INTRO: Exemples, Jeu, Paradoxes,..: voir la page 1-Sciences
PLAN
*Physique classique (bases)
Force vs Travail vs Energie...Enerige (inertielle,...), forces
*Physique relativiste, Physique Quantique: voir autre pages dédiées: Physique Quantique
il y autant de différence entre le temps et l'espace qu'entre l'énergie et la quantité de mouvement... mais comment les relier?
La valeur d'une grandeur extensive (ex l'énergie, ...) change en proportion du changement de quantité de matière (sous réserve de garder constantes les variables intensives): ex
.intensives: la température, la pression,.. sont inchangées si on coupe en 2 le volume. Mais attention, la pression partielle apparait extensive car décrit 'artificiellement' les constituants dans le volume total.
.extensives: l'énergie (?sauf la potentielle) de 2 composants/volumes s'addtionnent pour former la valeur du total. .
Position: coordonnées cartésienne, polaires, cylindriques, sphériques,... / réperes () . +/ici (R. Repère orthogonal et orthonormal , calcul distance, changement de repère,...)
Vitesse: dérivée de la position par rapport au temps: V= dx/dt
Accélération: dérivée de la position par rapport au temps: a= dV/dt = d2x/dt
Force: interaction qui produit un travail (le résultat visible/mesurable de l'interaction). une accélération (homologue à une force, disons visible) et
L'interaction peut etre entre des corps, ou résulter d'un système (qui produit un champ de force). C'est typiquement la force mécanique ou électrique...
On l'exprime par F = d(P/d(T) ou d'P) varaition de potentiel représente le travail, mais la définition F = m.a (produit de la masse et l'accelération) est pratique aussi -cf infra-)
F est un vecteur (cad un valeur d'intensité qu'on désigne module ou norme du vecteur, une direction (du travail, déplacement,...), et un point d'application (sur un corps ponctuel, ou non!), avec comme unité le Newton (equivaut au Kg/m/s-2 - mais ce peut etre en d'autres unités physiques pour les forces non mécaniques). L'accélération est aussi un vecteur (mais unité différente: kg/m/S-2; ou N/kg;...)
Travail: cf 'définition' de la force. W = F x . Ce devrait etre la 1r notion à considérer, car la la 1r (et seule) mesurable. Correspond à un différentiel / dérivée de positions x masse ; ou de masse x temps; ou de temperature x masse; ...
Le travail prend différentes formes: mécanique (produit du mouvement; de la pression;...), thermique (de la chaleur), lumineux (de la lumiere), ...
Puissance: travail rapport au temps ( P= W / delta T).
On peut l'obtenir comme P = F ^ v (produit des vecteurs force par vitesse = nb scalaire)
ou P = dE/dt (dériver l'energie (méca) par rapport au temps
Pression: Force divisée par une surface. Elle est isotrope, cad la meme en tout point du volume homogène, et la même dans toutes les directions.
Moment d'une force: (pseudo)vecteur qui traduit l'aptitude d'une force à faire tourner un système mécanique depuis un point P autour d'un point O (pivot). En en J.rad ou (SI) en N.m
M = r . F . sin(teta) = OP ^ F , ou M est un pseudo vecteur (car ne sens est définit arbitrairement (par la règle de la main droite) et non par le système),
ou r est le bras de levier (un vecteur), F la force, et teta l'angle entre la force et le bras de levier. On peut écrire la formule en granderus scalaires (M, et/ou r, et/ou F)
ou le vecteur OP est le vecteur levier (r), ^ désignant le produit vectoriel.
On définit aussi (théorème du moment cinétique) M = d(L)/d(t) , ou L est le vecteur Moment Cinétiqu (?lien avec un Lagrangien)
Le moment d'un ensemble de forces, et notamment d'un couple, est la somme (géométrique) des moments de ces forces.
Energie: c'est une notion scientifique à la fois simple (quasi universelle) et compliquée (pas réaliste/tangible comparé au travail; il faut distinguer des formes d'énergie (meca/electr/magn/chim/...) et leur état (ordonné ou non: entropie/enthalpie),...). Elle prend ainsi plusieurs expressions qu'on formalise par des grandeurs liées:
Energie cinétique, c'est une grandeur scalaire (valeur, unité Joule) correspondant au vecteur quantité de mouvement (linéaire, radial,...)
