penser qu'il est possible énergétiquement de maintenir une demographie croissance, une économie de croissance, une consommation d'énergie qui va pouvoir continuer on meme croitre par habitant (moyen) avec un nouvelles forme d'énergie 'gratuite'. Si nos sociétés continuent de croire qu'elles doivent fire reposer sur le pétrole ou une autre energie qu'on produira (verte) l'avenir de ses activités, de transport, de communication, de santé, d'alimentation... nous aurons été un accident sur Terre. La seule révolution sociétale (paysanne, industrielle, culturelle) pour une civilisation sereine et stable (fut-ce dynamiquement) serait/sera de composer avec, et au final de s'appuyer sur, le rythme de la Nature. Quoi faire?:
Le climat de rechauffe (avec plus d'instabilités, qu'on prend pour des catastrophes naturelles)? oui, on commence à le voir, les premisses seulements. Il faut non plus s'y préparer, mais évoluer avec ce qui sera une révolution, sans attendre que ce soit plus clair (et fort)! En 100ans nous devrions vivre (à minimal +3°C) ce que la Vie à connu en 10 000ans, devant réfugier au sud de Lyon, tous les habitants des 2/3 de l'Europe pris par les glaces. Les autres 'accidents' climatiques, jamais si rapides (similaires ou pires, nous ne savoir pas si nous pourrons (voudront) éviter un +5 voire +8°C)) ont conduit à des extinctions bien plus conséquentes encore.
Le paradigme social est que le salaire ... (doit augmenter avec le temps, etre fonction du diplome, des résultats, du mérite, ...)
Que le salaire doive augmenter avec le temps (avancement salarial) est une acceptation implicite dans nos sociétés. Il est justifié de dire que la personne plus agée aura plus d'expérience, et ceci et cela. Cependant, cela n'est pas forcément si simple/productif/benéfique? ni souhaitable d'en tenir compte?
(a) pas si logique?: une plus grande expérience, oui sans doute, ca s'appele du vécu. Mais expérience de et pour quoi? l'expérience de répeter des millions de fois un geste à l'usine pendant 40ans (l'adresse) vaut elle celle de 40ans de management (methodes(s), qui pourrait être appliquée par un néophyte et effective rapidement), à quel égards? Est-ce pour etre plus efficace dans son travail, ou pour s'adapter à des travaux ou besoins futurs, ou pour vivre simplement, ancré dans ses besoins et habitudes hors exigence de progrès ou croissance? Est-ce pour servir sa propre productivité (revenus) ou celui de l'interet collectif, et cela justifie t il que ce soit la base pour établir le salaire à venir? Il me semble que le salaire est une forme de répartition de la richesse et valeur ajoutée collectivement, présentes, donc seul l'interet collectif/social prévaut, d'abord présent et secondairement pour faciliter/prévenir le futur. Le passé n'y entre pas en ligne de compte, qu'importe comment les capacités ont été acquises, ce qui n'amène pas à pense qu'il faut établir le salaire d'après la formation, mias d'après le travail fourni, et le potentiel à fournir un travail futur d'interet général. Admettons que pour etablir le salaire il faille considérer l'expérience (vécu+enseignement à s'améliorer) qui promet une plus grande valeur ajoutée (présente et future), que pour le bien de la société. Alors pourquoi l'individu qui s'est retrouvé par sa condition sociale de famille/jeunesse, par accident de vie, par le fait qu'il fallait bien des agriculteurs/ouvriers/travailleurs Ir (pour qu'existent des travailleurs manager/directeurs), (voire par choix),.. pourquoi donc cet individu serait moins considéré sur son évolution salariale que celui qui à la chance (d'être plus entouré, plus éduqué, plus capable naturelleent, plus fort ,...). Le salaire vaut il a amplifier ces dispositions contextuelles ou innées? Il me semble à nouveau que le salaire est une forme de répartition de la richesse et valeur ajoutée collectivement, que la part de valeur ajoutée individuelle devient faible si ce n'est dérisoire comparé au patrimoine/capital collectif accumulé, aux spoliations pratiquées par la société sur l'envirionnement (energie fossible; occupation et exploitation de l'espace;...) et aussi aux enjeux futurs. Donc cela conditionne largement la richesse que l'individu pourra sous tirer de son travail (salaire, revenus) et sa transmission (cf §-héritage).
(b) pas si souhaitable?: nous avons vu qu'il n'est pas si évident d'accorcher le salaire à la pluevalue (supposée ajoutée par l'invidu, obtenue avec quoi? sur quoi? pour qui?). Ne faudrait il pas
-considérer pour le salaire d'abord ce dont le travailleur à besoin pour vivre décemment, et replacer les besoins primaires au centre de la valeur du salaire: ce qui peut mener à repartir le revenu des entreprises plus équitablement entre tous les employés. Tout le revenu/bénéfice collectif, ou qu'une partie, le surplus alimentant un patrimoine collectif utilisable collectivement, pour les retraites, et en cas de problème (pour certains, pour les générations futures,...).
-remplacer (en partie) le salaire par d'autres valeurs que la gratification et motivation à travailler: d'autres formes de gratification ou de reconnaissance ou mieux de crédit social?: la reconnaissance dans l'entreprise, la société,... peut permettre d'acquerir plus de pouvoir à influer sur la société; à acquérier le droit d'utiliser des biens/services proposés par le comité d'entreprise, voire de biens sociaux (ex Brégancon/président), ... Bien sur des mécanismes d'affectation de ces usage (qualitativement, quantitativement) son nécessaire pour que de telles gratification ne dérivent (abus; magouilles;...).
L'echelle des gains salariaux/de revenus n'est il pas deraisonnable (x100-1000? par rapport au Smic) alors qu'il est limité désormais plus par l'efficacité des machines (qu'on n'a pas construites soi-même) et de l'énergie puisé (volée) à la Terre, que par les capacité (physiques) de l'homme (et meme intellectuelles!)?. Quand on sait qu'1 watt humain mobile 60watts d'energie essentiellement fossile, on se dit que le mérite d'un homme moyen et sa contribution à 'ses' résultats pèse pour 1.67% de la plue value crée en moyenne (financièrement!). Par ses revenus augmentés, aux dépends de la Terre, cela lui permet de polluer ... 60X plus que l'homme prehistorique, ce qui à un certain niveau dégrade l'environnement et ainsi compromet non seulement sa qualité de vie, mais son révenu et celui de tous. Admettons qu'un homme gagne 10 ou 100x plus qu'un autre, et que ce soit justifié cad lié à son mérite propre (en réalité c'est plus que 100x+, et on parle de s'en limiter à 10-20x+), alors son mérite serait 10-100x1.67 ... = 16.7% ou 167% de la plue value (financière) créé collectivement! on comprend que cette évaluation (salariale) du supposé mérite individuel est arbitraire, en fait aux dépends des énergies fossiles de la Terre et de la biodiversité de la Nature.
Il est sur que le mérite intellectuel, qui revient à de l'information a effet déclencheur d'action ou de richesse, est surévalué. La surévalution resulte du fait que l'information organisatrice (negentropie) est outil de pouvoir, ce qui nous subjuge. Prenons le contrepied, avec une information qu'on va pouvoir voir soit à effet positif (production de travail, et valeur ajoutée), soit à effet négatif (créatrice d'entropie, cad de désordre, d'énergie moins utilisable):
il suffit de peu de force/intelligence pour ouvrir le robinet qui va alimenter une turbine qui produira un travail valorisable de facon diversement appréciable: si on le remunère à son geste (ouvrir le robinet), à la minute et son effort physique, sa plus value est faible pour qui lui a démandé et le paye: le mec1 est un opérateur technique. Si on le rémunère à sa bravoure d'avoir pris le risque d'aller ouvrir le robinet du barage en voie de s'écrouler, le mec2 est un héro bien payé. Si on le rémunere à l'énergie produite (ou produisible!; liée à la hauteur et volume du barage), le mec3 (qui en fait aura fait ouvrir le robinet) sera un ingénieur qui pilote ou a concut le robinet (+barrage, la turbine, le réseau), avec un bon salaire. La plupart des ingénieurs sont payé non pas sur un travail physique (quantifiable en énérgie), immédiat ou du moins determinable(reproductible), mais sur une promesse de travail(plusvalue) futur et facile quand le barrage/machine sera terminé, ou de travail en production sur la durée. Le mec4 est un financier investisseur qui touchera un gros dividende à la hauteur non pas de travail physique produit (ou produisible) qu'à la hauteur de son risque financier passé qui devient avec le temps royaltie à risque quasi nul, du une manne/rente qui empeche l'amortissement du capital. Le mec5 sera un politique qui touchera une retribution pour son travail relationnel, ou un pot de vin! Le mec6 lui sera un terroriste capable d'enlever la pierre au bas du barrage, qui va d'écrouler et libérer toute l'eau, libérer une énergie non utilisable, détruire des biens naturels ou humains en aval (pas salaire, mais des couts à la collectivité): le travail réalisé par sa 'force/intelligence' (ou sa folie) de-crée de la plusvalue et n'a pas de mérite (social, energétique)... autre que le mérite acquis en pouvoir (à nuir, influer,...). Cet exemple extrême n'est pas si vainc pour apprécier une valeur du travail, car le travail moderne, de plus en plus complliqué et contreversé, abouti à detruire ou reconstruire plus que de raison, sabrant la rentabilité de l'activité (faible efficience/+s générations). = le mérite de l'individu seul ne rend pas compte du mérite social global/durable. C'eSt paRfois à postériori qu'on se rend compte qu'un travail s'est averé très utile et a généré des richeses (cas des inventions précoces : les inventeurs du feu, de la roue,... n'y "gagnèrent" sans doute quasi rien, ni meme pour l'électricité (pour l'observation du grec Thaies de Milet au -VIem BC a Benjamin Franklin (1752) et au francais C.Coulomb qui explique(1785)), et à peine plus même pour les 1r gd applications Volta avec la pile (1800), Barlow avec le moteur (1822) et Edisson l'ampoule 1879).
Que les mec1-2-6 soit jeunes ou agés n'y changera pas grand chose au mérite, et à leur salaire. Ca change un peu certes pour les mec3-4-5. Au final le salaire est décomposé en niveaux d'intervention individuels, qu'aucun n'aurait su/pu faire seul, pour des besoins collectifs. La force/intelligence, le capital requis, même le pouvoir sont collectifs avec des contributions individuelles quantifiées de facon arbitraire (valeurs sociales des types de travail historico-dominées), non objectivées par la physique du monde.
>Contre exemples de rétributions non financières/salariales: dans la société (+/- "conventionnelles"), et par expérience de pensée:
-dans des associations, le travailleurs sont souvent surtout de bénévoles, qui attendent de la reconnaissance/considération sociale ('mondaine', souvent humaniste, parfois morale), de la vie partagée (du relationnel), parfois une tolérance de leur usage privé des biens/services de l'association/club/institut... Tous ces interets de l'individu, non formalisés, non salariaux, et pourtant assez essentiels, peuvent inspirer l'interêt de formes de rétributions qui complètent voire remplacent les revenus monétisés (salaire, commission, dividende, ...).
