(intro) Le temps ...
1500 ans av. J.-C, les Égyptiens utilisaient un cadran solaire afin de se donner des repères temporels dans la journée et les saisons, et les pharaons pour les années.
Les Aztèques et Mayas également, adoptant d'autres repères d'années particulières. Puis la naissance (supposée) du christ a fourni un repère d'année zéro dans la chrétienté puis plus largement. Pour coordonner le repère de l'heure dans la journée en différents endroits du terre, c'est le méridien de Greenwich, qui amena aux fuseau horaires et l'heure UTC.[1]
Pour mesurer le temps, il y a eu la clepsydre (horloge à eau) chez les Grecs, l'horloge à encens en Chine, le sablier et les horloges mécaniques à ressort dès le 14e siècle en Europe, l'horloge à pendule au 17e siècle en Hollande puis enfin, l'heure piézoélectrique au quartz, apparue au 20e siècle, désormais quasi universellement utilisée. Les physicien ont introduit un outil de mesure encore plus précis, les horloges atomiques (Temps Atomique International: TAI) basé sur le temps de transition d'une radiation particulière du césium dans des conditions particulières (+/W).
Ainsi, au fil des changements de repères et outils de mesure, l'homme a du réajuster ses calendriers.
Les subdivisions du temps naturelles (ou non) ont aussi varié. Si l'alternance jour/nuit a fournit la base unitaire du calendrier, les périodes supérieures se sont alignées typiquement sur la lunaison et pour les saisons sur des mesures au sol, d'évènements physique ou biologiques, ou astronomiques, s'alignant de plus en plus sur l'année solaire au fur et à mesure des connaissances scientifiques. Pour les périodes inférieures au jour aussi, la durée meme d'un jour ayant connu diverses définitions selon les cultures, l'homme s'est aligné sur les heures (24 pour le monde occidental, ... en Asie, ... ) puis minutes (60 par heure) et secondes (60 par minutes), jusqu'à la redéfinition de la seconde atomique. Ayant redéfini plus précisément ces unités infra jour, la reconstruction de leurs nombres d'unité de temps aux unités supérieures naturelle pose des difficultés, réglées par des ajustements, ou des exceptions (années bisextiles). Au final, les définitions successives de nos unités temporelles majeures [jour / (mois) / année solaire - nos 2-3 tempo actuels, accrochés à la nature], de plus en plus précises, se retrouvent en confrontation pour rester cohérentes, au prix de règles de plus en plus complexes alors qu'elles visaient a simplifier/rationnaliser. On comprends que ce problème ne connaitra pas de solution parfaite, les unités temporelles majeurs ayant de petites variations, qui implique, outre nos limites de comprehension et de modélisation, l'univers entier. Ma reflexion est donc qu'il serait plus sage de s'en arreter à un calendrier/modèle régulier sauf qu'il accepte une période variable (idéalement qu'en fin d'année; en pratique pour le maintien de jours>semaines>mois il faut une période spéciale (longueur différente) en évitant qu'elle soit variable à chaque sous divisions temporelle!; les subdivision en base 12 sont favorisée, car existent en partie, mieux divisibles,... Le rythme de vie se prete à faire abstraction de 2subdivisions dans chaque division/periode de repos/ et se retrouver à pouvoir utiliser la base 10 plus pratique dans notre système de numération):
- l'année solaire fixée sur l'estimation la plus précise actuellement (altern.: ne pas changer). En changer ne se sentira guère (1x/an, combiné au vac d'hivers). On évite l'ajout de jour calendaire (1 jour
- 12 mois de 30jours car conforme aux usages, 12 divisible en 4 saisons, 30 divisible en semaines de 10jours*; il reste 5.25... jours qui formeraient une semaine variable (de 5 ou 6 jours selon les années, cad de durée physique variable de facon à ce que le 1r jour de l'an suivant commence soit au plus près du repère astronomique (soltice d'hivers), soit le 1r jour naturel (à Greenweech) qui commence passé ce repère), a role particulier (coincidant à une periode spéciale de congé comme il se pratique. Pour une meilleure divisibilité des sous périodes et en semaines, il serait meilleur d'opter pour des mois de 36 ou 24jours, mais cela ne règle ni
*(s'il faut rester conforme à l'usage/mieux pour le rythme biologique, 4 semaines de 7jours dont 1jr chomé + 2jours spéciaux de congé en fin de mois)
- 365 jours de 12 heures (cad 1H=2heures). La durée du jour est définie sur l'année modulo le nb de jours pleins (365jours). Bien sur ca necessiterait de redefenir l'heure, et ses fractions... mais ca ne changerait guère les usages.
