Les services de téléphonie sont devenus incontournables dans nos sociétés. Bien des pratiques sont abusives de la part des opérateurs (FAI), ou services aval, pour faire plus consommer, rendre le client dépendant ou sans alternative, ne pas laisser de traces pouvant être utilisées envers eux, ou au contraire garder celles du client, réduire l'assistance technique ou la remplacer par des outils ou le client aura à se debrouiller, ... Cette page vise à relever les pratiques abusives, comment les atténuer ou déjouer quand possible.
Voir aussi Refus de vente ou forcée, subordonnées,...
Plan: Payer son abonnement: éviter le prélèvement automatique! | Spams SMS, vocaux, courriels: s'en protéger | Résilier son abonnement téléphone/internet
Demander ses informations personnelles | Trouver le contact de l'opérateur [à publier beaj2016110 (en +s pages séparées, avec liens entre elles, pas ici]
Geolocaliser ou identifier un tel (mobile, fixe)
Payer son abonnement: évitez le prélèvement automatique! & "manifeste pour le virement SEPA, mode de paiement équitable bien compris"
EN RESUME - comment abandonner un prel.autom. Et passer en virement autom. (cf avantages[a]):
Le forfait tel doit être hélas pris selon des conditions de l’opérateur, parfois léoniennes. Demander ensuite à l’opérateur, par courrier AR, son numéro de compte bancaire pour le payer en virement SEPA automatique. En raison de (probable) échec(non réponse), il faujouer entre le service facturation et service consommateur, les arguments, cf Modèle de lettre en ligne ici - a faire).
Au cas ou cela puisse aider : liste des comptes bancaires des opérateurs en téléphonie (collectés)
[a] L’avantage du virement SEPA au contraire du prélèvement SEPA c’est que vous contrôlez le montant des factures et pouvez interrompre de payer quand vous voulez: pas d’augmentation de tarif ‘imposé’ ou de hors forfait ou services refacturés,... en le découvrant sur une facture et en fassiez les frais car quasi impossible à postériori d’obtenir un remboursement, ou une résiliation, sans parler de dédommagement)
MODELE DE LETTRE demandant le compte bancaire de l'opérateur téléphonique
J'ai contracté un abonnement téléphonique (contrat xx, descriptif, montant/mois), et je souhaite désormais régler mes factures par virement bancaire SEPA (automatique), qui me semble demander moins de travail de mon coté comme du votre, tout en étant parfaitement sûr et tracable, et flexible en cas de montants contestés (hors forfait, Service Internet Plus). Le mode de paiement que vous m'avez proposé (prélèvement automatique, virement en ligne, TIPSEP, chèque) ne me convien(nen)t pas. Si le virement bancaire SEPA par mes soins ne vous convenait pas, il resterait bien sur le payement en numéraire (m'indiquer ou payer), solution dernière prévue par la loi.
En effet (sélectionner les argu appropriés - ou aucun!)
-j'ai recu / recois vos factures trop tardivement pour pouvoir les controler, alors que la loi prévoit 15 jours avant
-J'ai demandé de bloquer mon forfait en appel internet et toute autre facturation en sus, hélas vous ne l'acceptez pas, ce qui s'apparente à me faire une vente subordonnée. Ou me l'avez bloquée mais l'avez debloqué sans mon accord.
-le prélèvement automatique ne me permet pas de contrôler vos facture en temps utile pour gérer l'approvisionnement de mon compte. En cas de contestation du montant (notamment hors forfaits, services supplémentaires), vle traitement de ma demande est trop laborieuse et le plus souvent vaine. Je ne peux pas régler que la partie
-Le TIPSEPA ne permet pas non plus le reglement partiel en cas de problème. il demande en outre plus de travail (plusieurs contrats) (courrier affranchi ok), comme le payement par chèque.
Je vous prie donc de bien vouloir me communiquer un RIB pour vos coordonnées bancaires (IBAN et BIC). Je préciserai bien sûr sur mes virements bancaires le numéro de facture (me dire si vous souhaitez en outre avoir la ligne téléphonique ou n° de contrat; Je peux aussi vous envoyer un courriel d'avis de payement, me préciser à quelle adresse).
Dans l'attente de votre réponse diligente, je vous informe que je ferai opposition au prélèvement automatique d'ici 1 mois.
Cdt
EN DETAIL
Les opérateurs de téléphonie (et pas qu'eux) incitent fortement à payer par prélèvement, ponctuel (TIPSEPA) et même de (leur) préférence automatique(mensuel).Ils font le 'forcing' voire vous y "obligent" cen ne donnant pas d'autres choix (ex. vente & opérateurs en ligne, tel Free). C'est soit disant dans l'intérêt du client (faciliter le payement), de tous (service moins cher[b]), en fait surtout celui de l'opérateur[a]!
[a] Cela lui donne moins de travail (ça se comprend) et surtout évite des impayés (c'est louable). Mais coté consommateur, ça le rend captif, dépendant et moins conscient: le client ne réalise plus trop certains services qu'il a contracté ou lui sont abusivement ajoutés (gratuit un temps), ou trop tard sur une facture, il ne peut plus ou que trop laborieusement obtenir gain de cause en cas de problème, que ce soit lié à une facture contestée (3Hr d'appel hors forfait. Augmentation de tarif. Frais de ceci ou cela), pour se plaindre d'un service défaillant, d'une modification de contrat non comprise,...
[b] L'argument des opérateurs, notamment ceux qui 'obligent' à payer par prélèvement automatique, pour justifier le prélèvement automatique, est que cela permet de proposer des services moins chers. Acceptons le mais c'est discutable, car il s'agit surtout d'offrir des services plus complets ou liés ou accessoires:
-Remarquons d'abord que le prix des forfaits est réduit en fait surtout par la guerre concurrentielle! Si le prélèvement automatique baisse le prix du forfait, cela vaut pour tous les opérateurs car tous y incitent ou obligent.
-Le prix du service ne se réduit pas à celui du forfait! le prél.autom. s'applique indistinctement pour le prix des forfaits, et du hors forfaits et services supplémentaires. Or ces derniers ne voient pas leur prix baisser, au contraire...
-Les forfaits souvent ne sont pas proposés pour coller au besoin du client, soit ils incluent des services non demandés basiquement (et le client devra les payer, il s'habituera à plus en consommer), soit il ne les incluent pas, et alors le client les payera en hors forfait (plus cher). Or souvent ces services accessoires sont mis souvent accessibles par défaut, très facilement déclenchables, voire impossibles à déactiver, de facon que le client paye (plus) du hors forfait. Cela incite à de la consommation de hors forfait et services non désirés. Force est de constater que l'argument "moins cher" est surtout pour convaincre/abuser, et est étrangement peu ou bien discrètement introduit au niveau commercial/marketing! Cela frise la vente subordonnée, l'offre verrouillée vers le haut, le refus de vendre dans certains cas, et donc l'illégalité...
-des frais selon les modes de payements (non désirés par l'opérateur) peuvent être appliqués. N'y jettons pas le haro, c'est une façon plus transparente de dire "nous/vous pouvez baisser le cout (total) du service en payant ainsi...", sous réserve que ces frais restent raisonnables et équitables (cf [K, L]), plutôt que faire croire que le forfait est plus concurrentiel. La vertu de cette facturation de mode de paiement est qu'elle se mesure au frais pratiqués par les banques et autres opérateurs tel.
Faut il céder aux sirènes de ce nouvel ordre du commerce? Non, mais avertissons que c'est aussi le plus souvent s'engager sur un long et difficile chemin de tracas pour faire respecter son droit à un autre mode de payement, tout en respecter les droits et intérêts de l'opérateur.
Avant de s'y engager, il faut mieux connaitre les règles des différents modes de paiement (abordés infra), savoir comment contacter au mieux l'opérateur (entre sa jungle de services, client, résiliation, fidélisation, consommateur, solutions, litiges...) pour ne pas trop perdre de temps, s'embourber, voir sa ligne coupée, des mises en demeure à payer(menaces!),...
Cela étant dit, sauf à livrer d'entrée une battaille juridique, vous n'aurez en général pas le choix de commencer par signer un contrat de téléphonie en acceptant un des modes de paiement 'imposé' par l'opérateur, cad le chèque, ou pire, le TIPSEPA, ou pire encore le prélèvement automatique ( services pris par internet). Réaliser que le TIPSEPA et le prélèvement automatique ne vous donnent pas le choix de modifier le montant à payer, vous recevrez d'ailleurs la facture au mieux en même temps et parfois après (envoi postal) que l'opérateur ait prélevé le montant du forfait (ca se comprend) et de la consommation hors forfait (c'est la que ça peut coincer - etre vigilent/cf abus conso infra) et les taxes y afférent. C'est donc après 1 mois ou plus, que vous pouvez vous atteler à 'négocier' de payer par virement automatique, par la procédure ci après.
