PLAN: Apercu synthétique ( réflexion critique )
Regard historique, par pays, ...
Synthèse: choix d'une transition énergétique raisonnée
Liens/autres transitions écologiques (batiment, communication,...)
Back to Energie(Appliquée)
Améliorer la situation énergétique passe assurément par éviter le gaspillage (dont plus d'efficience, de sobriété) et par une combinaison pertinente des techniques de production déjà existantes, quelles soient historiquement bien opérationnelles en production de masse (les energies fossiles petrole/charbon/gaz et nucléaire, et l'energie hydraulique qui est la seule ENR réellement mise en oeuvre), ou qu'elles soient plus récentes (gazs de shiste, et les ENR PV, éolien, la Biomasse), sans oublier des énergies mises en œuvre plus ou moins marginalement (marémotrice, géothermie) et celles en développement notamment ENR dont le potentiel et pertinence en solution aux problèmes actuels est les plus pertinent. Il s'agit dadapter les solutions selon le contexte local mais aussi global, géopolitique et temporel (gestion dans l'espace, dans le temps et la durée, et fonction de l'environnement et proximité de consommation). En visant à
. réduire l'utilisation d' énergies fossiles volontairement dès que c'est possible techniquement même avec un surcout (raisonnable qd meme), sans attendre que cela s'impose par des instabilités premisser de l'épuisement de leur ressources (même pour le nucléaire: prévu fin du 21eme siècle!), aussi (et d'abord!). Il s'agit de limiter le dérèglement climatique, mais aussi des pollutions (en mer) et dérives sociopolitiques (conditions de travail; corruption;...).
. développer activement les énergies renouvelables, qui sont très variées selon les situations, en favorisant les productions locales, qui réduisent les travers des solutions de stockage et de transport requises par les énergies produites de facon massive et centralisée. Il s'agit de fonder un développement durable, deconcentrer la production, autonomiser la production et la connecter plus directement à la consommation, délocaliser, créer de l'emploi,...
. augmenter la neg-énergie (économies énergétiques) par a) l’amélioration de l’efficacité et l'efficience énergétique, mais surtout a) par la chasse au sources de gaspillage qui sont multiples et importantes en dépit d'une prise de consciences et d'efforts émergents mais insuffisants, car compromis par un manque de volonté politique, des habitudes ou blocages individuels (et psychologiques), sociaux (ou culturels),... . conjointement à la lutte au gaspillage, c'est 3) une sobriété énergétique globale qu'il s'agit de développer, intégrant la sécurité et les risques mais aussi le niveau de confort/progrès ce qui passe par un changement des modes de développement et culture.
Parmi les solutions énergétiques les plus potentielles et réalistes à prioriser,
A-Les techniques de solaire thermique sont largement l'én.verte la plus mes-estimée et sous-valorisée, concurrencée par le solaire PV plus attractif dans le contexte actuel bien que qu'avec ses travers (cout supérieur, pénurie de silicium et terre rares, fuite en avant de consommation électrique,...). Le solaire thermique est à privilégier à peu près partout, même en régions froides, pour diverses raisons: parce qu'il adresse plus directement le poste de consommation principale (chauffage) avec une excellente efficacité (primairement 99% et opérationnellement >70% - contre 10-20% en PV et 20-70% en fossile classique), meilleure efficience (locale; sans négliger les possibilités de stockage de chaleur), couts très ou plus faibles (d'investissement, de fonctionnement).
Notamment le chauffage solaire de l'eau et de l'air, en arrêtant de le voir comme une technique accessoire ou trop simple et intermittente: le stockage de chaleur étend les applications de facon que peu de personnes réalisent, car allant du journalier à l'intersaisonnier. Cette technique, notamment à 'basse température' (typiquement sur les toits), doit satisfaire 70-90% du besoin local en chauffage (qui compte en moyenne 2/3 de la conso énergétique!) si elle est mise en œuvre de façon généralisée ce qui est aisé car l'investissement est (ou devrait être) très faible (ce qui allège d'autant celui requis pour d'autres modes de production). Avec du stockage intersaisonnier de la conversion thermodynamique (en électricité) c'est meme 100-150% d'autonomie en chauffage que l'on peut prétendre couvrir sur les besoins locaux en région tempérée à froide, voire aussi en électricité spécifique, et plus avec de la production d'electricité continue en région chaude.
Pour de la production de masse, il faut passer à du solaire thermique+TD haute température (centrales à concentration), et mieux encore avec cogénération chaleur & électricté, sur les sites adaptés.
B-Les autres techniques d'énergies vertes plus popularisées ou identifiées, telles que hydroélectricité, éolienne, géothermie et biomasse doivent être mises en œuvre dès que la situation s'y prête particulièrement (site adapté, proximité de consommation,...)
En France, nous avons la chance d'avoir un fort potentiel hydroélectrique (déjà équipé à ?90%) et éolien (en début d'équipement, alors que l'Allemagne à commencé bien plus tot), mais aussi hydrolien (moindre que UK) et photovoltaique (moindre que l'espagne). L'extension de ces équipements est à faire en fonction des couts d'investissement, des enjeux concurrents (pressions esthétiques et touristiques,...)
Le potentiel géothermique et de biomasse ne sont pas à négliger non plus... notamment en cogénération (chaleur + électricité).
Il est déplorable de constater le faible du développement de ces énergies vertes en France comparé a ses voisins relatif à leurs potentiels respectifs (notamment en éolien). Des blocages politiques et industriels, parfois culturels, sont à corriger!
C-Les technique photovoltaiques sont les plus en vogue, et fort importantes à mettre en œuvre, mais en tenant plus compte d'alternatives (en synergie-co-génération- ou complémentarité-dans le temps/espace-), notamment solaire thermique, peut être ainsi de façon moins extensive et systématique, compte tenu de son cout d'investissement et amortissement, et de risques souvent minorés.
En PV domestique, l'efficience et la pertinences sont souvent surévaluées (cout/ ROI, pertes stockage et transport). Un dimensionnement plus flexible ou limité (non lié aux subventions, intégration en toiture), mais surtout un meilleur panachage vers du solaire thermique seraient souhaitables.
Le PV sur les toits d'établissements individuels ou d'industriels et agricoles est probablement le créneau le plus pertinent. Au delà de dimensionner les panneaux solaires et installations aux seuls besoins locaux diurnes (le réseau apportant le complément nocturne) et le pour une autonomie aussi nocturne (avec stockage - solution chère et critiquables/pas toujours pertinente), le sur-dimensionnement (valorisant toute la ressource de surface disponible, substitution/constituant la toiture) est a favrosier avec revente/stockage au réseau, sans travers liés aux subventions.
En centrales PV, l'efficacité est un peu plus favorable encore, mais des limitations augmentent ou apparaissent: cout d'investissement, incidences environnementales (paysages, modifications d'hydrologie, albédo,...), baisse de rendement par surchauffe des panneau sans système de de refroidissement. Il s'agit de privilégier les sites à forte insolation comme les déserts, la proximité des lieux de consommation,... avec des installations complémentaires adéquates: refroidissement/cogénération de chaleur, récupération de pluie, entretien/dépoussiérage des panneaux, transport électrique efficient,...