?Ec serait un peu comme le résultat d'un produit scalaire du vecteur q par ?
Quantité de mouvement: Force multipliée par distance parcourue: q = m . v (kg .m/ s) . C'est la dérivé de la quantité de mouvementn qui est relié à la force.
est la dérivé de la quantité de mouvement qui est relié à la forceC' est un vecteur, qui est homologue à une énergie cinétique (qui est lui un scalaire: un nombre/valeur) mais en diffère par le fait que q se conserve dans le cas d'un choc élastique alors que l'Ec diminue (avec la carré de la vitesse). Dans un choc inélastique, le vecteur q global diminue et il 'cède son énergie' en augmentant l'énergie interne du système (chaleur, déformation, pression). Dans un système 'ouvert' (théorème du centre d'inertie) la variation de la quantité de mouvement du système est égale à la somme des forces extérieures s'exerçant sur le système (cad que l'objet accélère ou décélère selon les forces extérieures: il faut refaire l'analyse au niveau d'un système 'fermé' cad englobant la création de la force, pou que la qté mvt se (re)conserve).
Le q est expliquée par le théorème de Noether (liée à la symétrie des équations de translation dans l'espace...)
La qté de mvt (et l'energie/nota cinétique) est adapté en meca relativiste restreinte comme une grandeur '4-moment': /TS:
Quantité de mvt relativiste = gamma.m.v
En totale = gamma.m.beta.C2 , ou gamma est un facteur appelé gamma relativiste (calculé avec v2/c2...)
En mécanique quantique, la qté de mvt est définit comme un opérateur agissant sur la fonction d'onde... ce qui limite la précision à la connaitre ainsi que al position (Heisenberg)
Impulsion: l'impulsion (I) est un grandeur (?scalaire) qui modifie la quantité de mouvement. Elle est calculée comme étant l'intégrale de la force en fonction de la durée: I= (integ) F . dt = (delta) P (ou P et le poids?)
Forces
* Une force est dite centrale (/wiki) si sa direction passe à tout instant par un point O fixe dans le référentiel d'étude, appelé centre de force.
Exemple: la force de gravité (mais elle ne devient plus centrale qund étudiée à l'échelle d'un sous système, comme le poids dans une maison)
la force électrique produit par un source pontuelle, idem de la force magnétique, et autres forces...
Dans ces exemples ou la force n'est plus centrale, on va parler de champ de force, dont le cas d'un champ homogène 'parallele' ou la force prend toujours la meme direction parallèle en tout point du système
Bien souvent, les forces centrales sont conservatives, mais pas toujours:
la force de gravitation exercée par un corps ponctuel sur un autre est centrale ET conservative, tandis que pour le pendule simple, la tension du fil est centrale (elle passe à tout moment par le point de fixation du fil) mais NON conservative.
Une caractéristique importante du mouvement sous l'action d'une force purement centrale est que le moment cinétique du système par rapport au centre de force est conservé.
* Une force est dite volumique (/wiki) si elle s'exerce sur la totalité de l'objet, comme le poids. Dans le cas des solides indéformables, l'action de telles forces est équivalente à l'application d'une seule force au barycentre du corps, encore appelé « centre de masse », « centre de gravité » ou « centre d'inertie ».
* Une force est dite conservative (/wiki) si elle peut dériver d'un potentiel/ il existe un champ U homogène à une énergie tel que la force résultante peut s'écrireF= (VecteurDeltaInversé).U... cad lorsque le travail produit par cette force est indépendant du chemin suivi par son point d'action.
C'est le cas d'une force mécanique (car l'énergie mécanique d'un système est somme de l'énergie cinétique et de l'énergie potentielle toutes 2 conservatives). Mais aussi de la force électrostatique, d'un ressort ou d'une force élastique.
Un exemple de force non conservative est les forces de frottements (tout travail de cette force produit un autre travail "perdu" au profit de l'environnement (dissipation en chaleur en général; mais ce peut être modification physique ou chimique...). Ce travail 'perdu' par les forces non conservatives se déduit des énergies d'un etat A à B( Wperdu= EmB - EmA) ou la(les) force(s) non conservatives à(ont travaillé.
* Force Newtownienne:
En mécanique selon Newton,on note F = m . a, ou m est la masse (un scalaire, en G) et a est l'accelaration (un vecteur, en Newton/S-2) - F étant en Newton
Le définition initiale est F = Delat(P) / delat (t), ou L est la quantité de mouvement et t le temps, mais elle n'apporte rein de plus quand la masse est constante que la définition de la force comme crée par une accélaration.
