(rapatrier le sommaire des Fiches Plantes et animaux/word)
PLAN: 1) THEMATIQUES CURIOSITES, PRATIQUES,...
Se soigner dans la nature (& lien en fiches 3)
Plantes toxique dans la vie courante (& lien en fiches 3)
Curiosités de la reproduction
Fonctions 'extraordinaires de plantes (sensibilité, communication, ... 'intelligence')
Records (plantes: taille,...; Animaux: poids, vitesse, ...)
MiniGuides de Flore et Faune: (liste et liens) local Auvergne; Alpes; Corse;...
2) THEMATIQUES GROUPES D'ETRES VIVANTS
Insectes et Arachnoïdes (Entomologie): papillons, libellules, criquets&co, Cigales/FFMC.
Amphibiens et Reptiles (Herpetologie): crapauds, tritons, serpents, tortues/FFMC.
Mollusques (Malacologie): Limaces, escargots, bivalves d'eau douce/FFMC.
Mammifères (Mammalogie): rongeurs, insectivores, herbivores, carnivores, chiroptères/FFMC.
Oiseaux()
Champignons & co (Mycologie): 9 groupes/FFMC.
Plantes (Botanique): Fougères(Ptéridophytes), Ligneux(& arbres aiguilles, à feuille, buissons), Herbacées à corolle, Herbacées (graminées, laiches, joncs), Aquatiques/FFMC.
Végétaux 'inférieurs': Lichens, Algues,...
Microbes & MicroOrganismes: les quasi invisibles, et le monde invisible à l'oeil
3) THEMATIQUES UTILITAIRES (%homme)
Plantes Matériaux (construction), & Animaux matériaux
Plantes médicinales & Simples/Tisanes/HE/... & Animaux & santé/médecine (tradnl)
3) THEMATIQUES par caracteristiques remarquables (de structure/apparence, de biologie, de comportement, de reproduction, d'alimentation...)
TOXIQUES:
Par modes et fonctions biologiques/écologiques: modalités/comportements/stratégies particulières:
Modes de ALIMENTATION: prédation, réserves,...
Modes de LOCOMOTION:
Modes de REPRODUCTION:
Modes de DEFENSE: camouflage/mimétisme, Aposématique,...
4)FICHES par espèces (renvois aux Sources)
9) Sources
(à déménager en Sc.&Tech, mais lister d'ici)
La toxicité des plantes est souvent plus une crainte motivée par l'ignorance ou le doute, qu'une menace dans la vie courant. Quelques attitudes de précaution générale sont plus utiles, mais il est aussi bon de savoir repérer certaines plantes, à la maison, au jardin ou en se baladant, qui peuvent entrer en contact avec l'homme ou nos animaux de compagnie.
* Toxiques pour l'homme
- plantes courantes qui ne sont pas anodines en toxicité:
légumes et fruits (pomme de terre quand elle est verte, raisin)
arbustes (rhododendron - voire les arbres (marronnier,): un enfant curieux se peut etre tenté par grignoter un marron, mais l'amertume devrait freiner se svelleités. Par contre les noyaux d'amende, cerise, peche,... pein de pomme,.... seront plus intriguants par leur saveur particulière, et la toxicité pourtant réelle (un noyau passe, mais attention au delà... )
* Toxiques pour les animaux de compagnie (chats, chiens,...) et de production (bétail).
Comme pour l'homme, ou se pourra se méfier de certains plantes de décoration et en extérieur notamment des liliacées, mais les risques sont réduits en extérieur, car par exemple les chats et encore moins les chiens 1)mangent assez peu de végétaux, avec un instinct qui leur leur fait préferer/se contenter de la simple herbe du la pelouse ou de la nature. 2)leur fourrure réduit à quais 0 ke risque de contact par la peau comme chez l'homme 3)les premiers signes néfastes restent vomissement, irritation,... et dissuadent vite l'animal à y retoucher (plus que l'homme, peu attentif à la nature et ce qu'il y a fait).
On pourra réfuter que l'instinct des animaux puisse réduire les risques (certes il ne protège pas 100% ni meme 70%), et faire peur en recensant plus de 700 plants toxiques par ingestion pour les chats (/wamiz), mais reconnaissons que les cas d'intoxication sérieuse restent assez rares. Relevons les plus fréquents/problèmatiques, et quelques comportement d'homme:
- d'abord avoir l'idée d'associer l'observation de symptômes anormaux d'animaux à une possible exposition à un produit toxique (plantes, ..; ou produit ménagers!). Appeler le 02 40 68 77 40 ou le vétérinaire local.
- l'homme soucieux de la santé de ses animaux devrait l'etre d'abord pour ses enfants et lui-meme: en évitant de planter dans son milieu de vie des plantes toxiques alors qu'il y a profusion d'aussi belles plantes jolies ou utiles et non toxiques! S'il ne plante pas une ortie au seuil de sa porte pour éviter un risque de brulure, il peut faire pareil avec les risques toxiques! Il ne s'agit d'ailleurs pas forcément de bannir des plantes, ce peut etre les limiter )à certains endroits et usages: ex l'ortie est, dangereuse à un égard, est bénéfique à bien d'autres (aliment, médicinal) et non toxique pour les poules par ex. Sans s'interdire de s'entouorer de fleur, de meme que du chocolat souspretexte qu'il peut etre morterl poru le chien (/capae)
- pour une liste de toxiques pour les animaux, c'est d'abord celle commune aux hommes - car les toxicités et sensibilités d'espèces (mammifères) sont le plus souvent similaires.