-quand x personnes aident à remonter sur la plage un bateau de peche en Afrique, retour parfois cahotique (vagues), chacun est remercié (payé) 'en nature' avec un/qq poisson, quel que soit on age ou statut, meme un étranger qui passe. Cet exemple simple introduit la notion d'entreaide, hors entreprise productrice et même communauté, de gradien entre politesse-aide et salaire de rétribution non salariale (en nature).
-les salariés d'une entreprise sont gratifiés de titres dans la société (action, stock options), depuis les années 200x d'abord pour les dirigeants puis cadres, plus rarement pour les techniciens ou ouvrier... Pourquoi? Réticence et freins aristocratiques pour garder le pouvoir, et préserver des interêts financiers particuliers (nota des actionnaires, des dirigeants/cadres) en reflechissant en parts de la société et non en revenu net!). Cet exemple de rétribution indirectement monétisée s'apparente à certains égards à une promesse de rémunération supérieure en echange d'une fidélite voire de support (en tant qu'actionnaire et si possible employé), entretenant (ce ui a du bon) l'idée de solidarité, de motivation, d'appartenance,... Retenons ici surtout que l'employé est payé à crédit. D'autres formes de reconnaissance à avoir fourni un travail (passé) est, outre la nomination ) un poste supérieur (avancement), la nomination à titre honorifique, voire à titre posthume. L'employé est remercié aussi en titre de reconnaissance, ce qui est souvent plus qu'honorifique, car en général accompagnée de primes ou de cadeaux, et aussi valent potentiellement de garantie (informelle) de solidarité individuelle en cas de difficulté future pour l'individuL
-la vie moderne a inventé mile facons de remercier les individus pour leur travail ou informations, pour les fidéliser, les dédomager,..., en tant non plus qu'employé/salarié (§ ci dessus), mais en tant que consommateur de l'économique commerciale et aussi informelle, et meme en tant que citoyen consommateur et acteur d'instances associatives ou publiques.
Dans la sphère commerciale: avoirs/crédits/bonus, services upgradués, services gratuits, parrainage, points voire revenus en pyramide de ponti, cadeaux, pots de vin, nommination gold/premium/privilgé/honorifique, remise/publicité, adhérent gratuit/d'office à un clubs,...
Dans la sphère non commerciale/associative, on retrouve beaucoup des moyens similaires à la sphère privés: cadeaux, nomination a titre honorifique, bénéfice ou remise sur des services ou produits (pour les adhérents; voireles sympatisants fidèles,...)
Dans la sphère publique, on peut considérer en rétribution, les indemnité d'avoir participé à une action publique, et divers moyens similaires à la sphère privés, et même les exonérations d'impot sur des dons. Certaines formes de rétribution sont même transmissibles (privilèges héritables).
= Ces exemples nous font réaliser la diversité des formes de rétribution non salariales (et non conventionelles ) que le citoyen apprécie (beaucoup consommateur, mais pas toujours: dans une association, institut, mairie,...) pour fournir un travail parfois physique et réel/immédiat (bien que souvent accessoire pour lui/non conventionnel), notamment indirect(meme acheter effectue un part de travail; communiquer des informations, parfois inconsciemment!), ou meme virtuel/différé (remise/abonnement 'un service/biens définis, ou non (engagement à acheter), renseigner, faire de la publicité). On peut distinguer ceux qui sont monétisés à valeur fixe, de ceux monétisé à valeur variable, de ceux en nature, de ceux non monétisés ni en nature (plus rares!).
>Contre exemples de gratifications psychologiques et 'morales'/reconnaissance sociale
Ceci a été déjà bien évoqué au § précédent (focalisé sur les rétributions 'para-financières'), dont il est parfois difficile d'en distinguer les limites "à crédit" > "pure reconnaissance". Citons les nomminations à titre honnorifique, qui n'ont du coup plus de valeur rétributive mais gratifiante. De même pour les diplomes du travail, tableau d'honneur, qui se mèlent à de vraies rétributions financières: primes.
Il peut sembler inutile de considérer ces gratifications phsychologiques comme un forme de rétribution salariale, néanmoins elles comptent vu leur intrication aux rétributions salariales (financière ou non, différées,;..) et jouant un role pour les temporiser/différer. Aussi, vu ces gratifications psycho§morales prenent un role singulièrement necessaires alors que les rétributions destinées aux besoins primaires sont globalement satisfaites et devenues mineures par rapport aux salaires sur les besoins II/III. Ces derniere dépendant des I, il faudrait une on n'applique pas de levier amplificateur,
>Inventer une notion de 'CREDIT SOCIAL'(rétributions différée):
On distingue divers modes/régimes/... politiques qui régissent le fonctionnement de la société (ou pas/peu/mal). Ils sont sensés correspondre à un modèle social partagé, idéalement accepté (ou consenti) et satisfaisant pour les citoyens (choisi ou non). Les régimes dominants actuellement sont disons la démocratie ou l'(aristo/oligo/mon)archie capitalliste: les règles du pouvoir reposent (en théorie) sur le(s) peuple(s) -démocratie-, ou sur une classe d'individus dominants (oligo/mon-archies) reconnue (et/ou imposée) par leur sang/origine (monarchie royales), leur leadeship (dictatures), leur compétences (aristocrates), leur richesse,... Le rouage principal se ramène à l'appréciation de la valeur des choses (et de la capacité de pouvoir, et même des actions collectives ou non), par l'argent (quand la forme de pouvoir principale depuis la préhistoire reposait primairement sur la force physique. L'argent s'y est substitué, en pouvant la mobiliser, comme d'ailleurs virtuellement toute chose physiques, lequelles conditionnent +/- directement largement toutes autres choses). En particulier le capital, somme d'argent investi(ssable), s'est invité comme outile de pouvoir dans l'idéal démocratique; et jusque dans les régimes socialistes (Chine) qui pourtant s'y opposaient comme valeur fondammentale du pouvoir (et aussi l'aristocratie).
Impossible d'aborder ici ces régimes politiques, qui s'intriquent en moultes variantes, sur des sociétés et contextes très différents, avec une dimension historique,... Etudions ainsi plus dans une perspective unifiante humaniste vers un(des!) modèle(s) social idéaliste quelques types de régime(s) (et organisations) politiques qui gèreraient nos sociétés avec "le meilleur" de ce qu'on observe et aussi avec des innovations politiques ou structuelles qu'on peut devenir par des évolutions avérées et tendances emergeantes ou projettées. Ceci inclut
(plan) EtatSocial | EtatEco |
e
Quelle est la bonne echelle de gouvernance?
de la région (ex les Basques) ou l'état (ex la Ffrance), ou au continent/ensemble geopolitique (ex l'Europe, voire l'OTAN) et carement au monde (l'ONU)? à l'inverse faudrait il revenir à la ville (ex de l'antique Athène, berceau de la démocratie) ou meme infra la communauté ou les guildes/corps professionnels, ou, la ville et meme la famille! Le risque est de s'engager sur un débat partisan, et force est de constater qu'aucun structure sociale ne fut idéale et stable.
Et si "la solution" etait multiple: chaque niveau de gestion et gouvernance à son domaine de compétence, de pouvoir, d'autonomie, de liberté, ses contraines issues des unités plus petites ou plus grandes, avec la possibilité de structures qui ne s'emboitent pas forcément.
A la base la famille semble assurment le premier niveau d'oganisation très naturel/spontanné. Une variante est certains communautés ou la parentalité s'efface devant une éducation par des parrains/parents adoptifs, ou par
Ensuite viennent les régions assient en général sur un culture partagée, puis l'état/pays/état qui est la structure sociale dominante actuellement.
Quid d'alliances geopolitiques, de l'ONU, ...
Ce qui limite nos organisations est que les règles d'un niveau sont subordonnées au niveau supérieur, et subordonnant du niveau inférieur. Ne faut il pas reinventer la notion d'organisation, qui est mécaniste, subordonnante,... Par ex un cadre guide imposé par chaque niveau et accepté avec une certaine marge de variation par les autres niveaux. =>§-Structure fédérative chimérique.
EtatSocial
[Video Politeia/CristopheRamaux-46min: +++ pour demistifier l'état qui est vu capitaliste, en fait en bonne partie social. Très gaucho (meme marxiste), mais attitude honnete sur le pendant privé]
Qu'est ce que l'EtatSocial ? ce n'est pas que l'état social souvent décrit comme état providence; pas que les Prestations sociales, ce qui protège les plus pauvres, ce qui coute à tous:
L'EtatSocial(dogme/idéal - comme pour CR) apporte bien sur les droits sociaux (avec 2 volants: la protection sociale s.s.; et le droit du travail), mais aussi du bien etre individuel et collectif (wellfare). Il apporte une satisfaction globale preférée par l'ensemble de la société, et une efficacité potentiellement 'supérieure', plus humaine,... que si les individues étaient livrés à la libre concurrence [qu'elle soit anarchique ou +/- encadrée -par une économie capitalliste, un dogme individuel (dictature), d'une classe d'individus (monarchie; oligarchie), confessionnelle (religieuse); communautariste (communiste/marxiste/socialiste) ou autre ().]. La notion de satisfaction/bien-être global est bien sûr délicate, certains l'entendront surtout collective (privilégierl'interet collectif/modèle social), d'autres surtout comme une juxtaposition harmonieuse d'interets individuels/familiaux/claniques/communautés de vie.
*DROIT SOCIAL>PROTECTION SOCIALE: RSA (10Md€) et allocation sociales: c'est en fait très peu comparé aux 700Md€ des dépenses (45% pour la retraite, 35% pour la santé), 10% pour pauvres, les chomeurs. Ceci hors regimes complémentaires oligatoires; mutuelles non obligatoires. Regimes de base (agriculture, opera paris,...).
*DROIT SOCIAL>DROIT DU TRAVAIL: code du travail; négociation collective (mais se repose bcp sur le code du travail); Le droit du travail est né pour protéger les employés, mais est completé par le droit du travail privé (lois de la profession - dictés plus pas les employeurs, donc nota en faveur de leurs droits). Au final, le droit du travail publique aide les employeurs aussi (pour eviter le dumping, ... qui cadrent la concurrence).
*SERVICES PUBLIQUES: 30% des emplois publiques: recouvrent un peu de protection sociale (via les hopitaux), mais surtout de la défense: la fonction publique administation et pas que (30% des emplois dans des services(semi) publiques (edf, ratp, ...)).
!!! on fait croire qu'on vit dans une économie de marché pour tout: non, il y a le droit social (publique) et les systèmes associatifs (très important aussi). Par ailleurs le publique a aussi un part d'activité marchande (EPICs).
Poids relatif des dépenses publique france(2017/Insee):
[1-tabl] par structures publiques:
532Md€ d'admin.publique centrale, dont 492Md€ pour l'Etat
+ 255Md€ d'admin.publ.locales
+ 597Md€ d'adin SécuritéSociale
+1294Md€ d'admin.publiques.
[2-tab]: Dans les dépenses, 412Md€ de dps fonctionnement, 290Md€ de rému/salariés, 758+452+139 de prestations sociales s.l.; ... divers = 1294Md€. (et par admin: [2-histog] )
[5-camember]: 43% de prot.sociale, 14% de santé, 10% de svc ub/genrx, 10% d'A.economiques, 10% d'enseignement, 9% autres, 3% de défense.