On considère qu'il y a 4 forces fondamentales: La force électromagnétique La force gravitationnelle L'interaction forte L'interaction faible
La forte et la faible sont peu tangibles à notre échelle, mas dans le noay entre quarks(evite de désaggréger protons et neutrons) et avec la désintégration β.
De plus, la physique moderne les unifie peu à peu (notamment avec la méca quantique), le Graal étant une force unique.
selon Einstein, la force gravitationnelle n'est pas une force mais le résultat de la courbure de l'espace-temps par la matière.
La force électromagnétique est en dehors des phénomènes mécaniques la principale force en oeuvre dans la plupart des phénomène observés, outre l'électricité et le magnétisme bien sur, de la chimie aux frottements ou l'optique.
* Force lagrangienne: (expression 'lagrangienne' pour réunir force linéaire, circulaire, ...)
En mécanique selon Lagrange, on note une force F = delat(L) / delta (q) dans le lagrangien du système L(q,q') , avec q la position (cartésienne pour une force classique; angulaire pour un force circulaire), et q' la vitesse du système.
?Le moment d'une force devient ? (cf theorème du moment cinétique: M = delta(L) / delta( temps) , si L(vecteur ici) est le meme que L(syst/lagrance)...!)
* Force hamiltonienne: (expression 'hamiltonnienne' pour voir la force comme ?conséquence de différences d'énergie)
En mécanique selon Hamilton, l'énergie est la grandeur fondamentale qui régit le mouvement, alors que l'impulsion est la grandeur qui décrit le mouvement dans l'espace des phases... Quant à la force... et au travail... (à creuser)
La description hamiltonienne est un outil mathem clé qui a permis d'aborder l'unification entre physique relativiste générale (macro) et physique quantique (micro).
Meca fluide) Tension superficielle
https://tpehydrophobie2018.wordpress.com/la-notion-de-tension-superficielle/ : super article illustré de photos/expériences pour visualiser 1)la raison de la tension au niveau moléculaire (le schéma au début; il faudrait ajouter des petites flèches/force entre les molc de surface du liquide et celle de l'air ou du support, qui varient selon la nature du liquide, de l'atmosphère, du support, de la température, ... 2)l'effet sur la tension superficielle (et la viscosité,...) de la nature du liquide, de l'atmosphère, du support, de la température
La force d'interaction gravitationnelle se manifeste sous 2 formes qu'on ressent immédiatement: la force pesante (le poids), et la force d'inertie (en accélération linéaire, ou en rotation). L'accélération d'un objet décrit dans un referentiel, apparait alors comme soit une constante (l'accélaration gravitationnelle créer par la Terre G=9.81N/m/s), soit comme un effet du système extérieur au reférentiel (un champ electrique, mais ce peut etre aussi l'effet d'une transformation interne à l'objet: combustion/ejection de gaz; moteur électrique transmis au sol via les roues;...). Voir les pages 'mécanique de la relativité générale' pour aller plus loin que la description physique classique: la relativité générale supprime la notion de force pour décrire la gravité, disant que tout corps chute dans un champs de gravité crée par toute masse, et que cela est intrinsèquement lié au temps (espace et temps se modifiant l'un l'autre). La mécanique générale considère même que la gravité résulte d'une 'résistance' à la 'glisse' de l'objet dans un champs de Higgs, et correspond à l'échange/interaction d'une particule de Higgs, le graviton. Les dernières avancées ouvrent même la perspective d'unifier les forces physiques (cad Interactions ElectrMagn, I.force, I.faible).
Pour comparaison, en mécanique physique classique, de Newton, la gravité reste une force d'interaction entre masses s'appliquant au centre de masse de chaque objet, instantannément et reversiblement. On y introduit aussi la notion de champ (de potentiel gravitaire), mais celui ci est statique, dépendant des seules positions dans l'espace (le temps est externe).
Force/Énergie pesante
La force de gravité pesante correspond à la situation familière du poids d'un objet (sur Terre), ce que Newton à su modélisée parfaitement.
-Mise en évidence: la force semble émise par la terre, ou par l'objet (on s'en rend compte en augmentant sa masse au niveau de celle de la Terre), et donc par les 2.