- alors signalons ici plutot seulement quelques spécificités animales:
. les animaux de compagnie peut etre exposés à des légumes et fruits qu'on jugera (à tord) anodins: pomme de terre (quand elle est verte), raisin,...
. les chats et les chiens sont attirés par l'odeur de l'eau de javel, par le lys de la paix, ....
. les toxiques peuvent provoquer des lésions du rein notament chez le chat (notamment agé/déjà) attein de MRC), comme après simple ingestion de fleurs, de feuilles ou de pollen dy lys de la paix.
. Les chiots sont plus souvent victimes d'intoxications car ils ont tendance à tout mâchouiller.
. Le bétail est souvent plus robuste, et son miliu de vie (le champ) en général épuré de toxiques, mais attention aux changement de champs (nouveaux, inhabituels ou temporaires).
Pour limiter les risques :
-Les précautions ne concernent pas que les plantes: les engrais, pesticides, aliments,...
-Emballer le pied des plantes d'appartement dans du papier alu ou utiliser des protections de pots vendues en animalerie.
-Ne pas laisser un chien ou chat boire l'eau du vase ou de la coupelle du pot : les composés toxiques de la plante y diffusent.
Ne pas chercher à faire boire l'animal intoxiqué, à lui rincer la bouche ou à le faire vomir, à moins que le vétérinaire vous l'ait expressément conseillé au téléphone.
En cas d'intoxication par une plante provoquant des irritations cutanées, rincer abondamment la peau à l'eau claire et les yeux au sérum physiologique.
* types de toxines/poisons/toxicité
La agents toxiques sont
-des composés 'toxines' de nature protéique, ..., de source champignons, serpents, amphibiens, bactériens,...;
-des venins (mélanges de toxine(s) et adjuvants
Exemples particuliers:
* La pédérine et est une substance dans l'hémolymphe de coleoptères Paederinae, extrêmement toxique. En contact avec la peau, peut provoquer une irritation appealée dermatite à Paederus2. À quantité égale, il est plus puissant que le venin de cobra3.
* acide formique:
* Les carabes bombardiers ont la capacité de projeter un liquide corrosif en ébullition sur leurs assaillants. Cette substance est composée d'hydroquinone et de peroxyde d'hydrogène
* venins des hymenopteres (abeilles, frelons, ): contiennet desphospholipases, hyaluronidases et phosphatases acides, donnent de allergie (dont choc anaphyllactique
* Plus/Plantes toxiques (hors Fr)
Arbre le plus toxique: le mancellinier (Hippomane mancinella, surnommé « pomme de plage » ou « poison goyave » ou "arbre de la mort"), de la famille des euphorbiacées, en Amérique centrale (élargie au N et au S). Toutes les parties sont toxiques, via la sève (latex) blanche, accidents surtout via les fruits qui ressemblent à des pommes, et les feuilles balayées par la pluie irritent la peau voire intoxiquent par les muqueuses. Induit une inflammation forte. +/TMS(++)
Autres arbres problématiques: le figuier (sève laiteuse, mais non très toxique).
* voir les sites détaillés % toxicité
https://www.centre-antipoison-animal.com/plantes-toxiques.html +++ qui sélectionne un 30n de plantes avec des fiches fort bien informatique et appliquée au risque et ce qu'il faut faire.
L'avocat L'hortensia L'if L'oenanthe safranée La digitale La mercuriale La morelle noire La pomme de terre Le buis Le chêne et les glands Le cycas Le dieffenbachia Le Ficus Le gui Le houx Le laurier rose Le laurier-cerise Le lys Le marronnier Le muguet Le poinsettia Le pommier d'amour Le raisin Le rhododendron Le ricin Le schefflera Le spathiphyllum Le troëne Les mycotoxinesLes oignons et l'ail Les rumex
L'eau de Javel ; Le chlorure de sodium (sel)
https://chien.ooreka.fr/comprendre/intoxications-plantes-chien ++ pour la liste de phytosanitaires
https://www.centreantipoisons.be/nature/plantes/les-plantes-toxiques ++ pour qq plantes pas ailleurs: Berce, ...
Il est de plus plus montré que les plantes sont dotées d'une de sensibilité, de communication, et meme d'une forme d'intelligence, ... (voire par anthropomorphisme) de timidité, solidarité,... ex./telebo. Diverses de ces capacités reposent sur une réalité physique et biologique voire moléculaire objective, mais leur présentation est souvent excessive ou tronquée ou détournant le sens usuel des mots ou le champ d'application. Revue d'exemples qu'il faut parfois démystifier (les expressions sont indiquées "entre guillement quand il faudrait les demystifier, qu'elles deviennent inexactes ou abusives,..."). Il est amusant de voire quand on retrouve des structures ou capacités propres aux animaux, car cela frustre l'égo humain/animal.
Les explicatiions abusives utilisent souvent, plutot que des arguments logique par des causes 'vraies', des (pseudo)arguments 'finalistes' (et intentionnels, anthorpomorphistes): on explique l'extraordinaire (qui est alors une cause) par des fins, qui en fait en découlent, ou sont indépendantes mais qui coincident. Les explicaitons 'abusives' comettent des biais statistiques correspondant à des changements de référentiels non/mal corrélés, des confusion d'hypotheses ou fcteurs de confusion non dénichés. (cf Paradoxe de Simpson). Elles ne sont paradoxalement pas forcément fausse, mais alors traduisent des coincidences.