-des newheures(doubles) de 120 minutes (cad 1NewMin=1minute). On passe en base 12x10 (et non 60/min, après 24/Hr, 12/mois, 4/ans, ca évite de modifier la minute, qui est ss doute plus importante à ne pas modifier (car temps de réaction % heures qu'on a le temps de réflechir)
-des minutes de 120 NewSecondes (cad 1NewSec=0.5Sec). On reste ainsi en base 12x10, et 0.5 sec reste scandable, synchronisable sur le coeur (au repos 30battement par NewSec mais 60boum par NewSec)
=on divise/2 la durée des sec, on double celle des heures, on regularise les mois et la période calandaire(5ou6jours). La minute reste inchangée, comme la semaine de 7jours(!)...
Le calendriers, des plus anciens et intuitifs aux plus récents, furent basés sur la lunaison, ou sur l'année solaire en létat de ce qu'il était déterminabl (l'année solaire (tropique) de 135.25... jours, en théorie non déterminable exactement).
Le calendrier hébraïque est luni-solaire, avec un cycle métonique de 7 années de 13 mois et 12 années de 12 mois). Similairement, le calendrier chinois est basé sur des observations astronomiques qui dictent des années de 353-355jours sur 12 mois, réajustée avec celles de la terre, grâce à une année intercalaire de 383-385jours et 13 mois. Il se distingue par des années nommées selon un cycle de 60ans, avec 1r composant céleste (parmi 10 noms/concepts) et un 2nd composant terrestre (12 noms d'animaux). La structure calendaire inclut donc une dimension symbolique (qui l'a dictée).
Le 1er calendrier solaire, construit par les égyptiens, fixait une année 'vague' de 365jours subdivisée en mois de 30jours plus 5 jours dit épagomènes. Il tenait compte aussi de repères des phases du Nil et de l'astronomie (lever de Sirius). Il opéra durant 4500ans et constatait sans le corriger un décalage avec le lever de Sirius (1jour tous les 4 ans).
Le calendrier Romain introduisit des mois de 30 jours (x6) alternant avec des mois 29 jours (x4) soit 304 jours plus une periode d'hivers de 61 jours, et un comptage des jours dans le mois se referant à la phase de la lune (Calendes, Nones, Ides), prémisse de la semaine. Un remaniement (-700AvtJC) introduisant 2 mois (janvier, fevrier), 354/355jours, réaccordant les mois avec les saisons (et renommant 2 mois en l'honneur de Julius Caesar et Augustus). 2 autres (-44 et -8AvJC) menèrent au callendrier Julien:
Le calendrier Julien (45 AvtJC) définis les 12 mois tel que nous les connaissons, soit 365.25jours/an. Il restait un décalage de 1 jour tout les 128ans. +/www.timeanddate.com/julian-calendar
Puis le calendrier grégorien (1582) supprima 10 jours lors de son introduction pour résorber le décalage accumulé, et ajouta 1 jour (29fevrier) certaines années (env.1 tous les 4 ans, soit 365.2524jours/an). Il reste un décalage par rapport au soleil de 1 jour tous les 3236ans..., et de 0.9sec maximum par an sur la rotation de la terre (d’où l'introduction des 'Leap seconds' entre les heures définies comme UTC et GMT[1]).
Les mois ne respectent donc plus la lunaison, ni pour la durée car le cycle ne peut être en accord avec celui du soleil sur le long terme (env.29jours pour la lune et 365.25/12=30.43jour pour le soleil), ni pour le début (décalages).
Le calendrier grégorien a été adopté très largement, même par la Chine (du moins pour les affaires civiles).
D'autres constructions calendaires furent proposées, aussi non-parfaites ou idéales:
par ex dans le calendrier badi, utilisé dans le bahaïsme, avec 19 mois de 19 jours (soit 361 jours) plus 4 ou 5 jours supplémentaires intercalés entre les mois 18 et 19.
Le mois n'a plus rien de 'naturel', de même, la semaine, le lustre romain ou le Siècle, sont des subdivisions arbitraires. Leur début est aussi arbitraire, fixé par le choix de repères: ainsi, le solstice d'hiver marque le début de saison chez nous, mais le milieu de saison chez les scandinaves. L'année reste cadrée par la révolution solaire, mais on pourra imaginer un avenir ou l'on souhaitera cadrer avec la révolution de notre galaxie... Dans l'infiniment petit, la seconde déjà reétalonnée avec la physique nucléaire (1sec tous les x) pourrait souffrir d'un relativité des conditions nucléaires... Ceci fait écho avec la reflexion infra sur la notion du temps 'relatif'.
Le calendrier mayan, comprend en fait 3 calendriers, le premier donnant une date sur le long terme identifiant les années, avec un cycle de 7885ans solaires, puis identifiant les mois et jours, un second pour un temps divin (Tzolkin: 260jours, 20 périodes de 13jours) et un troisième pour un temps civil (Haab: - 365jours, 18 mois de 20 jours et un mois de 5 jours) depuis l'année de création du cycle long (la combinaison du Tzolkin et du Haab donnent en outre un autre cycle de 52ans). Ainsi la date s'ecrit, de facon complexe pour la numérotation de la date longue, et redondante, par ex 19.17.19.19.19 4 Ahau 8 Kumku, ou la date/année est désignée en commencant par l'unité (20jours) puis l'unité supérieures valent respectivement 360jours, 7200jours et 144000jours, suivi du n° du jour dans la période Tzolkin, et du n° dans la période Haab.