Les inconvénients et risques sont largement sous-considérés: couts et pertes énergétiques dans les solutions de transport électrique, de stockage électrique; d'entretien des infrastructures et nettoyage des surfaces; vieillissement/renouvellement des panneaux, cout de recyclage et pollution amont (extraction) et aval (recyclage); risque de pénurie de certains éléments; couts écologiques toujours difficiles à apprécier, ...
Le PV reste une solution fort intéressante et fort potentiel, dons on peut déplorer le plus faible développement en France comparé à ses voisins, à meilleur potentiel (Espagne) ou moindre (Allemagne, PaysBas). Des blocages politiques et industriels sont à corriger!
D-Il semble nécessaire de continuer à exploiter les techniques de productions massives à combustible fossile (dont nucléaire), pour assurer une transition energétique sans devoir compromettre trop brutalement notre niveau de vie (car quasi "personne" ne s'y send prêt, ou en le courage, ou le souhait). l s'agit d'en minimiser l'emploi au maximum... sur le applications les plus pertinentes, en priorisant les formes les moins nefstes (D1), et envisager des techniques innovantes qui en limitent l'impact D1.
D1-Des techniques novatrices de productions de combustibles fossiles moins nocifs existent, encore confidentielles ou mineures, qu'il s'agit de developper: c'est notamment le biogaz et nouveaux gaz: méthane, Hydrogène,... , meme si chqcune de ces filières ont leur limitations ou nuisances, ou immaturité. Voire leurs atouts/inconvénients spécifiques page Energies (ENRs) et rappelons ici plutot les atouts généraux:
-les gazs par ex s'articulent aux technologies actuelles, pour le stockage (biogaz), pour leur utilisation (par les moteurs thermique, ... )
-ils sont faciles à stocker et distribuer, ce qui les rend pertinents selon les utilisations en autonomie, pour les transports (voiture, PL, avions), ....: chaque type de combustibles fossile à des atouts et inconvénients relatifs, selon qu'il est solide (charbon) ou liquide (nota pétrole), ou gazeux: pour ces derniers par ex il faut des réservoirs particulierement équipés (pression, detendeurs, detecteurs de fuites,...). mais le transport de gaz à distance est aussi plus aisé une fois l'équipement fixe installée pour des utilisations en point fixe (réseau gaz de ville; gazoducs et oleoducs); Le mazout est plu stable et moins inflammabilité et à l'inverse le kérosène (qui en fait un atouts pour les fusées et avions)..
-il sont générables depuis des sources variées: la biomasse (meme non nobles: déchet: valorisation), les combustibles fossiles solides, et même l'électricité (rdt ?50-60%) : au delà du gaz fossile (traditionnel), il y a les gazs de valorisation à partir de la houille/lignite/charbon > coke (qui fut d'ailleurs à l'origine du development du gaz de ville entrainant le gaz fossile), les biogaz (de biomasse fermentée, couplé à l'agriculture, aux déchets -cultures bactériennes spécifiques-); et enfin les gazs de conversion (par crakage de produits pétroliers; jusqu'à la produciton d'hydrogènes); et surtout la conversion d'électricité en hydrogène à partir d'eau par electro-hydrolyse, ou biogénéré (algues, bactéries).
-L'excellente densité énergétique de beaucoup de gazs (l'hydrogène en particulier) rend les gaz pertinents dans les applications de puissance. D'ailleurs les 2/3 des besoins de pic d'energie sont assurés par les combustibles, ce qui rend compte de leur necessité logique comme solution pour la transition. En regard de la limite de éléctricité comme seule solution (qui n'est pas aussi pilotable "à la demande en temps réel" que les combustibles (qq heures à jour pour démarrer des centrales thermique et nucléaires).
-le biogaz se combine très bien pour valorisier les déchets organiques urbains et agricoles. C'est à cet égard une appli majeure à favoriser: chauffage des habitations, engins agricoles et même VehiculesLegers. Par contre il ne s'agit d'en faire une production de masse agricole qui recruterait des surfaces en concurrence avec l'alimentation (ex 4% en Allemagne), ou l'eau ( contre-indications dans certaines régions (chaudes/sèches; très peuplées; ...).
D2-Les techniques de productions massives actuelles, avec combustible fossile (dont nucléaire), sont à débrayer progressivement en fonction de la situation, de facon à ne pas accaparer les efforts d'investissement et de développement afin que pouvoir enfin prioriser ceux sur les ENR, et garantir les enjeux de sécurité et durabilité s.l. (dont d'autonomie, pollution, économie amont/aval,...):
Ainsi du nucléaire, qui en France assure 75% du mix énergétique mais a accaparé et pourrait continuer à trop mobiliser d'efforts en développement ou simplement rehabilitation/poursuite du parc actuel vieilli: il s'agit de mieux considérer les couts cachés amont et aval passés et futurs, les risques, en relatif des ENR. Au final, il parrait clair qu'il faudrait plus fermer de centrales qu'en maintenir/réhabiliter, pour dégager des ressources de devlpmt sur des ENR plus pérennes, plus riches en emploi,...
Ainsi du charbon comme poussé en Allemagne comme palliatif en attendant l'essor des ENR (PV, Biomasse, Eolien). Les ENR reçoivent ici un effort bien plus significatif d'épanouissement et développement. En chine le charbon est encore plus présent mais les efforts de dvpmt des ENR semble très insuffisant, d'autant qu'i existe un potentiels en hydroélectrique (?reste un fort potentiel de sites non équipés) et du PV (forte capacité de production PV et d'équipement de surfaces).
Ainsi des gaz de shiste qui ont été poussés aux USA-exagérément-, malgré des effets environnementaux desastreux sous la pression des lobbyes et industries. Un effort réel sur les ENR avait pourtant été initié (centrales PV et Thermiques, Algues, ...), conséquent mais qui reste très insuffisant en proportion des potentiels et intérêts environnementaux et enjeux de pérennité.
E: le tout électrique n'est pas une solution (pas plus que le tout petrole ou tout PV ou ...). Il faut voir ses applications les plus pertinentes, ou l'électricité n'est pas remplacable ("electricité spécifique") ou au prix d'inconvénients bien supérieurs (souvent délocalisés)! Et celadépend du contexte!
Ex les vehicules électriques se developpent comme un solution interessante, pour les particuliers, et pour les parcs de vehicules internes d'entreprises. L'application au transport long distance n'est pas évident (necessité d'infrastructures de recharge; temps de recharge; cout et pollution des batteries;...). Idem des camions electriques: celui de Tesla transporte 4tonnes de batteries, ce qui pose un problème (ou plutot des limitations) quand au poids ajouté au transport, mais aussi de temps/puissance de charge (?surconsommation pour des fret pas lourds ou au contraire lourd, et nota sur certains types de trajets nota long et plat/montagneux).
K: le captage de CO2 : pas un approche globale possible, mmeme si soln faisables de couches géologiques. . Ok comme solution locale, pour une emission de CO2 industrie (mais guère/pas pour du domestique), mais ca coutera plus cher que ne pas les emettre. Pertinent pour les ciments, industries chimiques,... mais c'est du recyclage (et faire du e-gaz), et non du stockage (ne permet pas de réduire le taux de CO2 atmosphérique).