[4-histogr] La Fr est 1r dépensière d'an l'UE, puis proches Finlande, Belgique, Danemark; puis Autrice, Suède,Italie,Grece au dessu de ZoneEuro, Hongir et Portugal au dessus UE, puis Coratie, Allemagne???? Espagen et RU à mi chemin d'l'Irlande qui dépense le moins (60% de l'UEmoy)
!!! Démystifier/la dépense publique, qui "coute à tous/n'est pas productive": on fait croire aussi que les fonctionnaires ne sont pas productifs, il faut le privé pour les payer. Or on omet de dire qu'on n'est pas obligé de payer pour bénéficier de la lumière d'un reverbere, emprunter les routes, pour accéder à la police (ni pour utiliser la plupart de leurs services), pour accéder à l'école (et y aller/bus gratuit), à l'hopital, accèder à l'eau ou l'électr... Quand on paye le service, c'est en général le flux de matière (l'eau, l'electricité) mais pas l'accès (sauf désormais les frais d'acheminement de l'électricité), souvent pas son traitement ni élimination après usage. Beaucoup de tout ca est payé par les impots, que l'ont devrait voir en ce sens comme le prix de la baguette de pain (qui paye l'accès à et l'entretien de la boulangerie, le wifi gratuits pour le client, le service par la serveuse,...), l'entrée dans un parc de loisir privé, ou la cotisation d'entrée à une école privée, le cout plein pot pour une opération ou une paire de lunette,...
On réalisera plus le cout du service publique en se placant dans certains pays, ou les services sociaux différent en nombre, etendue et qualité:
Parmi les services sociaux les plus primaires, on trouve l'eau (et l'électricité): Par ex au Liban les gens payent (l'accès à et) l'eau et l'électricité 1)à l'état pour une (petite) base, et 2) le complément à la région et/ou 3) à un privé local qui supplée aux insufisances des services publiques (ex l'eau et l'électricité délivré par l'état n'est qu'a telle heure, et ca coupe souvent).
Parmi les services sociaux les plus payés par l'Etat seul, on trouve la défense, qui ne pèse plus ou moins selon les choix politiques, contextuels culturels/historiques et evènements. Ainsi, [Wiki/Sipri+++ tableaux]
.par rapport à la richesse, la défense pèse [Wiki/Sipri+++ tableaux] "que" 1.8-2.3-3% du PIB en France(61Md$) (et x% des dépenses publique), mais 3-4% pour les pays les plus 'puissants'/militarisés (USA(3.2%), Russie(3.9%), Pakistant(4%), Israel(4.3%), puis Arabie(8.8%!), tandis qu' au bas du tableau on trouve par ex le Japon (0.8%PIB) et bien sur la plupart des pays 'pauvres'.
Par montant total, on trouve en haut du tableau naturellement les pays riches et peuplés (les USA 700Md$, et la chine (114Md€), France(61Md$), RU, Russie, Japon, Allemagne) tandis qu'on remarque le poids de l'Otan(1036Md€) et d'entités fédératives (l'EU: 300Md€),. Ensuite viennent, parfois plus en raison de choix politiques/contextuels (Arabie, Italie, Inde, Bresil, Autralie, Corée, Espagne, Canada, Israel). Idem au bas du tableau: le budget min est l'islande(0.1%), mais aussi l'irlande (0.6%) ou la Suisse(0.8%) et nbx pays pauvres <1% du PIB).
Autres ex de svc social de l'Etat qui varie considerablement selon les pays/culture, montrant qu'il s'agit surtout d'un choix social nota:
L'enseignement/éducation (+/Wiki: +++ tableaux: les plus sociaux à cet égard sont des pays pauvres (Cuba(12.8% PIB), Djibouti 8.4%) ou non (Islande/Danemark/Norvège/Suède a env.7.7% PIB), puis une 40n d'autres pays variés en dvpmt/richesse selon leur politique/culture/richesse jusqu'à la france(5.5%PIB) suivie de l'Autriche et RU, USA(5.0%), Allemagne qui est au niveau de la moy mondiale (4.8%). Ca continue avec des pays pauvres ou pas Hongrie (4.6%) Espagne(4.3%), Chine(4%), Russie(3.8%) jusqu'au plus pauvres (avec un mini de 1%PIB/Soudan). Le tableau suivant/wiki affine l'analyse en $/élève par enseigment I/IIr/supérieur. Le luxembourg est de loin 1er sur les 3 niveaux d'ensgnm(avec >20K£), puis en ens.I se distinguent Suisse/Norv/Dan/USA/Autri§RU/Isla/Corée//Suede/Belg(10-16K$) bien devant la Fr(23em avec 7395$) et similairement pour le II ou la Fr se place mieux (8em-11747$, sur 20 pays à >10K$), et moins similairement pour le III ou les US sont 2m(30K€) quand la France se place 15me(16145$) sur une 20n à >15k€.
La depense publique (globale) est 57% du PIB. C'est important, mais ca repose sur un choix social
a) a combien on valorise le bien de chacun: la valeur de la santé/education/sécurité (cf supra)
b) a combien on valorise le travail des fonctionnaires requis pour ces services (et % privé)
Qui est le plus utile à la société, à quel égard(s),... d'un haut patron ou trader qui peut gagner 150000€/mois et une infirmière seulement 1500€/mois? Un trader gagne sur une activité privée sans doute sur valorisée, et l'infirmière gagne sur une activité d'interet publique sans doute sous valorisée. iLes activité des foncitonnaires sont moins payés/réconnus/chiffrés, certes ils ont éventuellement certain avantages (stabilité du travail, protection sociale publique,...), mais c'est mineur comparé aux 150-2 000€/mois. D'autant que le trader (et son activité) ne serait pas possible sans les équipements des services publiques (de la route à l'hopital en cas de maladie; de l'écolé pour ses enfants à la protection de
-Les déficits publiques sont aussi exprimés rapportés au PIB, par convenance car interessant our mesurer l'activité marchande privée. Mais e déficits ont financé des
Il n'y a plus 43% du PIB qui va au privé? non c'est parce qu'on exprime la depense publique en % du PIB par convenance. Mais la dette n'est pas une part du PIB. En regard, la dépense publique faut 200% du PIB, et soutient l'activité privée (à l'inverse l'activité privée soutient l'activité publique, mais combien en comparé? c'est bien là..). Car la majorité de cette dépense est un bien non marchand, soutient l'activité privé (ce qui est réconnu en 2012/Christine Lagarde!!: il y a des multiplicateurs budgétaires élevés (1.5) qui traduisent que la dépense publique entraine/amplifie l'activité privée (+50%)). Baisser la dépense publique (20Md€: 1% du PIB) baisse d'autant l'activité privée (de 30 Md€, sur le PIB), donc les recettes baissent de 15Md€ effectif, ce qui creuse le déficit suivant les car à nouveau exprimé en PIB. Ex la Grece, Portugal, Italie. C'est logique que le déficite (basé sur la dépense, indexés sur le PIB). On ne vit pas dans une économie de marché, mais avec un marché (marchand) et de la protection sociale (non marchande), plus éventuellement de l'intervention publique (sur le marché privé/marchand: subventions, mesures d'incitations,...).
>L'Etat social (s.l.) existe dans tous les pays, +/-, +/- ou moins heureusement/efficacement:
-SANTE: les etats les plus libéraux n'ont pas forcément un système de santé privé et vice versa: Les USA sont allés le plus loin a privatiser la protection de la santé, juste pour les jeunes et les vieux. Le résultat n'est pas forcément enviable: 1) économiquement c'est moins efficace: les hopitaux (privés, qq publiques) sont démarchés sans cesse par des 'délégués' commerciaux, ce qui coute en fait très cher en temps, cout d'équipements et médicaments,... 2)e résultat humain n'est pas forcément enviable... quand la majorité de la classe moyenne évite d'aller à l'hopital, qui coute trop cher, et au final l'espèrance de vie est inférieur de 3 ans. Car les citoyens sont livrés à économie de marché pour la santé et l'alimentation (industrielle), avec peu d'éducation, controle, lutte contre notamment l'obesité ou le diabete. La France a elle une gestion publique de la santé (reellement une valeur publique) forte, bien connue, à laquelle on est attachée, et pourtant qu'on décrie aussi. En fait il a unee protection sociale plus étendue de santé par ex en UK, avec le NHS qui gère aussi les médecins spécialités (chez nous ils sont majoritairement privés). Les anglais y sont très attachés (par ex...). Après, chacun pourra juger (et l'Etat arbitrer) lequel des systèmes de santé est le plus efficace (% objectifs, valeurs), lequel rend le plus de service (marchand ou non), le plus de bien-être (est-ce juste soigner/corriger les problèmes et accidents de santé, ou aussi une santé de qualité, robuste; voire du confort*?), voire le 'heureux'.
*[confort-santé]: la frontière en santé entre qualité et confort et même éthique n'est pas évidente, car relative (a des valeurs, à autres pays, des possibles techniques,...): prendra t on 3 RDV chez le docteur et 2 médicament... pour appaiser une grippe ou une anxiété plutot qu'un arret de travail/repos voire une cure?; un jeune accidenté bénéficiera t il de cannes, ou d'un fauteuil électrique temporairement, ou définitivement vu un handicap léger?; remboursera t on un soin de bec de lièvre-non vital au niveau Ir- ou un soin esthétique du visage à la disgrace subjective?. Sans considerer que la prise en charge soit publique ou privée(réalisation; financement), par principes éthiques refusera t on meme certains soins ou traitement possibles techniquement mais jugés inutiles ou risqués (ou contre nature,...), ou nécessaire psychologiquement: un soin capillaire; une transformation transsexulle; une PMA ou FIV ou Clonage?
-RETRAITES: les USA ont paradoxalment une retraite très publique (carte ... pour tous), et permet à la majorité de vivre correctement. Certes ils ont des fonds de pension privés, qui joue le role des nos mutuelles complémentaires. Inversement UK ...(?). La France est hors ces standards habituels: choix d'une cotisations sont pour tous et ca permet une redistribution à des niveaux non connus ailleurs.
-EAU: l'eau est en fait plus gérée par l'état aux US (?!à 32min)
-EMPLOI PUBLIC: le dilemne en l'appréciant trop ou pas assez important repose à qu'on en a perdu l'important de son rôle social (oublié car 'naturel'), alors que le role/importance de l'emploi privé est plus facile à mesure/voir... L'emploi public a aussi une productivité, mais on n'en a pas conscience ou ne le faisant pas ressortir assez pour que dépasser les avis "les fonctionnaires sont payés par l'emploi privé", "l'état il coute cher", "la dette de l'état est énorme, 57% du PIB imaginez cela dans une société privés, ou votre famille,...". En France il produirait 36Mio€. Par ailleurs, il a un facteur multiplicateur sur la productivité privée.
-DETTE PUBLIQUE: remarque similair à l'emploi public: mal apprécié.
En conclusion, on a déjà un état social présent à des niveaux +/- forts dans tous les pays, mais on n'a pas de théorie d'une organisatisation, au delà du marxisme (mais état bourgeois; anti capitalisme), socialisme, ...
il faut de l'initiative rivés, du capital dans la mesure ou l'argent à investir est un nerf de la guere/actions, mais
Elections: améliorer le MODE DE SCRUTIN, et l'inclusion du VOTE BLANC
2 mesures pour améliorer le système électoral:
-le scrutin à choix multiple ordonné: une solution pour contribuer à améliorer la démocratie?