-points forts et limitations: La théorie n'apporte en fait aucune explication sur comment elle opère. Mais elle décrit (presque) parfaitement tous les mouvement macroscopiques.
-Rem: On sait à présent qu'elle commet une petite erreur de prédiction pour certains mouvements observés (récession de venus,.. 193?7), ce qui a été corrigé en recourant à la mécanique générale d'Einstein.
Force/Énergie inertielle
L'energie inertielle se manifeste dans 2 situations différentes, pour un corps en déplacement rectiligne, ou en rotation (dans le champs de gravité/référentiel)
-points forts et limitations: la modélisation en physique classique de la force/energie inertielle est pratique/efficace, plus comlexe en physique générale, sans parler de physique quantique.
* *Energie d'un solide en déplacement rectiligne (ou selon le champs de gravité):
-Mise en évidence: on comprend qu'une balle possède une force/énergie proportionnelle à sa masse et à sa vitesse. E = 1/2 m . v2 (à ne pas confondre avec la quantité de mouvement, cf supra). Cette 'energie d'inertie' (linéaire) est cédée au mur qui arretera la balle, ou à une voiture qui roule moins vite. La balle accelèrera un peu la voiture percutée (en proportion du rapport des énergies inertielles de la balle et la voiture, cad de leurs masses et vitesses).
-Rem: (digression relativiste) Une analyse/description en changeant de référentiel (ex depuis la balle, ou la voiture) permet de comprendre que l'accelération (de la balle, ou de la voiture percutée) est relative au système§référentiel (idem de la vitesse, de l'energie inertielle). Idem si la balle et la voiture sont elle memes en chute libre (vers la Terre). Ce qui nous mène sur la piste que la gravité pourrait etre non pas liée directement à la masse des objets, mais à la relation qu'il y a entre les reférentiels propres aux objets (via une déformation de l'espace-temps entre eux qu'ils 'impriment' de par leur masse). Il restera à ajouter la notion relativiste que la vitesse ne peut excèder la célérité de la lumière...
* Energie d'un solide qui tourne sur lui-même par exemple :
-Mise en évidence: on comprend qu'une force 'gyroscopique' se manifeste, s'opposant à toute tentative pour faire pivoter l'objet ou le déplacer (linéairement, sauf sur l'axe de rotation)). L'objet n'a pas de quantité de mouvement car son centre d'inertie est fixe, mais chaque particule qui le compose a une quantité de mouvement, et cela confère au solide une énergie cinétique de rotation, qu'on représente comme un vecteur sur son axe de rotation: le module du vecteur est propotionnel à la l'inertie; l'orientation vers le haut ou le bas représente (arbitrairement) le sens de rotation.
-Rem: On pourra décliner mile applicaitons, par ex faire une analogie avec le spin de l'électron.
Force/Énergie 'de Higgs'
-Mise en évidence: il faut recourir à des expériences de pensée (macro) ou à certains situations microscopiques (niveau molécules/atomes/particules) pour comprendre cette 'nouvelle' forme de gravité. (à creuser)
.Expéreince de pensée d'un skieur (particule) qui clisse sur une pente (neige). La courbure de la pente
Electro dynamique quantique - le vide fourmillant
(Michel Shapiro) le vide interprété pour concilier la relativité générale et la relativité quanitque est vu comme un cide fluctuant, fourmillant de particules qui apparraissent et disparaissent, et c'est leur densité et 'viscosité' qui crée le paramètre de masse (non plus intrinsèque) des particules qui le traversent. Le vide a pu connaitre des trasnition de phase, possède un énergie (comme une tension superficielle?). La lumière qui se propage sur eune très grande distance dans le cosmos montre aussi le vide a un énergie, qui en fait dominerait sur l'energie visible (de la matière, des rayonnement). Les calculs de l'énergie du vide tergiversent encore, de 0 (pour un raison qu'on ignorerait alors/nouvelle orte ouverte) àà un excès d'energie du vide démesuré ((dans un univers plat) 1 volume d'atome d'He (10-23cm3) contiendrait une énergie latente du vide égale à 3 million de x+ que toute la matière d'un morceu d'univers d'un rayon de 20 millions d'années lumière: de quoi gérner un big bnag (par lconscience! ou de largement permettre de voyager à l'autre bout de l'univers
Pour supprimer les créations/disparitions de particules dans le vide, il faut un espace (vide) courbe et froid. Pour le mettre en évidence(energie du vide = énergie du point 0 de l'espace / par (Steve Lamomo/Univ.Yale), analogie de 2 bateau sur une mer agitée se rapproche car moins de vague entre eux. Sa machine comporte de plaques de métal hyper lisses; en les rapprochant, les paricules n'on t plus la place de s'y loger/apparaitre, et alors la pression entre plaque est moindre / négative par rapport à la pression externe.