Une difficulté à cette stratégie (A+B+C/D), est qu'il s'agit de disperser des efforts sur plusieurs techniques, aucune n'apportant seule une production facile à extrapoler à un niveau 'suffisant'. Les partisans du nucléaire (en France notamment, mais ce peut être ici aussi ou ailleurs les partisans de tout autre production de masse, gaz charbon ou pétrole, voir PV ou fusion nucléaire,...) y puiseront des contre-arguments (qu'il faut voir plutôt comme des limitations), et avanceront les arguments de leur stratégie/technique (qu'il faut considérer mais aussi critiquer, relativiser).
Les énergies fossiles -nucléaire, gaz, pétrole ou charbon- garderont, de façon hautement préoccupante, leurs limitations et pendants délétères (pénurie future, pollution et réchauffement climatique, gaspillage en transport d'énergie,...). Surtout ils entérinent un statu-quo ou laissez-aller au lobbying, une reculade pour faire régler les problèmes à la charge des générations futures,... Il ne s'agit pas de balayer d'une main les points forts des énergies fossiles, et il s'agit même de les valoriser, mais à bon escient et pour une part qui doit diminuer au plus possible: cad comme simple complément dans une transition énergétique active vers de l'énergie renouvelable. Ainsi il peut être pertinent... de recourir, comme les allemands, au charbon (polluant) parce qu'il s'agit de compléter la production d'énergies renouvelables encore insuffisantes malgré un développement important alors qu'ils ont pris le parti de se désengager du nucléaire. De même pour le gaz de schiste s'il l'on doit ou il s'agit de réduire le pétrole tout en développant activement les ENR sans arriver à suppléer une conso totale maitrisée (à l'instar fallacieux de la situation aux USA qui peut se prévaloir certes d'investissements notables en ENR (PV surtout, plus un peu de SThermique et biocarburants), mais hélas en pérennisant surtout la consommation non refrénée de carburants, et de façon générale le gaspillage d'énergie). De même le gaz russe, très disponible, devrait être un complément adéquate en Russie voire en Europe de l'est et en Chine mais, à l'instar du nucléaire en France, non pas comme actuellement la ressource énergétique majeure, car on ne peut que déplorer la faiblesse des efforts en ENR dans ces pays. Dans tous les cas, il s'agit de balancer les couts/effets mais en gardant priorité des efforts principaux sur le moyen et long terme (avec les ENR) plutôt que sur le court terme (avec les en.fossiles) qui on le sait alourdira les risques et la facture futures.
L'énergie fossile trop facile pose son dictat et nous précipite à plus de pollution, de réchauffement climatique, des crises énergétiques futures, dont les principales victimes ne seront pas forcement les irresponsables actuels (ni hélas aussi les plus responsables!), ni d'ailleurs forcement les plus riches... mais à coup sûr qui seront un grand gâchis et malheur global.
De façon générale, les en.fossiles ne doivent pas monopoliser les efforts/compromette le développement des én.alternatives. Cela ne sera attractif que si les couts environnementaux, largement cachés ou différés, sont prix en compte. Une façon "simple" est de revaloriser leur cout de production plutôt que zapper cela sur les générations futures, et dire que les énergies classiques(fossiles) restent moins chères ou nécessaires économiquement (à court terme). Les énergies fossiles reconnues plus chères devraient même financer le devpmt des ENR (taxe développement durable), pour pouvoir valoriser la ressource d'énergie la (les) plus propre+durable+immédiate du pays -qui est in- ou sous-exploitée. Ainsi les consommateurs d’énergie sale contribueraient plus financièrement au dvpmt des ENR. Ceci corrigerait en situation actuelle ou à l'inverse les ENR paraissent encore trop chères et 'financent' via souvent un mécanisme de subventions sur le dos du contribuable (cad tous). Alors qu'il semble clair que le cout des ENR diminuerait considérablement en niveau d'installation/production élevé, et développerait plus l'industrie des matériaux, classiques (verre, beton,...) ou non (PV), et corolairement l'emploi pus de nouveaux emplois locaux (installateurs, entretien).
La dominance des en.fossiles qui freine les ENR apparait même aussi à l'inverse quand on considère les développements les plus significatifs d'ENR dans certains pays:
-Le PV fait l'objet d'effort de dvpmt important en Espagne, avec un contribution de % dans le mix, ce qui résulte d'atouts locaux (ensoleillement) mais peut être parce que combiné à un attrait socioeconomicopolitique favorable d'investissement pour des étrangers, et parce qu'il y a moins d'enjeux et pression et très peu de potentiel d’énergie fossile. Ainsi, la situation est moins favorable au Maroc, et bien peu dans les autres pays moins développes (du Maghreb, et encore moins du Sahel, ou la Mongolie!). A l'inverse, le potentiel d'ensoleillement n'est pas forcéement le plus essentiel, comme le montrer les développement plus importants du PV en Allemagne et PaysBas/Belgique qu'en France! Seule une volonté politique appuyée sur une situation ou volonté industrielle économique et fiscale, qui plus est internationnale (projet Desertec), rend le développement du PV (et d'autres ENR) attractive et effective.
-L'éolien connait un succès significatif dans divers pays Européens, ?et au US, aussi lié au contexte economicopolitique et faible concurrence ou attractivité des en.fossiles. L'exemple du Danemark est révélateur avec une production éolien+biomasse de 26% du mix énergie, des régions qui atteignent déjà l'autonomie et le pays vise 100% d'autonomie du pays en 2050.
-La neg-energie est revelatrice au Danemark! -6.6% de conso d'energie primaire de 1990 à 2014, malgré une population croissant de +9.7%.
Une solution "idéaliste" pour pousser au désengagement des en.fossiles en faveur des en.renouvelables, serait que les pays n'exportent plus leurs énergies fossiles. Ce qu'a fait le Danemark, qui garde son pétrole (?et son gaz?) depuis 2000. Choquant dans l'ordre de pensée économique, et même géopolitique (risque de conflit pour les pays importateurs tentés d'intervenir. Cf USA au proche orient). C'est néanmoins un choix/politique/action, simple à mettre en œuvre, qui a sa logique: pousser chaque pays à devenir plus autonome et plus propre eu egards à sa responsabilité de sécurité intérieure, et sa responsabilité indirecte au monde (réchauffement climatique). Difficile à imaginer dans le cas des pays du proche orient fortement exportateurs de pétrole, qui devraient s'autocontraindre à moins de richesse facile, moins de croissance, mais au profit du climat global, sécuriseraient leur réserve avenir d'en.fossile, d'autant qu'ils disposent d'une ressource soleil énorme qui pourraient faire l'objet de développement (et revenu: exportation d'énergie verte) plus important que ce qui est fait (sous réserve du financement décroissant du pétrole. Cas du Qatar&Dubai qui développe bcp le PV).
Autre "solution", les réserves de pétrole (ou gaz,...) pourraient être vues comme un bien non exclusif du pays qui en serait non pas le propriétaire mais le dépositaire et garant, comme un bien commun de l'humanité à l'instar des merveilles reconnues par l'ONU, ou mieux un bien de la Terre qui n'appartient pas qu'à l'homme, et revendiquées comme "à partager", ou "à ne pas toucher",...