Quand vous y êtes "obligés" d'opter pour le prélèvement automatique, ou le TIPSEPA, désavouez le oralement et si possible par écrit. Cela peut paraitre vainc de désavouer cette pratique, que ce soit oralement à un vendeur, au téléphone, ou par même par écrit (ajouté par vos soins sur le contrat; par lettre AR). Mais cela peut contribuer à rendre le vendeur moins arrogant ou sur de lui (des pratiques de sa société). Et cela peut éventuellement à postériori être un élément utile en négociation de problème, de litige,...
Arguez que le prélèvement auto ne vous permets pas de contrôler les factures préalables au payement et l'arreter au besoin (cela s'apparente à signer un chèque en blanc, subir les augmentations de tarif ou payer du hors forfait non désiré sans réel moyen de les contester et récupérer[d]).
Le paiement par chèques (et le TIP) vous permet de vérifier les factures, mais est fastidieux pour vous et contraignant pour l'opérateur (qui vous poursuivra sans cesse avec des incitations à passer en prélèvement automatique).
L'idéal / votre but est alors bien de payer par virement SEPA (de votre banque à l'opérateur): plus rapide, fiable et tracable, avec des avantages à revendiquer équitables pour vous et l'opérateur:
- vous pouvez contrôler les factures avant de payer (et ainsi contrôler/contester le hors forfait, les augmentations de tarif), programmer la date de paiement. L'opérateur qui se targe d'assurer le meilleur service client devrait respecter ces intérêts qu'il ne sait satisfaire mieux, surtout il ne peut contester le droit du client à controle avant de payer (et c'est là que l'opérateur peut etre mis en défaut avec un prélèvement automatique).
- pas de timbres/enveloppe à rédiger (et payer). L'opérateur devrait y être sensible à nouveau au titre de service client, mais aussi protection de l'environnement, gain de temps/travail à ouvrir les enveloppes...
- vos paiements sont tracés. Un point important pour l''opérateur qui devrait le rassurer: il peut vous retrouver plus directement qu'avec un chèque ou du numéraire,...
- vous pouvez décider du libellé sur vos relevés bancaires. Pratique pour vos comptes, mais veiller à que ce soit claire/complet pour l'opérateur.
- vous pouvez rendre le virement SEPA automatique (mensuel) du moins pour la part abonnement ou forfait fixe (montant signé sur votre contrat). Cela vous permettra justement de mieux identifier le montant et le tarif du hors forfait, les changements de tarif imposés abusivement, ... A nouveau, l’opérateur devrait apprécier que vos payements sont programmés donc sécurisés (plus qu'en payement mois par mois, mais moins qu'en prélèvement automatique). Il appréciera néanmoins encore moins de devoir enregistrer 2 payements séparé par facture (le forfait fixe, et le hors forfait validé), surtout si s'accumulent des sommes contestées.
Bien sur l'opérateur n'aime pas ce mode de règlement, et fera tout pour vous en dissuader voire empêcher! A vous d'y croire et savoir manœuvrer et répondre (ou parfois ne pas répondre!) [d].
- Commencez par demander à l'opérateur son numéro de compte bancaire, par la messagerie électronique de votre espace client (ou éventuellement par téléphone mais de préférence conversation enregistrée par l'opérateur ou vous même). En cas de refus (très probable) "on ne fait pas ca"), n'insistez pas:
- Demandez à votre banque de vous communiquer le numéro de compte bancaire des prélèvements automatiques de l'opérateur (que vous avez dûs accepter). Avant, vous aurez regarder les avis d'opérations s'il sont disponibles sur votre espace client (ils indiquent plus d'info que le relevé de compte).
Si celle si vous en communique un (IBAN valide) sans problème, vous êtes sur la bonne voie, et ca se présente bien (l'opérateur ne dissimule pas son compte bancaire et doit savoir s'organiser pour traiter des payement)
Si la banque refuse de vous communiquer quoi que ce soit ("ce n'est pas possible"), votre tache va s’alourdir aussi à ce niveau: demander à la banque qu'elle justifie par écrit qu'ellle ne peut pas s'opposer à décliner l'identité de qui vous débite! S
Plus probablement, avec les grands opérateurs de téléphonie, votre banque va vous communiquer non pas un n° de compte bancaire, mais un n°RUM.
par ex pour SFR c'est
Le RUM est un intermédiaire entre les banques... pour y acceder...
- Ensuite annulez votre autorisation de prélèvement automatique auprès de votre banque,
et informez en de suite votre opérateur et que vous procéderez désormais à des virements SEPA** depuis votre banque pour payer ses factures.
Il faut mieux le faire par LRAR car c'est trop risqué / hasardeux autrement (cf infra 'informez à chacun de vos payements'). Bien informer de l'annulation de prélèvement automatiques (afin qu'un blocage de leurs traitements ne vous soit pas reproché) ET du nouveau mode de payement mis en place (par virement bancaire SEPA sur son compte bancaire xxx, rappelant que c'est sûr/parfaitement sécurisée et que vous souhaitez l'alerter de ces paiements par courriel (à lui de préciser à quelle adresse). Préciser que c'est pour regler les factures (forfait*) de quelles lignes/services.
rem: inutile de justifier pourquoi vous refusez le prélèvement automatique (facile) mais aussi les autres moyens de payment qu'il utilise, ce serait logique au sens que le mode de paiement doit etre définir par accord bilateral, mais ceci vous embarquerai des explications qui vont parasiter votre but, voire pouvoir donner matière à vous contrer votre demande/forcing à passer en virement SEPA).
*par forfait, il est conseillé d'inclure aussi la consommation hors forfait, si justifié bien sur. Mais à vous de voir si vous voulez pousser la logique à l'extrême de régler le hors forfait séparément, par SEPA aussi ou autrement (chèque, numéraire - cf supra), pas du tout (contesté).
- pour chaque payement/facture, informez l'opérateur de vos paiements, surtout au début / le temps que cela se mette en place, et pour éviter des erreurs ou dérapages qui ruinerons vos efforts,
selon les possibilités/fiabilité:
.par courriel usuellement généré par la banque avec le virement SEPA, afin d'aviser le receveur du payement avec toutes les infos adéquates coté banque plus celles que vous pourrez ajouter (n° de facutre, ligne et perdiode concernée,...). Hélas vous n'obtiendrez probablement pas d'adresse courriel de votre opérateur (essayez, insistez quand meme. Même vainc, cela peut etre utile comme élément en votre vafeur pourà négocier ou vous défendre!)
.par un formulaire sur l'espace client (nouvel outil SFR201702, pas trop prévu pour ca...)
.par la messagerie de votre espace client (pas prévu par l'opérateur pour ca à priori...)
.par l'assistance comml ou tech de l'opérateur (SFR: 1023), mais forte chance que ce soit vainc, et vous n'aurez aucune trace pour le justifier.
.en cas de problème, par LRAR, si les moyens précédents échouent, si cas rticulier (contestation d'un partie des sommes); mais ceal n'est guère pertinent autrement que pour un 1r avis! (cout, temps passé non rentable pour vous, ni pour l'opérateur!)
Profitez en pour demander à l'opérateur une adresse courriel de son service facturation pour l'aviser des payements réalisés (demande probablement vaine, mais utile comme argument dans une négociation ou défense!)
**rem: un paiement par virement SEPA automatisé est bien moins intéressant pour vous (et pour l'opérateur d'ailleurs) si vous avez régulièrement du hors forfait et souhaiter vous en acquitter chaque mois par un payement séparé. A ce sujet, réaliser qu'il est bête d'avoir à payer du hors forfait si un forfait répond mieux pour englober cette sur-consommation fréquente. Que si l(es) opérateur(s) ne propose(nt) pas de forfait adéquate pour éviter du hors forfait fréquent à ses clients, c'est "volontaire": il s'agit d'inciter à utiliser ce 'service' d'appels hors forfait (et le faire payer donc plus cher) sans le réaliser (ou qu'à postériori), ou à passer un forfait supérieur surdimensionné. D'autant qu'il refuse souvent de pouvoir bloquer les appels hors forfait (ce serait utile pour des enfants) ou demander validation du tarif supérieur par l'utilisateur à chaque appel hors forfait, ou à minima en alerter l'utilisateur (vocal ou SMS) à chaque appel ou autre consommation hors forfait (à pas à postériori!). Ces pratiques permettent aussi à l'opérateur de faire passer des facturations supplémentaires, facilement grâce au prélèvement automatique! qui va compliquer toute contestation et règlement de problème réel par un client plus opiniâtre,
- Il ne vous reste qu'à veiller que l'opérateur à bien reçu et surtout validé votre virement SEPA pour votre compte, aux premiers payements surtout: malgré l'évidence de votre virement, sa parfaite traçabilité, il est possible que l'opérateur (SFR) ne sache par "voir" votre payement sur son compte (!), ou vous le créditer. Ainsi, SFR refuse de communiquer un moyen pour recevoir une alerte que le payement est envoyé, et refuse de donner un n°compte bancaire adéquate pour les lignes fixes/box. Le service facture ne semble pas surveiller chaque ligne de son compte, détecter votre virements SEPA ou vous l'attribuer. Il peut certes y avoir sur l'ordre de virement SEPA identité insuffisante ou érronée du payeur/ligne/facture; et délai de l'oéprateur pour retroceder votre virement d'un de leur compte à un autre (SFR: 1 mois pour ne pas se risquer! ce qui n'empeche pas de poursuivre à payer avec 20jours!).
