Sujets: Citoyennté; Démocratie
Plan: * (intro) Évolution de la citoyenneté - quel avenir ?
* Droits et devoirs civiques du citoyen - Expressions: Démocratie | Citoyen versus résident vs étranger
* Expression sociale/politique du citoyen - d'autres retroactions que le droit de vote? : > FORMES D'EXPRESSION CITOYENNE & de RETROACTION SOCIALE/POLITIQUE > moyens d'expression/action civique conventionnels > moyens d'expression/action civiques non(ou peu) formalisées > moyens d'expression/action civique 'innovants'
* Reflexions sur le cadre et les limitations des moyens d'expression citoyens actuels (disponibles, émergents) en France/Europe/ailleurs (inspirations) : modes de scrutin | Plateformes de financement participatif
La citoyenneté se définit comme la qualité et le statut d'une personne intégrée dans une communauté (le citoyen dans la cité[1], initialement déjà dans la famille/communauté de vie et dans une corporation professionnelle ou religieuse, puis le citoyen dans la société/nation).
[1]Le citoyen (du latin vicis) est une personne qui a un 'droit de cité'.
Cette qualité de citoyen est présumée positive pour lui et la communauté, et en accord avec une identité commune(idéal social).
La communauté est régie par des règles (la polis: règles/lois de vie commune et mode de règlement des différents, organisations communes publiques ou privées, constitution du corps de la société avec ses valeurs/buts).
La citoyenneté se construit sur des valeurs morales, avec des libertés et droits de base et des interdictions/pénalités (pouvant être arbitraires dans le cas d'un régime totalitaire). Différents types e liberté/droits (de circuler, de travailler, de parole (et de pensée),..)i sont protégés (à un certain niveau, par une police intérieure, une armée vis à vis des risques extérieurs, une justice...). Elle implique aussi des devoirs du citoyen envers la communauté (votes, impots/taxes, respect de l'identité sociale). Cela étant, la citoyenneté est en construction continuelle en fonction de ses développements propres (nouvelles tendances), de l'environnement naturel et de autres humains non citoyens ou citoyens d'autres sociétés.
Les droits et devoirs politiques doivent servir et se ramener aux droits civiques et individuels (primaires, fondamentaux), -sujet discutable comme tout!-. Discuter politique sans assise civique tourne vite à généraliser ou théoriser, moraliser ou idéaliser,... Commençons donc par une revue des droits, devoirs et actions civiques des citoyens, envers leurs besoins fondamentaux (d'ou valeurs humanistes, naturelles, universelles), qui montrent leurs potentialités à résoudre ou rendre secondaires les préoccupations politiques (presque inutiles en cas de fonctionnement fluide et non évolutif de la société?). La citoyenneté se prolonge par la notion de socialité (qui met l'accent sur les relations communautaires plus qu’individuelles), intriquée à la notion de personnes morales (entreprises, associations).
Cf ci desous une reflexion sur
http://www.toupie.org/Dictionnaire/Citoyennete.htm (++ en 1page; site politique d'un indépendant Pierre Tourev1955)
La citoyenneté comporte 3 dimensions du lien social et politique :
1) Un statut juridique: par opposition au simple résident, le citoyen est porteur de certains droits et responsabilités.
2) Des pratiques/activités civiques (mais aussi productive, économiques, culturelles,...): est citoyen celui qui participe à la vie des institutions politiques et au façonnement du bien commun.
3) Une dimension identitaire: le citoyen adhère à une appartenance communautaire, culturelle, ...
Il faut se placer avec une perspective historique pour comprendre comment la citoyenneté évolue, ses blocage ou impasses,... et alternatives. [/agora:]
Dans la Grèce antique, le sentiment d'appartenance à une cité est non seulement compatible avec le sens de l'universel: il en était même la condition. Le civisme, l'attachement à la polis de la cité, s'est élargi à celui à la nation/société. Au delà de la société, la citoyenneté doit composer avec un autre sentiment d'appartenance, à un monde hors de la cité ou nation (et droit à en profiter), au fur et à mesure que l'homme étend ses commerces, ses explorations. Le sentiment d'appartenance à la société(corporation/cité/pays) peut alors devenir plus lache voire ambigu (et conflictuel), entre ses propres tendances culturelles , et des sentiments de parenté ou affinité ou opposition/concurrence avec d'autres populations/sociétés/pays/cultures. Un sentiment d'alterité (différence aux sociétés environnantes) renforce la citoyenneté, tandis qu'un sentiment de cosmopolitisme peut la dissoudre ou au contraire l'enrichir et s'y transcender, par ajout d'une dimension supérieure (pays>terre et cosmos), comme déjà produit entre le niveau cité>pays.
Ainsi, la citoyenneté évolue, et fait lien avec d'autres qualité/valeurs/fonctions qu'elle articule, telles que l'humanisme(appartenance et dépendance à l'humanité -équiv. a des droits et devoirs-), l'universalisme (sentiment vis à vis de (et dépendance à!) la biosphère/Terre/univers/cosmos), mais aussi de facon plus proche la solidarité, la justice, les croyances,...
Etre citoyen c'est être conscient et respectueux de ses proches et de son environnement, sa culture, sa nation, sa société, et de la biosphère voire l'univers. Ou du moins devrait l'être. Les troubles sociaux témoignent de relâchements et dérives de la citoyenneté (et aussi de limitation de la polis à perdure stable ou s'adapter à des évolutions extérieures).
Au cours des temps modernes, les nations se sont organisées pour en théorie coordonner mais en pratique beaucoup contrôler voir dominer et exploiter; de façon quasi exclusive un territoire (et les individus qui y résident, et le milieu naturel), mais d'autres "territoires non physiques" sont concernés: celui de la liberté (d'agir dans l'espace et le temps), de l'esprit, de l'imaginaire... Les nations se sont imposées ainsi comme première raison d'appartenance (géographique), devenant cadres de la citoyenneté, englobant les premières citoyennetés plus locales (la cité, le comté, la province), qui étaient d'ordre pratique/civique et identitaires, via l'entraide à cueillir/chasser/cultiver et la culture cimentant le groupe (ex de tribus), puis la coopération entre métiers (corporation des cités) et partage d'arts et croyances (religion).