Remarques pour une révision de calendrier:
-il est impossible de déterminer assez précisement les durées des cycles naturels majeurs, selon la durée effective pour le calendrier... qui s'allonge au dela de la précision acquise. Ex le calendrier le Grégorien atteignait une précision jugeable suffisante (à horizon de 3236ans). C'est insuffisant 2 millénaires plus tard, et largement à l'aune des besoins de mesure du temps précise (en sciences/physique fondamentale, cosmologie,... En économie!(trading);...). Avec les moyens modernes, même si en science tout modèle ou théorie reste révisible, ou peut considérer que la précision de mesure et prévision du temps est suffisante pour des 10n voire 100n de millénaires. Néanmoins, on ne peut prévoir une irrégularité ou perturbation de l'année ou le jour telle que résultat de la modification d'une orbite planétaire induire par un astéroide ou par un objet ou influence galactique voir extragalactique. La durée du jour peut imprévisiblement changer aussi du fait d'une évolution géologique interne de la terre qu'on ne connait qu'insuffisamment, et meme d'un cataclisme de surface ou catastrophe produite par l'homme (on a déjà detecté une déviaiton de l'axe de rotation). Des activités spatialles pourraient aussi modifier les mouvements de la lune, et la terre.
-surtout c'est l'articulation des cycles naturels 'majeurs' qu'il est impossible de rendre exacts, car il y a des déphasages. Et car la raison nous fait vouloir des subdivisions en nombre particuliers (2 ou 4, 10 ou 12 voire 24 ou 60).. Par ex env.29jours pour la lune et 365.25/12=30.43jour pour le soleil: il faut choisir, entre un cycle observable facilement (la lune) et un cycle plus difficile a déterminer mais plus 'signifiant/universel/exact'. Ces choix sont essentiels pour la structure calendaire. Mon choix privilégie l'année solaire (quasi tropique), l'année tropique étant théoriquement indeterminable. De préférence une nouvelle durée d'année plus exacte que l'année grégorienne, déterminée par la science moderne (ca changera peu l'usage, juste au début du nouveau calendrier; ca simplifiera pour longtemps les calculs de temps précis). Mais rester sur l'année grégorienne ne changera pas l'usage.
-en fait on ne pourra jamais determiner exactement une durée de cycle naturel précisement exact et stable! Si
A plus longue échelle, et indépendamment des repères et du calcul 'arithmétique' du temps, qui cadrent et approchent plus ou moins la réalité, le temps apparaissait cyclique pour les Mayas ou les chinois, et est désormais plus communément linéaire. Ceci aussi résonne avec la notion qu'on a du temps.
[1] voir http://www.timeanddate.com/time/aboututc.html pour l'heure UTC, et les différences avec l'heure GMT et UT1. Mais aussi les 'Leap seconds'.
Propose de tres bon outils : carte et liste des time zones (UTC); convertion d'heures; Best meeting time between zones; ... ; Calendriers Chinese Calendar, Roman Calendar, Julian Calendar,
* Un calendrier utopique...
Les calendrier actuels sont très bons, comme d'autres d'ailleurs (cela dépend ce dont on en attend!), et il est illusoire d'en vouloir parfait. Nénamoins, amusons nous à modifier certains éléments anachroniques ou peu logiques.... Constats et choix:
-un calendrier doit comporter au moins une date de répère, des subdivisions, ... et l'histoire de l'humanité nous a montré que l'homme se plaisait a adopter des périodes parfois régulières, parfois pas, basées sur des observation naturelles dont la lunaison puis de facon dominante l'année solaire. Inscrivons nous dans cette disposition... mais optons pour privilégier plus encore des périodes égales (cycles), quitte a en regrouper pour mieux coller à des évenements naturels,
-quels cycles privilégier?
Le cycle diurne s'impose comme unité première naturelle et pratique. Encore sa durée n'est elle pas si évidente à déterminer, sans s'appuyer sur un cycle supérieur, et nous opterons pour l'année solaire, et une durée inférieure, et nous opterons pour une unité atomique.
Le cycle lunaire s'impose comme unité supérieure au jour pratique à moyen terme pour la vie de tous les jours. Il convient de préciser qu'il s'agit de la lunaisons,à l'instar de la plupart des calendriers lunaires, cad le mois lunaire apparent (dit synodique) de 29,5305jours. Ce cycle sera la base d'un mois 'vague' (cf infra), et il faudra compter 12.3686 mois dans l'année... Le chiffre 12 est arrangeant, car divisible par 2. 3. 4. 6. Ceci qui nous fait résolument écarter un nombres inférieur ou supérieur de mois. Mais on voudrait ce mois vague... régulier, au contraire des alternances par ex 30 et 31 jours du calendrier grégorien.