-reconnaitre le bulletin blanc, et même l'utiliser comme un ingrédient pour améliorer la démocratie?
=>cf page Elections/Scrutin-Vote.
Il s'agira aussi de déminer les inconvénients éventuel que ces mesures pourraient induire, à commencer par les arguments des opposants, qu'il fauda parfois demystifier, et parfois utilise à juste raison pour aménager ces mesures. Ceci est discuté page Elections. Quoiqu'il en soit, ces mesures semblant assez importantes, avec d'autres qui leurs sont liées mais plus complexes ou de long halein ou lentes/culturelles (comme rénover la démocraties représentative/participative), pour les engager rapidement.
Rénover l'organisation sociale: des structures fédératives chimériques?
Pour échapper aux travers ou défauts des structures centralisées (de la république populaire (chine) à la démocratie (ex France, centrée sur Paris)), qui ont aussi leur atouts asurément, les structures fédératives semblent très attractives pour laisser un espace de responsabilité et de différences aux structures subordonnées. Ces dernière ont aussi leur défaut bien sur. J'ajouterai la notion de chimére, ou des structures juxtaposées et meme en fait accessoirement +/- intégrées, coéexistent en interdépendances multiples, par forcément subordonnées et univoques.
Les termes des relations interstructures (quelle soit communautés d'un meme niveau, ou structures subordonnées) sont définis conjointement sur labase du cadre guide qui chaque structure s'est défini. Il ne s'agit pas qu'une structure A impose des conditions trop différente à un tiers B par rapport à un autre C si ceux ci ne restent pas cohérents dans les règles internes (A), générant de l'inégalité aux tiers. Chaque accord relationnel fige plus fortement les termes de base de A, qui ne peut les modifier que graduellement en gardant une compatibilité ou en rompant des accords. L'idée est que chaque norme soit definit par une position moyenne et un certaine marge de variation, comme avec le serpent monétaire européen.
Un tel type de structure fédérative chimérique' est à combiner avec une structure de pouvoir démocratique (cf §-Démocratie) et de valeurs communes, pour fédérer ses sujets.
Renover la démocratie: Plus de DEMOCRATIE PARTICIPATIVE: semi-représentative?!
Au final, la reflexion mène à adopter une démocratie semi-representative comme en Suisse, un modèle interessant qu'il doit etre possible d'adapter des entités plus grandes.
Il y a un pblm de representativité et meme de légitimité des dirigeants, car ils sont soumis et motivés à des échéances en terme d'années, alors que les enjeux (eco-climatiques) sont longs terme. Il y a qqchose modifier et meme à inventer pour concilier ces impératifs du présent/courant des acteurs et du longterme des enjeux collectifs. Cf infra le modèle d'élection de débat publique Suisse est à cet égard interessant/inspirant.
Alors que la démocratie représentative (et élective) est en souffrance, une demande devient de +en+ pressante pour developper de la démocratie participative. Les voies sont multiples et en mutation, utilisant des moyens d'action citoyenne variés (au dela du droit de vote/élection des élus de l'Etat) allant de
.actions traditionnelles et souvent formalisées: vie des partis politiques, des syndicats,... des assemblées publiques organisées par les mairies (ou leur soutien) d'information-voeux-travail aux consultations publiques plus larges (région) et aux referendums régionnaux ou nationaux (RIC RIP ...), pouvant donné lieu à la formation de commissions d'enquete ou d'études (municipale, régionnales, transversalles)
.moyens émergeants: pétitions en ligne, réseaux sociaux, ... Plateformes pour contacter les élus (députés, sénateurs,...). Poussée populaire à élargir/faciliter le RIC,... Regain de créations et d'activité d'associations citoyennes (solidaires/humanitaires, environnemental, vie social et sportive et culturelle, ...)
-ELECTIONS: plus sur le modèle des votation suisses? cf le §-ELECTIONS. Il en découle: rénover les partis politique, ...
-Autres formes de RETROACTIONS SOCIALES: cf §-Retroactions sociales.
-PARTIS POLITIQUES: les renover?
.developper une meilleure représentativité dans la désignation du candidat des partis politiques:
Les partis connaissent une desafection durable, ce qui pose question sur la représentativité de leur adhérants/sympatisants, et dans la population totale. Ainsi il faut voir ce que signifie le nb d'adherents, au mieux 500K (1/150ème de la pop) et en réalité plutot 30-200K pour les 5 grands partis: revendiqués, déclarés, membres sympatisants>actifs (à valider une petition 1x/an ou participant à quelquechose 1x/mois), à jour de leur cotisation contre adhesion gratuite,... Ainsi par ex
[frtv2017] Le LREM annonce 386 000 adhérents mais c'est avec deux clics sur internet en 30sec et gratuit, alors que 72 000 pour valider les status. FI annonce 540 000>invérifiable (gratuit). LR annonce 235 000>145 000, en chute forte depuis 2014. La bérézina pour le PS (120 000>42 000). FN annonce 80 000>40 000 et pt etre que 20 000.
Rédevelopper les partis politiques (et les syndicats, § infra): ce n'est en général pas vu comme de la démocratie participative, car organisation déjà établie, encadrée et subventionnée par l'Etat, et qui monopolise largement le débat politique et les élections. Néanmoins la participation politique des citoyens au niveau de partis est nonobstant un 1er niveau de démocratie participative! Il ne faut pas l'exclure, et sans doute le rénover voire reinventer. Ainsi de l'élection des primaires de la droite en 2017 ouverte à tous (pour 1€). Ainsi de l'évolution adhésion payante>gratuite de la plupart des partis, qui fait eccho aux retroactions sociales comme les pétitions. Ainsi des soirées/conférences/fetes
-COMITES, COMISSIONS, SYNDICATS,...
Intro: la notion de BienCommun a existé sous diverses formes depuis l'antiquité avant d'etre globalement oubliée dans nos sociétés modernes, au point de ne (?quasi) plus exister dans la reglementation. Elle semble cependant pouvoir apporter des solutions à divers problèmes à l'heure de conflits ouverts (liés à l'accès à l'eau et à d'autres ressources) ou larvés ou diffus, jusqu'au réchaudffement climatique. Elle est ainsi remise à l'honneur par différents penseurs (GaelGiroud, infra), associations et mouvements. On peut assurément y voir un champ d'actions très nécessaires, car durable (organisation structurelle) et vertueux (gestion communautaire, responsabilisation).
Actions souhaitables:
-reformaliser la notion de bien communs dans nos lois, et meme la constitution des états, mais aussi dans toute entité/institution/organisation humaine ("tribus", assos, entreprises, religjons,...).
-redefiner/grader les biens communs en fonction de leur disponibilité, enjeux, ... (critères pour définir l'importance et particurités puis le statut de BienCommun):
.ex BC d'ordre primaire (physiques): d'abord l'eau douce bien sur (potable, agricole), mais aussi les mers/océans (comme ecosystème: biodiversité, nouricier), mais aussi l'air (qualité), les forets,... Ce qui rejoint la notion de matières naturelles dispersées entre différents biotopes et entre différentes communautés, typiquement la notion d'espaces naturels protégés, et d'écosystème eux memes. Ce type de biens gagne, pour échapper à la notion de propriété et à la convoitise donc aux conflits, à être associé à la notion de personne morale naturelle avec ses droits,... La notion de BC pourrait meme etre étendu à la notion d'espèce voire d'individu vivant et d'objet (non vivant), mais cela sort, sauf exceptions, des biens:ressources/interactions communes à une entité homologue (humaine, naturelle).
.ex BC d'ordre secondaire': l'éducation, la santé, l'espace,.... (ensemble de biens liés par des activités humaines (ou vivantes)). Le cas des biens/ressources/milieux repondant à une entitité artificiellement construire par l'homme (ex robots) poserait un nouveau niveau de reflexion... (BC d'ordre tertiaire?).
.requiert de rédefinir des critères de disponibilité physique, humaine(accès), cout, dynamique (embouteillage), et donc de choisir avec ces critères des priorités/valeurs/moralité. Idée qu'un bien serait à x% commun (et non catégorisé tel, ou exclu) pour apporter de la flexibilité à ouvrir l'accès ou la présercation de biens
-définir/organiser les règles d'accès et/ou mobilisation/exploitation de ces BiensCommuns. Cad 1)catégoriser des statut de BienCommun: en fonction de l'accès stable cad bien publique, ou bien privé, ou bien tribal, ou bien nullius,...; 2)préciser des caracterisques secondaires qui pourront en moduler le statut/gestion, comme l'accès dynamique (embouteillage), la qualité de jouissance(), l'usage spécifique ou universel, l'usage ponctuel ou temporaire ou régulier, l'usage critique ou accessoire,... ; 3)definir les règles de gestions des ces biens (dont la règle par défaut pour les bien nullius) par l'entité humaine correspondante au statut:
L'état légifère sur les BC publiques: biens désignés comme chose publique, cad supra-communautaire. Pour éviter le dilemne ou opposition entre les pressions liberale de l'individu et communautés, et pressions d'organisation publique/état directif voire dictateur, oppresseur, il faut que les régles(lois) soient rédigées avec une approche plutot fédérative, moyennante, et gardant une tolérance aux préceptes atypique des certaines communautés, voire à autres possibles. Car c'est un facteur de représentativité, et de possible évolution en reconnaissant puis adoptant ces préceptes non académiques, sur la durée, leur expansion, pour de la résilience. On peut étendre la notion d'état (pays) à celui d'organisation supra nationnales (l'ONU), mais les organisations thématiques sont plutot des tribus (OMSante, OTAN, OGNs type MSF....). Cad que l'Etat est fédératif sur un territoire, alors queterritoriales, et souvent pas!).
La tribu/organisation/communauté... reglemente ses BC tribaux, en accord avec l'état/BC publique.
Rem: les Tribus sont d'abord fonctionnelles, parfois territoriales (ex: anciennes tribus sédentaires ou dominant une region; communautés rrégionnales actuelle d'ordre culturel-langue-religion), et en fait plus souvent diffuses dans l'espace (orga d'industries, de religions, cultures,...). D'ailleurs une communauté peut évoluer, etendre ou devoir changer de territoires. Parfois c'est dans l'ADN de la culture de la communauté (nomades traditionnels; Roms; neo-nomades tel qu'aventuriers; binationnaux,...)! Ceci n'est pas a ammalgamer à l'entité purement territoiriale que sont les Etats modernes (pays) (interet à distinguer, supra, les BC publiques/l'état (laique, démocratique), pas un méta-cas de ces BC/tribu!)
C'est en fait le maillon le plus essentiel pour une humanité idéale, ultime en cas de défaillance (ou absence!) de l'état (pour le corriger), et/ou en cas de défaillance d'individus (pour les protéger). L'expérience montre que les solutions communautaires s'avèrent en général plus efficaces/rapides/resiliantes que celles imposées par l'état supérieur (G.Giraud).