Le citoyen se retrouve à la fois porté voire aidé par la société, protégé voire défendu, mais aussi, de fait, conditionné et parfois limité ou contrôlé voire asservi. Un pouvoir physique et psychologique de la communauté socialisée sur les individus (exercée par des chefs, le plus souvent à leur profit bin compris) complète une supériorité physique individuelle, moteur de l'évolution sélective des individus et des communautés. La citoyenneté peut devenir alors asymétrique en droits et devoirs envers la société, sur un mode majeur d'obéissance sans guère de rétroaction possible pour les plus faibles. Ceci est révélé à l'occasion de crises sociales qui font éclater ces asymétries, ressenties comme iniquité ou injustice. La citoyenneté souffrant d'injustice opère souvent dans une société à fort pouvoir(s). La citoyenneté inéquitable s'avère souvent être discriminatoire à l'intérieur d'une société, comme avec l'emprise des castes sociales ou d'apartheids ou meme de corporations, et entre sociétés comme avec l'emprise des colonisateurs sur les colonisés. L'emprise discriminatoire est statutaire/constitutive/réglementaire (castes), ou pratique (usages corporatistes et métiers, de sectes), ou identitaire (accès et usages des techniques et sciences, arts et religions), +/- entretenue par la force/pouvoir.
Un discrédit du pouvoir et/ou de la nation s'installe depuis le XXe siècle, poussant les valeurs de liberté et d'individualisme au cœur de la citoyenneté. L'élargissement des communications tant physiques (commerce, voyages) que d’informations (web) a développé une nouvelle forme de cosmopolitisme qui est paradoxalement aussi uniformisante, appelée mondialisation. Ces évolutions bien sur suscitent des inquiétudes, pour les individus conservateurs (qui 'perdent le contrôle' de leur pratiques rendues plus possibles), pour les sociétés elles mêmes! (qui perdent le contrôle de gestion et contrôle de l'économie), et même pour l'environnement (car induisent une empreinte environnementale sérieuse): la citoyenneté est elle bancale, voire menacée ou obligée d'évoluer vers une nouvelle forme de conscience/droits/devoir au delà de la familles, de la cité, des corporations, de la nation/pays, des organisation géopolitiques? Cela pourrait ramener une dose d'humanisme et universalisme, via les préoccupations reémergeantes de solidarité, d'équité, d'écologie, ...
[+/agora]
* Reflexion sur la cohérence du droit de citoyenneté 'exclusif' de nos sociétés
Le citoyen (du latin vicis) est une personne qui a un 'droit de cité', cad de vivre dans un lieu habité par d'autres, mais avec des droits qui dépassent celui d'un simple résident : le citoyen bénéficie d'une reconnaissance particulière par la cité/communauté, un statut juridique (dans les règles de la cité) lui donnant accès à des droits particuliers (que le résident n'a pas forcément): le plus révélateur de son statut est de pouvoir participer à la vie civique notamment par le droit de vote des règles de vie (droit politique).
- Première remarque, la cité/société est une personne morale, qui s'arroge le droit à l'usage de l'environnement et s'organise pour défendre ses biens et ce territoire, ce qui peut se comprendre (il faut bien vivre). Cependant il est moins évident (moralement) qu'il s'en arroge l'usage et le droit exclusifs vis à vis de congénères (humains) et enore moins sauvages (animaux): un étranger qui arrive sur un sol occupé d'une maison tient compte de sa présence de fait. Dans une situation sans organisation humaine, il la contourne, ou il peut l'écraser ou la confisquer et avoir à faire face à une résistance de l'occupant. C'est la loi de force (ou de la jungle). Mais s'il sait qu'elle est occupée par un citoyen, il sait qu'il fera face à une résistance de la cité/société. Une limitation plus sérieuse moralement à ce droit à monopoliser l'occupation du sol (et de l'air, de l'eau) apparait quand l'espace naturel reste largement libre (pas la cité): un champ (deforesté) est il autant un 'bien' (du cytoyen et/ou de la société) que la maison? qu'en est il d'une foret (ressource de bois pour la cité - foret entretenue ... ou non)? d'un cours d'eau alimenté par une montagne eventuellement hors le territoire de la cité? de l'air? Force est de constater que les cités puis provinces de seigneurs puis rois, puis les pays/nations/états s'arrogent des espaces et ressources naturelles sans permettre à un étranger d'y passer ou resider librement et encore moins y butiner ses besoins ou y travailler et organiser une société parallèle.
le citoyen est accepté dans la cité par son 'adhésion' à la société, en général implicite (droit du sang, droit du sol) ou parfois explicite du (futur) citoyen (enggement) et de la société (certificat):
.par filiation tout nouveau né (ou étranger qui monterai qu'il est né de...) bénéficie d'un droit du sang à être citoyen. Aucun engagement n'est demandé (en France), autre que payer son tribu à la société quand il sera en age/position pour le faire (définies par des règles).
.par résidence prolongée sur le territoire de la société, l'étranger peut parfois selon les pays bénéficier d'un droit du sol à etre citoyen. Mais le plus souvent, il aura à manifester son désir de devenir citoyen (demande), s'engager moralement à respecter les règles (signer un 'contrat moral') voire payer une 'adhésion'.
Un résident (non-citoyen) peut parfois acceder a un certain niveau de citoyenneté de fait, s'acquittant de devoirs citoyens moins controlés, tant qu'il ne gène pas (la société).
.En dehors du droit du sol, exceptionnellement ou dans des sociétés moins rigoristes, le résident peut devenir citoyen à la faveur de cooptation par des citoyens, des service rendus à la société, de passe droit, ... Le point d'orgue de la citoyenneté accomplie est de voter... et payer des impots. Au delà des impots du citoyen accomplis (impot sur les revenus et batis possédés), on pourra très bien consiiérer que payer des taxes par la consommation de produits et service est une forme de tribu payée à la société, auquel cas tout résident peut prétendre à une citoyenneté, jusqu'au vote (ce qui est le cas en france pour les votes locaux). Pour l'autre raison aussi que le travail d'un résident produit un service au bénéfice de la société. Que l'état impose ce travail, ce qui peut semble plutot logique/normal car le résident utilise des moyens produits par la société.
pourrait très bien s'applique à des animaux voire des plantes
-On voit que la cité/communauté/société restreint la liberté d'accès des étrangers, ce qui peut se comprendre s'il s'agit d'utiliser des services fabriqués par la communauté (accès au soins, usage des routes, protection de l'ennemi,...). Elle a prévu en général le statut de résident pour autoriser un étranger à bénéficier d'une partie plus ou moins grande (selon les statuts et lois de la société) des droits sur le territoire.