La solution fataliste est de se résoudre à notre incapacité à évoluer, ou à un ordre des choses qui fait qu'on ne pourra pas faire mieux, et que c'est "le marché des énergies" ou "la mondialisation" ou même "le progrès", ou "la nature" (c'est sûr, in fine) qui obligera à réaliser la transition énergétique. Ainsi, entre pessimisme et réalisme ou idéalisme (sic), il ne reste plus qu'à souhaiter des pénuries d'énergie ici, des accidents industriels là, ... pour que par la force des choses, naisse et agisse une prise de conscience et volonté réelle d'engager une transition anticipée et maitrisée plutôt qu'un statu-quo ou laisser-aller fataliste à subir une transition fatale.
Une solution plus simple, douce et contrôlable serait d'accepter d'augmenter le prix de l'énergie (fossile) pour créer des conditions plus favorables au développement des ENR. Car les couts actuels d'en.fossiles sont sous-estimés!, les couts d'en.alternative sont sur-estimés (appelés à diminuer), il faudra bien financer la transition (dont le passif et les dommages futurs)!... C'est même une mesure aussi prioritaire, réaliste (immédiate!) et importante (efficace), que d'engager des actions de développement des ENR. La solution complémentaire, moins facile à mettre en œuvre, est d’acquérir une sagesse dépassant les motivations actuelles trop économiques ou de pouvoir, cad une volonté de sobriété énergétique, et de transition volontaire aux ENR.
Situations énergétique des pays
https://www.vice.com/fr/article/znamax/a-bout-de-souffle-v7n1 : article avec 10-50lignes pour décrire la situation d'une 15n de pays de richesses en perils (aliments, energie) (++). + PostEB/FB-20130110.
Transition énergétique
La transition énergétique d'un mode de production d'énergies fossiles vers les énergies renouvelables (ENR) peut s'inspier du débat sur les mix énérgétique: cf intro.
Cependant
Garanties d'origine pour les Energies "vertes"
L'article de Carbone4(2020) explique parfaitement ce que sont les garnties d'origine (un contrat electronique) et comme elle sont utilisés par les fournisseurs pour des contrat d"energie verte" (le 'a reterni + 1r page déjà ++). Cf aussi la vidéo LeReveilleur-49min (bien mais trop longue la 1ere moitié). Ce lien entre les producteurs d'electricité et les consommateurs n'est pas physique (le réseau étant alimenté par toutes les productions, fossibles comprises), mais contractuel. La garantie peut etre géographique, ou xxx. Au final le système permet d'acheter un peu plus cher l'électricité renouvellable et de facon plus garantie, mais ne change rien au mix d'énergie produite. Il est sensé envoyer un signal prix pour inciter les prodcteurs à ddevelopper les production renouvellables. En pratique, seulement 50% des garanties sont revendues (utilisées) et le surcout payé aux producteurs est de 0.3à5€ comparé au prix marche 60€ le kWh. De plus la loi n'autorise pas les garanties pour les iinstallations subventionnées, et d'autres, donc la majoriité des installation concerne de l'hydraulique ancien! La loi va évoluer pour inclure d'un certains facon les installations/productions électriques récentes ... mais...
A l'echellon européen, on voit que la Novège qui produit >90% dh'ydrualelectrique vent bcp de garanties, et se retrouve 'pénalisée' avec un part de production vertes inférieure apres allocation des garanties... dont 30% au charbon/pétrole! Idem l'Islande qui est isolée du réseau européen, autonome... La norvege et l'espagne et l'uatriche vendent très bien leurs energies vertes avec garantie (>90%) mais moims bien pour la suisse et encore moins la france et l'italie.
" les garanties d’origine aujourd’hui sont plutôt un bonus financier pour les producteurs d’électricité renouvelable qui sont déjà rentables et qui vendent leur électricité au prix de gros du marché."
>Carbone4 n'encourage ainsi pas les entreprises a verdir (comptablement!) leur énergie ainsi, ou avec des garanties que géographiques, et surtout engager d'autres modes de 'verdissement (sobriété, efficience, participation a des équipmeent producteur verts,...'.
Regard historique sur l'évolution passée de l'utilisation d'énergie et sur la transition à venir
Ci après notes et posts:
[Arcadia-Conference-20191001-1h12] "Transition, piège à cons". par Jean-Baptiste Fressoz, historien des sciences des technologies et de l'environnement et chercheur au CNRS. Conférence super bien construite et exposée:
00:45 : Le mythe de la transition énergétique : de la crise / gap énergétique à une "transition"...
04:00 : Une histoire d'additions : au long de l'humanité, on cumule les nouveaux modes de prod d'En, cad augmentation de la conso total, mas pas/peu de transition
13:04 : Les (rares, et tristes) exemples de transitions "radicales" : Corée; Cuba, la 2m guerre mondiale (en Allemagne)
16:42 : L'origine de l'expression "transition énergétique" : transition du charbon au nucléaire/gaz shiste!
21:15 : L'histoire oubliée des énergies alternatives : d'abord la traction animale; puis les transformations, nota d'en.mecanique, via la pédale .l.; et puis la vapeur; Alimentée en En.méca (humaine, animale, hydraulique) en fait plus que le charbon en soi (alors associé à la vapeur).
22:25 : L'ère de la pédale: la machine à coudre (Singer); le vélo (et le roulement à billes)
25:23 : L'énergie hydraulique :
30:45 : L'énergie éolienne
Le recours à la vapeur/charbon était aberrante economique, sécuritairement, ecologiquement, mais s'impose car controlable (et libre marché, productivisme,...)
31:30 : L'énergie solaire : à l'origine aux US, techno de double vitrage, eco d'energie, pour les riches (maison solaire); le marché et la dynamique était porteur, mais echec/abandon su solaire (a part les chaufeau solaires) et development du climatiseur, et le chauffage électrique (!). Le conexte immobilier à biaisé une transition
37:23 : L'imposition du monopole automobile : choix technologique 'anthropocène' et abérrant coté energétique, et sans besoin/marché fondamental mais motivé les valeurs de liberté. Contre e22x de la Suisse qui limite la voiture 10x dans un canton par la tradition du RIF, sauf pour les camion car besoin justifié. Il y a eu transitision, aux US, du tramway electrique à la voiture, aidé par le crédit à la conso (qui entraine une discipline sociale).
48:19 : L'histoire de l'énergie et ses luttes + 50:16 : "L'environnement" dans Révolution Industrielle : Ces transitions (techno et/ou energ., consumérisme) sont +/- radicales et de moins en moins fonctionnail primaire, entrainent des frictions sociales, et ne sotc pas un logique profonde de progrès. Les corollaire altérations de l'environnement à l'époque tres inscrite dans la campagne transforment durement les mentalité et la santé.
54:26 : La transition énergétique aujourd'hui ? : l'avion incompatible avec les objectifs énergétiques; la voiture électrique (gourmande en poids/terre rare); la voiture sans chauffeur risque de faire exploser les km parcourrus. Le mythe de la création d'emploi par la transition en.