Il est ainsi utile de téléphoner au service client/facturation dès le lendemain ou jours suivants pour mettre la machine en marche (sans que ce soit sûr que ca le fasse!), en profiter de (re)demander un courriel pour aviser des payements réalisés "pour vous faciliter le travail" . Il s'agit aussi de s'assurer qu'il n'y pas eu erreur de votre ou leur part sur le n°compte bancaire, et se retrouver (vécu avec SFR201608) avec un retard de paiement jusqu'à coupure de ligne et régularisations complexes au prix de 2 mois de tracas.
[d] Notes / A savoir / ce que la loi en dit / la 'bataille' sur les modes de payement entre consommateurs et opérateurs (ou autres débiteurs):
* La loi x (achats de particuliers) dit que le commerçant à le choix du mode de paiement, mais en cas de refus du client, il ne peut s'opposer à proposer un autre mode de paiement, TIP, chèque,... et numéraire. Au final, seul le numéraire ne peut être décliné par l'opérateur (comme par le consommateur)[on le voit aussi pour les impôts. En effet, on ne peut obliger quelqu'un (client) à avoir un compte bancair], mais l'opérateur peut alors préférer ne pas offrir ce service à cette condition de paiement[7].
* modes de paiements: infos/gouv(CB, liquide, Chèque, Transferts)
Dans certains cas/opérateur, la loi les contraint d'accepter tels modes de paiements: cas de chèques s'ils sont 'centre de gestion agréé'
Un commerçant n'est pas obligé d'accepter des chèques, or si les opérateurs le proposent en général, c'est qu'ils ont leur raison: satisfaire à la loi ainsi, plutôt que d'accepter le mode de paiement ultime qu'est le numéraire. Ainsi, si le chèque n'est pas acceptable par le client (et moins rentable pour eux, surtout pour des faibles montants, et d'autant plus quand ils séparent les factures et payement des différentes lignes mobiles/fixes: SFR), si le numéraire l'est encore moins pour les 2, cela rend le payement par virement SEPA d'autant plus intéressant pour l'opérateur ET le client.
* enjeux / modes de payement
[7]De son coté, le commerçant peut certes choisir de ne pas offrir un service qui pour lui deviendrait non rentable s'il devait accepter d'être payé en numéraire voire en chèque ou par CB lesquels supposent certains frais de traitements par lui ou par sa banque ou un intermédiaire (à cet égard, le virement SEPA par le client devrait être le mode de paiement qui lui coute le moins!). A l'inverse on pourra lui rétorquer qu'il pourrait augmenter son prix du service ou produit pour couvrir ces frais. A l'inverse encore il pourra ne pas être intéressé à faire cette activité dans ces conditions, qu'il laisse aux concurrents pour lui se concentrer sur le marché/mode de paiement jugé le plus rentable[k].
De son coté, le client a intérêt d'un mode de payement simple, mais aussi non engageant (déjà que le contrat de téléphonie l'est à divers égards!)
On le voit, le mode de payement devient un enjeu entre commercants (opérateur tel ici) et clients, dont les intérêts est de proposer et respectivement bénéficier d'un service payant à telle conditions, ces conditions n'étant plus uniquement liées au service ou produit comme on pourra s'y attendre, mais liée aussi au mode de payement. Le mode de payement n'est plus un outil neutre, mais noyée/masquée dans l'offre de service et meme intégrée à d'autres services qui tendent à ne plus etre optionnables et controlables (facturation de services externes).
D'un coté, l'opérateur à le choix de dire qu'il n'offre pas le service aux conditions souhaitées par le client, or il a la liberté (non utilisée souvent) de facturer différemment selon les modes de payements. Dans le contexte de sa position dominante (de société structurée, informée,...; d'acteur majeur ou non mais bénéficiant des pratiques de ses concurrents), il peut se le permettre de faire chanter des clients particuliers isolés.
De l'autre coté, le client particulier a le choix de décliner le service ou produit qui lui est proposé à telles condition de payement, mais il est conditionné pour croire qu'il n'a pas le choix car mal eventuellement mal informé, et surtout "il n'a pas le choix, les autres opérateurs font pareils".
Ainsi, le client peut lui décider de ne pas acheter à tels commerçants qui pratiquent telles conditions, et favoriser des commerçants qui auront l'intelligence (esprit service client) d'accepter du numéraire (ou un virement automatique). Mais une situation monopolistique ou d'entente cordiale ou d'interets globaux bien compris peu ruiner c'est possibilité de libre conditions commerciales. Ainsi, rien n’empêche le consommateur (et par des actions d'association, de média, voire les députés/la loi) de pousser les commerçants les moins récalcitrants (ou les moins verrouillés) à accepter ponctuellement le mode de paiement demandé par le consommateur. Une telle 'victoire' ponctuelle ouvre des failles pour en obtenir d'autres chez le même opérateur et aussi chez d'autres quand combiné à une action médiatique montrant l'évolution de tel opérateur, qu'ils en tirent bénéfice ou de supposés inconvénients. Certains pourrons alors s'en emparer comme un service plus respectueux de l’intérêt du client qui leur est propre .
[k] un commerce ou service commerçant publique ne peut (théoriquement) pas refuser un client sur des bases subjectives (raciale, religieuse,...). Le mode de paiement pourrait bien être une mauvaise raison. Mais les opérateurs ont la liberté de proposer des frais selon les modes de paiement acceptés. Il est probable que certains tenterons d'appliquer des frais rédhibitoires pour le virement SEPA, ou des conditions ou désavantages liés (voire pour le numéraire!). Il est à parier que des frais ou désavantages disproportionnés devraient confidentiellement les décrédibiliser. Conclusion: [L]
Car l'argent numéraire n'est de plus en plus ni dans l’intérêt de l'opérateur (il faut ouvrir un guichet.. et pour réduire les cout ça va se réduire à un seul pour toute la France), ni celui du consommateur (il faut s'y déplacer). Il s'agit donc bien d'un compromis à négocier! plutôt que l'un ou l'autre en vienne à la justice (onéreuse!) pour trancher sur une solution (la pire pour les 2?). A l'amiable, quitte à impliquer une union de défense des consommateurs, le virement SEPA du consommateur sur les montants/dates du contrat qu'il a signé sont assurément le mode de payement
.le plus sain (payement volontaire, sur la base du contrat), µ
.le plus rapide (1-3min pour le consommateur, 1min--3jours pour la banque, 1min-3min pour l'opérateur mais 1sem ou 1mois selon son inorganisation)
.très économique (réduit ou gratuit pour le consommateur selon la banque, négligeable (automatisé) pour la banque, réduit pour l'opérateur comparé au virement SEPA ou TIP ou chèque ou numéraire)
[L]Conclusion: place à une Liberté de paiement équitable bien comprise:
Accepter un virement SEPA du client (et donner une adresse courriel pour en recevoir notifications) semble l' intérêt bien compris des opérateurs (et des 'consommacteurs'), dans une ère financière moderne et équilibrée.
* Prelèvement automatique: l'eden?
Initialement réservé aux administrations, typiquement les impots, pour répartir en mensualités une dépense annuelle conséquent que le débiteur ne pouvait pas controler (et à peine contester), le prelevmt auto s'est étendu aux services réguliers parapubliques (conso Electrique d'EDF) pour des raisons très) partiellement (un peu) similaires puis des raisons plus de service client (pour "lisser" vos dépenses d'électricité), et enfin à des services de plus en plus commerciaux et privés et meme des produits éventuellement dématérialisés voire virtuels (en média, numérique). Le prel.autom. est devenu ainsi percu comme un mode de paiement évident ou obligé, un forfait mensuel, pour des frais qu'il est parfois difficiles d'apprécier et aussi controler, avec des services de moins en moins physiques, plus complexes et intégrés ou connectés à d'autres services. Ainsi en téléphonie, il est quasi impossible de payer autrement que par prelèvement (ponctuel et même automatique chaque mois), les autres modes de payement proposés (ou rester légal) devenant redhibitoires (trop complexes, ou couteux).