L'année solaire s'impose encore plus, car elle détermine les saisons, essentielles pour l'agriculture, le tourisme,... Ce cycle solaire sera la base d'une année, qu'à nouveau on qualifiera de 'vague' car ne pouvant tomber en accord parfait avec un nombre entier de jours.
-comment les coordonner, avec cohérence (sans décalage)?
La durée du jour, de la lunaison et de l'année solaire n'étant pas des multiples qui permettrait d'avoir un nombre entier et fixe de jours par mois (et non 29.5305) et de mois par année (et non 12.3686), on est "condamné"
.soit à définir un nombre entier (29 et 365) de jours et introduire des jours intercalaires, dans le mois, comme dans l'année. A la différence des calendriers existants, on peut s'affranchir des raisons historiques et culturelles, et opter pour des mois tous égaux (hors les jours ou mois intercalaires).
.soit à accepter un nombre non entier de jours par mois et par année (29.53 et 365.2524), et ce qui est peu pratique/difficile à accepter aux égards communs. Une variation est d'opter pour le nombre entier inférieur de jours et mois, sans 'déclarer' les fractions restantes, mais en ajoutant un jour quand nécessaire pour rattraper le retard (ou à l'inverse avec l'entier supérieur, en 'sautant' un jour, mais c'est moins bien accepté!). Ceci revient à la solution précédente, sauf qu'on qualifiera le nombre de jours par mois ou année de nombre 'discret', ou entier 'vague' (acceptant +1 ou -1), à l'instar de l'année 'vague' égyptienne.
-faire des subdivisions entre le jour et le mois vague?
Se calquer sur la semaine de 7 jour a ses atouts: chiffre magique, équilibre de 5 ou 6 jours ouvrée pour 1 ou 2 de repos, 4.218 semaines par mois... Trop difficile à cette échelle de temps vue nos activités humaines de gérer des semaines fractionnaires, et meme des semaine vague. Optons donc pour 4 semaines fixes, plus un jour intercalaire vague (férié?). Ceci à l'avantage de cadrer avec les phases de la lune évidentes (pleine, 1r quartier , vide, et 2m quartier - oublions les précessions, synodes,...). Préférons appeler ces semaines des lunales, pour souligner que plus que le chiffre 7 (semina) c'est un écho au cycle lunaire, qu'on apprendrait sans doute à plus devoir considérer en santé (sommeil), en agriculture (semaisons),...
-faire des subdivisions entre le mois vague et l'année vague?
Les saisons s'imposent naturellement. Elles sont 4 (comme les semaines! coïncidence?), bien observables dans de nombreux pays, avec 2 évenement astronomiques solaires bien observables (les solstices / équinoxes) et leur répliques terrestres (les marées). Optons donc pour 4 saisons égales, sur 12 mois vagues, ca fait 3 mois par saison... vague! En effet, inutile d'introduire un jour intercalaire à l'échelle des saisons.
-et pour les milliers, millions, milliards d'années?
Allons au delà des siècles et des millénaires, qu'il faudrait sans doute redéfinir et renommer par ex sièocle et duodenaire (voir infra). Notre société moderne a apprivoisé les chiffres dithyrambiques, la culture chinoise et plus encore maya préférait tracer un trait au delà d'un nombre d'années qui devient peu utile à l'échelle de vie humaine, en recommençant à zéro. Sans doute pourra t on combiner les 2 approches en empruntant les 'puissances' des mathématiques modernes qui ramènent les chiffres à des chiffres ordinaires, la puissance pouvant etre omise selon le contexte. Reservons pour plus loin ces arcanes arythmétiques...
Voilà donc un grand chantier ... qui pourra sembler se contenter de reprendre les bases de notre calendrier et renommer du déjà existant. Approfondissons les différences qui nous échappent (ou jugées mineures?). Pourront elles faire apparaitre une importance justifiant un nouveau calendrier? Jeu ou utilité...
AINSI, pou notre calendrier "duodécigrade":
-prenons comme repère de temps zéro une date plus forte (et si possible précise) que la naissance supposée d'un messie d'un partie de l'humanité (fut ce JesusChrist ou Bouddha, ou tel dictateur). Soit la naissance de l'homme (hélas supposée), soit la naissance de l'univers (encore plus supposée), qu'il faut rendre précise (heur, minute, seconde) encore plus arbitrairement.
Disons donc pour l'année JC - 3Milliards d'années (les autres religions ne feront pas cas que quelques années séparent leur repère. Ni les paleontologistes qui situent le début de l'humanité (quel début?) entre 2.4 et 3M.An, voir 5M.An avec le genre autralopithecus). Pour l'heure précise d'origine, on les religions n'ayant guère pour ces évènements, elle est à définir: disons sur l'alignement galactique de Sirius (pour faire hommage au calendrier égyptien qui a introduit l'année solaire). (a creuser: pas possible avec précision?)