Cf la page https://sites.google.com/site/eboiro/sciences/physique-quantique §-Vers un intégration...(physique quantique à boucle/cordes)
Résumé: physique classique (Newton) > genérale: pour le macro (Einstein)
pour le micro: physique relativiste (Einstein) > phys quantique (> à boucles/cordes)
tentative d'unification des forces / 2 modèle de physique. Théorie des cordes.
S'il est parfois utile de faire un analogie entre force gravitationnelle et force electromagnétique, il existe une différence fondamentale: la force EM est lié à l'espace (champ), tandis que force G est lié à l'espace-temps. Ainsi un ion qui se déplace à vitesse v parallele a un fil électrique parcouru par un courant dont les électrons se déplacent à la meme vitesse est il soumis soumis à la force EM du fil/courant sous sa composante force électrostatique, et s'y dirigera de la même manière que s'il était à l'arret (soumis à la force EM sous sa composante magnétique si le courant électrique est maintenu, ou électrostatique si les electrons-charges pouvaient etre immobilisés en surface du fil). Le champ EM est orthogonal au déplacement. Alors qu'une masse en chute libre dans un champ de gravité a une orientation parallèle au champs (et exprimé de facon relativisite elle est à l'arret relatif à la source du champs de gravité qui lui aussi chute vers elle). Son maintien "à l'arret(équilibre)" dans un champs de gravité orthogonal n'est possible qu'en rotation orbitale autour de l'autre masse, cad en équilibre entre la chute vers l'autre masse et la chute vers le champ de gravité externe (avec une trajectoire qui serait droite si le champ externe était 'plat').
La température est un paramètre d'état du milieu physique, une des 7 grandeurs fondamentales (*). Au niveau macroscopique, il s'agit d'une sensation (cf §-Température ressentie) que l'on appréhende par ses effets, de facon moins évidente que la masse ou , qui résulte d'on la mesure par sa propriété de dilater un gaz (ou tout corps), ou de modifier la resistance électrique d'un courant (sonde electrothermique),...
(*)à reporter/unités; les 7 unités et grandeurs du S.I.: longueur(Mètre), masse(Kg), temps(sec), température(Kelvin), Courante électrique(ampère:1 C.s-1 - ou eq. 6.2.10^18 charge e/sec), nb de moles (n) et Intensité lumineuse(cd).
Origine et 'coupe du monde' des unités S.I.: France5, UK4, Irak1(sec), Italie1(Volt), Allemagne(Ohm))
Dicussion interessante sur la notion d'unité/grandeur fondamentale/post/FS: le candela (ou dérivé lumen) à un statut assez à part, car relatif à la sensibilité humaine (un filtre; grandeur de nature vectorielle et non scalaire) et reliable à l'énergie et temps et espace(watt/sec2/sr). Mais on dira pareil meme de la longueur et du temps... en relativité générale! Et la temperature pourrait etre exprimée relativement à l'univer/entropie... Ces 7 unités restent 'fondamentales' et tant qu'utiles, de taille parlante,...
Température Kelvin vs Celcius...:
Le degré Kelvin (°K) et l'unité internationale S.I. actuelle, introduite par physicien anglais William Kelvin (19ème siècle). ℃ = K - 273.15 ;
Degré Fahrenheit: C = 5/9 x (F-32) , ou F = [(9/5)C] + 32 +/thoughtco.
Température de zéro absolu: à coté de la température de congélation (0°C=-°K) et de valorisation (100°C=°K), qui ont seric comme base pour définier les unité Fahrenhit puis Celsius, la plus basse température possible ("zéro absolu") à permis de définir le dégré Kelvin. L'existence de cette valeur absolue comme limite inférieure possible peut posse à reflexion à l'instar de la vitesse de la lumière!