Tout un business semble s'être développé autour du Prel.autom, présenté aux entreprises comme LA solution, assurément pour encaisser leurs client, mais aussi pour assurer leurs propres payements de créanciers!
ex: https://gocardless.com/fr-fr/optimisation-prelevement/
De quoi imaginer à l'avenir un paiement instantané et continuel de tous les acteurs économiques liés à l'ensemble des particuliers. compensation instantanée des recettes et des dépenses des acteurs commerçants prétendraient ainsi à s'autoalimenter en continue et temps réel permettant de réduire leur trésorerie. En fait leur laissant une marge de manœuvre supplémentaire pour d'autres activité utilisant une trésorerie moins utile (pour des réserves; pour de la spéculation;...); et en se reposant in fine plus sur les réserves des particuliers (tant que leur salaire reste mensualisé).
Cet horizon de développement des paiements peut avoir on le voit des vertus -et des risques-, mais le questionnement est en fait pas sur le coté automatisé (mensualisé) mais bien sur la notion de prélèvement, qui est subi par le consommateur, comparé à la notion de virement, qui volontaire car émis par le consommateur, donc plus conscient, assumé, libéré, controlé. Le virement SEPA automatique semble bien pouvoir satisfaire le bonne partie les intérêts recherchés par les acteurs économiques avec le prélèvement SEPA, mais de facon plus équitable, respecteuse des interets de particuliers moins informés et moins à même de se défendre.
En effet, par ex, certaines banques facturent le virements SEPA aux particuliers, parce qu'ils sont petits et sans défense possible. N'en viendraient elles pas à facturer des prélèvements SEPA au débiteur, ou même aux créanciers, lesquels les repercuteront inmanquablement sur les particuliers. L'enjeu est bien de réduire les frais de payement pour tous, et non les faire répercuter sur les plus faibles. Alors que les créanciers et secondairement les banques sont les premiers à bénéficier des transactions.
Regardons enfin coté pratique et légal: tout ce qui faut savoir sur le prelèvemnt SEPA/gouv +++. A notre propos, on pourra relever que:
.les opérateurs font des prélèvements SEPA en général en mettant la facture à disposition sur l'espace client le jour meme ou quelques jours avant. En cas d'envoi de la facture par poste c'est 2-10jours après. Ce qui les place en irrégularité, la loi les obligeant à mettre la facture à disposition 14jours avant le prélèvement. Hors ce délai, le créditeur peut demander à être remboursé, ceci auprès de sa banque.
.Mieux, hors ce défaut de délai de facture non respecté, le créditeur dispose de 8jours pour demander à sa banque le remboursement du SEPA (ce qui ne l'exonère pas de payer).
.Et toujours hors ce défaut de délai des 14jours, le créditeur peut s'opposer au prélèvement auprès de sa banque 1 jour avant le prélèvement prévu.
.Tout ceci peut etre un moyen pour embeter l'opérateur mal comprehensif sur un problème, et lui faire comprendre qu'il n'a rien à gagner en cas d'annulation ou remboursement SEPA (corriger cette annulation dans son système et devoir traiter un paiement ultérieur -et pire encore si payé en plusieurs fois, voire s'il doit procéder à un recours à payer -pas rentable). Le client n'a lui que son temps à perdre. Ce peut etre l'occasion d'obtenir son N°compte bancaire pour régulariser le payement.
* virement SEPA
Comme le prélèvement ou le télépaiement, le virement SEPA transfért des sommes directement de compte bancaire à compte bancaire, sans passer par un instrument tel que carte bancaire, chèque ou argent liquide.
Un avantage est qu'il fonctionne dans toutes l'Union Européenne.
Spams SMS, Spam vocaux, Spam courriels
Les opérateurs de téléphonie vous envoient des SMS et email, vous appellent, pour des propositions de services, des publicités, voire celles d'autres sociétés. Ces démarchages non sollicitées de votre part sont autorisés par la loi s'ils ont lien direct avec vos contrats (ce qui rarement le cas). Néanmoins on peut les empêcher (en théorie, guère en pratique):
(voir le Guide Téléphonie CNIL2012) stopper ou signaler sms, dmd info à l'opérateur, interdire
(voir le Guide Téléphonie CNIL2012)
Votre opérateur a le droit d’enregistrer dans son fichier clients uniquement les données vous concernant qui sont vraiment nécessaires à la gestion de votre abonnement.Vous ne pouvez pas vous opposer au traitement de certaines données personnelles, liées notamment à votre identification ou à la facturation de votre ligne, dans la mesure où elles sont indispensables à la gestion de votre contrat d’abonnement.
En revanche, vous avez le droit d’obtenir une copie de toutes les données enregistrées dans votre dossier client, y compris celles enregistrées dans les zones « bloc-notes » ou « commentaires », qu’elles soient sur support papier ou informatique.Les éléments qui vous sont communiqués doivent être aisément compréhensibles. Ainsi, les codes, les sigles et les abréviations utilisés dans le fichier clients doivent vous être expliqués (éventuellement par le biais d’un lexique).
Vous pouvez également accéder, gratuitement et à votre demande, à la liste des numéros de téléphone que vous avez appelés. L'opérateur n’a l’obligation de conserver cette liste que pendant un an (article R10-13 du code des postes et communications électroniques).
Vous ne pouvez pas obtenir communication des numéros d’appels entrants car ils concernent des tiers. (!?)
Comme dans d’autres secteurs d’activité, vos communications peuvent être enregistrées par votre opérateur, à des fins de preuve ou de formation de son personnel. Vous devez en être informé et vous pouvez obtenir copie de l’enregistrement ou le script (la durée de conservation des enregistrements est cependant souvent très courte, entre 6 mois et 1 an)
- voir la page Web pour lutter contre ces spams.
- Coté opérateur,
.demandez l'ensemble de vos informations personnelles (cf §), demandez à retirer celles inutiles (n°CB, age,...), sans vous laisser impressionner par l'opérateur qui dira que cela vous empechera ceci ou cela (de "bénéficier d'un expérience de navigation améliorée"):
.demandez à décocher toutes les options qu'on vous met par défaut, pour vous géolocaliser; pour vous permettre d'acheter en ligne (en fait par facturation de l'opérateur: 'Internet Plus' - préférez les achats en ligne directement aux sociétés et qui pratiquent l'achat sécurisé par code perso CB ou mieux code de validation recu par SMS. Cf §); pour vous inscrire à des services divers (sécurité, stockage,...) que vous découvrirez à postériori payants ou hors forfait,...
- si les démarchages et publicités de l'opérateur sont abusivement nombreux et insistants, ou s'ils ne concernent pas votre/vos contrats chez lui, ces sont des pratiques dénoncables à la CNIL.
Voir § Lutte contre les spams SMS ci dessous(à la fin).
Résilier son abonnement téléphone/internet à publier beaj2016110
Les opérateurs téléphoniques (comme de plus en plus d'autres d'ailleurs) informent sur un processus pour résilier un abonnement, car ils y sont obligés!, selon un processus qui n'est pas forcément le plus avantageux au consommateur mais bien pour leur intérêt! Ainsi demandent-ils d'envoyer un courrier en AR auquel ils ne répondent pas forcément (et encore moins par courrier AR), mais à l'inverse conseillent ils pour engager un abonnement un processus simple "on s'occupe de tout", contradictoire du processus de 'leur" mode de résiliation!
Procédure conseillée pour résilier son abonnement téléphonique: (d'après forum SFR/loop31 - OK pour ancien opérateurs: SFR,...)
0. Pas besoin de payer des courriers AR : correspondez uniquement dans votre Espace Client sur internet. (va falloir jongler et envoyer plusieurs mails mais c'est faisable)
rem: la preuve postale AR ne sert guère quand l'opérateur traine ou ne répond pas, du moins pas plus que les communications numériques hébergées par l'opérateur: s'il les effaçait, il se placerait en défaut de service! Gardez néanmoins copie de ces échanges: impression écran ou copie dans un doc word. Votre espace client serait inaccessible s'il vous coupe la ligne, clos le contrat alors que le litige reste on réglé,...