* FORMES D'EXPRESSION CITOYENNE & de RETROACTION SOCIALE/POLITIQUE
Plan: > cadre d'expression citoyenne; Statuts citoyens & co | Droits et devoirs du citoyen
> moyens d'expression/action civiques (conventionnels) | informels | evolutifs/innovants
(liste avec renvoi à des reflexions AAAMMJJ infra ou sources externes; à une analyse/synthese des pros/cons pour chacune des formes d'éxpression/retroaction)
+ tags pour type: [Sociale, Politique, Economique, ... | Individuelle, Collective, Formelle, Informelle,... | ..]
Les formes d'expression et d'action civiques sont relatives a) à des 'droits', soumis à des conditions +- restrictives encadrées, ou b) à de 'libertés' quand elles ne sont pas/guère encadrées explicitement, constitutionnellement ou légalement, ce qui pose d'ailleurs le problème de leur usage excessif par rapport au droit des autres et aux limites écologiques... cf §-Droit/libertés.
> cadre d'expression citoyenne
Statuts: Citoyen versus résident vs étranger
On distingue actuellement le citoyen, reconnu membre de droit de la société, de résidents, autorisés à séjourner avec des droits restreints (notamment ne votant pas au niveau national/sur les règles de la sité), et les étrangers touristes (autorisés à séjourner temporairement (<1ou3mois) ou clandestins (non autorisés, mais éventuellement tolérés, par respect d'autres principes (refugiès politique ou autres raisons)).
Commençons par un regard étymologique, et donc historique sur le statut de citoyenneté et autres stauts dans la société romaine:
Contrairement aux métèques ou aux esclaves, les citoyens participaient aux débats dans l'agora et aux décisions (lois, guerres, justice, administration) et pouvaient posséder la terre.
Droits et devoirs civiques du citoyen (en Démocratie)
Les droit/devoirs civiques du citoyen sous principalement évoqués dans nos sociétés occidentales sur les sujets de l’éducation, de la santé, et de la sécurité, et en amont des liberté/droits de circuler, de travailler, de parole (et de pensée),.. Les droits citoyens sont plus souvent réclamés que les devoirs ne sont discutés (ou à l'occasion qu'ils sont non ou mal réalisés). Ces droits et devoirs civiques sont néanmoins encore plus multiples et multiformes, notamment avec la notion et valeur sacrée de liberté. C'est les conflits entre droits/devoirs des individus qui ont justifié la constitution des règles de vie de la communauté (lois), outre les valeurs morales et culturelles sous-jacentes, pour les positiver en droits et devoirs civiques individuels. C'est aussi parce que ces conflits ne peuvent pas toujours bien être gérés dans un monde en évolution continuelle, que des droits politiques sont nécessaires pour faire évoluer ces règles dans un intérêt commun (supposé équitable, juste,...), du moins pour en encadrer l' évolution.
Droits et lliberté du citoyen (en Démocratie)
Le droit à des libertés étendues dans nos démocraties ouvrent la voie à des formes d'expression non encadrées/formalisées, source d'évolution/innovation. Cf infra §-moyens innovants.
> moyens d'expression/action civique conventionnels (en gnl connus et pratiqués)
Plan: *cadre d'expression citoyenne; Statuts citoyens & co | Droits et devoirs du citoyen
* moyens d'expression/action civiques (conventionnels):
*Vote des individus aux élection des représentants de l'Etat (président; députés; maires)
*Votes indirects: votre des représentant élus par le peuple pour nommer les députés, sanateurs, commissions, ...
*Votes autres: non lié à l'orga regalienne de l'Eta/Nation. Ex votes dans les associations, entreprises, commissions, ...
*Droit de grèves: c'est le seul moyen le plus connus apres le vote, et quasi le seul reconnu&pratique coté civisme professionel
*Droit de retrait (professionnel):
*Droit de manifester / Liberté d'expression sur la place publique. Limitations (temps/pluie; troubles occasionnés; ...). Formes (expression pplmt orale, mais aussi gestuelle, sonore; et pourquoi pas olfactive)
*Autres libertés (de circuler, de ...) : La lib de circuler demultiplie les possib de divers droits supra, et peu devenir en soi une forme de retroaction: la présence physique sur un lieu devient message (avec souvent des signes symbolique d'opposition ou approbation: couleur, pancarte, position de membres/postures/gestuelle, ..., ce qui est une forme d'expression); La lib de ...
*Reférendums: cf §-Reférendums d'Initiative Populaire, ...Initiative Civile, ...
* moyens d'expression/action civiques informels à evolufs/innovants : cf § infra.
Elections / Referendum (types de Scrutin; Votes) / Consultations, Comités,....
En France, il y a 3 niveaux d'élections citoyennes (directes): élections présidentielles (1x/5ans: président, représentant du peuple), élections legislatives (1x5ans, décallée de ?3mois: députés, représentants régionnaux à l'Assemblée Nationnale), élections municipales (; maire et sa liste de collaborateurs, représentant et gérant local/commune). La démocratie étant de type représentative, il s'ensuit des élections secondaire par ces représentants élus de collaborateurs investis de pouvoirs particuliers (les ministres par le président, et xxx), (les commisions nationnales par les députés), (les elus locaux par le maire).
Il y a ensuite des consultations liées au débat citoyen (consultations) ou à pouvoir +/- décisionnaire (référendum).
En dehors de ce cadre constitutionnel, chaque entité publique ou privée (association, institut, entreprise,...) s'organise avec en général un résident et des collaborateurs elus lors d'élections, par les sujets/adhérents ou plus largement selon les statuts de ces entitités.
Les aspects des élections qui sont remis en cause sont discutés aux § infra: mode de scrution, type de démocratie (+/- représentative),...
Vote valide / Blanc / nul / abstention
Vote blanc: bulletin vierge ou enveloppe vide, contrairement au vote nul qui est un bulletin barré ou dénaturé ou annoté, et au vote valide (bulletin indiquant le choix conformément aux dispositions prévues) ou enfin l'abstention.
