(a reporter ailleurs) / Finance / Crise financières
1637: 1r crise financière déclanché par le retrait des valeurs d'argent papier que des investisseurs avaient obtenue sur le prix de bulbes de tulipes en Hollande. Le titre
1939: grands crise financière
2007/2008: bulle causée par l'achat/revente d'outils financiers par peu d'experts. Titrisation.
20xx: crise des subprimes, causée par l'endettement immobilier des particuliers que les banques ont concédées . On s'en sort ar la planche a billet (la Fed) et le sauvettage des banques.
201: crise de l'Euro alos que fragilisé par les subprime, causée par la Grece n'était plus solvable. La BCE est intervenue, malgré la réticence de l'Allemagne, très efficace car sa simple annonce à calmé les marchés.
La finance s'est déconnecté des marché primaires, est a son propre service avant de cellui du service, et meme par ses bulles/crises l'affecte.
Une finance de l'ombre s'est construite (depuis 2007/8), notamment sur les assurances de financement, entre cols blancs, pour echapper aux contraintes et regulations plus fortes qui on été mise en place pour gérer les crises. Paradis fiscaux, sociétés écran, ... Les panamas papers devoilés pour plus de transparence, illustrent la dimension incroyable de ces pratiques.
Il faudrait que toutes les banques mondiales respectent les meme règles (ainsi elles sont favroisée aux US car tendance à la dérégulation).
Le developpemennt (réinvention) de l'investissement privé, autofinancement.
Le sauvetage des banques reinjecter de l'argent/richesse qui alimente plsu la richesses de financiers, bnaquiers, hitech, que les secteurs d'activité de base, la population générale: les états, les entreprise de base, et les particuliers sont au final plus endettés. Au final cela nourrit un ressentiment de la population (contre les inégalités, les crises due à la finance (plutot qu'a à un evenement naturel), et au populisme (pour adhérer à des propositions attractives,...). La finance alimente aussi la crise climatique, car elle consomme toujours plus de l'énergie et du travail au delà des besoins primaires, et donc à polluer. Mais aussi à plus consommer sur de avoirs potentiels futurs estimés optimistement (alors que la réalité physique s'avèrent plutot pire qu'estimée), plutot que sur des richesses déjà acquises, fruit du travail passé. Et elle n'approvisionne pas les accidents futures
Reaccrocher la finance aux: inégalités sociales ; reaité
Feminiser la finance, car les hommes prennent plus de risque et moins animés des enjeux ethiques ou futurs physiques.
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Les cryptomonnaies (CrMo), apparues n (1989-)2009, se développent avec succès émaillés de revers. Le ciel s'assombrit en 2018.
+/Qu'est une cryptomonnaie ; Les cryptomonnaies principales, nouvelles,...
Sont elle en effet l'avenir? ou résultent elle d'un effet d'appel, sont appelées à se stabiliser voire régresser?
Diverses raisons les rendent attractives, au niveau individuel immédiat voire global:
.au niveau individuel: pouvoir acheter et vendre n'importe ou (avec un ordinateur ou smartphone et une connections internet cependant), quasi sans frais; pouvoir gagner de l'argent pour ceux qui passent à "miner" ces monnaies;...
.au niveau global: monnaie indépendants des états/banques centrales; .... (ce qui peut aussi etre un inconvénient selon son point de vue)
Ces raisons ont aussi leur contrepartie ou appréciations défavorables au développement de ces monnaies. Par ex l'indépendance vis à vis de banques centrales, ces monnaies ne sont pas garanties, cad qu'on peut perdre la valeur de ses avoirs sans recours possible aux institution. D'autres raisons s'ajoutent, telles que la consommation d'énergie requise par le fonctionnement des ces cryptomonnaies qui semble très supérieure aux monnaies classiques (numérique/CB, chèque et transaction bancaires; numéraire).
Voici quelques réflexions sur ces points pour/contre dans une optique sociétale et écologique.
Les cryptomonnaies ouvrent de nouvelles façons de faire des transactions en chahutant divers paradigmes:
- la définition de la monnaie, depuis l'échange/troc à la fiduciaire, la scripturale, la numérique
- les relations de confiance et de sécurité, avec le principe de la blockchain qui code/sécurise la monnaie mais peut s'appliquer à plein d'autres choses
- le role de l'état et celui de communautés d'usagers ou de sociétés privées
Un excellent article (Kaizen20180118) aborde ces questions, de façon très balancée entre pro et contre bitcoin. On regardera aussi l'avis de professionnels de la finance (banques, états,...), globalement plutot méfiants (ou dubitatifs ou même défavorables). A 2018, aucun état ne reconnait les cryptomonnaies comme légales.