Si vous tenez à faire un (des) courrier AR, optez pour de l'envoi numérisé <laposte.fr>: vous gardez le(s) documents originaux (lettre, preuves,...), que vous pourrez même si besoin poster sur le web (google drive), ou publiquement après avoir maquillé les infos personnelles, sur le forum de l'opérateur ou facebook, site de défense de consommateur)
1. Dès décision de résilier, annuler le prélèvement automatique de votre banque (en agence, mais selon votre banque/services, peut se faire aussi en ligne).
rem: il est d'ailleurs conseillé de ne plus opter pour le prélèvement automatique! ni même me TIP, mais le chèque, ou le virement automatique: cf §
Au cas ou le nouveau contrat tarderait a se mettre en place, votre opérateur saura pour rappeler qu'il faut payer, et vous serez à même de le faire par le moyen qu'il vous proposera (TIP), ou mieux comme vous le souhaiterez (Chèque, virement SEPA) et au pire s'il refus en Numéraire (qu'il ne peut refuser devant la loi - il préférera bien sûr vite un chèque!)
2. Prévenir l'opérateur de téléphonie de votre intention de résilier avec motif*....ET de l'annulation du prélevement bancaire. Par votre espace client (cf point 0.).
* Motifs: augmentation de tarif en mentionnant le code de la Consommation
service fourni non satisfaisant ni conforme au contrat (notamment débit internet)
non réponse à courrier/demande AR dans les délais impartis (1 mois en général)
...
3. Obtenir votre code RIO chez cet opérateur*, sinon vous risquez de le perdre or il sera utile pour changer de fournisseur en gardant votre n° de téléphone, ne pas avoir à payer des frais pour réouvrir la ligne (40€/Free 201611), ou carrément avoir l'installer (100€).
4. Signez ensuite votre nouveau contrat/fournisseur en veillant à ce qu'il s'occupe de tout, qu'il prend en charge les éventuels frais de résiliation de l'ancien opérateur (quasi tous participent, par ex 201611 Free jusqu'à 100€ par ex, Free comme SFR demandant 49€ de frais de résiliation). Attention en cas d'engagement, il faut ajouter les mensualités restantes, mais vous pouvez aussi parfois contester le réengagement (cf §=. Au final, pas besoin d'envoyer une lettre recommandée ni à l'ancien ni au nouvel opérateur.
4. Ignorez la facture de frais de résiliation.
5. ignorez la lettre de recouvrement menaçante et intimidante.
6. Une fois la première facture du nouveau FAI arrivée, vérifiez la date du début du contrat et demander a l'ancien opérateur le remboursement de l'abonnement prépayé indûment (pour les jours aussi factures par votre nouveau FAI/téléphonie) en mentionnant la facturation double.
Veiller à bien recevoir la facture de clôture avec un chèque de remboursement.
Cela peut prendre plus longtemps que le processus 'imposé' par l'ancien opérateur, par ex 3 mois, mais en y laissant en général moins de plumes. Et ces actions font contrepoids aux pratiques abusives des opérateurs, les obligeant à respecter la loi et ne pas obliger (tous) les consommateurs
Demander ses informations personnelles
C'est utile quand l'opérateur, pour vous débouter d'une demande ou d'un droit, s'appuie sur une information orale donnée par téléphone dont vous doutez (typiquement vous avez(auriez?) donné votre accord pour ceci; vous avez (auriez) été informé de cela,...).
De (moi)
A (l'operateur tel, ex SFR) Service Client box et fibre (ou mobile)
Je vous demande conformément à l’article 39 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée en août 2004, copie de tout élément me concernant que vous posséderiez (l’ensemble des données, y compris celles figurant dans les zones « blocs-notes » ou « commentaires »), en particulier ceux ci : (appel tel / date1) (info entrée sur le web / date2)...
A cette fin, ci-joint copie de ma CNI.
Demander ses informations de téléphonie (RIO, étiquette,...)
Le RIO est le numéro de ligne téléphonique chez son opérateur. Il est utile notamment pour conservr son numéro de ligne en changeant d'opérateur téléphonique.
Le demander depuis le téléphone (mobile, fixe) au 3769 (ou via l'opérateur qui se doit de le donner, en général disponible sur l'espace client; ou ici via site pour tous)
Pense à le faire AVANT de résilier, pour le donner au nouvel opérateur qui fera la basculement directement (aprè_s résiliation, l'opérateur (SFR 201710) prétende ne plus pouvoir faire quoique ce soit.
Message d'attente sur répondeur
Des idées humoristiques /chartier, coinduweb,....
/ http://www.frederic-chartier.com/accueil-telephonique/index.php?2013/03/20/44-message-repondeur-humour
Des idées pour dissuader (un peu certains) pubs:
« Vous pouvez laisser un message. Cependant, vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous allez dire sera enregistré et pourra être utilisé contre vous. »
Contacter un l'opérateur pour résoudre un problème
Les opérateurs sont parfaitement contactables pour du commercial, beaucoup moins pour résoudre un problème. Il est plus profitable bien sur de vendre un nouveau service pour résoudre le problème, et assurer un vrai service client gratuit revient cher (d'autant plus que le service est de piètre qualité ou fiabilité).
Commencer par les contacts donnés par l'opérateur, notamment le service client parfois disponible par tél (pas chez Free & co) depuis la seule ligne téléphonique du contrat (pour etre gratuit), éventuellement non disponible, qui ne débouche pas, ou on s’aperçoit que c'est payant. Le plus souvent on arrive sur des FAQ ou l'on passera beaucoup de temps sans trouver de réponse idoine, ou a des 'services' en ligne non garantis (e-chat: les e-conseillers n'engagent pas l'opérateur; à l'inverse, il peuvent archiver les conversations qui pourraient servir à débouter les demandes ou une poursuite en justice). On pourra aller voir ailleurs, sur les forums, sur les annuaires (dont www.contact-telephone.com (+/annuaires), qui illustrent encore que les opérateurs peuvent se permettre de ne plus assurer de service client complet, et compter sur des outils non couteux pour eux, internes ou externes, tant qu'il n'y a pas menace sérieuse (financière ou juridique).
Alors que faire quand (trop) souvent le service contacté ne peut pas résoudre le problème, qu'on est renvoyé et baladé entre services, et/ou au final que la solution est temporaire ou même pas là! En cas de problèmes non résolu rapidement, ne pas tergiverser et s'adresser au service consommateur de l'opérateur, par écrit avec AR.). Celà ne garanti pas une réponse plus rapide (1-3mois), mais éventuellement plus de considération, surtout si l'on est prêt à déraper sur une démarche externe (auprès d'une union de consommateurs, la médiation du numérique,...) et au final en publique et/ou en justice. On pourra ainsi en parallèle commencer directement à dénoncer les faits et la situation déplorable sur des forums (par que celui de l'opérateur, ex l'UFC, site d'arnaques,...) voire par la presse. Car l'image publique reste un ressort (global plus que particulier) non négligeable. Parfois le service consommateurs de l'opérateur va désamorcer la colère globale montante, en satisfaisant les insatisfait les plus actifs ou visibles ou sérieux,... voire en contactant l'UFC ou autre asso (ou l'inverse) avec une annonce de correction...
Mon avis: par expérience(201610), ca n'a pas fonctionné: pas de réponse car j'étais encore dans les 2 mois, puis ma plainte a été supprimée!
* UFC Que choisir
Mon avis: par expérience(201610),capacité d'écoute, mais l'agence locale n'a aucune compétence sur le sujet, et monter au niveau antionnal ne semble guère proposé et réaliste pour un petit problème. Le forum permet de laisser une trace du probleme et son evolution, pour enrichir leurs info / baromètre de la satisfaction client et déventuelles actions collectives.
Depuis 201x, il est simple d'obtenir le on RIO (ou numero de connection utilisé par les opérateurs, en amont du numero de ligne). Telephoner au 3179. On recoit un SMS avec le n°RIO écrit, ce qui évite des erreurs et à l'obtenir (plus ou moins laborieusement) de son opérateur (oralement). Il contient 12 digits (2 chiffres pour l'opérateur, E ou P (particulier), 6 digits de numero de contrat, et 3 comme clé de controle. Plus d'info sur la structure du RIO ici/victorix.free.
Mais parfois, le RIO obtenu ne fonctionne pas... car
.un espace se cache: retaper les digits un à un résout le problème
.certains caractères ne sont pas (bien) transcrit sur le SMS, surtout dans les 3 codes finaux de vérification (on peut etre surpris que de tels caractères non alphanumériques ait été prévus/ce problème n'ait pas été prévu). par ex le '+'. Si le RIO recu ne contient que 11 digits, essayer de rajouter un '+' à la fin, l'avant dernier poisiton, ou l'avant vavant denrière position.
.le RIO est dit invalide pour souscrire un forfait, alors qu'on a vérifié qu'il est bien valide (vérifié au 3179 + opérateur + sur un site comme victoria.free .
ceci résulte du nouvel "opérateur" (enseigne) qui utilise en fait un opérateur amont identique à l'ancien, donc RIO de la maison amont = pas d'offre de bienvenue sur une autre enseigne.
