Plan: Outils de verif d'identité des personnes | Techn de sécurisation de docs |
Demander un preuve d'identité ne prévient pas d'un risque mais a)un refus d'en fournir indique un risque 2)le personne qui aura usurpé une identité sera passible d'infraction (article 323-7 du Code pénal), meme avec l'usage d'une adresse courriel (à la condition pour la victime de démontrer son préjudice).
Synthèse des moyens de vérif dispo: avec CNI (ou passeport), compte bancaire, attestations (de résidance/edf&co,... et au pire de tiers)
1) avec le n° CNI: juste vérifier que 12 chiffres... On ne peut à priori lancer aucune vérif, sans passer par la police/gendarme sous raison pblm de sécurité.
2) avec la CNI scannée: verif visuelle de police à point(si résolution suffisante!), 36car par ligne de la ZLA; et autres visuels de sécu (disposition, infos texte, ...), plus les infos texte si cohérentes avec d'autres infos: age, lieu naissance, taille,
3) avec la CNI en main: s'ajoutent la possibilité d'ausculter la carte inclinée (?irrisations cf+/idcheck & co), sous UV (apparition de points vert et rouges, pictos,..//verifici) et sous IR (disparition de ...)).
4) si raison de sécurité, la police/gendarmerie; ou si raison de fraude le CRGF...
-la vérif identité est autorisée pour les commerçants, même obligée pour svc financiers, x, et qd svc conditionné à l'age/sécurité. En dehors de ca, pour donc un particulier qui souhaite vérifier l'ID pour prévenir d'une fraude (//commercant) ou informer d'un individu à risque(//police), libre à lui de capturer des infos et les vérifier avec les moyens dispo/publiques, voire privés/payant (sensé etre plus pointus, mais sera tjrs faillible ou du moins non officiel).
-le refus de se soumettre à un controle d'identié(police) est passible d'infraction
-l'utilisation d'une Identité d'un tiers (CNI) est passible d'infraction (?pénale).
*Notes/détails:
Divers outils/site privés de vérification d'identité qui peut servir au particulier (pour prévenir de fraudes,...) se trouvent sur web (ou sociétés installées), en genrl payants. Divers donnent des trucs/astuce&infos utiles pour de 1eres vérifications maison.. de qui rassurent, incitant à vouloir vérifier plus sérieusement avec le svc proposé payant. Car ca reste limité en ligne, sans le doc (CNI) en mains,.... En fait seules la police et gendarmerie (et douane) est habilitée à un 'contrôle d'identité'(nom de la procédure officielle et usages.../gouv, +en pratique ici.).
Le site https://fr.idcheck.io/ donne plein d'infos claires et complètes sur le controle-identite de personnes: le type de documents utilisables, les technique de sécurité, ... A prendre comme une expertise privée qui semble honnête (car fournisseur en fait de svc payants aux entreprises:). Bcp de soln basées sur l'analyse d'image, d'une CNI scannée (appli/smartphone - dit la qualité de la capture), puis controler les infos de ce doc (périmé, ZLA fausse,...), voire confronter une vidéo du vivant à des docs de référence (CNI,...).
De plus on peut y tester (gratos à priori/création de compte), une verification-document/, une reconnaissance faciale ou en vidéo % CNI ici
Autres sites de control ID +/- louches: https://verifici.fr/ : verif de CNI sous UV, vérif de police caractères 'à point', puis verif de mrz/zla(service payant, louche car le cryptage est sensé etre hyper complexe/pas livrable aux privés! ou alors en accès publique! ne fct pas pour Corse et DOMTOM (?!) )
*Importance des fraudes:
/archmag: 3 à 6 % des documents délivrés serait volés/usurpés. Ca couterait 20Mid€ en Fr (dont 17 pour l'assu chomage)..
Si la carte d’identité est perdue ou volée, le réflexe à avoir est de le signaler via Docstop.
(/gouv/docs admins)
-l’apposition d’un cachet électronique visible (CEV) notamment sous la forme du code à barres « 2D DOC » sur les documents (factures, attestations, bulletins de salaires) : pour les gd groupes qui pourront ainsi vérifier l'authenticité des doc fournis par les clients
-généralisation du système COMEDEC, désormais obligatoire d’ici fin 2018 dans les mairies/doc admin
-système « DocVérif » du statut d’un titre d’identité (titre effectivement délivré, non périmé, ni perdu, ni volé)
-sensibilisation et la formation descollgues/voisinage
*Techniques de sécuration des docs:
(/idcheck.io)code-bare ZLA, Encres spé, Police à point, code bares D, mé,thode et µ impression, puces, eclairag (j'ajouterai µperfo lasr//Inpi; ...)
*Acteurs pour lé sécurité et ou l'analyse des docs
FiaNet, Jouve, Itesoft,
* Eviter l'usurpation d'identité
Super conseils de www.monster.fr (Kroll's Fraud Solutions): ca revient esstlmt à bien sur éviter de diffuser des informations confidentielles personnelles (ICP), nota sur web (1), diminuer l’accès aux ICP (supprimer les options de connections...), et améliorer leur sécurité en s’efforçant de changer la manière dont nous partageons, recueillons, conservons et supprimons les données (changer de temps en temps les mdp, voire identifiants, changer d'opérateurs tel ou fourn). Par ex, ne pas donner la date naissance complète sur un CV; ...
(1)les hackers opèrent souvent à partir d’informations glanées en ligne.
Ici est expliqué qu'obtenir toutes les ICP peut être artisannal, cad commencer avec seulement nom prénom date&lieu de naissance (et evtlmt filiation,...), puis récupérer l'accès au compte bancaire (avec un relevé bancaire récupéré en fouillant les poubelles; en effet les banques la date lieu naissance), ou pour se procurer sa fiche d'état civil.
* Un fois usurpé:
D'abord déposer plainte au commissariat de police ou à la gendarmerie la plus proche (seule façon de montrer votre bonne foi). Eventuellement plainte directe auprès du Procureur de la République. Puis prévenir la banque et vérifier si des transactions frauduleuses ont eu lieu. Il est conseillé de faire opposition sur les cartes bancaires et les chéquiers. fChanger les mdp (voir identifiants).
Ensuite: vérifier si vous n'êtes pas fiché à la Banque de France. Contacter votre assureur si vous avez souscrit une assurance couvrant les cas d'usurpation d'identité.
Coté des créancier antérieurs abusés, ou nouveaux indésirés: régler l’affaire à l’amiable avec les créanciers... et si ceux-ci n’en démordent pas, il est possible de faire un recours au civil si on considère que "l’entreprise a accordé un crédit ou un abonnement avec trop de légèreté dans sa vérification".