Il y a un attrait manifeste des individus particuliers vers les cryptomonnaies avec un engouement croissant depuis 2010. Ceci repose principalement sur les avantages visibles/immédiats ou court terme tels que la facilité de faire les opérations de n'importe ou vers n'importe ou, par internet quasi sans frais. Il y a très secondairement des raisons ethiques ou politique, comme l'indépendance vis à vis des états (ou pour certaines petites ou moyennes sociétés privées). Une autre raison motive les spéculateurs et les jeunes: le gain lié au cours globalement favorable malgré quelques revers (traduisant un risque de bulle: lié à l'actuelle confiance/engouement), ou le gain lié au 'minage' de CrMo par son propre ordinateur (ou des serveurs investis pour). Cette dernière raison peut en fait plus inquiéter que rassurer.
Bien qu'on ne puisse fiablement présumer du comportement avenir des particuliers, encore au beau fixe malgré les difficultés de 2018, il ressort que l’intérêt habituel d'un particulier est en général à court terme, et moins éclairé que les organisation privées ou d'états. Un tel intérêt des particuliers s'avère moins stable, il peut évoluer de facon opposée à l'engouement d'adhésion quand des signaux négatifs s'accumulent ou que le contexte évolue, souvent d'ailleurs encore plus rapidement entretenant alors la déflation.
Sont reportés (ou à reporter) infra par sujets.
*Faits et avis des organisations, favorables aux CryMo:
Quelques (petits) pays ont crée leur CryMo(Iles Marshall, Venézuela), d'autres souhaitent le faire (UK: une cryptomonnaie indexée sur la monnaie; la Turquie, Iran (stratégie face aux sanctions US))
Certaines CryMo sont reconnues comme moyen de commerce par des pays (en fait plutot nombreux), mais certains états les interdisent, et la situation reste indéfinie dans beaucoup.
*Faits et avis des organisations, défavorables aux CryMo:
(/wiki 201901) Les représentants de plusieurs banques centrales ont déclaré que l'adoption de cryptomonnaies telles que Bitcoin pose un défi important pour la capacité des banques centrales à influencer le prix du crédit pour toute l'économie. Ils ont également estimé que la popularité croissante des cryptomonnaies commerciales risque de faire perdre la confiance des consommateurs dans les monnaies fiduciaires. Enfin, Gareth Murphy, un représentant de la banque centrale américaine, a déclaré que « l'utilisation généralisée [des cryptomonnaies] rendrait plus difficile pour les organismes statistiques de recueillir des données sur l'activité économique, elles-mêmes utilisées par les gouvernements pour orienter l'économie ». Il avertit que les cryptomonnaies constituent un nouveau défi pour le contrôle des fonctions importantes de la politique monétaire et de change des banques centrales
* Forte volatilité:
Contrairement aux monnaies classiques, ou disons le légales (d'état), la valeur des cryptomonnaie (CryMo) n'est pas régulée par les banques, organismes de régulation financière et au final souvent l'état.
La valeur de la monnaie n'est pas assise* sur des biens réels (l'or) ou homologues (le PIB,...).
La volatilité est amplifiée par le fait que les opérations sont irréversibles, malgré la traçabilité des transactions cryMo.
* Conversions entre (Cry)Monnaies:
Il existe des plateformes d'échange/conversion entre monnaies légales et cryptées. Le cours est par nature instantané, ce qui est emplifié par la forte volatitilité (ne peut etre garanti
La multiplication des monnaies présente sa part de difficultés a utiliser/adopter une CryMo, néanmoins cela vaut aussi pour les monnaies fiduciaires (multiplication des monnaies locales, SEL,...).
* Conséquences:
Aucune (ou faible*) protection contre la fraude du fait de la forte volatilité, de l'irréversibilité des opérations, de l'absence de contrevaleur solide, du pseudoanonymat,...
*Néanmoins: une seule cryptomonnaie (securiumcoin33) a, actuellement, annoncé que sa valeur serait garantie par un stock solide en diamants.
Les transactions sont parfaitement traçables (elles sont même codées dans toute la blockchain, contribuant au cout des CryMo). Néanmoins, la pseudo-anonymat ne permet pas d'assurer la responsabilité et les droits tant du payeur que de l'acheteur, d'autant que les CryMo ne sont (en général) pas légales et quand bien même difficilement arbitrables par une juridiction = la traçabilité ne sert qu'au fonctionnement et à la cohérence théorique de la CryMo.
Le pseudo-anonymat rend possible, au même titre que l'argent liquide, les transactions illicites (néanmoins: possibilité de controler la légalité des biens et services achetés; surveiller la conversion en devise légales/détecter le blanchiment d'argent).