Exemple, une promo chez CDiscount (qui renvoi au site NRJmobile...) n'est pas rendue accessible pour une ligne mobile (et son RIO) qui est chez Credit Mutuel Mobile. Les 3 enseignes citées, mais aussi CIC Mobile, Auchan Telecom sont gérées par euroinformation-telecom.com. L'une propose 50Go à 3€/mois x 6mois puis 18€ (Creditmut & CIC), l'autre 50Go à 10€/mois "pas que la 1ere année"(Auchan), l'autre 100GO à 10€/mois x 6mois puis 20€(NRJ),...
C'est déjà un peu prendre les clients pour des quons que de l'acceuillir entre 3 et 10€/mois pour 50Go.
Le comble est de se présenter comme des offres/sociétés différentes et refuser au client de changer d'enseigne (et bénéficier de leurs conditions particulières différentes). Entre pratiques commerciales abusives et légalité, tout est bon pour noyer le consommateur de verbiages promesses et prélèvement à la source souvent imposé: ils tiennent en otage le client par le risque de rupture de ligne ou et perte de son numéro de mobile (via le RIO qu'eux seuls contrôlent).
Le groupe EuroInformation-Telecom.com (EIT), détenu à 95% par CM et 5% par NRJ, s'affiche 5eme opérateur francais(2018)... Il s'agit de "proposer des offres 4G sur 3 réseaux mobiles à des cibles BtoC et BtoB. ".
En tant que client, faut il fuire ce type d'opérateur, ou au contraire en utiliser certains atouts?
Car un avantage visible (mais faux?) est que leurs 'enseignes' font des offres très attractives (fin d'année, typiquement 3€/mois x 6mois pour 20Go(juillet2018/CMM) puis 50GO/3€/mois/CMM-CIC, ou 50Go à 10€/mois "pas que la 1ere année"(Auchan), et 100GO à 10€/mois x 6mois puis 20€(NRJ).
Coté réseau, ils offrent la possibilité de choisir par 2 ou 3 réseaux avec qui ils ont un accord (Orange, SFR, Bouighes).
Coté service client, par expérience je trouve que c'est mieux que SFR, et meme les low cost (Sosh, Free, RedSFR):
.il y a un numéro tel gratuit pour le service client, contraierement aux lowcost qu'on ne peut pas contacter par téléphone.
.coté couverture et qualité réseau, c'est celui qu'on a choisi!
Les inconvénients:
.les adeptes d'Orange trouverons un service client moins bon, mais ce serait a vérifier par eux. Certes ils sont sans doute moins technique/à la source, mais je les est trouvé en fait plus accessibles et disponibles et informés et réactifs que les 'conseillers' des lowcost.
.seul inconvénient réel pour moi: vouloir profiter des offres de bienvenue en changenat d'enseigne (cf essai infra). Un conseillère EIT m'a sincèrement sugéré de passer par un opérateur tiers (low cost) sans engagement. Une autre m'a meme avouée qu'elle ne pense pas qu'EIT vérifie qu'on a déjà été client (depuis 6mois ou 1 an comme d'autres le font).
(essai pour obtenir une souscription avec maintient de ligne déja chez EIT)
-arguer qu'enseignes/conditions différentes (de prix,
-fidelisation, et pour me faire venir 2 autres lignes.
-à voir: si on peut changer de reseau en cours de contrat.
-obtenir le contrat CMM de Alan et Thib
-gardent il un RIO de contrat résilié 1 mois?
*Conseils généraux de sécurité en téléphonie classique (& internet (VOIP):cf page web)
- ne pas diffuser son numéro à tout va. Éviter de la publier sur Internet (peut être collecté pour des démarches ciblées, des campagnes mkg)
au cas ou le numéro a été donné à un organisme de confiance moyenne, ne pas hésiter a demander explicitement le retrait du numéro et toute information personnelle de leur fichiers, conformément aux droits (CNIL). Cf infra.
- ne pas laisser sont téléphone consultable par des tiers (ou volable!) + mettre un veille et un mot de passe ou déblocage pour limiter le risque de consultation indiscrète. Sécuriser son code pin et puk.
- sécuriser aussi l'accès a votre espace personnel de téléphonie
- en cas de spams SMS et message vocaux (indésirés), recourir au STP2/CONTACT2, evtlmt au 3700 (cf infra)
Les SMS et MMS indésirables sont plutôt moins nombreux que les emails, car leur cout d'envoi est supérieur! La collecte des numéros est néanmoins en un sens plus facile, par l'existence d'annuaires opérateurs, qui plus est sont désormais réunis en un annuaire Universel accessibles à tous.
Voir le § supra pour les conseils pour les spams, emails, qui valent largement aussi pour les SMS/MMS indésirés.
+:voir le Guide Téléphonie CNIL2012: stopper ou signaler des spams sms, dmd info à l'opérateur, interdire d'utiliser ses infos,...
Se protéger des SMS indésirés en composant "STOP" et "CONTACT"
(source CIC)
Les fonctions STOP et CONTACT permettent de lutter(0) contre les SMS frauduleux pour certains SMS publicitaires et spams(2):
en répondant STOP2 à un SMS, l'expéditeur doit vous supprimer de ses fichiers.
en répondant CONTACT2, l'expéditeur doit vous transmettre ses coordonnées (nº de RCS, dénomination sociale et nº de service client).
(0)Ce moyen de lutte est bien fait, simple et assez honnête, mais il présente aussi des limitations (1et+) et travers (11et+)
LIMITATIONS et TRAVERS:
(1)Les fonctions STOP et CONTACT ne fonctionnent que pour les numéros à 5 chiffres commençant par 3, 4, 5, 6, 7 et 8.
(2)Ce système de protection ne fonctionne que contre les SMS envoyés via un opérateur affilié au réseau STOP/CONTACT.
(11) Si votre opérateur ne fait pas partie de ce système/réseau (cf § infr 3700 et InfoMultiMedia), répondre STOP et CONTACT à un spammeur pourrait à l'inverse renforcer les pratiques de spam!?
(12) En ffet, ce service est mis en place par les opérateurs tel/internet qui se sont ralliés pour créer des outils d'alerte, d'information et "lutte" contre les spam voccaux spams pourriels and co: cf infra 33700, et info-conso-multimédia. C'
(2) intimement lié à l'information pour (plus) consommer du numérique, car il faut envoyer un SMS! Un facon de se dédouaner d'avoir mis en place ce qu'il faut pour jouer la "transparence", l'information complète", la "protection du consommateur"... , un charte d'éthique de la consommation numérique!?
TEST20160330: spam recu du
Rem1: obtenir les infos via CONTACT2 peut etre fait autrement: par internet sur le site de l'asso SMS+ (cf infra, avec système 33 700)
Alerter des SMS ou SpamVocaux au 33 700 (et www.33700.fr/identifier-et-signaler-un-spam-sms/#pourquoi-signaler-spam-sms)
A réserver aux spam qui peuvent être dangereux, ou numéros envoyant qui sont fréquents (signaler un spam isolé prend du temps et restera souvent vainc)
(source CIC)
Un soupçon de SMS frauduleux ? Ne pas répondre. Le transférer au 33 7001.
Pour les spams vocaux, envoyer "spamvocal" suivi du numéro surtaxé. L'envoi est gratuit pour les clients du réseau 37000 (Bouygues Telecom, Orange et SFR...(+/rem2)), et s'effectue au coût d'un SMS non surtaxé chez les autres opérateurs.
Il vous sera ensuite demandé, le cas échéant, de compléter votre signalement. Si l'abus est établi, les opérateurs seront prévenus et prendront d'éventuelles sanctions. Depuis 2008, plus de 1 500 lignes ont ainsi été coupées.
(eb)
Ce système est intéressant mais ne garantit pas d'efficacité directe/sûre/rapide (comme la protection par le système STOP2/CONTACT2), et est un peu laborieux (2 étapes a faire, mémoriser le n°spam). De plus il présente un petit risque financier si on ne réalise pas qu'on n'est pas chez un opérateur su réseau (cout du SMS). En fait, il equivaut à une blaclist hébergée chez qson opérateur... avec l'avantage que les opérateurs du réseau peuvent (devraient!) agir contre les annonceurs spammés.