Le votre blanc est réputé signifier un désaccord avec les propositions de vote, contrairement au vote nul considéré comme une erreur/invalidité, et l'abstention qui marque un désinteret / desengament de son droit civique.
Selon les pays/états/constitutions, le vote blanc (comme le nul) est compté ou non, pris en compte ou non dans les suffrages exprimés, dans les quorum à atteindre, dans les majorités à acquérir. Cf/wiki nombreux exemples.
La France compte le vote blanc depuis 2013, mais comme simple info: il ne le compte par pour les % de votes valides (est assimilé à un vote nul). Une critique est que cela empeche la manifestation de non satisfaction, et encourage à l'abstention. remarquons qu'en élection à main levée le vote blanc n'est pas possible (sauf geste/comportement particulier, non prévu, mais compté). L'évolution à le considérer pour calculer les % de vote permettrait de mieux signifier le niveau de légitimité d'un choix/élu, mais pour éviter en cas de vote blanc massif de ne pas désigner de choix/élu, le vote blanc n'est plus considéré au 2eme tour (comme au x, ou y/cf wiki). A l'inverse le vote blanc eput etre considéré avoir pour résultat de légitimer le vote protestataire, sans solution démocratique.
A titre personnel, je suis plutot favorable au vote blanc comme suffrage exprimé, sans en faire un combat essentiel: la non manifestation du vote blanc favorise un non engagement citoyen 'trop facile' car à un moment ponctuel, sans garantie que cela soit compensé par un engagement citoyen avant les élections pour éviter ces situations stériles ou aucune proposition/candidat acceptable ai pu être présenté. En ce sens, le vote blanc rejoint hélas l'abstention (désengagement citoyen), d'ou l'acceptabilité du vote blanc qui ne soit pas suffrage exprimé. Dans un barque, il faut un capitaine, si aucun n'est nommé car aucun candidat s'avère satisfaisant, ca génère une navigation à volo, des reconsultations onéreuse et plus enflammées,... Mieux vaut que la démocratie fonctionne par qu'aux élections! Si le nouveau capitaine résolument ne convient pas, il faut se bouger/signifier à postériori (a défaut de l'avoir fait antérieurement) et possiblement ajourner la mandat par un RIP, rendu possible par la faible legitimité/representatativité (des abstentions+votes nuls+votes blancs).
+/mediapart => "citoyens du vote blanc' et il y a même un parti du vote blanc.
De même, et en guise de vote blanc non compté comme suffrage exprimés, certains pronent pour un abstentionisme militant. A titre personnel je suis contre, car cela revient à permettre la confusion entre bafouer/contester le droit de vote et la négligence/oubli (qui est majoritaire).
Vote indirect (par collèges, députés,...) / défaut de représentativité / défaut d'acceptabilité > vote-scrutin pondéré
Pour voter des lois, le vote direct ouvre la voie à faire élire des électeurs sur des sujets réquierant des connaissances qu'ils n'ont en général pas, et donc à des propositions populistes, des décisions impulsive ou non éclairées, pas au service du peuple (ou fallacieusement). La démocratie représentative est necessaire à cet égard (votes indirects), mais ce dernier n'est pas parfait non plus meme pour des sujets plus simples, à choix limité (fut ce binaire), tel qu'un président (à fonction représentative, et.ou excécutive):
Cas des USA, avec les chambres de représentants qui élisent le président. En 2018, Trump a été élu car il a reçu la majorité des députés de ces chambres, alors que la majorité des votes de citoyens etait en valeur de x. Les chambres de (NYC, Jersay) avec des majorités importantes pour x n'ont par leur vote pas pesé représentativement contre de plus nombreuses chambres qui n'avaient qu'une courte majorité pour Trump.
Ce défaut de représentativité de ce mode de scrutin représentatif peut paraître injuste... Mais inversement une scrutin directement représentatif parait aussi biaiser les résultats a signification démocratique: (video SE)
> moyens d'expression/action civiques non(ou peu) formalisées (lois, reglement locx mais non constitutionnels), et moyens méconnus/moins conventionnel/à reconsidérer
Plan: Démocratie étendue: Actions citoyennes / économie privée / politique | Bons exemples (souvent innovants) |
(liste et commentaire court, à développer en § infra si besoin/critique, évolution,...)
*Manifestaitions:
*Petitions:
*Blocages (d'entreprise, de chantier, d'évenements,...): il s'agit d'actions pouvant invoquer le droit (ex: de retrait) et les dépasser, ou même devenir illégal. cf supra Lib de circuler.
*apostropher les élies, les président:
*Voie juridique: tous citoyen ou personne morals (association, entreprise,...) peut engager une plainte contre d'autres ou des instances nationnales ou publiques élues, demandant des réparation de dommages. Cette voie est rarement engageable pour des raison de cout/durése/... mais potentiellement très puissante. Prenons l'exemple de l'Affaire du Siècle' ou un collectif de personalités, d'association, appuyé de petitions tout publique, attaque l'état pour mise en danger des population pour inaction (insuffisante) face à la menace climatique, et engagement (grenlle, COP, programme politique présenté aux élections).
*Désobéissance civile:
*Rétroactions par le pouvoir d'achat:
Démocratie étendue: Actions citoyennes / économie privée / politique
La participation démocratique des citoyens ne se limite pas aux élections. Diverses situations et actions individuelles ou collectives existent, certaines de développent (notamment avec le web) et devraient être d'avantage considérées pour non slt conforter la démocratie (et la corriger!), mais surtout agir sur la société, l’environnement,... Exemples:
* civisme,moralité, écocitoyenneté,..., ce comportement s’appuie à moult niveaux comme proposés ci après. Cela s'étend de l'éducation (à l'école) à la vie privée (économies d'énergie) ou publique (solidarité).
* enquête d'association auprès des candidats aux élections, sur les problèmes qui les concernent en particulier, les actions attendues,... Ex d'enquêtes: Ligue contre le cancer.
Ceci devrait être plus largement pratiqué (plus d'asso, plus de problème de société ) et valorisé (relayés par les médias; pris en compte par les politiques).