Le particulier protège ses droits et privilèges sur ses BC privés par un titre de propriété, en général marchand. Le particulier est d'abord l'individu, mais on peut y inclure la famille (ou autre cellule de vie restreinte. Au delà d'un taille avec intra-dépendance, il faut considérer la notion de tribu). Ce statut est la garantien du moins prévient que les biens de la nature ou d'autres entités (humaines, animales ou végétales) entrent en concurrence 'brute' (directe/naturelle ... qui se ressoud le plus souvent, à court terme, par la force (violence, crise, catastrophes), et evtlt le pouvoir, domination, exploitation.
Enfin les biens nullius (res nullius des romains) sont ceux qui ne sont pas revendiqués (ou revendicables), justement car (considérés intiallement) en disponibilité 'illimitée', et donc en théorie sans régle de gestion. Quand ils posent problème pour telle activité/entitité (humaine, naturelle), explicitement ou de facon non visible/identifiable, des règles par defaut sont prévues par le(s) activités en recourrant à un cercle élargi, sans conflit d'interet (ex/loi xx avec l'eau: un village éloigné),
Comment les biens communs peuvent ils évoluer dans nos sociétés modernes, s'agit de reproduire des exemples passés, de le rénover, faut il les réadapter, ou carément en inventer (qq ex infra). En particulier quel role peut couer la numérisation/digitalisation de nos activités humaines (de communication, déconomie, de loisir,...), positif ou négatif? Il est un champs énormer d'expériementation, de création, et d'espoir que de Biens Communs puissent constituer des solutions très pertinentes/
+/Notes:
Notion de BiensCommuns: des exemples à la remise à l'honneur par différents penseurs (GaelGirouf, infra), associations
Conference de Gael Giraud "Privatisation du monde"(1h20). Recadre la privatisation des choses dans le monde actuel à travers l'histoire, et notamment le recul/enjeu des biens communs. La reglementation romaine qui avait posé 2 types de bien (res publica, res communis, res nullius). Les réligions et en particulier le catholicisme qui on géré à leur facon les biens communs et constitué les 1er états.
*Communauté a Recife au Bresil, qui a rehabiliter l'estuaire comme bien commun qui fait lieur de communication entre la rive bourgeoise et la rive pauvre, parc de loisir,...
*Detroit: à la faveur de la crise économique, des communautés se forment pas solidarité en partageant des communs (?potagers).
*Johanesburg en Afrique du Sud: création par la mairie (et l'AFD) de lieu commun pour qu'ils soient partagés entre categories sociale et raciales toujours séparée algré la fin de l'apartheid.
*BienCommuns en UK au 1?7eme siècle: l'eau et les sols agricoles étaient parfaitement intégrés dans les lois et pratiques, exploités et entretenu... cf /?wiki
Un état peut il se baser seulement sur des bien communs? Oui éventuellement au niveau d'une communaté mais non pour un état (assez large). L'état idéal serait ll
Un type d'état/organisation plus souhaitable pour un monde meilleur?
Choisir?: Un état de type démocratique semble s'imposer comme souhaitable "de tous horizons", depuis les pays démocratiques occidentaux à la république chinoise! Mais selon quelles modalités plus pertinentes? La réponse semble difficile, selon la taille du pays/communauté, les idéaux de la société/population,... Un équilibre entre representativité et plus de participativité semble necessaire, dans un monde de plus en plus contraint (du fait de l'activité humaine!). Mais au delà d'un type d'état ou régime politique que serait plus souhaitable, la reflexion portera peut etre en fait plus sur des enjeux/valeurs comme la réconnaissance/gestion de biens communs, du travail (et salaires), de la place de l'économie/monnaie (& liiberalisme ou non), l'énergie, les paradigmes de vie 'primaire' (pour la santé, l'habitat, l'alimentation)
Création des etats:
-Les premieres organisations de communautés humaines, à la prehistoire, reposent sur un chef (de famille, de tribues, puis de peuples nomades ou sédentaire), qui s'impose par la force, sa capacité de chasse, et/ou son charismatisme. Selon la taille de la communauté, le chef s'entoure d'individus choisis par lui (aussi pour leur force, charismatisme), dépéchés selon les taches réquises. Le chef (et la communauté) peut etre patriarchal, matriarchal, guerrier,... et parfois il peut parfois fonctionner à coté (et avec) un chef spirituel (chaman,...) -un certain partage des taches/fonctions-.
-Les premieres vrais organisations qualifiables d'états remontent à la haute antiquité, depuis les mesopotamiens, les égyptiens: il s'agit de chefs militaires et spirituels (recepteur et représentant les messages du/des dieux) (roi, pharaons), avec une organisation déjà assez complexe mais essentiellement basée sur 2 poles, militaires et spirituels, ou se confondent tous les pouvoirs (exécutifs et d'organisation).
-Les états grecs et romains apportent une organisation nouvelle car basée sur des assemblées de personnes nommées non plus arbitrairement (par le chef) mais par une catégorie prédéfine de personnes (aritoscratie), en distingant des assembles à pouvoir exécutif et à pouvoir législatif (organisation de l'organisation).
L'état grec introduit la notion de citoyenneté (avec des droits et devoirs, liés à la ville devenue dominante), et de démocratie (c'est le peuple que à en théorie le pouvoir, désigne les chefs et hommes d'état par élection (élus) sur une place publique aimant les débats et décision (les agoras). Invention majeure donc, origine de l'état république qui se developpera vraiment qu'au 20m siècle, jusqu'à certains égard comme les femmes votent et peuvent administrer, de esclave immigrés peuvent acquerir droit de vote (affranchissement),... meme si un petit partie de habitants reste sans droit de voter (x)! L'état Romain reprend l'aristocratie, ?que masculine, désignée par une partie du peuple
-Le premier état moderne est ss doute l'état catholique Grégoirien (le pape/concile), qui a introduit la notion d'état organisé pan-territoires, avec une representativité (le pape, les evéques, x puis les pretres). Les états séculiers, par pays, se sont construits sur le meme modèle, mais en abandonnant le monologisme regligieux qui affirme que la vérité est unique et le pape son detentur humain ultime. L'état Grégorien a inventé la réprésentativité (ici non démocratique) et le monologisme juridique: 1)l'état c'est l'église et c'est moi qui le réprésente; 2)il y a une source unique de la normativité (c'est Dieu, donc le réprésentant, donc moi)
-L'état Monarchique: les premiers seraient x puis l'état féodal (moyen age) avant son apogée aux 14m-17m siècles (rois, empereurs, qui se livrent à une guerre des trones avec l'appui ou l'opposition à l'état religieux (pape)... Ils ont repris de l'état grégorien la représentativité de l'état/supracommunauté, mais le chef/représentant de la normativité est un roi (qui est nommé par héritage de sang en général, et parfois accomodé d'héritage de sol; et qui possède (ou domine et gère) un territoire, et qui a le pouvoir de défense du territoire (et de ses sujets). L'état féodal se structure sur un roi qui s'installe initiallement par la force, puis avec le droit du sol, puis avec le droit de sang. Il apointement les acteurs de son état par suzerainage (soumission de princes, suzerains, chevaliers) c qui est formalisé par un rite (ex adoubement). Il soumet les personnes habitant sur le territoire qu'il arrive a dominer, par la force et ses règles (d'abord l'impot), avec une certaine liberté (fermiers) ou jusqu'à asservier un part de la population (serfs) tandis qu'une autre part reste plus libre mais aussi sujets soumis à ses lois et bonne volont (fermiers). Il y a déja privatisation important des sol, par le roi, et ses sujets les plus riches. En échange de l'impot percu et autres services recus; il protége ses sujets, sur le territoire et au besoin peut les abriter dans son chateau. L'état monarchique du 14m au 17m siècle en France (mais similairement dans les autres paus Eu) sacrilise l'héritage de sang, avec des entente de l'état religieux. Leur statut de roi est magnifié à celui d'empereur quand il arrive à prendre le controle de plusieurs larges territoires, par des guerres et surtout des alliances.
-L'état séculier: il apparait avec ?la révolution francaise. C'est au nom du peuple qu'une caste particulière prend le controle de l'état, et non plus au nom d'un roi et en amont d'un Dieu ou autre idéal monarchique. La caste dominante est l'aristocratie, personnes privilégiées héritant souvent des nobles de la monarchie. Il y a encore donc une representativité, non plus d'un idéal religieux, mais du peuple, assimilé au territoire, et son instauration est encore non démocratique (aristocratique: par les nobles et ceux qui ont pu acheter des droit ?= les bourgeois).
Karl Polany (economiste hongrois) décrit l'évolution des états (dictatorial/libéral) liée à la privatisation des biens (depuis les sociétés antiques plus fondées sur les biens communs), d'abord avec la création des états modernes qui ont developpé la propriété (par la richesse héritée des aristocrates, puis acquise des bourgeois) au détriment des bien communs, et comme source de pouvoir. Puis la dérive des états européens vers un totalitarisme (et de la privatisation des biens, notamment les terres). Puis unr seconde vaque de neoliberalisme qui a porte la privatisation des ressources energétique à un niveau sans précédent, mais aussi la monnaie, et meme le travail. On assiste désormais (années 1980-2020) à des réactions de +en+ fortes du peuple qui a du mal a supporter l'hyperprivatisation avec inégalité des répartitions (en souffre, jalousie,) et qui à aussi besoin de reinvestir des espaces et bien communs naturels (parcs, forets, espaces d'activité sportive) ou non (anthropisés: parcs sportifs, potagers urbains, aires de jeux numériques,...). de communautés qui se crée et reinventent leurs solutions, avec des biens communs; meme à certains égards les gilet jaunes;
*LIBERALISME: la liberté dans l'économie, l'éducation,... Sert il un monde meilleur?
Le liberalisme est un paradigme qui s'est imposé de plus en plus dans l'économie, se mondialisant,.... et pas que.
Le liberalisme opère assez bien a petit echelle pour le marché du travail, qui réquilibre assez bien et rapidment lla masse des travailleurs entre des secteurs établis ou émergeants et largement bien communiqués.
Par contre pour des rééquilibrage forts il faut que des mécanismes prédeterministes interviennent, typiquement via l'état. Cela se fait assez bien avec des états autoritaire, quand il y a un idéal social très partagé,... En démocratie pure ou douce, cela se fait mal, trop lentement avec des biais ou déphasages. Par ex les subventions (ex aux energie renouvellables) incite certes les particuliers ou les sociétés à s'équiper, mias les installateurs puis les fabricants saisissent l'aubaine, par les lois économiques au marché, et augmentent les prix.
Le libéralisme connait aussi des dérives sérieuse sur le marché de la finance, accaparant un bonne partie de la plue value, la distribuant inégalement, créant de l'instabilité (à la faveur de pics de ressources, dévolutions sociologiques, ...). D'ici à incriminer plus le paradigme du libéralisme, ou celui de la finance necessaire...?!
Qu
'en est il du liberalisme dans d'autres sphères que l'économie? L'éducation, les moeurs, la circulation,... Ces libertés se sont developpées (en particulier depuis la révollution francais), et nous sont chères (à quel prix passé, mais surtout futiur?!). Elles ont contribué sans doute au liberalisme économique, la mondialisation,... et certaines contribuent paticullièrement aux problèmes sociétaux actuels: de la criminlité avec la liberte de possission des armes aus US, à la pollution avec la liberté de déplacement,...
Exemples de monaies locales, par secteurs,
Exemple de monnaies d'echange
-pour echanger des graines; GraineDeTroc (plateforme d'echange sur Internet, cavec un system de 'Jettons'); Kokopelli; ..