Rem1: c'est le seul site d'alerte de SpamSMS qui semble pratique et digne de confiance, meme s'il semble 'tenu' par les opérateurs tel et internet: tenu officiellement par une asso, qui s'affiche avec de vrais contacts (chercher 37 000 sur (?leur) l'annuaire inverse):
Association SMS+ :0142969287 Coût d’une communication normale
infos@smsplus.org ; 25 avenue de l Opéra,75001 PARIS, France
Le site 33700 dirige vers l'annuaire inverse http://annuaire.infoconso-multimedia.fr qui est aussi clairement lié aux grands opérateurs (Orange, SFR, Bouighe, Free,...), mais donne des explications claires à qui s'adresser pour chaque services SMS+, MMS+, Internet+ (payants en général): on peut chercher les opérateurs de "services SMS/MMS+" (numéros à 5 chiffres: ex trouve 33700), un annuaire de recherche de "services Internet+" (par nom; ex trouve par ex Orange / Moniku) et obtient alors un vrai contact: une raison sociale + une adresse postale + un numéro tel (en général gratuit). +/§ infra avec assos.
Rem2: le 37000 ne fonctionne que pour son réseau, cad Bouygues Telecom, Orange France ou SFR, et Euro-Information Telecom(NRJ Mobile, Crédit Mutuel Mobile, CIC Mobile, Cofidis Mobile et Auchan Telecom). Hors ce réseau, le SMS d'alerte est payant!
Il ne semble pas exister de moyen fiable et et encore moins gratuit pour géolocaliser un téléphone(le sien égaré, ou celui d'untel ou inconnu) qui soit disponible aux particuliers, bien que la technologie soit là! Cela repose sur la politique de chaque opérateur (de même que l'identité de propriétaire de la ligne - cf § infra), et sur le droit de chacun à ce que son téléphone ne permette pas de le trouver. (on le comprend mieux à son propre égard, et similairement pour une voiture, une CB, un vêtement...)
* les services en ligne "gratuits" (ou non!) n'offrent que des promesses, ils ne sont le plus souvent qu'un moyen de collecter des informations personnelles ou faire consommer de la publicité. Les plus sérieux/utiles transforment la recherche en service payant.
ex: https://www.geolocalisation-mobile.com : (201811: ++) identifie de suite le fournisseur d'accès (ok, gratuit), puis propose de geolocaliser... pour 1€.
les autres sites visités font pareil moins direct/clair...
http://geolocalisation-gratuite.com/ lancé en 2015 et vite obsolète
* les opérateurs téléphoniques disposent assurément des infos de geolocalisation et d'identité des tel/ligne tel, hélas il font ce qu'ils veulent: ils préfèrent en général ne pas mettre à disposition ces informations pour les proposer en service payant (de géolocalisation, d'identification), par des options dans les forfaits élevés, ou par des partenaires: cf .f.
La pupart des FAI mettent les lignes et informations d'identité (légales) à disposition des services par defaut, c'est au client de signifier (savoir qu'il peut) s'y opposer. Ainsi leurs services renseignements et annuaires n'ont les numéros de mobile que des clients qui ont acceptés que leurs numéro soit diffusé. Et on y accède de facon payante. Sauf que la loi xx les obligé à communiquer leurs inforation à un annuaires général des mobiles (multipérateurs - di annuaire universel) pour le service 'Bloctel',
* les fabricants et vendeurs de machines et de logiciels machine (OS) proposent (ou vendent) aussi des fonctionnalités de géolocalisation. Ce sont elles qui restent les plus utiles. Cf .a'.
Citons de plus intéressants:
.a.Google propose la fonction ('anti-theft') sur le logiciel Android du téléphone, ce qui est une bonne solution, 'gratuite'. Il faut l'activer... et ne pas oublier son mot de passe! Cependant elle requiert et expose à la localisation continuelle de son appareil (on n'a rien sans rien), et donc à l'exposition continue aux ondes, la potentielle non-confidentialité de sa vie privée. Un moindre mal quand on cède à autoriser pour un rien à se faire géolocaliser pour d'autres services, des jeux, ... Antitheft n'est cependant pas imparable: le téléphone éteint est bien sur non localisable, et un voleur averti desinstallera/réinitialisera le logiciel Android pour rompre tout suivi possible. Ceci vaut aussi pour tous les autres logiciels, applis de géolocalisation et mouchards installés sur le téléphone (cf .g.), quand ils sont détectables/détectés par un voleur.
.a'.similaire et en fait plus pratique, la géolocalisation, l'appel et le blocage du téléphone est proposé aussi par Google depuis un ordinateur ou autre support ayant accès (internet) depuis le compte Google (installé sur le tel) (ici>ici), ou depuis https://android.com/find (). Mais cela suppose que le tel soit allumé, pas 'hors ligne'(mode avion) et en connection 'données mobiles'[20180802 avec le tel sous la main]. Par contre ok, ca (l'appel du moins) fonctionne avec le tel en mode silencieux, et il ne semble pas nécessaire d'avoir paramétré/activé 'géolocalisation'. Le blocage de l'écran d'acceuil est possible en affichant un message/n° de tel à appeler, et n'empeche pas la geolocalisation (?et faire sonner). Effacer toutes les données du tel ne permet plus de le géolocaliser.
.f.le fabricant du téléphone seul pourrait ajouter un niveau de sureté/geolocalisation intégré au niveau du matériel (repéré par son IMAC, quoique lui meme ?modifiable par un voleur/informaticien averti?, mais il est quasi obligé de le faire combiné au logiciel OperatingSystem...). Voir en paramètres du tel 'sauvegarde/sécurité' (/cloud et sauvegarde/réinitialiser)[rien20180802]. Cela supposerait aussi avoir créer un compte chez le fabricant (Samsung ok20?14).
.m.on attend toujours un vrai bon mouchard/tracker dépendant que du GSM... cf.m'.
* les applications/logiciels de géolocalisation sont nombreux et fonctionnent (+ou- bien). Mis à part ceux des opérateurs et fabricant téléphone/logiciels OS (ci dessus), ils requièrent un téléchargement et activation sur le téléphone de la géolocalisation (et autorisation réciproque si entre plusieurs téléphones).
Il y a pléthore de tels logiciels de géolocalisation sur GooglePlay parfois gratuits, à but relation familial ou groupes 'participatifs' , avec des fonctions toujours plus évoluées (au delà du besoin de simplement géolocaliser: visualiser votre trajet sur la carte google map, écouter ou voir à distance l'environnement, des documents, alerte dans une zone, régler le temps en minute de la localisation automatique et à la fin de la journée; ...
.g.Ex(gratuits): Life360 (géoloc/famille et amis); x (retrouver son tel)
* les mouchards non intégréés : cf infra .m.
Pour une géolocalisation d'un autre appareil/utilisateur, 'non participatif', cela peut rester de la surveillance (légale : +++ à http://www.masterkeylogger.com/legalite-logiciel-espion/ ) mais aussi vite basculer à l'illégal, de la simple géolocalisation de ses enfants à l'espionnage ou piratage plus étendus (écouter à distance à l'insu, ou activer la caméra pour voir ou photographier à l'insu, lecture de doc, vol, ...). Ils ne géolocalisent pas forcément dans tous les cas ( couvrant ou non tout type de matériels, opérateurs,...) ou avec la fiabilité et précision annoncée (5m en france), et les résultats ne sont pas garantis.
Les logiciels de géolocalisation (et surveillance/espionnage) "légal" les plus complets/fiables sont ainsi nombreux et surtout payants, à force de fonctions toujours plus évoluées mais restant sous couvert d'une activité légale. Il s'agit d'achat de logiciels (Highster Mobile) ou plus souvent d'appli/abonnement (mSpy). L'appli ou logiciel peut être apparent, ou il est (parfois) dit non détectable par l'utilisateur 'cible'(l1p): logiciel mouchard. Il est aussi à priori toujours possible de le désinstaller (?à distance: ex via goo).
Ces logiciels peuvent se permettre d'afficher respecter des normes ou la loi, car en fait cela dépend de l'usager (en disant que c'est l'usage qui est illégal: à l'insu de l'utilisateur cible, selon le pays,...); La mise en oeuvre par une personne X à l'insu d'une personne Y reste ainsi de la responsabilité de X si elle utilise les informations acquises au détriment de Y (ou meme a son propre bénéfice ou celui de Z). L'installation du 'logiciel espion' sur l'appareil est aisé et rapide (30sec), elle doit etre faite avec l'accord (démontrable: écrit, en présence,...) de chacun, ou peut être faite à son insu dans le cas d'une responsabilité légale (sur ses enfants, une personne âgée ou en tutelle, dans une société,...). (//cas ou pas de téléchargement/activation: enregistrement téléphonique). Mais en pratique, il est difficile plus encore pour l'utilisateur que les éditeurs de logiciels, de connaitre le cadre juridique (loi, CNIL,...) qui devient flou ou délicat à appliquer selon le contexte. Sans compter l'évolution des logiciels et matériels qui contournent vite la loi ou rendent possible de nouvelles situations.
. Ex(payants): GsmSpy, mSpy, BibiSpy, FlexiSpy, SpyMaster, iKeyMonitor, et Highster Mobile.