-prenons comme durée du jour... celle du jour terrestre! Mais précisons que sa mesure doit être calibrée sur une horloge atomique, et qu'il diminuera probablement un jour... très lointain. En ce sens, le jour est aussi un peu 'vague'.
-il s'agit donc de définir premièrement l'horloge atomique, et même si le choix du cesium peu surprendre, je fais confiance aux physiciens qui y on vu un avantage (a creuser). A nouveau pour relativiser notre petitesse, précisons que l'unité atomique n'est probablement pas le Graal parfait de la stabilité (il pourrait être modifée par des ondes gravitationnelles ou ...? Nouvelle micro ou macro Vague!)
-fixons des mois de 29 jours avec 0.5305jour vague (et corolairement des semaines ou lunales de 7jours), des années de 12 mois avec 0.3668jour vague (et corolairement de saisons de 91.3131jours). A noter que l'unité de base est le jour, et l'unité supérieur naturelle est l'année vague, mais que le mois vague pourrait servir d'unité arythmétique très pratique (voir infra), à moins que ce soit le carré du mois (144mois), renomé un miàcle (ou sièocle?).
-les subdivisions du jour reprendraient la division par douze:
1 jour (24H) = 12 huores
1 huore (2H=120min) = 12 miuonutes
(ou 1 miuonute (10min=600sec)= 12 secuonde
1 secuonde (50sec) = 12
Ceci a déjà été proposé: Horloge d'un temps dozénal (ou duodécimal)
Un avantage est que le changement de ces unités (appelée à être) usuelles, en unités très inférieures ou supérieures (voir dessous) est grandement facilité. Nous y reviendrons.
Mais plus encore, l'addition ou la soustraction de 2 horaires en huores/miuonute/secuoondes deviendrait d'une facilité déconcertantes par rapport à nos heures actuelles (15h29min47sec demain - 2h57m02sec hier...) (l'avantage existe aussi pour des dates an/mois/jour exactes (à decimales). Meme avec des dates exprimées en mois, le résultat est approché et deviendrait exact avec un simple facteur proportionnel 29.5305/29).
-Comme esquissé ci dessus, adoptons une numération duodecimale. La suite de ce paragraphe est plus technique/abscons, on pourra se contenter de passer au suivant, et en voir les avantages...
Pour le comptage des grands et petits nombres, non remis a zéro par les cycles (mois, an), la numération actuelle moderne (occidentale et en amont arabe et mésopotamienne voir bouddhiste) est certes performante mais souffre quelques limitations. Sympathisant du Dozenalisme (bien qu'attache à notre base 10), osons le système duoécimal (écho au 12 mois, voir aux 4 semaines ou 4 saison considérables en triades) combiné aux puissances de 12... avec 2 nouveaux chiffres X pour 10 et E pour 11 - croisant de choix populaires empruntés en Dozenalisme le X signifiant 10 (romain) et le E signifiant Eleven (usuellement utilisé avec le T(ten)); ce pourrait etre A et B; ou 1 vieil arabe, 1 vieux chinois ou bouddhiste ou maya) et de nouveaux préfixes préfixes (inventons!) micruo (12-6) puosco (12-12) [et non pico (10-12)] et Tuora (12+12) [et non Tera (10+12)].
Ainsi X2 vaut 122 (10*12+2) ;
2X.4 micruo jour vaut 34,4 (10x12+2+0.4x12^-1) x 12-6 jours soit (divisé par 24, 60 et encore 60) 0.1152 microsec
-La syntaxe pour écrire la date (vec cette numération duoécimale) serait empruntée au maya et l'écriture moderne:
(année)(jour quantième d'an et secondes) pour une écriture concise
ou pour une ecriture plus humaine (année)(mois)(jour)(heures)(secondes)
tout en ayant des moyens simples de passer de l'une à l'autre.
Ainsi :
* 1093|144.234| signifierait l'année 2093 (en duoecimal) cad l'année 1839 en décimal (&*12^3+0*12^2+9*12^1+3), le 144eme jour, et sa fraction 0.2 signifiant 2heuore (=4H) , 0.03 comptant pour 3mionutes, et 0.004 comptant pour 4 secuondes. On pourra écrire sans effort les unités fractionnaires (2h3m4s). Si on veut les unités naturelles supérieures par ex en mois, 144 c'est 4x12+28 dont le 28 avril du 4eme mois. ON pourra écrire la date 2093|4M28J2h3m4s| . En francais on dira le 28avril de l'an duoecimal 2093 à 2heuore 3 minuote et 4secuondes (soit l'actuel 28avril de l'an 1839 à 4heures x minutes et y secondes).