La croissance (économique) est assurément le grand paradigme sousjascent de nos sociétés, avec le progrès, la liberté,... Il est effrayant de voir que le bonheur ne figure pas en premier plan, il est sénsé passer par ces paradigmes de progrès et de croissance... Il est surprenant de voir que l'économiie croissante s'en installée comme paradigme sousjascent jusque dans les systèmes/pays qui se sont devloppés sur d'autre bases, par ex idéologiques (les pays communistes, totalitaires,...). Les autres paradigmes (économiques) ne sont pas légions, et ils sont en général vite jugés mineurs ou atypiques ou sous developpés.... du moins incompatibles avec nos attentes. Par ex le Bouthan, qui essaye de developper un 'capital bonheur'.
De nouveaux paradigmes sont avancés comme alternatifs, mais ils ont du mal a faire être écoutés, acceptables, et à s'établir dans le débat opératoire de nos sociétés, à par la notion de croissance verte, qui reste de la croissance. Le vraie rupture de paradigme social/économique, jugée nécessaire pour les objectifs climat, est la décroissance (promue pas les 'décroissants", les collapsologues,...). Ces pensées développent plus le pourquoi, moins le comment sauf au niveau local: ici et ici et ici.
Quelques formules assez parlantes: "une croissance infinie dans un monde fini, c'est impossible"; ""; ""
Faire évoluer nos sociétés vers une sobriété (de la consommation, de vie...) semble assurément un moyen de réduire la pollution, réduire l'empreinte carbone et ainsi lutter pour le climat, mais aussi pour impacter d'autres enjeux: souveraineté,...). Hélas c'est aussi une perspective economiquement et culturellement non attractive:
-Acceptation individuelle: peu de personnes sont prêtes à accepter à titre individuel, de ne pas etre libre de consommer, de maintenir son confort, souhaite ne pas être lésé par rapport a autrui,...
-Enjeu économique/politique: la sobriété est associé au spectre d'un impact sur l'économie, l'emploi,... Dans nos sociétés ns de consommation dit moins de transactions dit moins de commandes à l'industrie, dit moins de production, dit moins de travailleurs nécessaires donc plus de chomage. Autrement dit, on ne sait pas moins consommer et produire sans que cela se fasse par une récéssion économique, une crise financière, un chomage ou une pauvreté massive, une épidémie soudaine,...
2 réflexions pour demystifier cette sobriété qui fait peur,
1)La sobriété subie mais acceptée: aménager son activité
Nos sociétés au contraire entendent continuer a croitre en ne voyant pas les premiers signaux revelateurs de l'hivers: la volatilité croissante du prix du pétrole, des ouragans plus fréquents ou un glacier lointain qui fond. Pour soutenir la croissance coute que coute, on puise dans les reserves de plus en plus profondes ou difficiles d'accès (donc plus couteuses), sans chercher à préparer des nouveaux mécanismes compatibles avec la nouvelle/future situation, qu'on refoule, sans réviser nos modes et niveaux de consommation mais au contraire en le accentuant.
Qu'en dit la biologie?
La plupart des etres vivants adoptent des stratégie de sobriété de consommation (d'aliments, eau) et d'activité (les 2 sont liés +/- directement!). Il y a constitution de réserve plus ou moins importantes, recentrage des activitése sur celles primaires (se nourrir, protéger), jusqu'à parfois des états particuliers (dormant, hivernant, hibernant, quiescent, enkystement, deshydratation). Ces comportements modifiés sont souvent opportunistes et temporaires, cad déclenchés et durant juste pour passer la période difficile, mais parfois ancrés dans les gènes.
Une catégorie d'espèces existe qui consomme gouluement sa ressource alimentaire jusqu'à l'épuiser. On les appele le plus souvent des nuisibles: algues (bloom), sauterelles migratrices, ... Voulons nous ce mode de vie et developpment, alternant des phase de foule ivre d'elle meme et des periodes de vie reliquat, souvent enkystée, avec meme des extinctions géographiques. Un voie conditionnée par la météo qui offre des conditions propices-temporaires-?
D'autres consomment frénétiquement en un lieu et vivent dans un autre, stérilisant l'environnement pour les autres espèces sur leur lieu de vie (colonies de manchots, chauves souris,...) ou leur lieux d'alimentation (alors tournant). Cette voie n'est pour l'homme, répandu à habiter sur toute la planete et exploite toutes les zones propices (en en.fossile).
La nature a inventé chez l'ours une stratégie pour passer l'hivers, alors que moins de nourriture disponible, plus de froid, plus de cout à payer (en chaleur, énergie). Il n'a pas choisi la stratégie de la croissance ou meme d'une activité soutenue. Certes à l'approche de l'hivers il constitue des reserves de gras, pour rester actif (cahsser) plus longtemps. Mais il ne veut ni continuer et épuiser ses réserves, ni devenir moins actif et devenir moins agile, rapide, plus gourd sans pouvoir maintenir ses réserves suffisantes. Il s'abrite, et plonge dans une état d'activité particulier, l'hibernation, qui repose sur 2 types de reserves, le gras blanc, et le gras marron, et un mécanisme d'hypoactivité à l'abri dans la sa tanière. Il accepte de moins/très peu travailler (reactiver ses circuits/muscles, juste pour faire ses besoins voire un semblant de ménage de la tanière,...). Il fait le dos rond l'hivers. L'ours à bénéficié d'une amélioration 'technique' formidable, sur des millions d'années! Dans notre cas, l'Homme, nos pensons pouvoir developper nous meme des olutions techniques rapidement, et de facon plus dirigée/productive que dans la nature. A lecture du passé, et à pronostic des risques technologiques et faible taux d'émergence, il semble que nous soyons quelque peu imbus de nous même, du moins présomptueux, et sans doute aveuglés. .
Pour conclure, quand on épuise sa ressource, il faut migrer ailleurs, ou réduire son nombre et/ou activité, ou accepter de vivre à l'arret entre quelques périodes propices. Nous avons +/- épuisé la Terre en energie fossile, mais aussi accaparé l'espace vivable. Des migrations seront plus source de problèmes, d'ailleurs plus pour l'homme que pour la nature. Vivre entre explosions démographiques et refuges n'est pas attractifs pour nos enfants, nos culture, et en définitif pour la survie de l'Homme. Nous somme donc condamnés (et le terme est faussement morbide) à réduire notre activité intélligement.
L'enseignement de l'ours serait de penser à recourir aux différents niveaux d'adaptation que nous avons déjà, plutot que d'hypothétiques nouveaux moyens: cad faire des réserves pour passer les orages (secheresses; ouragans; Inondations; montée des eaux marines;...)(sans compromettre nos réserves futures: cad ENR plutot que fossile), pour différents horizons ('usages thhemrique/electrique spécifique)(court/moyen/long terme), et surtout réduire notre activité et demographie en préparant des tannière de vie réduite qui pourraient servir de repos/resourcage/épanouissement cultturel.
La sobriété a des effets positif pour laisser passer l'orage, c'est ce qui se fait d'ailleurs à l'occasion de l'arrivée d'une crise (les gens épargnent,...), mais aussi des effets délétères sur une crise non transitoire, et ca dépend largement si l'on parle de sobriété de consommation sur des besoins primaires ou non, accompagnés ou non de sobrieté des productions, de mutation de pardigmes de vie, ... Rogner nos appétits de besoins secondaires est salutaire pour préserver les primaires, cad réduire la voilure des biens de consommation tres techniques et onéreux en énérgie (au niveau global), mais cela doit etre accompagné de cadre et mesure et aides à une mutation des moyens de production(et donc de revenus) de ces industries vers d'autres (plus primaires). Les loi du marché ne sont pas assez sensibles et reactives pour le faire, d'autant qu'individuellement (le particulier comme le chef d'entreprise mondiale) on est naturellement plus attiré par maintenir son confort, une activité qui demande moins de travail pour plus de résultat (et que ce résultat est apprécié en terme financier).
2)La sobriété heureuse:
Le spectre de la sobriété réductrice (à ces niveaux) est il réel, facheux? on pourrait imaginer que:
. des objets plus durables permettent de moins consommer, sans perte de satisfaction de l'usage et du bonheur sensé y etre associé. Retrouver le bonhuer d'un objet qui dure, à soi, qui vient d'un parent (source d'identité)
. Idem avec des échanges d'objets et services (économie informelle). Idem avec des objets recyclés (moins polluants de A àZ). Encore des sources de bonheur à developper.
. maintenir un niveau de vie identique avec 3x moins d'argent qui circule! que ce soit en diminuant la valeur de l'argent, ou en substituant par de l'échange non marchand).
Au final donc, il s'agit de demystifier la sobriété réductrice en sobriété source d'échange, d'histoire, de culture,...
Mais il y a aussi un sobriété de vie sur des usages moins nombreux, moins éloignés,
Empreinte carbone
equation de kaya (pas du Yaka) : Emissions de GES =Contenu en GES de l’energie ×Intensite energetique de l’economie×Production par personne×Population (+/Jancovici)
ce qui revien a écrire : CO2 = CO2/NRK x NRJ/GDP x GDP/POP x POP
ou GDP: GrossDomesticProduction cad PIB; NRJ: TEP
=>Solution pour s'negager vers un monde milleur (à reporter ici)
-faire revenir plus de valeur ajoutée dans les produits agricoles (car ...)(ca fera vernir de l'emploi dans les compagnes, ce qui une necessité d'un point de vue analyse énergétique globale (Janco). Un manière est de garantir un prix mini pour chaque production essentielle, en contrepartie d'un cahier des charges: au dessus c'est tout bénéfice pour l'exploitant, en dessous l'état ou europe compense. Garantir des prii se fait en partie par des labels, comme le fromage comté (l'exploitant s'engage à des condition d'élevage, foin, races,... Au final le prix du lait de Comte est supérieur à celui d'autres territoires.
-détricoter certains regles européennes, qui empechent les prix garantis sur ces produits/marchés
Partenaires potentiels (pays) pour des actions à la lutte contre le climat / une évolution sociétale sur l'énergie
[Jancovici] ne voit pas l'Allemagne comme partenaire à ce jour (cause perdu, au niveau politique/industriel), il faut construire avec d'autre partenaire et ensuite venier avec ce projet vers l'Allemagne. Les meilleurs partenaires sont les pays scandinaves, puis les pays de l'est (car ils savent qu'ils auront besoin d'une solution quand charbon sera épuisé), puis l'Italie et l'espagne (car malades, on besoin d'un nouveau projet de société).
Dégonfler les villes (dans un contexte de decarbonation)
Les grandes villes ont une empreinte carbone élévée, empreinte par habitant qui augmente avec la taille des villes, en volume, mais aussi en empreint par habitant dans les mégalo poles: necessite le transports des aliments et objet nécessaires car non produits dans la ville depuis une couronne de plus en plus étendue*; car immobilier plus cher (?:à); car besoin de respirer/s'évader pendant les WE et vacances (dont transports de personnes).