* actes d'achat et consommation (eco-citoyens, politique, confessionnel,...): le pouvoir du consommateur est réel, c'est lui qui in fine motive largement les sociétés et commerces à proposer de nouveaux produits et solutions. Néanmoins il est peu opérant, car pas assez éclairé et conscient. Sans parler de l'effet des situations monopolistique, réglementaire inadaptés,...
Un moyen de développer ce pouvoir du consommateur est d'améliorer l'etiquettage des produits, le marketing,... et de renforcer les actions d'asso impliquant les consommateurs comme les producteurs/vendeurs (ex Greenpeace: notation des fournisseurs, info aux consommateurs des produits bien notés, ... et suivi dans la durée de l'évolution)
Un autre est la qualification par des normes officielles (CE, NF, ...) ou des labels confédéraux (Bio,...), ou meme propre aux fabricants (...). Coté consommateur, c'est d'avoir le réflexe si des telles qualifications existent, les rechercher/demander, les privilégier en achat voire parfois les exiger (message au fabricant). Ceci vaut pour les produit, mais aussi à produit "égal" pour les emballages, ou le service commercial.
Bons exemples / retroaction s civiques tendantes et innovantes (démocratie, écologie,...) -> § suivant (moyens innovants)
Film Kokota, l'ilot de l'espoir (synoptique/GP): un film qui trace en 30min comment une idée simple -aider, se réveiller- peut déclencher une réalisation fut elle modeste pour un besoin premier -de l'eau, avec une citerne/toit de collecte de pluie- qui sert un autre pas forcément vu prioritaire -l'école-. Ca libère du temps, redonne l'espoir d'amélioration, catalyse le désir d'assurer un autre besoin (produite de l'énergie électrique), et celui de l'alimentation locale tout en reboisant -fruitiers-,... Le tout en quelques années seulement. Penser et solutionner local a été plus productif que penser global, et pourtant bien aussi pour le bien global. Pas de sacrifice, mais un changement d'esprit responsable, durable. Bravo. ·(26/10/2017/GP)
> moyens d'expression/action civique 'innovants' / à reflechir-inventer (existant ailleurs et svt peu/non connus; nouveaux )
*Un outil entre pétition et referendum citoyen ou populaire, qui permette aux citoyens d'exprimer de facon spontanée leur approbation (?et/ou opposition) aux déclarations/décisions/actions de l'Etat, mais cependant de facon plus formalisée que par la libre expression/manifestation, moins contraignante/lourde/sérieuse que les référendums (quota), et éventuellement plus informative (de par le profil des votants néanmoins anonymisés) qu'une pétition/referendum ou chaque votant est purement anonyme. Je pensais à un outil web de vote type pétition destiné notamment à soutenir l'action gvt (prolonger le vote) (plus qu'à s'opposer?).
Ex la déclaration 20200618 de B.Lemaire qu'il appliquera la taxation Gafa en France (déjà validée par loi Fr) en dépit d'une intimidation des USA à divers pays européens, meme si les autres pays européens n'appliquaient pas de taxation (en cours de vote au niveau CEE). Que le peuple signifie spontannément approuver cette prise de position serait peut etre utile vis à vis des USA, de l'Europe,...
Par contre: Ouvrir l'expression/vote spontanée à un vote opposé à un déclaration/décision/action en cours, présente bien sur un risque qu'un tel outil serait majoritairement utilisé par l'opposition au gvt, dans un but de pression intérieure, plus que dans un but constructif/collectif et de soutien à l'intl. Intuitivement un tel outil ne devrrait pas être que pour approuver (le gvt), mais il ne saurait etre pleinement d'opposition. Il faut sans doute imaginer que par ex le vote pour serait réservé à soutenir le gvt sur une position internationnale, par un vote gradué, et contrebalancable par seulement un vote blanc. Et inversement le vote contre (et/ou pour) pourrait n'être possible que pour les seules affaires intérieures, pour constituer un outil de retroaction plus interessant que les classiques pétitions (a 95% opposées) ou grèves, ou les reférendums trop lourds/lent/couteux à mettre en oeuvre; justement l'outile pourait en préparer les bases (monter qu'un quota/quorum peut etre atteint).
Modèle d'un tel outil: un tel outil "entre pétition et référendum citoyen" correspondrait à formaliser les pétitions actuelles (non officielles) sur un outil officiel: ou à faire évoluer un référendum d'initiative citoyen, sans quorum ni obligation citoyenne, de facon à favoriser l'expression spontanée, nota pour des sujets non planifiés (imprévus), à des moment non définis (à l'inverse des votations en Suisse) ou lourds à organiser (comme pour des consultations ntl/referendum). En contrepartie d'un référendum, les votes ont une valeur informative/consultative mais non représentative ni officielle (ils pourront l'acquerir par passage à un RIC/RIP/votations, en pouvant justement en poser une base de quota à atteindre pour un référendum). Au delà d'une pétition (pour ou contre; initiative spontannée d'individus ou organisations) et d'une consultation nationnale (referendum à l'initiative du pouvoir, pour ou contre), cet outil se distinguerait par le fait que 1) les votants seraient identifiés officiellement (par n°SS, ou de vote ntl) mais cependant anonymisés, pour pouvoir faire une analyse socioprofessionnelle, et 2) par la possibilité de poser une question à choix multiple ou graduée (moins basique que oui/non; comme dans un sondage/enquete) ce qui d'ailleurs attirerait plus des avis de citoyens éclairés et/ou plus réflechis/ponderés qu'impulsifs/tranchants. Les résultats de votes seraient ainsi plus informatifs, pour envoyer un message documenté aux autorités, et décider s'ils justifient un référendum (système plus flexible&informatif et moins couteux/risqué que le RIC, qui n'est alors plus nécessaire ni souhaitable (le RIC ouvre la voie à un emballement des expressions surtout d'opposition, et est risqué par la pression qu'il pose sur le pouvoir alors que basée sur des votes simpliste (oui/non) sur un sujet formulé de facon evtlmt partisanne).