* 2E093|X:4| signifie le 4 octobre (mois X)de l'an 58853 (2x12^4+10*12^3+0*12^2+9*12^1+3), qu'il sera plus rapide de comprendre comme la 93eme année (11eme en décimal) du 2E=35eme (2x12+11) duodenaire (equivallent du .milenaire).
* 2 digits EE codent pour 143 en décimal; 100 ans duoécimal correspond à 144ans, periode nommable "sièocle" homologue au siècle décimal). Après 3 digits codants (EEE) vient un 'milénaire' duoécimal homologue, qui vaut 1728ans.
Avec 1 seul digit en puissance, on atteint vite les Tera ( E+E = 12+12 ans vaut 8 916 100 448 256 années), facilitant le maniment des grands nombres.
Pour la vite courante le système duoecimal offrirait des 'siècles' et 'milénaires' plus longs, mieux dimensionnés aux générations désormais plus longues. Selon le contexte, il y aurait moins d'ambiguité a ne dire l'année qu'avec 2 digits (sur un sièocle de 144ans) quand dans le système décimal on doit donner l'année quasi systématiquement avec 4 digits (le millènaire) (car le 2 digits est insuffisamment précis et le 3 digits ne se dit pas): en décimal, "c'était en (l'année) 45" doit souvent etre précisé "oui, en 1953", en duoécimal un "c'était en 39" (3x12+9=45) serait moins équivoque qu'il puisse s'agir d'un 'millénaire' encore antérieur.
Pour expliquer pourquoi/comment, la suite est plus technique...
L'unité de base est bien le jour, et l'unité supérieur naturelle est l'année vague, mais le mois vague pourrait servir d'unité arythmétique très pratique: le mois est diviseur exact de l'an vague (12 mois), et un quasi diviseur de l'horizon numérique a 2 digits (12+12) qui vaut 301928529766.0385 mois. Ceci peut faciliter des calculs approchés.
Le calcul en jour sera exact et aussi facile si on utilise une notation adaptée des chiffres duodecimaux et des prefixes et puissances. Ainsi (a construire)...
156 ans s'écrit X1.
La compréhension et la conscience du temps n'est pas spécifique à l'homme, même s'il a probablement un champs de considération le plus développé. Abordons en plusieurs facettes du temps, ressenti, irréversible,... par opposition au temps absolu ou irréversible qu'on saura considérer à certains niveaux. Tout cela repose sur l'échelle du système appréhendé, sur l'échelle de ... temps et d'espace, mais aussi sur la structuration de ce système et in fine de l'univers et sur la dégradation de son énergie.
- le temps ressenti
- le temps absolu, physique,...
- le temps (ir)réversible
- le temps linéaire
- le temps cyclique
=> le temps relatif: ressenti vs physique, linéaire vs cyclique, ... temps vs espace & energie (espace-temps-énergie)
* réflexion sur une espace-temps-énergie-masse *
Il est largement considéré depuis Einstein qu'un espace-temps permet de décrire plus facilement et mieux l'univers. Les 2 caractéristiques temps et espaces, qui étaient fixent, deviennent variables avec l'environnement, tandis qu'une caractéristique pourtant moins directement mesurable si ce n'est arbitraire, l'énergie, devient une entité omniprésente fondamentale, pluriforme et constante (ou conservée), et liée à la masse. Un axiome est que l'énergie (radiative + massique + ...) masse totale de l'univers est constante, mais n'abordons pas ce sujet ou du moins dans ces termes car cela nous induirait sur les chemins conventionnels: partons sur sa négation, et nous y serons ramenés, mais avec un beau bémol.
Envisageons donc plutôt si cette énergie (totale de l'univers) ne serait elle même pas une entité variable (quantitativement, puisqu'il est déjà bien considéré que qualitativement elle revêt différentes formes -nucléaire, électrique, mécanique, gravitationnelle,...-), dépendante des entités temps et espace! ?
Cela pourrait aller au delà des variations qualitatives dite enthalpique[ea] et entropique[eo] qu'on a forgées pour distinguer dans un système l'énergie potentielle de chaque forme d'énergie à se convertir en une autre forme, selon la structure du système et la nature des 2 formes d'énergie en question, et selon l'environnement (disons la température et la pression relatives).
[ea] enthalpie (expliciter notion d'Enthalpie, et blocage/saut)
.L'Enthalpie est l'énergie totale d'un système thermodynamique: elle comprend l'énergie interne nécessaire pour créer le système, plus le travail que ce système doit exercer contre la pression extérieure pour occuper son volume. Ea(A+B) = En(A) + En(B) + Ea([AB] dans C)
.Ea[AB]: L'energie propre à un système (objet) est celle libérée (ou absorbée si il se forme spontanément), indépendament de son énergie totale intrinsèque, celle de ses constituants ( En(A) + En(B) ). On pourrait la qualifier d'énergie de cohésion, ou de barrière d’énergie a franchir pour une transformation, cad travail a fournir pour décomposer le système en ses constituants, ou énergie libre du système car sujette à etre libérée tout ou partie en fonction des conditions d'environnement.
ex: barrière coulombienne pour la fusion nucléaire (reaction quasi tout ou rien et irréversible), énergie d'activation d'une réaction chimique (réaction plus ou moins partielle ou graduelle ou reversible); énergie de Transition_de_phase (libérée ou absorbée +/- progressivement entre de nombreux constituants selon les conditions d'environnement), ...