*Les plantes sensitives? dotées de sensibilité physique ou affective...
Les plantes ne sont pas de animaux (sic), et donc sont supposées non 'animées', non dotées d'une ame (anima), et volontiers dira t on non sensibles (au sens affectif, humain). Néanmoins, on s'accordera que les plantes soient sensibles en placant le débat au niveau physique: "une plante sent que la terre s'assèche mais elle ne sent pas que la canicule (ou l'orage) arrive, ou que le prédateur va la manger. Si elle est stressé par la secheresse immédiate sur ses racines et ses feuilles, elle ne l'est pas vis a vis du museau qui va la déchiquetter ou la bactérie qui tumorise son tronc. Elle n'a pas de conscience, ne souffre pas,...". Pour expliquer tel fait surprenant, on parlera alors a) soit avec des intentions anthropomorphes: "la plante reagit au bruit pour se défendre; sent la présence de ses congénères et communique avec eux pour les alerter; ...". b)s oit en se prémunissant d'une sensibilité affective végétale en répondant lapidairement "La question ne se pose pas", drapé d'un sentiment si profond qu'on ne l'avouera pas, que les plantes (nous) sont inférieures, non sensibles, non capables de fuire, d'émotion de bien ou mal etre (si ce n'est afficher une belle carnation verte et de belles fleurs quant on veut).
Regardons d'un peu plus près, car les exemples se multiplient et nous surprennent, puis sans assez de sens critique nous font voir les plantes comme des être sensibles, avec des réactions émotionnelles, ... sans plus de repère logique mais de pure croyance. Certains parleront ainsi de 'neurobiologie végétale' (sic) qui "nous montre que ces êtres sans bouche, sans nez, sans oreilles, peuvent malgré tout échanger, sentir, ressentir et même… entendre."
En anglais, le terme 'sensible' désigne plus particulièrement la capacité de sentir, détecter..., tandis que le terme 'sensitive' exprime la capacité à être sensible.
Les plantes sont assurément capables de détecter une foule de caractéristiques de l'environnement, de signaux (des caractères distinctifs qui revêtent dans le contexte une information particulière). Même si cela peut déjà heurter le sens commun, on en trouve d'un niveau de détection faible à extrêmement faible, pour des signaux généraux ou très spécifiques, du sol ou de l'air, des plantes congénères ou d'autres espèces et même d'animaux,...
La capacité sensible au sens affectif, qui est naturelle quand on parle de l'homme et plus ou moins pour les animaux, devient gênante quand on parle de plantes. Les exemples seront diversement appréciés et interprétés.
Commençons donc par des exemples de sensibilités physique, ordinaire (à l'humidité, la lumière,...) ou plus surprenante (sons), et de sensibilités progressivement plus affectives voir "morales". Avec la présomption de pouvoir en donner des mécanismes déjà avérés ou hypothétiques mais logiques, ou au contraire reconnaitre la (qauis) absence de mécanime réaliste pour les expliquer.
Pour une plante, typiquement immobile, il devrait nous paraître évident qu'il est dans un sens plus nécessaire d'être sensible que des animaux qui peuvent (pourraient) trouver ce dont ils ont besoin en se déplacant/explorant. Les signaux critiques chez une plante qu'il s'agit de capter pour mieux exploiter cet environnement, se préparer aux changements climatiques, ... et au final pour survivre, peuvent etre extrèmement ténus (le racourcissement des jours, une infection) ou brutaux (un orage), rapides (une prédation) ou lents (une saison, une infection). On a tendance à penser qu'elles doivent plutot subir l'environnement (le climat, la concurrence de leur congénères, d'autres plantes, de microorganismes, d'animaux prédateurs) qu'à pouvoir se défendre, anticiper, collaborer,... Divers exemples pourront nous détromper, ou non, car plus ou moins convaincants selon son bagage scientifique (ou ses croyances).
Sources d'exemples souvent antropomorphes (ou du moins relatés de facon tres anthropomorphe):
La Vie secrète des arbres, le forestier Peter Wohlleben
"crown shyness", "fente de timidité",
éviter l'abrasion des branches en raison du frottement. argument finaliste plutot que explicatif causal...Pourrait opérer pour les arbres de la mangrove de la forêt noire du Costa Rica (?pourquoi)
>sensibilité à l'eau -du sol, de l'air(humidité/sécheresse),-
Beaucoup plantes sont bien sur fortement dépendantes de l'eau, parfois obligées (plantes aquatiques), parfois à l'inverse peuvent s'en affranchir très largement, jusqu'à ces plantes qui vivent suspendues dans l'air et se contentent d'en absorbé l'humidité quand il y en a (Rickettsia). Il n'est pas choquant de penser les plantes comme des etres sensible à l'eau (ou l'humiditité), car c'est un besoin physique primaire, et peu chez nous en appele à l'affectif avec de l'eau/humidité pour les plantes.
>Sur les mécanismes qui permettraient une sensibilité des plantes à l'eau:
-c'est au niveau des racines qu'une sensibilité à l'eau ou l'humidité du sol peut parraitre la plus essentielle. Assurément, les racines poussent vers les zones humides et non les zones sèches (tropisme hydrique, ou hydrotropisme, mais en général le sol étant plus humide que mouillé, il s'agit d'un hygrotropisme). Il s'agit de distinguer le mécanismes d'orientation des racines (et leur apex) d'un mécanisme sélectif qui conduirait à faire dépérir les racines qui auraient poussé egalement dans toutes les directions/zones sèche et humide. Si le mécanisme sélectif existe bien au fil des saison et années, un mécanisme d'orientation actif est montré. Les apex racinaires sont meme parfois montrés tapoter ici et là avant de croitre dans une direction. Les mécanismes moléculaires restent néanmoins tres peu connus/abordables.