55:20 : L'armée dans l'histoire de l'énergie :
L'intrication (et svt initiation) du militaire (et projet Manhattan>nucléaire; l'avion et l'alu)
59:02 : La voiture électrique et autonome
1:00:54 : Au-delà des énergies primaires : il faut arreter de parler en terme d'énergie, transition,... mais d'économie, de modif des modes de pensée,
Le cout de l'energie a extraire (ex petrole; ex gaz shiste) augmente certes, mais le pic ou mur de rentabilité ou de justification énergetique n'empechera ss doute pas de s'arreter à l'extraire car ca reste gratuit au final puisé dans la Nature, juste le coup supérieur sera reporté sur lconsommateur, augmentaa part daans le cout de la vie.
Il faut changer de paradigme. Reflechir à la conso d'en. (a réduire) plus qu'à la production d'energie. Et au choix des activités essentielles / importantes / accessoire. Il y a de +en+ de nouveaux besoins et activités ... cad sortir de la croissance, dvpmt, ... Reconnecter.réunir les lieux de vie et de travail.
1:02:42 : Échanges
http://energie-climat.greenpeace.fr/transition-energetique-quelle-transition-energetique#comment-792354 : Post EB20140704, suite à l'article et nbr commentaires interessants.
Mix energétique par pays
Cf l'article http://energie-developpement.blogspot.fr/2013/12/statistique-data-electricite-europe-eco2mix.html qui reference les outils de suivi statistique de production d'energie et/ou consommation par pays, plus ou moins ergonomiques (Danemark, France, Espagne, IK, Allemagne,..)
Mix énergétique de l'Allemagne
L'exemple de l'Allemagne est excellent à plus d'un titre, et notamment comparé aux options d'energie classique "tout charbon" (Chine), tout gaz" (Russie), "tout nucléaire" France). Le mix énergétique est en fait assez similaire à la France (shéma 2012) mais avec un peu moins de pétrole qui reste néanmoins prépondérant (36% contre 41%), plus de gaz (26% contre 21), un peu moins d'électricité (20% contre 24; dont 8% nucléaire contre 75%/F), plus d'en.renouvelables (12% contre 10), et un peu plus de charbon (5% contre 3%). L'article ci dessous répond aux critiques sur ce mix/politique (dont le présumé recours au charbon pour arreter le nucléaire - solution temporaire).
Source: Forum/GP 2014 réponse de "Réseau sortir du nucléaire" dit :Mercredi 19 février 2014 à 14:57".
Les idées reçues qu’on a entendu ou encore entend fréquemment dans les médias français sont: “La sortie du nucléaire ruine l’Allemagne, ferait exploser les émissions de gaz à effet de serre, serait amèrement regrettée par les citoyens… Mais qu’en est-il en réalité ?
>Non, l’Allemagne n’a pas massivement développé le charbon pour sortir du nucléaire (ni réduit sa production, ou sa consommation d'électricité).
En 2012, malgré l’arrêt de 8 réacteurs nucléaires,
-l’Allemagne n’a pas été contrainte d’importer globalement plus de courant de France pour compenser l’arrêt des réacteurs ! Peut etre plus pendant les pics mais moins pendant d'autres moments (
-l’Allemagne a réduit ses exportations d'électricité, mais est restée exportatrice d’électricité… Elle a même plus vendu d’électricité à la France qu’elle ne lui en a acheté ! En effet, le boom des énergies renouvelables a provoqué un afflux important de courant issu du solaire et de l’éolien, excédant les besoins et donc exportable.
Ceci a certes été possible en recourant certes, outre le deloppement des en.renovelables, à plus d'énergies fossiles sur les pics de consommation, notamment pétrole et gaz, et aussi charbons (abusivement invoqué[c])
[c] Au sujet du charbon, très souvent décrié comme un revers du desengagement nucléaire:
En dépit de ce qui est parfois dit, l’Allemagne n’a pas massivement développé le charbon pour sortir du nucléaire ! Elle a certes maintenu voire développé un peu l'exploitation de lignite/houille allemande (la houille étant plus calorifique), mais il n'y a pas eu, apres l'arret de 8 centrales nucléaires en 2011 ( 7 autres gardées, sans nouvelles), de nouveaux projets de centrales au charbon : les seules qui sont entrées en service depuis Fukushima sont celles dont la construction avait déjà commencé des années avant et/ou des installations qui avaient subi des travaux pour émettre moins de gaz à effet de serre.
Ce sont les mêmes grandes firmes électriques (E.On, RWE, Vattenfall…) qui exploitent à la fois les centrales nucléaires et les centrales au charbon. ?a voir si elles s'engagées sur des ENRs.
Enfin il faut relativiser: le charbon ne représente que 5% du mix energétique (contre 3% pour la France). Invoquer le recours à plus de gaz (ou de prétrole) pour produire l'electricité serait plus pertinent, car plus massif meme s'il est moins criticable au niveau pollution. En fait c'est bien plutot, pour sortir du nucléaire, par une politique volontaire, étatique et citoyenne, que l'Allemagne a developpé une production d'éolien et PV, et est resté plus sobre par habitant.
Quant aux citoyens qui souhaitent la sortie du nucléaire, ils se mobilisent aussi pour les énergies renouvelables et contre le charbon et les gaz de schiste.
>Oui, l'Allemagne à activement engagé une transition énergétique, avec l'éolien et le photovoltaique (et la biomasse; ?et pas le bois) + une -relative!) sobriété énergétique.
Pour compenser la capacité de production électrique supprimée en fermant les réacteurs nucléaires, l’Allemagne compte sur une production accrue des énergies renouvelables (60%), sur une réduction des exportations d’électricité (35%) (même si elle reste exportatrice nette) et enfin sur les économies d’électricité (5%).
Non, l’Allemagne ne subit pas une augmentation massive de ses émissions de gaz à effet de serre du fait de la sortie du nucléaire !
En 2011, la fermeture de 8 réacteurs ne s’est pas traduite par une hausse des émissions de gaz à effet de serre. La sortie du nucléaire est à re-situer dans le contexte beaucoup plus large de la transition énergétique allemande, qui prévoit des objectifs ambitieux de réduction des émissions de gaz àeffet de serre : 80 % d’émissions en moins d’ici 2050.
Les émissions ont cependant légèrement augmenté en 2012, pour des raisons conjoncturelles, qui découlent de l’état mondial du marché de l’énergie : le boom des gaz de schiste aux USA a réduit la demande en charbon, poussant vers le bas les prix de la lignite, plus émettrice. L’Allemagne reste cependant en bonne voie pour atteindre son objectif de 40% de réduction d’émissions d’ici à 2020. Rappelons par ailleurs que la France, moins ambitieuse, ne compte réduire ses émissions que de 20% d’ici à cette même date… Un Français moyen consomme plus de pétrole qu’un Allemand ou un Britannique !
Non, les citoyens allemands ne regrettent pas la décision de transition énergétique !
Selon un sondage récent, 77 % des Allemands approuvent la transition énergétique. Les énergies renouvelables sont largement plébiscitées et beaucoup d’Allemands souhaitent qu’elles se développent encore plus. Il faut par ailleurs mentionner qu’en Allemagne, la consommation d’électricité des ménages est inférieure de 27% à la moyenne française !
Par ailleurs, la transition énergétique est un phénomène largement porté par les citoyens, un grand nombre d’entre eux étant désormais producteurs et revendeurs d’électricité. Les coopératives citoyennes de production d’électricité se comptent par centaines.