[eo] entropie
Ainsi, imaginons qu'une fraction de l'énergie pourrait disparaitre (ou apparaitre) et alimenter (ou consommer) de l'espace ou du temps. Le temps aurait une certaine équivalence en énergie (et en espace - mais on l'admet déjà bien). Cela permettrait d'éclairer de façon nouvelle l'acceptation (et l'intuition) que l'expansion de l'univers ralenti le temps et 'gèle' l'énergie disponible (osons dire 'réduit' l'énergie totale). Le devenir de la matière dans les trous noirs pourrait trouver d'autres explications qu'un "effondrement de l'espace-temps" ou une "fuite de matière et d'énergie vers un autre monde": le trou noir serait un catalyseur extraordinairement efficace pour non pas convertir de la matière en énergie mais (la faire disparaitre tout ou partie) en (créant) un espace-temps délocalisé qui alimenterait le même univers de façon diffuse et globale: tel le retrait un volume de gaz dans une enceinte de volume fixe créer de l'espace entre les molécule de gaz restantes. L'univers serait constant non plus à périmètre d'énergie+masse, mais à périmètre 'temps+espace+énergie+masse' (le périmètre pourrait inclure d'autres caractéristiques encore difficiles à rattacher ou appréhender: masse cachée, ...).
Voilà une hypothèse qui ouvrirait par ailleurs une autre porte pour tenter d'expliquer
la notion de temps ressentie, pour un mineral, une bactérie, une plante, ou l'animal fut il un homme. Car si l'hypothèse appliquée ci dessous qu'à l'esapce/temps et energie/masse physiques ne devrait guère produire de transformation significatives à l'echelle du vécu humaine, on peut vouloir l'appliquer à l'énergie d'information. L'information en effet nous baigne et conditionne, et est également décrite comme une forme d'énergie (de la neg-entropie). Elle se crée et dé-crée aisément, se dégrade (certes souvent faiblement) quand on l'utilise ou du moins mobilise de l'énergie du système et de l'environnement,... L'energie d'information a une composant interne (l'energie de la masse du support d'information: papier d'un livre, plastic d'un CDrom, neurone polarisé,...) et une externe (pour son entretien et son maintien dans l'environnement: protection par la couverture et la bibliothèque, recopie d'un livre ou CDrom usagé, le glucose pour le neurone et l'activité de maintien de l'animal et la société).
-Si donc de l'information est crée et accumulée, plus disponible, cela immobilise une certain énergie, et réduit le temps ressenti pour réaliser le travail facilité par ces informations. Le temps est particulièrement réduit pour le ressenti, mais il est l'est aussi sans doute, bien que marginalement, pour le temps physique: (à trouver).
-Quand une information est utilisée ... l'utilisateur agit vite, gagne du temps et de l'espace relativement à son environnement immédiat et l'univers. Cette modification du temps (et espace, et energie) relative modifierait elle réellement aussi le temps universel? bien que faiblement, il faut répondre oui: car l'utilisation dégrade l'information et mobilise de l'énergie au détriment de l'environnement:
-Si un support d'information se dégrade (moindre potentiel) ou est détruit, cela libère son énergie libre, rendue disponible bien que plus diffuse, pour d'autres entités; l'espace-temps est modifié; 1)en ressenti pour l'homme qui comptait sur cette information, car il faut à présent rechercher ailleurs et plus longtemps cette meme information ou voisine et la refaçonner 2)corolairement l'espace-temps physique est modifié car le transfert d'enthalpie du système informatif à l'environnement libère l'énergie libre propre au système informatif, plus les composants isolés dont l'energie interne est plus facile à utiliser. On pourra dire, qu'à volume constant de l'environnement du système, et de l'univers, les composants globaux se retrouvent plus rapprochés que quand ceux de l'information étaient groupés. Les entités réparties de facon plus homogène, et en interactions moins complexes, mais plus nombreuses forment un univers un peu plus dense, qui réagit plus linéairement et rapidement, avec donc un temps (universel) un peu accéléré. L'utilisation de l'information (l'action) accèlere un peu le temps universel, au prix d'une dégradation entropique de l'energie (et rechauffement et dialtion de l'univers). Mais paradoxalement, elle l'accelère beraucoup moins qu'elle n'accélère le temps ressenti (local), ce qui donne l'impression que le temps local accéléré se ferait au détriment d'un ralentissement du temps universel, conjecturant soit que la somme des temps locaux serait constant et égale au temps universel, soit que le temps universel est ralentit.