*les villes absorbaient initiallement le surplus de production de la couronne immédiate, cette couronne s'élargit à la faveur de modes de transport plus 'efficaces' cad plus rapide et/ou économes (en cout, énergie/km). La ville a élargit sa couronne d'approvisionnement limitée au départ par le déplacement pedestre (20km/1jour), s'élargit grace aux fleuves/bateaux (20-400km/1-3jours), aux chevaux/carioles (50-300km, avec des auberges/1-3jours), puis avec les voitures à moteur (300km/1jr à 6000km/3jour: Espagne-Danemark), puis les cargo/avions intercontinentaux (1000-30000km/1jr-2semn). Il y a aussi intensification de la production.
L'accessibilité des services et la compacité de l'habitat restent un atout des villes, ceci opere dans des petites et moyennes villes. Le bénéficie de la densité n'est pas la taille des villes: c'est plutot ne pas habiter une maison individuelle pavillonnaire (au standard de la ville). +/§-Habitat.
En situation de décrue energétique, et de de decarbonation necessaire (qui y est lié), les flux logistiques, couteux en energie, doivent etre raccourcis.
Habitat
L'habitat doit répondre a différentes fonctions, à commencer par protéger des adversités climatiques. Il existe des 100n de solutions techniques qui visent à améliorer l'usage/habitabilité en réduisant l'empreint écologique. Néanmoins, leur mise en oeuvre semble rester très limitée eu egard à leur pertinance, faisabilité, efficacité,... Force est de constater que les lois du marché de notre économie moderne n'arrive pas les développer, et ce malgré qq mesures incitatives de l'état: ceci peut résulter parfois que certaines sont peu visibles, mais le plus généralement elle s(avèrent simplement moins attractives que d'autres solutions, à d'autres sujets (la prod.energie; le transport; ...). Il faut un cadre public plus fort, et meme des interventions actives. Il faut aussi déjouer certains solutions/tendances qui s'avèrent déplacer des problèmes écologiques ailleurs: un recours à utiliser trop de matériaux qu'il faut impoter, l'éloignement des maisons du lieu de travail,...
Si l'on ignore ici/point de vue energétique, les autres fonctions (confort, manger avec un potage attenant,...), le chauffage est le poste energétique principal. L'optimiser par l'isolation, mais aussi la densification de l'habitat pour réduite la surface extérieure/déperditions de chaleur, sans oublier le chauffage passif (architectural).
-iSOLATION: c'est bien sur le 1er iveau et plus simple et efficace et pertinent
-DENSIFICATION: l'option d'immeubles collectif est à favoriser, mais connait aussi ses limitations propres (dans de trop gros immeubles) et sociaux (relationnel voisinage, équilibre urganistique pour l'approvisionnement alimentaire ou non, l'accessibilité à la vie sociale et au travail. Solutions intermédiaires ou alternatives:
.ensembles integrant habitation et commerces et lieux de vie sociale, cad (re)création de 'mini-villes': cf §-Degonfler les villes.
.maisons mitoyennes (terraced house, communes en UK et Allemagne: on a à la fois une maison individuelle et un jardin, mais on n'a que deux côtés sur 4 en contact avec l'extérieur).
.maisons plus grandes partagées: ex de colocation, de petites communautés dans une grand maison unique ou immeuble voire village dont des equipement et pièces sont communs (partagés), avec partage des taches, et en général maintient d'une partie privative (chambre)
-CHAUFFAGE PASSIF: divereses solution de constructions/architectures favorisent l'entrée de chaleur extérieur, sa distribution, sa rétention,.. Chaleur sur soleil (vitres; orientation), mais aussi chaleur du sol (puits canadien). Cf §-Architecture/cahuffage passif
Le secteur batiment consomme de l'energie (et emet CO2) pour construire bcp plus de neuf (>50%) que pour entretenir et équiper les batiments existants, et encore bcp moins d'energie pour rehabilite de vieux logements (0.1%). En effet, l'acier et beton sont les matériaux les plus energivores, et utilisé en plus grande quantité pour le neuf. De plus, il faudrait ajouter la consommation d'energie aval: à nouveau le neuf requiert plus de cout energétique à construire de novelles infrastructures, route pour l'accès, reseau eau et electricité,... Le neuf permet certes d'atteindre de meilleures efficacités (isolation, BHQ,...), du moins c'est plus facile/rapide que mettre aux norme d'anciens batiments, mais en bilan ca ne compense pas. Sans compter que l'ancien non rehabilité finit un jour ou l'autre a couter pour etre détruit.
->il faut prioriser de développer la rehabilitation de vieux logements que construire du neuf, car moins energivore par rapport au service rendu (loger du monde).
Décarboner l'économie
20% du CO2 vient des centrales à charbon. Il faut toutes les arrzeter our tenir l'obejctifs de +2°C en 2050. Les ENR demanderait un investissement trop énorme, le nucléaire est un alternative plus accessible[Janco] (apres tout se discute).
LE ciment libère 5% (Janco a 25-35min; dont 2/3 vien de la reaction chimiuqe CaCO3 en CaCo et CO2). 123 le reste de l'industrei (acier, verre, petrochimie; la transformation (former des boulon) est bcp moins couteux. Donc la priorité serai de réduire la conso/qté de beon et acier
L'équipement dansles batiemnt libre 5% du CO2
13% du CO2 libéré par les transports (6% voiture, 4% camions, 2% bateaux, 2§avions); 20% issus de processus agricoles (engrains, nécanisme; fermaentation des degestion et rumen; nethane et CO2; fermentaotn anaerobie rizières-solut mettre des carpes et canards);
5% pour la déforestation (c'est passe en Eurpep, puis USA, à présent enzone équatoriale); 10% divers (gestion dechet, traitement eau,...)
a
Cf Gael Giraud (économiste; aussi H d'eglise): ramener la finance à sont role de lubrifiant de l'économie, arreter la finance en temps réel (ht fréqence > Journalier; impliquer la valeur des biens communs).
(Taxonomie d'Eléonor Nostrum): Bien public (vs privé) si en profiter ne prive pas autrui (ex le soleil). Biens comnuns vs tribus (ou a effet club) si l'accès peut etre privé. on peut combiner 4 situations entre ce type d'accès (commun/club) et de consommation (public/privé). Il faut des règles pour gérer les accès, et une métarègle pour définir quoi faire quand on n'est pas d'accord. Ex de la gestion des lac guineen "c'est le village d'a coté/pas de confilt d'interet qui arbitrera". On peut ajouter la notion d'epbouteillage/congestion qui rend la notion de commun caduque: ces notions sont politiques/relatives. Ex aussi de l'education qui était privé à l'église et devenue publique à l'état. S'amorce une certains reprivatisation de l'éducation (jesuites; USA;...)
(quels sont les biens communs? au delà ): bcp de ressources, nota critiques (accès à l'eau: parfois le publique (Zaire, Lapaz) est incapable de faire la gestion de l'eau. Alors la gestion communautaire s'avère meilleur que la gestion publique, par forcément marchande.
-la santé: considérable comme un bien commun (médicaments; accès aux soins) car critique au niveau collectif si se dérègle (ex d'Ebola/Congo montrent l'echec de la considere bien privé, bien)
-l'éducation:
-le rapport au monde: le bien le plus ancien (par la propriété) nota depuis le droit Romain (res communis / res publica / res nullius (inappropriable)), puis renaissance de la res communis (voir assimiliation à la res nullius), mais aussi redefinition actuelle par la toile internet de la propriété (Copyleft qui s'oppose au Copyright: uptopie très concrète!).
Dupré: économiste,très orienté anti finance ou plutot fortement régulée.
Rénover la finance, ecoresponsable: réglementer la finance ... jusqu'a la définanciarisation des activités, supprimer transactions à haute fréquence, taxer les transactions financières, évasion fiscale,...
La finance a été 'inventée' pour faciliter les echanges monétaires, les emprunts.... Mais son developpement excessif avec un marché secondaire mal reglementé par rapport au marché primaire amont (des biens et services), l'amplification de la masse d'argent disponible (5-15x+ que l'argent crée par les banques centrales), et l'instantanéité des transactions, ont rendu possible des choses qu'on mesure impossibles au réel, qui sont donc payées par (compensées au détriment de) une création d'inégalité de la distribution de valeur ajoutée, et au final des richesses, avec un decallage sur la réalité physique, source de pollution desormais déconnectée des (trans)actions, consommations, objets consommés,...
Ex, comment est il possible qu'il s'échange au niveau finance 15x plus de valeur que sur le marché primaire, au global, mais pour un bien donné: (ex a retrouver) on comprend que qqchose cloche si CocaCola prélève x Mio de kg d'eau de la nature sur 1an, et produit y kg de boisson (70% de rendement: il faut laver les canettes et outils, sans parler de l'eau pour produire de l'hydrau)électricité,...), mais comment Coca peut-il echanger en finance 15x plus que la valeur des boissons produites?(ingrédients, outils amortis, salaires payés)? Car Coca, via les traders, échange +s fois la meme boisson, entre des 10n d'intermédiaires, sensés ajouter une plus value, parfois réelle (transport) souvent plus discutable/arbitraire (marketing) et meme virtuelles: microcycles d'échange monétaires pendant le cycle d'échange des boissons entre la production et le consommateur). Cela génère plus de valeur que la production primaire avec consommation locale. En amont il a fallu importer x Mio litre de petrole, d'aluminium, de plastique, de pigments, de gasoil pour la distribution,... autant d'intrans qui expliquent une partie de la culbute en valeur ajoutée financière. Mais au final il reste au moins un facteur 3à5 résultant des plusvalue purement commerciale, sans création de valeur ajoutée physique (la fabrication, le transport): de la valeur ajoutée financière repose sur un changement de statut commercial du produit (etiquettage CE, notoriété de marque, de revendeur,...), en changeant de mains (sans déplacement). Cela se traduit pas une confiance entre l'acheteur et le vendeur. La plusvalue est psychique, informationnelle, affective ou émotives,... L'acheteur accepte de payer 3-5x+ de ce vendeur ci, qu'à la sortie d'usine locale (équivallent: ou on aura relocalisé toutes les transformations physiques (d'ordre primaire)). Cette v.a. financière ne pose pas de problème en soi, si elle restait du meme ordre (de la confiance entre les protagonistes). On peut imaginer 2 couples consommateur/producteur en équilibre économique, ou le second acceptera de payer 2x+ cher (et travailler 2x+ de temps pour financer la satisfaction de cette marque/vendeur). Le problème est que la v.a.financière est convertie en v.a. monétaire (à pouvoir d'achat équivallent avec tout un chacun). Ainsi le vendeur/producteur de boisson pourra t il acheter un aliment dans les meme termes au consommateur1 qu'au consommateur2 ou une tierce personne. ll troque de la valeur (financière) acquise par crédit de confiance (relative a tel(s) consommateurs, tel marché), en valeur marchande économique acquise par un travail effectif/physique (non sujet, ou beaucoup moins sujet à relativité humaine, mais éventuellement de pays/culture car en général plus de consommateurs moins riches/favorisés). Pire, la composante de la valeur financière qui repose sur la consommation d'énergie en amont, qui a pollué l'atmosphère, stimule la consommation d'autres produits/énergie fossile, plutot que de financer la compensation de la pollution désormais plus absorbée par la Terre.
Un autre transaction nous revèle l'arbitraire de la v.a. financière: le consommateur1 accepterait il de troquer la boisson qu'il a acquise avec celle du consommateur2? Non bien sur en général, il ne pourra se résoudre à augmenter le prix en travail au niveau de la confiance / flux de matière et d'énergie du consommateur2.