*Les Débats citoyens s.l. (agoras, forums, conférences participatives, colloques, séminaires, ateliers voire formations, Grenelles, ...): interessants pour remonter des information vers l'organisateur, pour des prises de contact, mais moins pour la production de résultats/informations/analyses (moins formalisée que les comités, éventuellement plus partisannes). Sont organisés par un/des citoyens ou personnes morales, privées ou publiques, et sont ouverts (en théorie) à tous. Le débat citoyen typique remonte à l'agora romaine (la place de la ville ou se discutaient les sujets de la cité par tout un chacun). Mais aussi
Forum: sens1: place; sens2: réunion, colloque (sur un sujet ou champs de sujets donnés).
et (/l'internaute): réunion, rencontre, débat, enquete,sondage, ...
Le débat peut etre plus spécialisé et formalisé si l'organisation est officielle (Etat) ou privée (d'un asso, institution, organisation), ou composée pour impliquer des participants plutot experts sur un sujet (avec alors un rôle informatif: séminaires, ateliers, formations), jusqu'au débat non ouvert à tout citoyen tout venant (cf § suivant 'Comités & co'). Peuvent néanmoins est +/- assimilés comme débats citoyens divers instance/évenements à partir du momment ou ils ne sont pas privés (accessibles largement, voire tout public) et ouvertes à participation aux débats, tels que colloques, réunions, rencontres, séminaires, conférences participatives, ateliers, Grenelles (je garde le terme comités pour les débats indirects, non publics, cf § infra):
Colloque: assemblée de spécialistes qui se réunissent pour discuter et donner leur opinion sur des questions précises, déterminées à l'avance.
et (Linternaute): assemblée (d'une organisation), séminaire, conférence, congrès, symposium, table, entretiens, consultations,...
Rem: les termes désignant plus les groupes d'intervenants que l'activité de débat ouvert, sont rattachés aux types de retroaction civique indirectes:
*Les Comités & co: ces formes de débat formalisé sont des retroactions sociales indirectes, dans la mesure ou les participants n'y sont pas primairement a titre de citoyen, et sont typiquement nommés (commis) et même chargés par un commanditaire d'une mission. Ces comités peuvent d'ailleurs préparer le terrain pour des débats citoyens et y intervenir, ou à l'inverse sont chargés d'en faire une synthèse structurée et documentée ou completée/expertisée. Un comité a déjà un rôle représentatif d'une assemblée. Il rapporte et est à ce titre consultatif ou recommandatif/conseil/audit (pas de pouvoir décisionel ni excécutif, sauf à le préciser dans la mission).
Comité: Groupe restreint de personnes chargé d'une mission, d'une question particulière.
et...: commission, étude, expertise, ...
La formation d'un comité de collecte/étude/analyse/expertise sur un projet défini, missionné par une autorité de l'etat (de la mairie au ministères) mais aussi par un collectifs d'asso/instituts ou des entreprises (groupées), est un forme d'activité civique très intéressante car productive d'information de qualité potentiellement supérieure aux pétitions/referendum... et débats citoyens (et et plus info plus formatée/cahier des charges): informations nouvelles, de synthèse (et non pour/contre), documentables/vérifiables. Leur résultat acquiert plus de valeur consultative voire de recommandation. Un comité doit être cependant nommé par un commanditaire (ou plusieurs) avec une mission, cela peut aller de citoyens tirés au sort (//jury) ou volontaires ou élus lors d'une réunion (groupe de travail; atelier; round table), à un assortiment de compétences complémentaires pour la tache assignée (contrairement aux débats citoyens, ouverts en théorie à tous). Corolairement il peut etre plus couteux (experts, rapports).
* Reflexions sur le cadre et les limitations des moyens d'expression citoyens actuels (disponibles, émergents) en France/Europe/ailleurs (inspirations)
[§-Droit/libertés] les formes d'expression et d'action sont qualifiables a) de 'droits', soumis a des condition +- restrictives encadrées, ou b) de 'libertés' quand elles ne sont constitutionnellement ou légalement pas/guère encadrées explicitement/e qui pose d'ailleurs le problème de leur usage excessif par rapport au droit des autres et limites ecologiques...
(20181202-Idée d'une contribution obligée (via les impots) mais controlée par les citoyens.[
[Idée proposée en digression d'une réaction à Loic sur un post/FB au sujet des gilets jaunes/casse]
<iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Floic.boireau%2Fposts%2F10214797314741187&width=500" width="500" height="231" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" allow="encrypted-media"></iframe>
(1r partie/intro/contexte) Voir c'est une chose, une autre est analyser et si possible comprendre pour juger ou agir. Tu y vois jaune, aveuglé par le soleil de France(: -()), et nostalgique de celui du Brésil (d'ailleurs plutôt obscure en ce moment!).
La casse semble plus un fait 'noir' que 'jaune' (des gens qui en ont marre, des prix carburant, taxes, macron,... et voient ce qui est prenable pour des 'cadeaux' au mieux et plus nantis, sans parler des salaires des plus nantis (bien qu'une minorité - le réduire ne résoud en soi pas l'équation); ils demandent simplement à mieux vivre, l'argent mesurant et résumant hélas toute considération).
Les casseurs (qu'ont voit au comportement 'aguerri') sont très majoritairement habillés de noir (pas/peu des noirs!), et en partie mettent par dessus un gilet jaune pour s'anonymiser. Ce sont surtout des ultra droite ou ultragauche aux opinions arretées, et des branleurs sans réelle opinion civique (des banlieusards pour caricaturer).
Bien sur quelques 'vrais' jaunes ont pu se livrer à des violences, dans l'excitation, en Panurge;...
Je n'exclue pas que certains 'vrais' jaunes se mettent à penser (comme des végans ultra) qu'au final un bon coup de poing/force/dégâts/dénonciation/provocation a la vertu d'attirer l'attention, faire le buzz, et au final fait mieux passer son message que mille autres actions pacifistes ou démocratiques ou au moins non illégales. Alors là oui il a danger -l'extrémisme qui aveugle à en accepter tout moyen possible, jusqu'au terrorisme-.
(2m partie/l'idée, actualisée si après) .
Les révoltes populaires (de la manifestation pacifique à la casse) traduisent un manque d'outils consultatifs démocratiques, de moyens pour 'la base' à s'exprimer et être reconnue, à pouvoir agir, un trop de centralisation et rationalisation financière, un manque de budgets et gestions locale pour que l'individu s'y retrouve quand il n'est pas/plus d'accord avec ce qu'il voit "la haut". Certes le droit de grève ou de manifester est reconnu, un droit citoyen. Mais il semble assez souvent dérisoire, vainc, abusif, excessif, occasionnant même des dommage, un grand gachis d'énergie.