Le temps local, pour un objet (vivant ou non), est donc singulièrement différent du temps universel, mais il en est un composant (sans que la somme des temps locaux soit (forcément) la totalité*). Les fluctuations (en particulier) du temps local) affectent l'homogénéité du temps, et possiblement via une dégradation d'energie, la "quantité de temps global".
*A noter qu'il a été considéré, pour faciliter la compréhension, un temps universel constant ou un temps universel moyen des temps locaux (à l'instar de l'approche conventionnelle, pour un énergie constant de l'univers). C'est un axiome intuitif, et une approximation qui resulte du fait que la dilation/contraction d'un espace n'est pas synchrone de celle de l'univers. L'univers parrait constant à l'échelle du local, et cette distorsion ou hystéresis induit les pertes ou gains d'énergie et temps et d'espace.
Cependant, entre les composants et la totalité (en temps, mais aussi en energie, en espace,...) il est des conversions de ces composants qui modifier leurs sommes respectives, est probablement des pertes, tel une huile reduit les frictions d'un moteur en la dissipant en chaleur. Cette chaleur nous semble insignifante dans la globalité de l'univers, mais peut etre conjecturera t on ou meme montrera t on un léger réchauffement de l'univers (et la radiation thermique de fond à 2,74±0,06 K pourrait ne pas etre que fossile dûe au bigbang !)
A LIRE: http://www.seigne.free.fr/Cours/RayonnementTher.pdf
En relativité générale, le temps est une propriété intrinsèque au milieu, l'espace-temps. Elle est liée à la vitesse de la lumière (c), ce n'est pas en soit la vitesse de la lumière qui importe, mais la vitesse maximum possible dans le milieu/univers. Au final, le temps est une conséquence (liés à l'espace) de la struture de l'univers (via l'évolution de l'entropie).
-(la relativité générale nous montre) L'antimatière est considérable comme de la matière qui remonte le temps. L'antimatière est montrée depuis 1930, et a présent parfaitement comprise et admise exister, meme si on ne comprends pas pourquoi il y en a si peu dans l'univers.
-(la thermodynamique nous montre) L'entropie, qui mesure le désordre d'un milieu/l'univers, et en fait c'est son évolution, semble orienter voir créer le temps. Au bigbang l'entropie etait très élevée, liée à un état de l'univers très organisé/concentré/potentiel fort. Le temps était ?nul (ou "arreté")?, ou du moins il existait d'une facon qui nous semblerait tres étrange. On pourrait dire qu'il n'existe que sous espace. Le temps est un peu une contrepartie de l'expansion et homogénerisation de l'univers, qu'on traduit par une baisse d'entropie, et qui semble globalement à cet égard irréversible. Mais cette interprétation temps/entropie n'est cependant pas évident:
1)pour la raison que la relativité génrale montre que le temps est modifié localement par la courbure de l'espace (dans l'espace temps, le temps se ralentit quand on accélère, et dans quand on parcourt un espace courbé, par rapport au référentiel de départ: le temps à cet égard est localement il est plat, il est relatif à l'évolution de l'espace cad qu'il est équivalent à l'espace, et meme réversible au sens physique théorique (et non au sens ontologique). Ceci est parfaitement acceptable et connu, avec la relativité générale. Il est montré que 2 horloges se décalent sur des parcours de vitesse différente, par ex faisant un tour de terrer l'un dans un sens l'autre dans l'autre sens (+ expérience de pensée des 2 jumeaux l'un partant en voyage à 80% de c et revelant, qui sera plus jeune) (Exemple des trou noirs montre que le temps accélère en s'approchant de son horizon, puis s'inverse pour s'annuler au centre).
2)pour une raison à la notion d'entropie elle même, qui est a creuser: l'entropie serait elle meme relative, et conséquemment le temps serait relatif à l'expérimentateur. Expérience d'une caisse à 2 compartiments en communiquer, d'un coté des boules bleues à 50% sphériques et 50% hexagonales, de l'autre de boules rouges aussi à 50% sphériques et 50% hexagonales. En secouant la caisse, on comprend que l'entropie augmente si on consigère les couleurs, qui vont se mélanger, mais à l'égard de la forme des boules, l'entropie n'évolue pas! Soit il faut accepter de pense l'entropie comme relative à l'observateur, soit il faut définer l'entropie sur les 2 caractéristiques? La 1ere option fait éccho à la relativité générale, la 2em option conduit à une modélisation hypercomplexe de l'entropie qui devra considérer 'toutes' les caracterristiques or on peut prétendre toutes les connaitres, combien il y en a, voire on peut en définir une infinité, et au final il faut que l'entropie intégre toutes les données de tout l'univers, cad une seul entropie globale...
+/YR(Barau)-1h. 'L'ère du temps'. Conferc moy sur le temps