Si les Allemands soutiennent fortement la transition énergétique, ils sont en revanche très critiques de la nouvelle coalition gouvernementale formée fin 2013, qui pourrait la freiner et réduire les tarifs de rachat des énergies renouvelables.
Non, les énergies renouvelables ne sont pas un fardeau économique pour l’Allemagne !
Les énergies renouvelables bénéficient certes d’un tarif de rachat (qui risque d’ailleurs d’être remis en question). Mais depuis des décennies, elles ont coûté beaucoup moins que les énergies fossiles et nucléaire, massivement subventionnées, et génératrices de pollutions (non facturées!). .
Par ailleurs, leur coût de production baisse de plus en plus et elles permettent de diminuer les importations de combustibles fossiles. Le soleil et le vent n’envoient pas de facture !
Non, la transition énergétique ne mine pas la compétitivité de l’Allemagne !
Toute politique énergétique a un coût, qu’il s’agisse de maintenir le statu quo ou de changer radicalement. Les sommes dépensées pour la transition énergétique ne sont pas une charge, mais de vrais investissements pour l’avenir, qui permettent de diminuer les importations de matières premières, d’éviter des risques et de créer des emplois. Les énergies renouvelables ont déjà créé 380 000 emplois en Allemagne et ce chiffre pourrait passer à 500 000 d’ici à 2020.
Malgré un coût de l’électricité plus élevé qu’en France, pas de vague de délocalisations en Allemagne, qui reste la 4ème puissance économique mondiale…
Non, l’intermittence des énergies renouvelables n’est pas une menace pour la sécurité d’approvisionnement
Contrairement aux craintes souvent exprimées, l’Allemagne n’a pas connu de black-out depuis l’arrêt de 8 réacteurs. Ceci est possible grâce à l'import d'électricité des pays environnants, et à l’arrivée massive d’électricité d’origine renouvelable qui bien qu'intermittante localement est globalement prévisible.
La fermeture progressive des réacteurs allemands a fait passer à un autre modèle de production d’électricité, reposant sur un plus grand nombre de petites installations. Cette transition nécessite des ajustements mais elle n’est pas insurmontable. Le projet “Kombikraftwerk” (centrale combinée) a montré qu’on pouvait garantir un approvisionnement électrique sûr et 100% renouvelables 24h/24, tout au long de l’année uniquement grâce à une multiplicité d’installations situées dans tout le pays.
Le principal enjeu n’est pas technique, mais économique et en fait stratégique: quitter un monopole des gros fournisseurs capitalistiques pour passer à un système reposant plus sur une diversité de petits producteurs plus flexibles.
§-Crise de conscience écoloqique (a créer page)
-Propos culpabilisateur sur les jeunes
Ex de message "Réveillez vous les jeunes - Julien Dumont, Parisé, très bien tourné: <iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fgregory.vatti%2Fposts%2F10221635466821839&width=500" width="500" height="593" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" allow="encrypted-media"></iframe> . Le fond du propos est pertinent, sauf que qq phrases et surtout le fait que les jeunes n'ont pas mis en place cette frénésie de consommation, c'est d'abord la responsabilité des adultes qui ont mis en place le modèle de developppement et consommation de nos sociétés...
-Nb discours d'Aurélien Barrau: ressort en général beaucoup d'exemples documentés et demytification des évolutions et aléas de prise de conscience écologique (et en général, surtout pour la conscience scientifique: épistémiologie).
-
Pousser le ENR, et assurer pour la transition un mix d'energie de masse Nucléaire (solution interessante pour l'empreinte carbone, et dans le contexte de la France) + Gazier (solution très flexible qui s'article avc l'electricité, nota pour les transports; voire prepare aussi l'avenir/hydrogène)
PRODUCTIONS d'ENERGIES RENOUVELLABLES
Il s'agit d'abord de consacrer des investissements productifs sur le ENRs de facon bcp plus massive et volontaire que ce qui se fait. Il manque d'abord la volonté politique a valorisier les solutions ENR qui existent et sont parfaitement au point et pertinentes dans beaucoup de situations. Et déprioriser l'évaluation des ENRS à l'aune de l'économie, des énergies standard (fossiles) dont on sous estime souvent les couts globaux (pollution/santé, environnement). Agir comme si de toute facon "on n'a pas le choix", c'est beaucoup aussi à nos standards de vie qu'il faut s'adapter si ces solutions étaient (ou sont) plus cheres, moins puissante, intermittantes, ...
* Pousser les ENR: * Comment?
Financement/soutien des ENRS : contribution des filières d'energies fossiles en faveur des ENR, par voie publique (fiscalité/taxation d'autant plus qu'elles ne justifient pas ou peu d'investissements / reconversions propres); par voir privée (crowfounding notamment: pour petits projets/locaux; et pour 'trop' nouveaux/risqués-non reconnnus). Plus par contribution des consommation d'objets/services gourmants en énergie par rapport à leur utilité sur les besoins primaires et d'interet publique.
Priorisation et soutien de chaque type d'ENR selon le contexte (climatique, geopolitique, porteurs de projets, ...). cf 'Lesquelles ENRs'.
Iniégrer dans l'évaluation de toute production d'énergie (investissement; puis financement; fiscalité,...)
* Lesquelles ENRs soutenir/prioriser?
Globallement, prioriser en général d'abord le Thermique (pour les site/besoins lié au chauffage) et quand possible combiné au ThermoDynamique, et bien sur les filière majeures (désormais 'classiques') PhotoVoltaique, l'Eolien. Mais aussi sur le projet agricole ou urbains: la Biomasse; de facon plus générale sur les site adaptéés: l'hydrolien marin et le microhydraulique... Aucune filière ENR n'étant totalement 'verte' (neutre écologiquement), ni optimale (en rdt, efficience, durabilité,...), ni universel/ubiquiste,...
cf pages Energie...
NUCLEAIRE;
Filière du nucléaire(de fission) nécessaire (hélas), du moins en France, pour amortir la transition vers des ENRs (d'autant que pronostiquée par certains insuffisante pour les besoins - lesquels?!), dans note contexte: enjeux de decarbonation de l'économie, de souveraineté/valorisation de la technologie disponible (la dépendence du conbustible restant plus gérable, en qté, relations intl,...), voire d'économie de l'emploi (ne pas exporter nos emplois par l'achat massif de PV chinois) et leadership technologique. Je rejoins à cet égard assez la position de JMJ mais de facon beaucoup plus pondérée, et limitée à une perspective bcp plus proche de réduire le parc nucléaire voire s'en passer (en fait de consacrer l'essentiel des investisseme,nt sur les ENRs): je contrebalance l'interet du nucléaire bcp plus sérieusement par les risques et limitations de la filère: couts de gestion future des déchets, couts de la mainteance; cout de la sécurité et enjeux sécuritaires (dont gestion future, risque terroriste). En maintenant néanmoins une R&D (dont la filière par fussion).
* Limitations du nucléaire:
[beaucoup d'après JMJancovici]
La durée de construction d'une centrale. La durée de vie/utilisation des centrales. L'intensité capitalistique et moyens de la construction. La disponibilité en U235.
Le nucléaire est une industrie d'état, pas pour le marché privé, qui requiert de la planification et stabilité (+infra).