Les transactions financières prélèvent donc une grande partie de la valeur ajoutée par la production (et le marché économique) primaires, alors qu'idéallement elles devraient en consommer qu'une fraction infime, à l'instar du lubrifiant d'un moteur. Elles augmentent ainsi la consommation de biens physiques sans en connaitre les limitations (retroactions), qui existent entre producteur-vendeur et acheteur en direct. Elles prélèvent leur bénéfice sans en financer la résilience, et emballent le moteur économique à bruller toujours plus d'énergie, avec des pertes thermiques (pollution) croissantes.
Comment lutter contre cette dérive financière?
Plusieurs voies: réglementer la finance, le but était de la réduire au minimum requis par le moteur économico-productif-agricole. On peut dire définanciariser, car rappelons le 5à15x+ de transactions financièrsz que d'actions physiques/energétique primaire! Au plan pratique, 3 rouages financiers seraient accessibles à être reglementés pour engageun cercle vertueux :
-supprimer les transactions à haute fréquence
-taxer les transactions financières: pourquoi les transactions financières entre places de marchés ne sonte-elles pas taxées, alors que tout transactions dns une zone économique structurée l'est!? La finance a su faire passer cette abérations pour une norme
-évasion fiscale: l'optimisation fiscale (sans parler des fraudes) est le 1r mécanisme qui permet de convertir ('blanchir' ecologiquement) la valeur ajoutée financière en valeur économique primaire. Les grands groupes, les plus profitables, disposent des meilleurs stratèges, et y recourent le plus massivement (payent au pays concernés que 10% de ce qu'il devrait payer sans Optr Fisc).
Agir à ce niveau repose d'abord sur une collaboration entre états (transparence, harmonisation des niveaux d'imposition), plutot que jouer à l'attractivité fiscale qui renforce l'évasion fiscale ailleurs et affaibli les états. Il y a ensuite bien sur le controle fiscal, a toujours améliorer, et l'amélioration de la politique fiscale qui devrait rendre plus voyants, tangibles, et utiles les services publiques aux entreprises (et leur employés) en contrepartie des impots. D'autant que l'impot n'est assujetti en fait qu'aux revenus financier.... et que modifier le régime fiscal devrait etre plus réservé à orienter vers certaines activité économiques (incitation/taxation), et améliorer la répartition/égalité sociale. Par ex:
On oubli souvent que les états et hyper états (EU, USA) qui procedent au sauvetage économique de sociétés en difficulté, devraient les subordonnéer à des contreparties écologiques/sociales,...
.Transports: Les entreprises se reposent sur l'état pour developper les transports dont ont 'besoin' leurs approvisionnement, leurs produits exportés, et leurs employés au delà des besoins de transport dont ils ont besoin en tant que citoyens. Ceci prend sa demesure quand le marché du travail joue la mobilité professionnelle, les voyages proffessionnels, ... Ne peut on assujettir l'impot en partie à des critères de mobilité (des personnes, des marchandises) induite par les entreprises? Le citoyen a surtout besoin de transports locaux, les entreprises exportatrices, du fait de l'économie élargie puis mondailisée, ont besoin de transports à distance moyenne et longue. Le developpement 'économique' des trains et bateaux puis l'avion ont induit leur developpement a but loisir/tourisme source d'une nouvelle économie. Est ce necessaire au citoyen, ou dans quelle mesure? dans le contexte de rechauffement climatique, avec la menace terroriste et les chocs culturels, ... (cf point paradigmes de vie). Il reste clair que les entreprises privées sont les plus initiatrices et gourmantes en transport, devant les besoins primiaires des citoyens. Il est donc logiques qu'elles en dépendent plus essentiellement à les financer, par l'imposition puisque les moyens de transport incombent plus souvent au domaines publique.
.Communications: la situation est homologue a celle des transports, mais les infrastructures (de transport de l'information) sont beaucoup plus gérées par des sociétés privées, donc les échanges commerciaux implique des retroactions. Remarquons que les communications numériques modernes sont mobilisée à x% par les entreprises, et qu'elles en sont un outil à présent essentiel (encore plus que pour le citoyen? au sens critique/difficile à remplacer).
.Pour la santé, il existe une organisation qui apprécie les couts de santé induites par le travail (accidents, maladies, pathologies, expositions). Cela fonctionne disons plutot bien, les entreprises financent la détection des pblm de santé et les soins, meme si des pathologies font defaut, tardent à etre reconnues professsionnelles, ...
.Défense: Les infrastructures et équipement des entreprises privées bénéficient de la défense nationnale. Il semble assez difficile d'en faire ressortir des critères propres à justifier l'impot. La taille et valeur des infrastructures/équipement... (délocalisables; en fait mal protégeables;...). En en est plus au seigneur qui pouvait abriter les personnes dans son chateau.
Impliquer dans toute transaction la valeur des biens communs amont
Cf §-Developper les biens communs. (idée promue par Dupré)
Décider sur des appréciations de plusvalue locale supérieure aux plusvalues exportées
Ex les 120 milliards de financement et subventions pour panneaux PV et les éoliennes pourraient être consacrés plus avantageusement à d'autres activités relativement plus pertinentes: car l'essentiel (?70-80%) de la plusvalue / marge / futur pouvoir d'achat des PV installés se retrouve exporté en Chine qui fabrique ces biens (c'est aussi vrai en partie pour les éoliennes) avec un impact à l'environnement délocalisé. Au contraire des activités plus souverainement produites et conduites peuvent faire une production homologue ou des économies.
-par ex dans un plan transports/vélo, les 120 milliards de subventions PV pourrait financer la construire de pistes cyclables qui doubleraient tous les axes routier principaux! Meme si c'est irréaliste/non acceptable, tous les déplacements faits alors par vélo réaliseraient alors ?chaque année? une économie d'énergie qui compenserait la production des éoliennes et PV.
-par ex dans un plan energie/nucléaire - piste promue par JMJancovici-, les 120 milliards de subventions PV qui exportent ?70-80% de la plusvalue en Chine seraient plus pertinement investis pour vendre, en Chine!, 4-6 centrales nucléaires qui remplacerait leurs centrales à charbon polluantes (la moitié du monde!), ce qui 1)eviterait de payer des impots pour financer ces achats 2)decarbonerait la Chine et le monde.
Paradigme de vie à changeer
On a un probleme de reve social qui sont plus ou moins nos reves historique depuis le néolithique, gagner pour pouvoir dépenser plus ce qui satisferait notre bonheur; on veut avoir des choses, de l argent pour en jouir dans l'abondance et cela sans trop de travail physique, surtotu pas sale (ou ailleurs sur la planete); on veux donc jouir et vivre plus vieux voire être immortel (le mythe grec). On a des bonimenteurs politiques et d'autres technocratiques (ex Elon Musk) qu'on prend pour le sauveur de la planète avec des rêve et solution très (trop) lointains qui ne solutionnent qui font réver sur des choses non réalisables pour tout le monde. ON satisfait le r$eve immédiat par des parcs d'attraction, du ski en interieur,... mais cela n'accuse que la situation de dépendances économique et écologique sans satisfaire de facon plus authentique les besoins humains primaire et psychologiques (éviter le stress en général; ...).
Rénover la démocratie. En suisse la votation (consultation publique régulière) fonctionne parce c'est culturel, et pourrait dire que le territoire fait la culture: à climat rude, personne plus collaborative. Idem d'autres sites durs, car climat extrême ou isolés (dans un sens GB, Norvège, Corse,...). Ce qui ne veut pas dire que ce seraient des peuples pacifiques (Ils (ex Suisse, Norvège) sont capables aussi d'échappées/exporter leur surplus de personnes (les sauvages: vikings, ). idem dans les désert, vie dure aussi, on voit la vie d'entraide en tribues domine, pas de supra organisation (d'état).). A l'inverse, l'état était moins nécessaire sous les tropiques, en Afrique par ex.
L'enseignement de ces exemples d'organisations de communautés avec collaboration, entraide, en se disant qu'on est acculé à un environnement qu'il faut respecter, avec lequel il faut composer. Ne pas cherche a faire de macro-sociétés trop lourdes, mais une mosaique de sollutions qui sont plus adaptées localement, tout en maintenant l'échange possible, sans exploitation ou exportation de nuisances.
Jancovici: ingénieur energéticien, disours assez cru voire braque, pro-nucléaire 'comme amortisseur de la decroissante). Lecture des évolution du monde, de la société, par l'énergie.
+/www.janvovici.com; Facebook. YouTube
Gael Giraud: economiste mais aussi catholique....
Philippe Bihouix: ingénieur dans le FRET férroviaire. Discours assez doux, dvpm durable, voire décroissant, regard en fait assez philosophique
Aurélien Barrau: astrophysicien. Discours très physique et conceptuel assis sur et débouchant sur de la phylosophie et culturel, humble.
Denis Dupré: economiste (CNRS) de gauche. Vu sa série de 4 video0.5-1.2h ou il a un langage et vue sur le monde très simpl(ist)es, mais avec une approche globale de bon-sens, des pistes de solutions générales (sans explique(demystifier) leur (in)applicabilité): a recouter/comme piste de plan. Très gentillet au final, dans le ton aussi.
Conf1(40min): la finance (dérégulée) est en cause pour le dereglement climatique
Conf2(1h): enquete ce qui ne va pas (ou va) > ce qu'il faut faire. Retenons: a)Mieux consommer (moins, de qualitédurable,... certes mais la résponsabilité n'est citoyenne en grande partie que par celles de notre organisation humaine: donc
a)developper des solutions et des décisions multicritères/objectifs, avec un volet social, environemental, ( ses 2 ex avec une passe a poisson dans les Alpes; et Tunnel Lyon Turin). Ca permet aussi de fédérer/concilier les avis/options inévitablement divergents; mais importance de garantir que les intégrateurs/decideurs sont démocratiques).
b)lutter contre la finance dérégulée (la réduire, pour qu'elle serve à son role initial, de lubrifiant pour l'économie, mais pas pour pomper les profits déconnectés des acteurs primaires (consommateur/producteur) et besoins/ressources primaires(), et construire une economie virtuelle 3à20 fois supérieure en valeur (d'autant plus que cette richesse est mal partagée) à l'économie directe et déconnectée de la responsabilité sur les biens communs(d). Ex de l'argent injecté par l'Europe sans exiger des critères ecoresponsables, ni controle a posétrieuri.
c)exiger la transparence et cohérence des sociétés (privées, publiques), Lutter contre la corruption,
d)proteger les bien communs (et les inclure dans les critères a) très bien (mais lapidairement) présenté dans la conf1 avec l'eau, la qualité de l'air, les métaux, le charbon/petrole/gaz. Nb exemple ou les solutions de décision aberrante ou encouragentes:
Nbx ex donnés avec CocaCola qui consomme xx+ d'eau par L de boisson vendue, et dit retrourner plus d'eau à la planete comme greenwashing. Ex de nestlé (ouf) débouté a contruire un pipeline d'eau potable alors qu'il vide la nappe locale.
e)inclure le choix au moins le controle démocratique dans les décisions (point intégrable au points a et b/c); ....
Emissions TC, nota ARTE
L'urgence de ralentir (20200527-1h24)