-les feuilles réagissent aussi à l'humidité de l'air (hygrotropisme). Cela s'expllque facilement par la capacité de divers composés biologiques à absorber l'humidité et changer leur flexibilité, leur volume, ou leur conductance. Ces explications assez théoriques seraient à préciser.
-la turgescence des cellules, commandée par la teneur en eau sous pression dans le volume définit par la membrane cellulaire, corsettée par la paroi végétale, permet la tenue des tissus et le port des plantes molles. On peut voir des mécanismes de mesure des pression interne des cellules, de contact entre membranes/composant, menant à un sensibilité des besoins en eau. Ces explications restent assez théoriques.
> Exemples (peu d'exemples car ce type de sensibilité en appele plus à une sensibilité physiqeu que 'affective')
+d'exemples/page (à créer)
>sensibilité à des composés dans le sol
Chimiotactisme: ce mécanisme est essentiel pour la plante, à de multiples niveaux (cf exemples)
-dans les racines pour orienter les racines et leur activité en fonctions de nutriments et toxines
-en interne pour communiquer entre cellules, notamment pas le hormones (auxines,...)
-entre racines d'individus différente de meme espèce (sp colonies ou groupements +/- denses), d'espèces différentes, les fongi, bactéries et autres microorganismes, meme le insectes
>Sur les mécanismes qui permettent la sensibilité aux composé chimiques (chimiotactisme, chimiotropisme)
-divers mécanismes moléculaires sont bien décrits pour expliquer le chiotactisme dans de nombreux cas.
Tous recourent à des composés synthétisés par la plante qui captent ou sont modifiés par le signal chimique. Beaucoup opèrent par affinité, avec une fixation spécifique ou une famille de composés, au niveau de récepteurs membranaires ou des sondes et effecteurs intracellulaires (cofacteurs, enzymes). D'autres sont induits par une dépolarisation membranaire, un flux hydrique ou ionique transmembranaire, ... via des canaux, des récepteurs. Au signal/activation primaire s'ajoute le plus souvent une cascade de transduction du signal par des voies de signalisation intracellulaire pouvant intégrer, reguler le sigal originel en signal biologique: celui ci (messagers, interleukines) va agir dans la cellule vers des cibles-effectrices d'un réponse bochimique, voire via des homones à distance sur les autres cellules.
> Exemples:
-les légumineuses detectent des signaux des bactéries idoines qui formeront les nodosités racinaires necessaires à leur physiologie, elles réagissent et préparent l'infection... Les signaux sont typiquement chimiques (nutriments, bioactifs,...) sans exclure d'autres modes.
-les racines d'arbres notamment interagissent fortement avec les hyphes des champignons en foret notamment (80% des sujets). Ces interactions mycorhyziennes sont basée principalement sur des échanges de composés chimiques (nutriments, facteurs, hormones,...), un chimiotropisme. Certains composés peuvent aussi migres par le sol (diffusion, deplacement par l'eau) et non les racines et hyphes. Des communications directes plante à plantes sont possible (cas du parasitisme). La communication se transfere aussi entre les individus de meme espèce, et d'espèces différentes: il y a un communauté de la rhyzophère, dont une communication interindividus et espèces qui est considérable comme support d'un language et organisation de la population. Au risque de virer à l'anthropomorphisme, un arbre peut alerter ses voisins qui peuvent se préparer à réagir. L
-les interactions entre parasite et hote mettent en jeu similairement des composés porteurs de signaux à la fois positifs (signaux trompeurs pour l'hote) et négatifs (toxiques). Au niveau des racines, de tiges, des feuilles. Entre plantes (ex la lathrée paraiste les racines d'arbre des bord de revières), entre insecte et plante,... Le chimiotactisme est meme essentiel pour le parasite, qui meurt s'il ne 'trouve' par son hote. Les bactéries, levures, virus,... peuvent agir à ce titre en parasite, ou en symniotes.
-les interactions entre symbiotes et commensaux mettent aussi en jeu des chimiotactismes.
D'ici à parler de gustation pour les plantes...
>sensibilité à des composés dans l'air
>Sur les mécanismes qui permettent la sensibilité aux composé chimiques volatiles: "odorat" (chimiotactisme)
> Exemples:
Exemples des plantes 'qui sentent' l(ethylene) produit par des congénères situées au vent sous l'action du broutage par les animaux. Les plantes réagissent à l'éthylene en produisant des tanins qui réduit l'appétence des feuilles pour le animaux. Il y a comme une réponse individuelle puis collective participant a une protection de la population.
+/FrCu(/VieSecreteDesArbres): "les acacias, lorsqu'ils sont broutées par des girafes, commencent à émettre un gaz (de l'éthylène) en même temps qu'elles entreprennent d'augmenter la teneur en tanin - une substance toxique pour les animaux - de leurs feuilles. Les girafes se déplacent alors une centaine de mètres plus loin ou remontent le sens du vent, les autres acacias proches étant maintenant avertis du danger, pour recommencer à brouter tranquillement.
>sensibilité à la gravité
>Sur les mécanismes qui permettent la sensibilité à la gravité (géotropisme)
-Les stomatolithes sont de petits organites contenant un cristal qui induit, selon son orientation/pression sur les composés qui l'entourent, un signal.