Température ressentie: température qui donnerait le meme flux thermique sur la peau humaine sans vent. Ne veut pas dire grand chose en pratique (sauf pour le risque de gélure/visage et mains par grand froid - 1r intention l'ors de l'introduction de cette notion de Temp.ressentié au Canada), car le moindre vetement ruine l'équivallence: +/YT-SE(15min).
(article/reflexion à faire)
L'existence d'une température zéro absolue, comme ultime limite inférieure possible, peut poser à reflexion, à l'instar de la vitesse de la lumière ou d'autre constantes 'fondamentales' de l'univers! Pourquoi ne pas imaginer qu'au delà du 0absolu (0°K=-273.15°C) se cache une autre réalité?
On pense comprendre que le 0°K est une donnée intrinsèque de notre univers: thermodynamiquement, la température représente une possibilité de désordre supérieur (entropie), et au niveau atomique le 0°K s'imagine comme l'état ou tout atome ne vibre plus (au repos). Néanmoins, si le 0°K résulte d'un repos atomique dans les conditions actuelle de l'univers, ne peut on imaginer qu'il soit relatif à ces conditions (et non absolu), cad qu'on fige cette constante de 'repos absolu' (locale, temporelle) en unité de repos qu'on extrapole au passé (ultra chaud/big bang) et au futur (froid isotrope) alors que le repos maximal des atomes serait sensiblement différent dans les conditions primordiales ou futures de l'univers? Le zéro absolu pourrait il avoir été par ex à 1ms du bigbang, égal à 1°K ou 10.451°K ou 10^459°K! de notre °K actuel? et pourra t il devenir par ex -1°K ou -10°K dans 1000milliards d'année d'expansion -qui semble s'accélerer toutjours plus-?
En effet, le 0°K actuel semble de facto 'impossible' d'avoir pu exister dans la soupe primordial ultrachaude... Déjà, l'a t on trouvé dans l'univers? on ne peut que s'en approcher qu'au prix d'une débauche d'énergie. Il est supputé, extrapolé, or tout extrapolation encore un risque d'aboutir à une singularité ou les règles deviennent inopérantes et très sensibles aux conditions globales ou initialles. Qu'est ce qui nous dit que le plus grand repos possible des atomes puisse être rigoureusement le même alors que les conditions de pression/espace/temps étaient hypercontractées? Ces conditions extrêmes ne seraient elle pas à meme d'affecter le zéro absolu (0'°K) tout comme on comprend qu'elles dépendent de 2 autres unités 'fondammentales' que sont la longueur et le temps, cad l'espace-temps, déformé lui meme par une 3eme autre grandeur fondammentale, la masse. La mécanique de la relativité genérale et aussi la mécanique quantique ont décentré nos referentiels et notions fondamentales, à redéfinir l'espace et le temps comme liés entre eux et localement à la masse. Pire, il est question à présent de démystifier la masse de son statut de grandeur fondammentale, en la décrivant comme une grandeur dérivée d'un champ (de higgs) dans le cadre de l'espace-temps, ou l'interaction correspondante pourrait peut être être unifiée avec les autres forces 'fondammentales' (les 4 Elect, Mag, Nucl faible, Nucl forte; déjà réduites à 2: électrofaible, et et nucléaire forte). Alors pourquoi l'espace-temps, qu'on admet lié à la masse, ne serait il en fait pas aussi lié à la température?!
Admettre que la température de zero absolu est relatif (sic!) à l'espace-temps-masse (notons le 0'°K) necessiterait de reécrire les lois de la mécanique de l'univers ... ce qui pourrait ouvrir un nouveau champ explicatif. Qui sait si un zero 'absolu relatif' expliquera la masse cachée de l'univers ou la dyssymétrie particules/antiparticules... mais il semble probable que cela permette d'introduire la notion d'entropie(possibilité de désordre max) qui semble totalement exclue jusqu'à présent en mécanique de la Rle.Gen (et quantique? et corde?)
Faut il reécrire la loi des gaz parfait (P.V=n.R.T) qui relie déjà la température à l'espace (V) ou ou le temps se niche peu etre dans la pression (et la constante R)? Y vera t on apparaitre des constantes plus fondamentales (le cst de planck pour le plus petit espace occupable et la célérité de la lumière pour la vitesse comme la plus grande mobilité/pression)?
Faut il inventer un tenseur pour exprimer la température en fonction du nombre de particules et leur type et leur masse selon la géométrie de l'espace (ce qui introduit le temps), leur durée de vie...