Block chain
Principe: toute transaction (équivalence, échange) est regroupée dans un bloc, qui est vérifiée. Ainsi validée, toute transaction est reliée à l'ensemble des transactions et visible par tous.
L'algorythme peut ainsi s'appliquer à bien d'autres choses:
Peut tenir ainsi lieu de registre (cadastre, comptes bancaires ou autres,...), protection (copyright), l'énergie (article EDF),...
+/ /blockchainfrance.net : bonne présentation en 1 page
Si on fait des transactions en CryMo quasi sans cout, la CryMo mobilise une ressource de calcul très importante, pour les calculs (BlockChain) et pour la 'création de CryMo' par le 'minage'.
La consommation énergétique est en fait importante, et appelé à augmenter au fil que les transactions réalisée s'accumulent.
Le cout des CryMo apparait ainsi très supérieur (€/x) au cout des monnaies fiduciaires, argent (), papier (), numérique (),...
Qui paye ce cout? ce sont les opérateurs de la Blockchain et du minage, qui se rémunèrent en CryMo. Donc le cout est payé par tous les utilisateurs de CryMo, mais avec une monnaie sans valeur garantie ni assise sur la réalité (spéculative) = donc au final il y a un cout écologique qui est "payé" par l'environnement: rechauffement de l'air / du climat.
Les cryptomonnaies sont constitutivement indépendantes de valeurs réelles (l'or, un bien matériel,...), ce qui les rend non controllables en dehors de leur propre système d'auto controle. En particulier par les états, ce qui s'oppose à l'idée que les états puissent avoir une politique monétaire pour influencer l'économie. C'est bien là un sujet éthique majeur que le sCryMo soulèvent:
Voulons nous d'une société (de sociétés) dont les échanges (transactions) soient libres, non taxables, ...
(/wiki 201901) Les représentants de plusieurs banques centrales ont déclaré que l'adoption de cryptomonnaies telles que Bitcoin pose un défi important pour la capacité des banques centrales à influencer le prix du crédit pour toute l'économie. Ils ont également estimé que la popularité croissante des cryptomonnaies commerciales risque de faire perdre la confiance des consommateurs dans les monnaies fiduciaires. Enfin, Gareth Murphy, un représentant de la banque centrale américaine, a déclaré que « l'utilisation généralisée [des cryptomonnaies] rendrait plus difficile pour les organismes statistiques de recueillir des données sur l'activité économique, elles-mêmes utilisées par les gouvernements pour orienter l'économie ». Il avertit que les cryptomonnaies constituent un nouveau défi pour le contrôle des fonctions importantes de la politique monétaire et de change des banques centrales
=>pistes de réponses:
[piste EDF]“Les unités de compte (utility tokens) devraient être considérées comme de biens immatériels, et ne pourraient prendre la forme de valeurs réelles (assises sur une valeur d'échange matériel: de l'argent fiducier, des kilowatts...) convertissables en biens matériels ou services que dans la mesure restrictive ou ces derniers seraient au sein de communautés d’intérêt”. Un bulle de profits immatériels n'influencerait ainsi la vie réelle qu'au crible 'une acceptation de l'ensemble de la société de ce qui rstrait un interet de la communauté. Cepourrait meme etre une nouvelle forme de reconnaissance sociale.
D'autre part, les cryptomonnaies devraient rester ouvertes à tous, sécurisées de facon pas trop “énergivore” comparé aux modes d'échanges plus directs (troc, fiducière,...), sous pein d'augmenter encore plus notre charge écologique à l'environnement -et par conséquence à l'humanité-.
2009(et-): naissance de la premiere 'vraie' cryptomonnaie, le Bitcoin (et antérieurement les prémises en 1998/: la trésorerie 'b-monney' puis le 'Bit Gold'; +/wiki)
2011-2014: diversification des cryptomonnaies avec de nouvelles fonctionnalités (LiteCoin, PeerCoin, Namecoin,...) et diffusion vers le grand public via les médias
2014: apparition de la 2e génération (Monero, Ethereum et Nxt: avec de nouvelles fonctionnalités telles l'adresses de furtivité, des contrats intelligents, le recours à des chaînes de bloc latérales ou adossées à des actifs tels que l'or)
2018: année difficile traversée par les crypto-monnaies (marché en baisse 75% en comparaison à sa fin d'année 2017 qui progressait +?60%. ref). Cependant, le nombre d'offres d'emploi dans le secteur ne cesse de progresser. 3eme génération de CryMO, comme EOS.IO, Cardano, (ADA), AION, ICON (ICX) et Raiden Network (RDN), avec leur lot d'innovation. Mort dans l'oeuf d'une nouvelle cryptomonnaie (Basis) qui se voulait une alternative "stable et décentralisée" face à ses concurrentes (+/UD).