Ce mécanisme perceptif intervient pour l'orienation des tiges et feuilles (geotropisme négatif) et des racines (geotropisme négatif). Le geotropisme evolue en fonction de la croissance des branches et racines, et interfère avec le phtoropisme qu idétecte la présence d'ombre/autres arbres qui seraient néfaste à la branche.
-Un autre mécanisme, d'ordre plus mécanique, doit intervenir: la partie inférieure des tiges de ligneux est montrée plus epaises/de structure différente. La colonisation des lichen et mousses serait meme impliquée (vidéo/ a retrouver).
> Exemples: (peu d'exemples car ce type de sensibilité en appele plus à une sensibilité physique que 'affective'
+d'exemples/page (à créer)
>sensibilité à l'électricité (et magnétisme)
Ce type de sensibilité est peut évoquée, car elle se prete peu -à priori- aux plantes dans les biotopes ordinaires. En fait, sans parler de foudre ou autres manifestations electromagnétiques ponctuelles (varaition du cahmp magnétique circumpolaire/aurore boréales), les charges électrriques se nichent partout dans la nature, et jusque dans les plantes comme un mécanisme de base dans la cellule (PS/depolarisation des mitochondries; translocation des ions (nota Ca2+,...); modification de charges electrique dans les vacuoles ou s'accuulent des acides organiques;...).
>Sur les mécanismes qui permettraient la sensibilité à 'electromagnétisme (piezotactisme, magnetotactisme)
> Exemples:
>sensibilité à la lumière
>Sur les mécanismes qui permettent une sensibilité des plantes à la lumière:
-les photorécepteurs sont très bien etudiés, meme si le mecanisme complet n'est pas suffisamment compris jsuqu'aux effets induits.
(chez les animaux: le ration entre 2 formes d'une sonde lumineuse détermine le besoin de someil, d'hybernation, ....)
-d'autres mécanisme plus physiques ne sont pas à exclure: la lumière peut indurer des substances (par réticualition, oxidation,...), colorer d'autres (oxidations), ... et donc pourraient changer le comportement des tissus, modifier l'épétance des plantes pour les insectes,...
-de facon plus générale, il est évident que la lumière via la photosynthèse peut modifier la concentration de certains composés et faire synthetiser par le métabolisme (et accumuler) des sucres ou acides, des tanins,...
> Exemples: (peu d'exemples car ce type de sensibilité en appele plus à une sensibilité physique que 'affective'. quoique...)
+d'exemples/page (à créer)
>sensibilité aux sons
En première impression, être sensible au son pour une plante ne parrait pas possible, ni necessaire. Vision anthropomorphe, s'il en est, que nous pourrons bousculer avec un questionnement tout aussi antrhopomorphe: pourquoi une plante n'aurait elle pas besoin d'entendre le bruissement de ses feuilles et de ses congénères, pour son simple bien être de vivre en société (la foret), ou pour sa survie à se préparer à l'approche de prédateurs (bruyants)? "La question ne se pose pas", répondra t on lapidairement.... (cf intro)
>Sur les mécanismes qui permettraient une sensibilité sonore des plantes:
-aucun mécanisme sérieux n'a été proposé pour expliquer la perception première du son par les plantes. Mais on peu imaginer qu'une membrane porteuse de charge soumie à un onde sonore (mécaniqe) peut induire des microsignaux électrique, qui pourraient etre filtrés et amplifiés pour devenir un signal biologique.
-il est plus de possibilité pour les mécanismes secondaires pour transduire le signal primaire induit pas le son. L'exemple de l'abeille/onagre suggère qu'une augmentation d'un métabolite (sucre) pourra médier un signal supérieur (accumulé) et opérant.
>Quelques exemples
La chercheuse australienne Monica Gagliano a montré (env.2010) que "lorsqu’on diffusait un bruit d’eau courante à des plants de maïs, leurs racines courbaient à vue d’œil : elles se rapprochaient de la source sonore.". Le commentaire qui suit devient très anthropomorphique; "Autrement dit : la plante repère l’eau qui est train de couler, sans la voir, ni la toucher ! C’était la première fois qu’on observait un végétal en pleine écoute." (/vigiflore201908). Ne peut t on pas faire l'éxpérience de diffuser un bruit artificiel d'eau courante?
L’Arabette de Thalius (plante fréquente jusquer sur les trottoirs des villes) "écoute pour mieux se défendre" : lorsqu’elle entend une chenille mastiquer ses feuilles, elle libère immédiatement des molécules toxiques" afin d’interrompre l’agression. La plante répond spécifiquement au prédateur.". .
Le Glossophage de Pallas (une espèce de chauve-souris cubaine): Certaines fleurs sont capables d’appeler les chauves-souris : les chercheurs ont découvert qu’une fleur de vigne avait adapté la forme de sa feuille de manière à ce qu’elle puisse renvoyer les ultra-sons à l’oreille de la chauve-souris pour indiquer sa présence. Grâce aux appels de la feuille de vigne, la chauve-souris peut en visiter deux fois plus en une nuit et la plante gagne un pollinisateur efficace… Un bel exemple de synergiie.