Plus que 'monter à Paris pour etre écouté' car sous les fenetres de l'élite, quitte a attirer l'attention à faiire l'esclandre ou de la casse, le mécontent s'y retrouverait plus s'il avait les moyens d'agir à son niveau et celui de sa collectivité immédiate. S'il échoue, il change d'idée/action. Et quand il 'réussit', les instances supérieures savent vite le 'récupérer' politiquement!
= Il faudrait un espace local de choix/décisions/taxes qui puisse réagir en pouvant moduler (+ou- 10% par ex) celles supérieures plus long terme (de l'état).
Un moyen d'action est bien sur l'argent/finacement, mais le citoyen ne peut financer une action(inflexion d'une action gvtl) en général que à titre privé, et quand les retombées sont rapides et a son profit. Indirectement il finance des actions, par ses impots, mais controlés totalement par l'état. => L'idée serait d'utiliser les impots (que le citoyen ne peut se permettre de refuser de payer) pour financer ce qu'il souhaite (plutot que ce que souhaite l'Etat), de facon à donner le change aux opposants à tout gouvernement (qui on le sait représenteront toujours une masse importante). Le dephase ou non compréhension ou désacord à l'emploi des impots/taxes, qui nourrit le mécontentement, on le voit meme entre pays avec le Brexit/Europe pourrait ainsi etre retourné comme un levier citoyen de maitriser l'emploi d'une partie de ses impots/taxes pour manifester son opposition. Ou pourrait dire qu'un tel impot controlé par le citoyen lui reaffecterait de la souveraineté au niveau du citoyen.
Ainsi l'individu ou sous collectivité (mairie, corporation,...) pourrait il/elle atténuer une augmentation de taxe nationale (non ou plus guère comprise), en en payant la contrepartie 'en nature', sous un autre forme: sur d'autres impôts, ou actions ou investissements. Un citoyen imposé pouvait ventiler 10% de ses impots/taxes (fixes) ou bon lui semble; c'est plus compliqué bien sur pour des taxes variables (ex lié à sa consommation) mais il y a sans doute des solutions aussi.
Ce pouvoir d'action local/réactif devrait etre bien sur limité et le gouvernement devrait en tenir compte avant de décider une augmentation de taxe, sachant q'uil ne tirera à minima que (par ex) 90% de ce qui est escompté. Ce serait un moyen d'interaction citoyen-état, à la fois un message à l'état, un soulagement d'atténuer telle taxe pour sa situation, une soupape évitant d'utiliser un pouvoir de nuisance sur un rond point ou crier SOS par de la casse, une forme de redistribution de la richesse controlé par le citoyen, mais aussi une source d'actions salutaires (sociales, environnmentale,...) réalisée 'à bon compte (contrepartie de la part d'impot non payée): financer des actions d'intérêt publique choisies par le citoyen (et non par l'Etat) permettra d'avancer des domaines négligés par l'Etat mais nééanmoins populaires. Cela existe déjà par la déclaration aux imports de dons à des oeuvres caritatives, culturelles, environnementales,... mais il a sans doute matière a étendre cela. Sans doute faudra t il agréer les organismes&actions elligibles à ces financement hors impot; peut etre faudra t il pooler les dons par catégories d'actionr pour les redistribuer non nomminativement (certains seraient trop favorisés par relations, lobbying,... et d'autres déservis...) ...
Mode de scrutin: les faire évoluer?
La vidéo YT montre simplement comment 5 modes de scrutin différents conduisent à élire 5 candidats différents, cad qu'il n'y a pas de mode de scrutin (et de démocratie) dans un choix arbitraire.
La vidéo WP-ScienceEtonante(min)-Reformons l'élection présidentielle/Science Etonnante) est plus fluide mais moins didactique/complète, par contre elle est plus parlante au début, puis propose à la fin la méthode du jugement majoritaire (très attractive en 'efficacité')
Explique que de pt candidats peuvent empecher en scrutin uninominal a 2 tours le pourtant mieux placé face à 2 autres candidats bien placés aussi. Idem d'autres abérrations avec d'autres modes de scrutin. Il promeut le scrutin pour une élection présidentielle: methode des scores
le vote alternatif (utilisé en Australie): permet par son vote sur tous les candidats de donner une information sur tous les candidats. Le paradoe d'Arrow fait qu'un candidat qui gagnerait un peut plus de voix au 1r tour, ca se retourne contre lui car il est finalment éliminé! Ca ouvre la voie au votre strategique (on ne vote pas selon ses convictions, mas pour exploiter les faiilles du système)
Méthode de Condorcet (on votre contre tous les autres candidats a aussi un biais (aucun candidate ne peu passer les 2 tours). Marquis de Bordas donne une nb de points au vote alternatif. pas encore 'parfait' (un petit parti peu influer...). Théoreme d'impossibilité d'Arrow qui a montre qu'on ne pourra jamais elire correctement... Solution? plutot que classer, on 'juge le nb de candidats qu'on veut. Approuver est insuffisant, il faudrait juger sur une échelle (noter x/20 ou plus simple/clair):
La méthode du jugement majoritaire: on attribue une mention de excellent à à rejeter (ex 7 grades). Alors on peut calculer la 'mention majoritaire d'un candidat (note à 50%) puis on prend le candidat avec la meilleurs mention majo (si besoin, on peut départager avec des pourcentages). Atouts de la méthode: on juge individuellement chaque candidat (donc pas de vote utile; on peut privilégier 1 seul ou plusieurs candidats)
Voir la vidéo YT-JurisInternetus(20min) pour une présentation plus détaillée et complete des modes de scrutins existants, et leur avantages/inconvénient (mais il faut suivre/rapide et +ardu) + l'idée à creuser d'un permis de voter (gratuit).
Tous ayant des defauts, il s'agit de lutter contre le populisme et l'abstention.et le Fr (majoritaire uninominal à 2 tours - on est les seuls!) n'est pas si mal.
*Suffrage Direct (ex fr) versus indirect (fr/sénateur; président/US)
Suffrages limitants: Suffrage censitaire versus capacitaire vs universel :
. l'universel ne l'est pas tant: n'était que masculin <1944! exclu les mineurs, les etrangers,...