(l1p)http://www.localiserunportable.com/category/localiser-un-telephone-mobile/ site très informatif et qui semble honnête meme si redondant pour aboutir à vendre leur sélection de 7-10 logiciels qui font plus que géolocaliser, mais ostensiblement 'espionner' voire 'pirater' "légalement" ( GUIDE LOGICIEL ESPION : > LOCALISER > TRACER > ESPIONNER > PIRATER > SURVEILLER > CLONER > ECOUTER > ENREGISTRER > ACHETEZ !): GsmSpy, mSpy, BibiSpy, FlexiSpy, SpyMaster, iKeyMonitor, et Highster Mobile.
* les services publiques (police, justice,...) ont eux les moyens (payants) de géolocaliser les téléphones et ordinateurs... directement auprès des opérateurs. Cela requiert des requêtes à différents FAI selon les antennes/région, opérateurs,...), et une justification de nécessité de justice, menace terroriste, ...
* des dispositifs physiques mouchards indépendents du tel, de l'OS et logiciels, cachés dans le téléphone, semblent non disponibles, ?car moins réalisables que dans le cas des voitures... Ou plutôt sont ils évincés par les solutions des fabricants, opérateurs,... ?!
.m'. Pour un téléphone, il faudrait un micro dispositif électronique (type ssid, indépendant du tel, et de la sim, la SD,...) caché, qui réponde à (et par?) GSM (-usage 1er d'un tel!- et/ou à un réseau wifi ou bluetooth ou mieux aux balises GPS 'universelles'...) via un service indépendant...
{dans une optique antivol/EB} le mouchard n'a à fonctionner en principe que sur requête (expresse du propriétaire), mais pour ne pas perdre des hr/jr de traçage, il serait utile d'accepter un traçage continu ou récurrent mais anonymisé: le ssid reçoit un signal d'un réseau (GSM, Wifi, GPS,...) et renvoi alors sa simple présence (ping) voire d'autres infos piochées dans le tel (localisation gps sollicité au tel; identifiant du tél ou proprio); un adressage à un service particulier (svc de veille du mouchard). Il enverrait ces infos
.via le tel et/ou internet mobile (mais ca le rendra à priori non-discret - à réserver si requete active detectable- ou donc mieux indépendamment :)
.via satellite (?GPS) (?irréaliste/portée; cout, engorgement, restriction des infos envoyables)
.via des wifi/portiques sur des lieux de passage publiques surveillés légalement (suppose une infrastructure/territoire,...).
En temps réel si requête active, mais pas forcément sans requête (il pourrait stockerait les points de connexion et infos pour les délivrer périodiquement - comme MiFit). Les limitations côtoieront l'anonymisation des infos, la confidentialité de l'usage de ces infos, qui ne seraient exploitables qu'à partir du moment ou le propriétaire ait fait sa requête (en accès contrôlé par lui seul; cela idéalement gratuit mais mieux vaudrait que ce soit payant(raisonnable) à la requête pour éviter les abus et dérive en valorisation commerciale "sur le dos collectif").
En période de veille validée(/requête), on accède ainsi aux infos passées et présentes compilées de différents média (gsm, wifis/portiques de détection physique (villes,...), réseau internet). = Permettre la localisation de l'appareil au présent en temps réel (si connecté) et si possible rétrospectif sur x hr ou jr (si déconnecté). Un abonnement permettrait de faire une veille continue/archive plus longue (+s mois - Mème sans abonnement, mais à prix supérieur). Les infos sont détruites quand l'utilisateur valide tout ok, ou après un temps donné. On payerait ainsi à la prestation une surveillance collective continue, en évitant un stockage démesuré des localisations de tous les appareils en continu.... L'intégration d'autres fonctions telles que le blocage du tel sacrifierait la discrétion (c'est le rôle des solutions .a'. et .f. et plus). mais on peut envisager de pouvoir appeler le tel perdu/volé sur un nouveau n°tel installé, si le système de traçage collectif arrive a associer l'IMAC au(s) n°tel utilisé(s).
>Géolocaliser un ordinateur est plus facile (car il est désormais le plus souvent en connexion internet!), mais moins précis pour un particulier:
l'adresse IP trahit le central de connexion, puis il faut le codage propre à l'opérateur pour préciser la localisation. Ainsi,
https://localise-moi.com/geolocalisation : localise précisément tout ordinateur depuis celui ci (Essai20180406: avec Firefox60.0, l'ordi à interchim donne 46.324345, 2.615051 à 25m près, via Orange), mais c'est imprécis de localiser un autre appareil en ayant juste son adresse IP ou IMAC (nbx sites le font - on trouve ainsi parfois des points de connexion fort éloignés de l'ordinateur selon le réseau cable ou optique).
>Géolocaliser un véhicule: il existe des mouchards cachables dans/sous la voiture (payants, requièrent une connectivité par GSM (avec carte SIM) ou par satellite (GPS), autonomie limitée ou raccordement à l'électricité du véhicule mais plus trouvable...)
https://geolocalisation-vehicule.fr/localisation-de-vehicule-le-comparatif/#0 (++)
Les numéros mobiles (06 et 07) sont attribués initialement par tranches par l'Arcep aux différents opérateurs (liste/Wiki, puis Arcep mais illisible) ... mais cela ne sert plus dès qu'il y a eu portage du numéro! Attention aussi, un numéro en 07 peut etre en fait à l'étranger! Donc pour identifier l'opérateur d'un numéro, il faut s'en remettre aux site qui ont seul accès à l'annuaire universel... Quant à obtenir des info personnelles d'un numéro (le nom,...), c'est à la seule discrétion de l'opérateur... ou s'en remettre aux nb sites qui font leur business de collecter des signalements (cad infos non garanteis, parcellaire, plus pourles n°indésirables,...)
L'annuaire universel a été créé en france par décret du 27 mai 2005, pour regrouper l'ensemble des coordonnées et des numéros de téléphone de tous les abonnés aux services téléphoniques fixe et mobile, sous réserve du droit des consommateurs à protéger leurs données. Tous les opérateurs fixe et mobile doivent contribuer à la constitution de l'annuaire universel. Néanmoins... l'annuaire universel n'est pas accessible librement! Il est utilisé par nombreux sites pour proposer leurs service soit disant gratuit
Annuaires gratuits pour trouver un numéro de téléphone mobile à partir d'un nom (ne donnent en général pas de réponse pour les n°indésirables (qui savent se protéger), et meme pourles n°departiculiers honnetes (qui on fait un portage, se sont mis en liste rouge,...):
■ Pages Blanches (ex le démarcheur 0780317436 donne 'désolé, pas connu)
■ Annuaire Téléphone Portable (il faut s'inscrire! recherche par n°, nom, ex le démarcheur 0780317436 donne 'désolé, pas connu)
■ 118816 (ex le démarcheur 0780317436 donne 'désolé, pas connu)
■ Tel.fr (ex le démarcheur 0780317436 donne 'désolé, pas connu)
A l'étranger il doit exister des solutions toutes aussi partielles
■ www.crdc.be/CRDCNL: site public en Belgique pour la consultation de localisation de numéro, equiv. à notre annuaire universel (en fait que le nom de l'opérateur, sans mentionner si ce numéro a été attribué à un utilisateur. Aucune donnée à caractère personnel.
https://www.tellows.fr : Site intéressant car 1)affiche une carte fr localisant des numéros qu'il a appelés (heatmap: ici, attn c'est "la plupart des appels", cad pas tous ses appels mais ss doute ceux signalés/web), mais est ce fiable? (ex un démarcheur 0780317436 montre des appels disséminés partout en france). Avec meme un graph de l'évo du nb de signalement; 2)classe le numero comme étant d'un particulier (ou non, mais pas fiable: cf utiliser/signaler). Mais hélas, le site ne donne pas le nom de l'opérateur sans s'enregistrer... . Utiliser le site pour signaler un n° louche est bien fait mais plus lourd (dire si d'un particulier/inconnu/ou non de l'appelant; laisser un pseudo et commentaire, dmd des notifications sur des nvl info de ce numéro.
Annuaires inversés et gratuits pour trouver à qui appartient un numéro de mobile :
■ Local.fr: échoue pour m'identifier par le nom & ville
■ Pages Jaunes:
■ 118218: échoue pour m'identifier par le nom & ville, et par le n°tel!
■ Annuaire inversé France: nul car pub de suite, sans dire s'il échoue pour m'identifier par le n°tel
■ CTQui:: nul car qu'annuaire inversé, et fait payer même pour identifier le réseau, avec 3 formules
Trouver quel opérateur gère tel numéro
Mots clés: <telephonie> >operateur> <FIA> <geolocaliser>...