(équipe israelienne) Les chercheurs ont diffusé les bourdonnements d’abeilles mellifères dix centimètres au-dessus d’une centaine d’onagres, une herbacée aux petites fleurs jaunes. Résultat : la production de nectar a explosé et en à peine trois minutes, la concentration en sucre des plantes a augmenté de 20%. Cette technique permet à la fleur d’attirer d’autres insectes pour peu qu’elle en ait entendu un seul, et ainsi disséminer efficacement son pollen. L’équipe a reproduit l’expérience en enlevant un ou plusieurs pétales : la fleur ne réagissait plus au bourdonnement. Les pétales des fleurs feraient donc office d’oreilles.
+d'exemples/page (à créer)
*Les plantes dotées de mémoire?
Cette affirmation ou assertion est tout à fait soutenable au niveau du sens des mots. Toute structure est une forme de mémoire dans l'environnement. Ne parle t on pas de mousse à mémoire de forme?
Même en prenant le terme mémoire dans un sens plus humain, du moins fonctionnel, il est clair que le fonctionnement d'une plante emmagasine mille informations qu'il utilise pour réagir plus ou moins rapidement ou de facon différée.
Exemples: Par l'allongement du jour au printemps est mémorisée en dépit de quelques jours courts. Une exposition sonore, qui nous semblera sans importance pour une plante, modifie néanmoins la physiologie de cette plante. ...
On comprends comment de telles mémoire végétales peuvent se produire, dans certains cas du moins avec divers mécanismes au niveau cellulaire (accumulation de composés, hormones,...) et moléculaire (photorécepteurs, modification épigénétique,...).
La plupart des protéines bioactives font intervenir une affinité defixation sur un/des partenaires. Cette reconnaissance sépcifique consititue en soit une forme de mémoire moléculaire, puisque ces molécules sont codées par des gènes (information stockée) et exprimées en fonction des besoins pour agir adéquatement.
Diverses modifications des gènes dites postraductionnelles (PMTs) modulent leur activité (et surtout celles des proteines qu'ils produisent, en activité, localisation, spécificité,...). Dans certains cas, la séquence des gène eux meme peut etre mdoifiée (cas de l'immunité/maturation des ac)
peuvent etre de vie assurément conditionne leur expression à venir et donc le comportement de la plante. On pourra dire que c'est la manifestation d'une mémoire.
*les plantes communiquent? ont une intelligence collective,...
Les plantes auraient un système de communication perfectionné, une intelligence collective,...
La capacité de communique est ensisagée
-d'ordre chimique (cf chimiotactisme): c'est le mécanisme le plus aisé à considérer pour expliquer une communication d'information entre indicividus (à l'instar de le communication entre cellules/dans l'individu), et meme logique/probable (déjà reconnue au titre de la sensibilité au composés chimiques, dans la rhyzosphère, entre hote/parasite et symbiote/hote,...)
. Néanmoins
-d'ordre electro(magn)étique. mécanismes peu évoqué bien que soutenable. On n'identifie certes pas d'activité electrique homologue au neurones, mais... (cf piezotactisme):
-d'ordre inconnue... des conceptions plus ou moins ésothétiques.
Exemples:
-le 'Wood Wide Web' correspond à l'ensemble des communications, essentiellement chimique, dans le sol / rhysosphère connectée entre toutes les plantes d'un population (cas de la foret). Décrit comme un réseau souterrain des plantes, on peut y voir une organisation intélligente collective qui fait que la foret ne se comporte pas comme la somme des individus isolés. On peut y ajouter les composés volatifs émis dans l'air, car les odeurs végétales qui nous sont chères, ne sont sans doute pas que pour nous etre agréables (ou desagrables)! Et car on s'appercoit que tout sous produit de la biologie est recycle et source d'information ou retroaction. Les odeurs d'aromatiques sont bien reconnues un moyen de protection comme certains animaux (prédateurs), ou comme agent desinfectant (contreles infection bactériennes ou fongiques), ou comme agent d'attraction (des pollinisateurs)
+/FrCu;
*Timidité des arbres /
cf FrCu (/timidite-des-arbres-comment-communiquent-les-plantes)
* Comportements
*Comportements et stratégies particuliers pour la pollinisation, le parasitisme, la locomotion, ...:
* Thanatose: Face à une menace, certains animaux adoptent un comportement particulier, la thanatose, qui consiste à se laisser tomber ou rouler sur le dos, simulant ainsi leur propre mort. Ex certains coléoptères (Coccinelles, Scarites, Chrysomèles) qui replient leurs appendices. Par ce moyen de défense, la proie désintéresse ses prédateurs, ces derniers préconisant les proies vivantes. +/wiki: Thanatose.
*Stratégies de défense passive: le camouflage, le mimétisme, la toxicité et la défense active, épines,...
* Défense chimique: odeurs, phéromones (souvent doublée de couleurs vives/avertissement visuel (infra aposématique)
ex chez des coléopères (coccinelles, des cantharides et les lycides)
* Aposématique: stratégie adaptative qui envoie par une coloration vive ou contrastante un message d'avertissement: +/wiki: posématisme. ex chez des coléopères (coccinelles, des cantharides et les lycides); grenouilles/crapaux tropicaux; ... Chez les végétaux aussi (mais effet opposé à l'attraction).
* Camoufflage: +/wiki: Camouflage
* attributs physiques comme des épines ou des protubérances qui aident à se défendre et rendent peu attrayants pour d'éventuels prédateurs.