. censitaire: sous condition de richesse/ressource/... (ex fr ancien)
. capacitaire: conditionné à un niveau d'instruction.
*Scrutin majoritaire versus proportionnel et il existe des intermédiaires/mixte.
Le proportionnel intégral est critiqué car source d'instabilité. Le porportionel approché (ex par régions) est le plus fréquent;
. La méthodes du plus fort reste (favorise pt partis), ou plus forte moyenne (ex espagne)
Au final, la proportionelle (principal distinction, % majo) semble simple et juste/équitable, mais mène a diluer le pouvoir (peu dirigeable; multiplication des partie/tendances dont fantaisistes). On peut l'aménager:
. Seuil de représentation (<5% non representé au bundestag).
Le scrutin majoritaire nominal (1 par parti) encourage le vote sur le nom plus que le prgm. Le préférentiel permet de préferer, le panachage permet de supprimer des nom et en ajouter (complique le dépouillage).
Le scrutin majo 1 tour encourage les vote utile (ex pays anglosaxons). Le 2 tours permet un vote de coeur au 1r tour, et un vote du moins pire (utile) au 2m tour.
Quorum non atteint au 1r tour donne un ballotage, cad 2eme tour entre 3 candidats. Ca permet de donne sa chance à un outsider.
Scrutin mixte (ou combiné): ex pour les députés (avec listes apparentées); utiliser la majorité pour le 1r groupe puis la proportionelle les non majoritaires. Ca permet de représenter plus de groupes, tout en ayant réservé un nombre de sièges majoritaire (capable d'agir) pour un parti majoritaire relatif
Notions voisines: Paradoxe de Simpson (interprétation de memes stats rendue apparement contradictoire par un facteur de confusion caché; et/ou population référence non représentative)
Type de démocratie (+/- représentative)
La france est régie par une constitution de république, la 4eme. Certains demandent un révision de la cositution pour une 6eme république.
* république: désigne un mode de gouvernement dans lequel le pouvoir est exercé par des personnes élues. Une république est typiquement antonyme d'une monarchie héréditaire, mais n'est pas toujours synonyme de démocratie. La république est en 2020 la forme de régime politique la plus répandue : sur 197 pays, 151 sont des républiques. +/wiki. res publica = « chose publique » = désigne l’intérêt général puis le gouvernement, la politique et enfin l’État. 1ère République française le 21 septembre 1792, République est devenu au 20eme siècle synonyme de démocratie par opposition au despotisme et à la monarchie. La république repose sur le choix de quelques-uns des citoyens selon leur mérite, leurs compétences ou leur richesse (l'oligarchie et l'aristocratie, qui devinrent par la suite la république), par opposition alors à la démocratie (élue par tirage au sort, hérité des romains) avant que ce dernier sens ne rejoigne celui de république.
La république elit des représentants nobles (republique aristocratique; ex oligarchie romaine -509JC; dont rép/cités ou territoriales, par rachat de droits seigneuriaux ou chartes...: Ville franches au moyen age fr, duchés de Gênes/Venise; Rep.Escatons(1343; Briancon)...), puis rep.confédérative (suisse) et états (1r: Pays-bas 1581, puis Novgorov; République des Deux Nations (Pologne + Lituanie, 1569) ), ou religieux/dogmatique (République islamique, de réforme protestante/Calbiniste), ou 'populaires' pour leur carisme (républiques populaires et etats communistes, ?dd.russe, republique de Chine, rep.Corse 1755-69), ou issus par tirage au sort (rep./démocratie athénienne), ou enfin populaires du fait de leur mérite/compétence (présumée) (sens commun actuellement des républiques occidentales). [+// 2 pays sans l'antiuité Israel & Juda ; envisagé 2pays1nation.
* nation: etym' 'nascere' cad maitre: la notion allie (+/- selon les auteurs, contexte historique) une identité à se pense peuple-communauté, par l'origine ethnique ou culturelle, territoriale et historique, une organisation communes économique/commerciale, et emblématiquement de pouvoir l'Etat. Elle a une dimension projective (sentiment d'identité, projet =>résulte d'un acte d'autodéfinition) puis objective (produit de l'histoire, d'une organisation d'un Etat). On peut imaginer des nations différentes dans un pays, avec un seul ou plusieurs Etats (ou orga, homologues ou agissant à des niveaux différents). Ainsi de mouvements nationalistes bretons, juifs, corses, basques, flamands, kurdes, écossais, algériens, catalans ou québécois ont ainsi revendiqué un État pour leur population de référence, certains finissant par l'obtenir un un moment ou plus durablement (Corses 1755; Quebecois 2006), d'autres perdurent par l'activisme culturel (langue/école; evenements;...) parfois violent (attentats, guerilla, terrorisme, guerilla; Corse 1960-act). La réalité nationnale va avec une souveraineté (et donc un état)
* état: organisation pour gérer un pays/nation, de régime monarchique ou républicain... Un état souverain ne dépend par d'alliances en droits ou tribus etrangers, ce qui en fait une nation. Des états alliés, ou unis, ou fédérés ou confédérés...
* pays: territoire avec une ertaines communauté geographique, culturelle, organisationnelles (régions) ou politique (Etat);
* démocratie: Etym.: pouvoir du peuple. A été initialement (grèce, rome) assimilé à un régime issu au moins partiellement du tirage au sort (par opposition à la monarchie.despotisme), avant que le sens ne rejoigne le sens du mot république (par élection de représentants). Pour Aristote un citoyen est libre dès lors qu'il a alternativement le pouvoir de gouverner et d'être gouverné.
Plateformes de financement participatif:
(à deplacer)
Les plus connus sont par ex Ulule ou . La plupart affichent un spécialité des activité/projets financés, et certaines des particularités de fonctionnement.
Ulule.com :
EB201811: financement d'une BD TristantGion&Sophie.
https://fr.tipeee.com/about : sujets/catégoeirs assez génerales, mais projet de créateurs de videos de qualité régullieres, avec un financement en format présenté comme un pourboire (tip).
EB20190103: visite de la chaine JurisInternetus/tipee (0tipeur et 0€/mois), super bien fait. Et visite de ScienceEtonnante/tipee (604tipeurs, 1323€/mois)