[+, car JMJ ne cite guère...] le stockage des déchets. Mais aussi les risques sécuritaire, de terrorisme, ... Et meme avec confiance dans la techno/contexte Fr, on ne peut ecarter le pur risque technologique.
Reflexions (par sujets)
*Le stockage et le risque technologique ne sont pas (pour Janco) une limitation ou un problème important, du moins en arbitrage de risques (face au risque climatique):
-la solution Fr de stockage maitrisée actuellement est 'simple': mettre dans un trou (?)'a bur/a mure'. Et géologiquement cest adressable. (hum:) "a témoin des réacteurs nucléaires spontanés ont eu lieu il y a 2milliards d'année et nous donne du recul comment le stock de déchet se comporte" (voir détail/site janco/arianne)
-pistes pour réduire la quantité de déchets. Par ex les réacteurs à sel fondus réalisent ainsi une séparation puis nvl fission des 1r déchet et on stock ces sous produits (actinides).
-il n'y a pas eu d'accident nucléaires plus impt en crise économiques (cas de la Russie et Ukraine qui ont vu réduire par 2 leur PIB, après 1986/accident de Tchernobyl)
-sous maring nucléaires...
*Une industrie High/Heavy Tech d'état (souveraineté 'intérieure'):
-Le nucléaire est une technologie complexe, intégrée,... et lourde. A ce titre c'est une activité interessante, car elle a des liens sur d'autres industries. En particulier elle rententit sur 2 secteurs traditionnellement stratégiques/souverains de l'état: la santé (medecine nucléaire), et la défense natl (militaire)(hélas).
-Une industrie d'état (et filières, enjeux): On se lance dans la construction d'une centrale nucléaire pour 100ans, il faut des capitaux importants au début, et c'est alors à cout fixe (cout du capital). Cette filière n'est pas embrayable/debrayable facilement, et pour les raisons de risque. C'est donc une industrie d'état, qui requiert de la planification (d'état/long terme: à témoin Fr, USA, Chine, URSS), de la stabilité et d'autant en respect des génération futures (gestion long terme des déchets). Le nucléaire n'est pas pour le marché privé (ni opéré globalement ni gérée), ou éventuellement juste en sous traitance (pour des taches qui ne soient pas spécifiques au nucléaire, cad mutualisables sur d'autres inductries: nettoyage, tuyauterie,... ), avec un cahier des charge et control d'état. Même si l'évolution technologique simplifiait le process nucléaire.
*Souveraineté et enjeu de stabilité intl: Comme JMJ, je reconnais que la techno fr du nuclaire est un joyau de savoir faire, qu'on peut (et doit) y faire confiance (tjrs relative quand meme - transparence, bilan/eval,...). Ce devrait meme etre un fierté natl, un élément de souveraineté/indépendance énegétique qui nous apporte un leadership/autonomie/puissance. Néanmoins, a terme nous pourrions ne pas/plus avoir besoin de ce mode de production dominante (si on fait les bons choix de société, consommation sobre, et équipement ENRs). D'autant plusque le nucleaire produit une part importante de notre énergie, c'est une cible privilégiée pour le terrorisme, ou les conflits interantionnaux, sans parler de convoitise à s'approprier la technologie, ce qui coutera cher en surveillance/protection. J'en conclue simplement que le nucléaire (stratégique) est (Iran, Pakistan, Corrie N) et restera en tout devenir un élément d'instabilité potentiel internationnal, au meme titre que les armes (US, FR, Russie / moyen Orient).
(liste/plan; le contenu sera a déménager sur des pages dédiées-hors énergie s.e.)
Comme etudé ci dessus, développer une transition énergétique commence par s'atteler bien sur sur les modes de production d'énergie, leur mix, et leur conosmmation (à commencer par la sobriété). Sur ce dernier point, la consommation d'énergie, le débat s'étend bien sur à toute consommation de biens et services: car toute activité, fut elle en apparence non énérgétique sensu stricto, l'est pourtant bien! Le mix energétique peut etre optimisé de facon particuliere, entre usages d'énergie fossile ou renouvellable, sobriété, consommation alternative, mode de vie,...: pour construire ou habiter un batiment, pour faire un voyage, ... Même les activité numériques consomment de l'énergie
cf le PTFE du shiftProjet201016-Rapport-de-Synthese-Vision-globale (c1): Apercu global plus comme vision que solutions (le plan viendra 2021*-2022) mais interessant car sur 20 fiches/secteurs en 2 pages chacune; d'usages/consommations de base), de services/consommations secondaires, d'amont/production energie, de transformation(transverse)/emploi,finance,villes,... Situation & enjeux / outils et mesures/directions prio / questions à voir, but à 2050 (impacts éco, emplois)
> ma synthèse de [qq chiffre clé d'enjeux] + actions/directions prioritaires.
MOBILITE DU QUOTIDIEN: [8500km/hab./an; conso 18Mio Tep. 11% des GES]
Sobriété des usages (pirvé, pro); optimisation des vehicules (dt voit hybr/electr), vélo et Vae et xxx, marche, trains, taux de remplissage, covoiturage
MOBILITE LONGUE DISTANCE: [5100 km/an(4.2voyages) à motif perso, par route>train>avion: 8.5Mio Tep, 97% pétrolier, 25Mio TCO2]
Sobriété des km parcoursi pro (et loisir: agmentaiton dirée) report modal de la voiture et l'avion vers le train (dt TGV (consommeront 20%-).
LOGEMENT: [36Mio logmt, 1/10GES fr esstlmt chauffage? 424TeraWh dt 80 du bois, 3% solr ther. 420 000 nvx log/an=1r vecteur de l'artificialisation des sols]
sobriété de la construction nouvelle/rehabilité du bati (nota en logmt indivdl). Transition du ati beton au bois et autre altern. Massification de la rénovation energétique. Solaire thermi individuel. que pour le chauffage
NUMERIQUE (USAGES): [3% de la cons energie esstmt electrique(et 75% nucl en fr); 4% des GES emis; mais +9%/an. 600 000 emplois]
Sobriété des usage du numérique promue (info&education; tarifs; cadre pour les opérateurs); allongement de la durée de vie des ordinateurs, réparation des appareils (et recyclage); plafonnement du taux d’équipement par personne. Reglementation pour contraindre la construction de nouveaux réseaux et l’acquisition de nouveaux appareils (doivent prendre en compte l’impact carbone qu’elles génèrent et être compatibles avec la stratégie environnementale du territoire)
ENSEIGNEMENT SUP.&RECHERCHE:[200 000 emplois publics]
Mesures de décabonation des activités impliquées (/cf autres fiches), à raison de l'impact eo(estim./GES): déplacements (31+7%), chauffage (18%=, conso pdt et sc (10£µ=); recherche davantage axée sur les grands enjeux de transition (recherche sur les isolants thermiques, l’efficacité énergétique, la psychologie environnementale...).
DEFENSE etSECU INTERIEURE: [560 000 emplois publics] sobriét du parc immobilier et vehicule (isolation, electrification, des déplacmt essl), compense en usages numériques; faire évoluer cn fonctions
SANTE: [1.5Mio emplois; 4.5% GES emis fr, donc esst batiment (11% e surfaces tertiaires)]
Relocaliser et diversifier les approv de méicament et matériels. Limiter la conso medic et méteriel jettable. naisser les km parcouris et les décarboner (electrique). Renover le bati. Pousser la préventon pour atténuer les risques et besoins de soins futures (dépistages précoces, sédentarité, manque d’activités physiques, alimentation carnée ou transformée...).