*Stratégies de défense active:
* Plus petits et plus grands ou forts - animaux (par familles)
Le Titan, Titanus giganteus, est candidat au titre de plus gros coléoptère du monde, avec une taille dépassant les 16 cm. Le plus petit coléoptère, et le plus petit insecte libre (non parasitoïde), est Scydosella musawasensis (en) qui fait à peine plus de 0,3 mm de longueur. [/wiki]
Les larves du scolyte rouge Cucujus clavipes sont capables de résister à des températures variant de -40 °C à -58 °C, et même jusqu'à -100 °C. grâce aux capacités de déshydratation et aux molécules antigel dans l'hémolymphe [/wiki]
Le plus fort scaravbée est probablement le petit bousier Onthophagus taurus, qui peut tirer une charge de 1 140 fois son propre poids15. Les mâles de Lucanus cervus, suspendus par leurs mandibules à un support, ils peuvent résister à la traction d'un poids de 200 g, ce qui équivaudrait à une charge de 10 tonnes pour un homme de 70 kg !16[/wiki]
Le coléoptère qui court le plus vite est le scarabée tigre, Cicindela hudsoni, fonçant à 2,5 m/s, soit 9 km/h, pour un rapport vitesse/taille d'environ 120. Le rapport de l'espèce plus petite Cicindela eburneola atteint 177, ce qui en fait un des animaux les plus rapides sur Terre si l'on prend en compte la vitesse relative à la taille. Sur l'eau, l'insecte nageur le plus rapide est le gyrin tourniquet, avec une vitesse de 80 cm/s, soit près de 2,9 km/h (ce qui donne, à rapport vitesse/taille égale, 750 km/h pour un homme de taille moyenne). L'insecte à la plus grande longévité appartient à la famille des buprestes (47 ans passés à l'état de larve).
Les insectes sont plus proches de crustacés que des myriapodes (mais s'en seraient rapprochés par convergence; ou parphylletie). On les caractérisent par un corps en 2 régions (tete / thorax / Abdomen a 1 segments), 6 pattes (mais d'autres hexapodes: entognathes). On les scindent en 2 ou 3 sousfamilles, distinguons juste les moins évolués 'Apterygotes' (2 sous groupe: Archaeognatha et Zygentoma. ) et les plus évolutés 'Ptérygotes' (ailés), mais coté pratique/plus détaillé retenons les 11-25 groupes définis avec un base ppal des 11/25 ordres definis sur une base phyllogénique, et les 18 de moineaudeparis:
[11ordres] Insectes?=Endopterygota > Megaloptera / Raphidioptera / Neuroptera / Colepotera / Stepsiptera / Diptera / Mecopetera / Siphonaptera / Trichoptera / Lepidoptera / Hymenoptera . Mais d'autres classif montent à 25 ordres/wiki: ++ avec noms vernac, photos):
[18ordres] /moineaudeparis: bon compromis scientif/s'y reperer avec 18 groupes avec exemple et photo et pt descriptif, ouis 1 page avec aprofondissment par 1 ou qq articles/datés (?ailleurs) +++ Ces 18 groupes sont repris sur les 11 ci dessus ou a suivre avec (?) s'i pas encore raccrochés à un des 11
[60 fiches/insectes/myrmecofourmis]: présentation simple et clair avec 1 photo de 60n d'insectes remarquables, puis fiche approfondie. +++
rem: . phyllogenétiquement, on regroupe 1à3+à4/5/6à8/ sont (ptérygotes>néoptères) les 6à8 sont ...
>1: Megaloptera: (3 familles: Sialis, Corydalidae, Chauliodidae): physionomie de libellules 'veillottes'...
>2: Raphidioptera (2 familles: Inocelliidae, Raphidiidae): Physionomie de libellule à long cou, aile tranp mais le long du corps
>3: Neuroptera ( Planipennes): 2 ssordres: Hemerobiiformia/ex Chrysope, Myrmeleontiformia/ex Nemopera; ont des yeux simples, pattes et mandibule plus longue que leur tête
>4: Coleoptera (coléoptères): Scarabées, Carabes, Coccinelles, Staphalins, Charancons,...: 387 000sp. +/infra; Scarabées, Carabes, Coccinelles...
(ptérygotes>?néoptères + ?)
>5: Stepsiptera (strepsiptères): genre de pt mouches parasites à grandes antennes lamellées et 1 paire d'ailes qui semblent tordues+halteres.
>6: Diptera (Diptères: mouches, , l syrphes, moustiques, taons, moucherons, ...): 150 000sp., ont une trompe et sont copro, envro, phyto-phages. 1 sous ordre à antennes filamenteuses et ailes +to arrondies(tipule, chironomes), 1 ss ordre a antennes courtes/massue et ailes plus typées/design (triangulaires, asymetr.) (mouche s.l.) +/wiki Diptera++; /Mouches, Moustiques, Syrphes...
>7: Mecoptera (panorpe=Mouche scorpion): rostre, abdomen pointu recourbé,... (2500sp; 3 familles: Bittacidae, Boreidae, Panorpidae +/wiki Mecoptera;
>8: Siphonaptera (Syphonoptères: puces s.l. sans les poux!): tous ectoparasites (siphono-tube suceur), 2500sp en 2 ss groupes 2 ss groupes selon l nb de fossettes 8-14 (Pulicoidea: 2genres) ou 14-16 (Ceratophyllus du chat, rat, poulet,...)
>9: Trichoptera (trichoptères: Phryganes): ressemblent (et apparentées) aux lépidoptères mais ailes à poils (et non ecailles), et aux sialis (qui ont ailes transparentes); et sont adaptés à la vie aquatique (larve en un fourreau de pierres et/ou de brindilles); 2 ss groupe a tete courte&large ou pt,... +/wiki Trichoptera
>Lepidoptera (papillons, mites): ailes à écailles, metamorphose complete (à 4 stades: œuf, chenille, chrysalide et papillon).+/wikiLepidoptera, et Papillons et leurs chenilles
>Hymenoptera (guepes, abeilles,...): ailes couplées en vol (hymen), cou trs mince/tete mobile. pas d'étranglement du thorax/abdomen chez les moins évoluées (Symphytes), etranglement avec un metathorax court et soudé chez les Apocrites (subdivisé en Térébrants (essltmt parasites: tarrière pour pondre; antennes à 10-+50 articles) et Aculéates (tarrière transformée en aiguillon; antennes à 12articles(13/male); phytophages, pollinisateurs et qq prédateurs(Pompiles, guêpes et fourmis)). , phytophages1, des pollinisateurs et une large part d'entomophages. Eusocialité (seuls avec les termites). 1à5 millions d'sp. +/wiki, Abeilles, Guêpes, Bourdons, Frelons, Fourmis...
(ajout aux 11)
>https://fr.wikipedia.org/wiki/Blattodea (Blattoptères: Blattes(=cafards, cancrelats,...) et termites(isoptères); 6000 sp.; auraient une parenté avec les mantodae=. Eusocialité des isoptères. Les blattes sont omnivores (xylophage ou necrophages) +/wiki Blattodea>isoptères; Blatoptères)
&?a replacer sur les 11 ci dessus, sans remonter aux 25ordres (trop impt a distinguer/retenir)
?orthopères (grillons et sauterelles, criquets) +/infra
?Scarabaeidae : Scarabées (ou y inlcue en genl
?Grylloblattodea (grylloblattes) ordre Dermaptera (perce-oreilles)
?Blattoptères: ( Blatoptères: termites). Eusocialité.
?Dermaptères ( Dermaptères : Forficule, Perce-oreille)
?Hephemeroptères ( Ephemeroptères : Ephémères)
?Heteroptères (Hétéroptères : Punaises...)
?Homoptères: ( Homoptères : Cigales, Pucerons, Membracides... )
?Mantoptère: (Mantoptères : Mantes) Sont classés souvent avec les Dyctioptères.
?Megaloptères ( Mégaloptères : Sialis, Raphidies...)
?Nevroptères (Chrysopes, Ascalaphes, Fourmilions...)
?Odotonates: ( Odonates ou Odonatoptères : Libellules et Demoiselles)
?Plécoptères: (Plécoptères : Perles.)
* COLEOPTERES > (Sthaphalins, Charancons,...)
Caractérisé par une anatomie en 2 parties (tete/corps) car le thorax formé de 3 subdivision (prothorax, le mésothorax et le métathorax) soudés en un ptérothorax (ou ptérathorax), est lui-même soudé à l'abdomen. Pattes en 3/7 parties (coxa/trochanter, fémur, tibia et tarse(segmenté en deux ou cinq articles) + griffes (voire poils/dytiques), parfois élargies et épineuses d(pour fouiner/creuser: scarabées), à fémurs plus larges (pour bondir: altises). Parfois il y a perte de la capacité de voler, voir des alles et élytres (Phengodidae et des Lampyridae)
STAPHALINS (elytre couvre 1/3 du corps; des cerques) plutot petits (1-20mm)
CURCULIONIDES (dt CHARANCONS) (on un museau 'rostre',; antenne a angle droit avec 1r article long(scape)) plutot petits (1-35mm)
CERAMBYCIDES (Cerambycidae): cad les CAPRICORNES ou longicornes (25 000 sp): caractérisé par longues antennes ("cornes"), dont la taille dépasse celle de leur corps, particulièrement chez les mâles (ou moyennes chez des floricoles); et par des pates/ tarsale 4-4-4. Selon les remaniement de cette famille, on distingue actuellement:
Lepturinae = Lepturiens (familiers)
Cerambycinae = Cérambycinés (familiers)
(+/- controversé, autres famille que les cerambycides): Disteniinae, Lepturinae, Necydalinae , Oxypeltinae, Parandrinae, Spondylidinae, Vesperinae
* ORTHOPTERES > ()
Ont 1 paire d'aile parallèle au corps: il y a 2 sous groupes: les ensifères (grillons et sauterelles) et les caelifères (criquets).
papillons
/FFMC.
libellules
/FFMC.
criquets&co
/FFMC.
Cigales
/FFMC.
crapauds
/FFMC.
tritons
/FFMC.
serpents, tortues
/FFMC.
/FFMC.
rongeurs
/FFMC.
insectivores
/FFMC.
herbivores
/FFMC.
carnivores
/FFMC.
chiroptères
/FFMC.
rongeurs
9 groupes/FFMC
* FFMC: http://www.fauneflore-massifcentral.fr/botanique/index.html
Super pour la Flore & Faune d'auvergne, Limousin,... avec fiches par plantes ou animaux, groupes, et meme clés de déterminations (mais svt abscons; pdf)
Entomologie(insectes: papillons, libellules, criquets&co, Cigales)
Herpetologie(crapauds, tritons, serpents, tortues),
Malacologie(Limaces, escargots, bivalves d'eau douce)
Mammalogie(rongeurs, insectivores, herbivores, carnivores, chiroptères)
Mycologie (9 groupes)
Botanique (Ptéridophytes, Ligneux(a epine, a feuille, boissons), herbacées à corolle, Aquatiques, herbacées(graminées, laiches, joncs)