CULTURE: [2.3% du PIB fr; 2.2% de la pop. Es). équipement culturel ense(560 000entités)]
Relocaliser les activités pour réduire les déplacements; Plus de réprésentations pour amortir les achats (energie consommée). Diffusions allongées et numérisées. Encourager l'écoconception artitistique. Abandon de l'UHD et 4K.
ADMIN/PUBLIQUE: [5.7Mio emplois pub, 20% des emplois fr; 37% du nati tertiaire. 28.5Mio TonCO2eq. 100Miad€ achetés. Services essentiels]
Decarboner les infrastructures (isolation u bati; vehicules electrifiés). et usages (téletravail; train&velo; Reduire er relocalise les approv (aliments; biens intermédiaires); Former les agents à la contraine ecoclim.
INDUSTRIE: [(extraction et manufacture: !perimetre!). 13.2% des emplois fr(12% du PIB), 20% des GES emiés. 95Mio Ton CO2eq/an. Conso 25.6 Mio Tep. Dépendance ipo 53à100% des minerais metalliques]
Effort de sobriété et de modification des usages des matériaux (remplacement du ciment par du bois pour la construction, recyclage de l’acier grâce aux fours à arc électriques). Décarbonation de l’énergie utilisée, l’efficacité énergétique : ? recours aux technologies de capture et stockage du carbone dans l’industrie lourde). Inciter à integrer comme pillier de la politique et stratégie industrielle de enjeux éco (durée e vide biens produits; réparabilité et recyclabilité). Developper la filière recyclage comme gisement de matiières premières
IND.AUTOMOBILE: [33Mio VL et 6Mio VUL. 16%et6% des GES soit 97 Mio TonCO2eq/an + 17Mio TCO2eq pour la fabrication et fin de vie. 484 000emplois. 2m poste de dépenses des francais!. dt 10% produit à l'étranger]
Decarboner la fabrication et la fin de vie des vehicules: véhicules sobres (de faible surface frontale, aérodynamiques, légers, matériaux recyclables) à moteur électrique et thermiques hybridés (type 2L/100km), et favoriser les voitures de plus faibles taille/poids. Jusqu'à la production de cycles, deux-roues électriques légers ou quadricycles électriques. Relocaliser certaines filières (de l'étranger; en fr) pour un accès à l’électricité bas-carbone
Adapter les usages de l'automobile à l’évolution de la mobilité quotidienne et longue distance (covoiturage, la place des cycles; train/voiture) et par le développement des services., et encourager a recourcir les distance travail/logement/achats-approv,alim et activité loisir (mode de vie; culture du (télé)travail, ...)
TRANSPORT-FRET! [10% des GES emis fr; dépendant a 95% du pétrole;3.5% du PIB, 900 000emplois]
Réduction des flux de marchandises (circuits courts; société moins consommatrice). Optimisation des transits et chaines logistiques, et surtout report modal des PL thermiques aux ferrorail ou train, fluvial. Taux de chargement, ecoconduite, baisse de vitesse.
AGRICULTURE & ALIMENTATION: [cons 18Mio Tep tr; L'alimentation cause 163Mio Ton CO2eq§an (25% des GES fr)Importatons. sè dépendant des en.fossiles. 1.43Mio emplois dnt moitié en agri.]
raccourcir les chaînes d’approvisionnement amont mais surtout aval (vente); autonomie fourragère des élevages) et recycler les nutriments. Réduciton de la conso de viande (qui cause 90% des GES de l'agri). Encorager les pratiue agroécoloqique et l'autonomie energétqiue du secteur voire la co-génération d'énergie (biocarburants, biomasse).
FORETS & BOIS: [role éco majeur (puit de 87Mio Ton CO2/an) et 30% du territoire. 71Mio m3 dois(oeuvre, d'ind., d'energie) et 7Mio m3 importés]
Recommandations parfois contradictoires (entre boi-energe et puit CO2) mais il s'agirait d'agir à parc forestier constant, en valorisant mieux la filière sylvi/bois, l'aménagement du terrioire (tourisme).
ENERGIE: EMPLI: FINANCE: RESILIENCE: BILLES & TERRITOIRES: NUMERIQUE
*Le beton: ce composant est fortement consommateur d'energie et impactants sur l'environnement, particulièrement émetteur de CO2 (decarbonation lors de la cuisson/prépa du ciment. Divers développement réduisent la quantité de ciment (avec des matériaux de charge adaptés), en améliorent (ou adaptent) la performance(/usage), mais le potentiel principal pour limiter l'impact du béton sont sans doute, a coté de la sobriété (moins ou mieux construire) les techniques et matériaux qui s'y substituent (des ancestrales terres séchée ou cuites, à des matériaux minéraux ou organique alternatifs nouveaux. La construction ossature bois est une alternative à fort potentiel, car éprouvée et intégrable aux enjeux climato-ecologiques, recyclable ou valorisation (combustion des bois usagés).
*Les métaux: ces composants sont fortement consommateurs d'energie et impactants sur l'environnement, de l'extraction (mines; rafinage) à la production (fusion).
Le métal déployé est obtenu par la combinaison des opérations de cisaillage et d'emboutissage La surface obtenue est donc plus grande que la surface consommée. Ce gain peut représenter une diminution des émissions de CO² de 20 tonnes pour 1000m².
*Les x:
*Les x:
*L'aviation: l'impact écologique du transport aérien est le plus important des transports par km et plus encore par kg transporté.
Voir le rapport ShiftProject/20200520 "climat-preparer-avenir-aviation-propositions-shift-contreparties":
1) Appliquer les (quelques - 4) mesures techniques décarbonantes à disposition immédiatement : decarbonner les opération au sol; optimise les trajectoires; limiter le transport de masse inutile; Helices non turboreacteurs2) 5 mesures de sobriété pour planifier et organiser par voie réglementaire la réduction de la consommation de carburant du trafic aérien au départ ou à destination du territoire français: train pour trajets <4h30; reduire les pgrm de fidélité; informer/sensibilit les consommateurs; vols d'affaire privé interdis/visio; reglement/basse conso carbu 3) Diversifier les activités des compagnies aériennes et relancer l’industrie aéronautique française (2 perspectives: developper un avion adapté; muter AirFrance vers TGV.
*La Mobilité en région parisienne:
Voir le rapport ShftProject20201210 "rapport-decarboner-mobilite-vallee-seine"
1. Le système vélo et le covoiturage sont des clés vers une meilleure efficacité carbone, et matière, de notre mobilité. Jugé efficace, crédible mais avec investissement publique important (justifiable). -25% à 35% en fonction des zones.Allege le bufget des ménages. ...
2. L’effet décarbonant des transports publics express est intéressant, mais jugé pertinent (que) sur certains axes routiers ou ferrés autour des grandes agglomérations de la Vallée de la Seine. -8%
3. Le télétravail joue dans le bon sens sur la décarbonation mais est jugé avoir difficilement des effets massifs. -6%
4. La livraison des achats à domicile a un potentiel moins important et sa massification semble peu probable à moyen terme 'jugé peu crédible)