On se préoccupe de son hygiène corporelle pour des raisons naturelles de bien-être (personnel, par rapport à autrui), de santé (une mycose apparait; mon shampoing n'est-il pas pas toxique?,...), mais aussi par souci écologique (trop de produits en aérosol nocifs, ou d'emballages,....) ou financier (ces produits me reviennent cher en fait!) ou encore social (lié à cosmétique, le parraitre, des enejux sanitaires).
Quel équilibre trouver entre la négligence (volontaire, ou non: mendiant, indigent) et préoccupation parfois excessive (en temps et argent) ou sur certains plans? Par exemples:,
-une douche par jour, tel est le standard de nos sociétes occidentales. Pour ceux qui souffrent d'une sécheresse de peau, la logique est d'acheter des savons plus doux, surgras, spéciaux, plus chers... Pourtant l'expérience de se doucher moins souvent (en vacances; comme par des temps passés; ...) ou carrément en supprimant le savon, supprime la sécheresse de peau sans générer de problème d'hygiène (1 semaine de douches sans savon -ni déodorant ou autres produits- maintien le sentiment d'être bien lavé, non puant,avec meme avec un sentiment agréable de peau douce; l'observation par un dermato montre la disparition de la secheresse cutanée, et le maintien d'une microbiote salutaire).
-la mode est au peeling, l'ouverture des pores cutanés, l'hydratation,... D'autres modes ont sévit par le passé, d'ailleurs +/- remise au gout du jour ou adaptées pour satisfaire les besoins modernes de confort: des romains avec les bains froids à chauds; douceurs de l'amande ou l'argan (maghreb) ou le lait d'anesse (égyptiens);... Certains pratiques sont néanmoins considérée aux lumières des sciences modernes comme néfastes à présent (poudrage au zinc des nobles du tems des rois; ...).
-des études sur les déodorants ont montré qu'ils favorisent l'installation de microbes ... plus mal odorants. Sans déodorant (et lavage simple), la population microbienne s'équilibre et prévient l'installation d'espèces pathogènes (pareil dans le colon).
Au final, on mesure que l'on craint en général beaucoup plus un défaut d'hygiène que necessaire, que l'hygiène est relative aux partie du corps, aux conditions de vie, qu'il y a différents types d'hygène (ou plutot que la notion d'hygiène n'est simple et unique), avec des incidences différentes (selon les pratiques d'hygiène, l'acceptation de ceci ou cela): l'hygiène naturelle compose avec le microbiote de la peau et des muqueuses, avec plus de résilience; l'hygiène occidentalisée, avec beaucoup de produits chimiques, détruit ou déséquilibre le microbiote, ce qui fragilise certaines défenses/induit certaines pathologies.
Quand les prtaiques d'hygiène deviennent elles contreproductives, conduites par le confort, ou le regard des autres? Quand cela deivent il un luxe, une perte de temps/argent, un source méconnue de risque, ... alors que d'autres soins souvent plus simples existent et permettent un état hygiène satisfaisant (parfois meilleur!) qu'avec des traitements onéreux que la société de consommation a installés dans nos habitudes et mème standards d'hygiène?.
D'autant qu'on découvre de plus en plus que les produits commerciaux d'hygiène semblent décriés, et même parfois faire plus de mal que de bien! pour un confort personnel, social, discutables. Ainsi ponctuellement ou sur le long terme ils sont tout ou partie responsables de problèmes personnels (irritations, maladies bénigne jusqu'au cancer), et sociétaux (gaspillage, pollution). On réalise que c'est beaucoup le regard d'autrui (ou la crainte), par la vue et l'odorat, et les convenances sociales catalysées par la publicité omniprésente, qui nous mènent à les utiliser sans doute excessivement, parfois mal. Les peuples adoptent des soins corporels et techniques d'hygiènes variées, qui nous rappellent qu'il est d'autres solutions, parfois plus efficace simples et écologiques, des à priori ou illusions de perdre ou ganger un confort individuel, social, ou une espérance de vie.
SAVONS: se laver le corps (et pas que)
SHAMPOOINGS: se laver les cheveux
DENTIFRICES: se laver les dents
DEODORANTS et AntiTranspirants
Le lait: de vache?
Soin des aisselles
Se nettoyer et désodoriser les aisselles est devenu dans nos sociétés une préoccupation importante (déraisonnée?), principalement par peur des odeurs. Il est remarquable que cette crainte de répandre son odeur ou de sentir celle des autres (idem de la sueur) contraste avecce qui se passe dans la nature, et dans d'autres sociétés humaines, ou même par le passé dans nos sociétés. L'odeur du corps (et les aisselles y joue un rôle majeur, avec le pubis) a un signification biologique, marquant le sexe notamment, mais aussi le statut actif ou non. Il s'agit juste de le reconnaitre, sans vouloir revenir à l'age des pierres ou l'intégrisme du naturel, car ces signaux ne sont pas (plus) essentiels pour nous et supléés autrement alors qu'ils génèrent un ressenti négatif qu'on ne peut balayer d'un revers de mains sous prétexte qu'il est acceptable car purement psychologique par ex.
Une autre raison motivant le soin des aisselles est la crainte d'infection, irritations,... Il est ironique de constater que l'infections des aisselles ne résulte jamais (ou si peu) d'un manque de nettoyage (hygiène), et meme les irritations qui résultent plus des situations d'activité physique intense, notamment combinée avec le frottement de vétements. Ces situations sont ponctuelles donc à gérer et adressables autrement.
Il est d'autant plus ironique de constater que c'est bien l'usage des déodorants (et antitranspirants,...) qui génère de petites pathologies (irritations) et parfois de sérieuses (intoxication), certaines étant non visibles mais bien réelles. Par ex, (étude NL cf !-Déodorant) l'usage continu de déodorants participe à une moindre immunisation de l'organisme, et surtout l'apparition de germes indésirés (donnant des odeurs plus nauseuses que la sueur). Un germe pathogène aura aussi plus le champ libre de s'installer.
Cela étant dit donc, il est conseillé de privilégier un nettoyage banal au savon, typiquement quotidien au gant sous la douche au savon. L'emploi quotidien du savon n'est meme pas necessaire (1 ou 2 fois pas semaine suffit) en condition de vie ordinaire sédentaire, ou en extérieur,... (cf douche/bain).
Le recourt à des déodorants est à réserver à des situations ponctuelles ou particulières (ex: avant un entretien, d'autant si on est stressé et que l'idée de sentir rajoute au stress). En tout cas, le choix du déodorant doit considérer sa composition afin d'éviter les ingrédients reconnus ou suspectés à effet secondaire tel que l'aluminium, les paraben, ... (sans s'y noyer ou trop arrêter, car le sujet est extensif, controversables... cf infra §-déodorant).
Se nettoyer les oreilles
Se nettoyer les oreilles avec un gant sous la douche (pavillon externe) est la première chose à faire, couramment.
L'idéal est même préalablement d'arroser l'oreille à la perpendiculaire à l'eau tiède de la pomme de douche pour que l'eau entre dans le conduit, mais sans insister.Cela aide à ramollir et évacuer du cérumen. Si l'on y réprouve, le sentant comme désagréable, il faut savoir qu'on peut aussi s'y habituer!, l'inconfort s'acceptant et/ou diminuant, avec des bénéfices non négligeables par cette si simple action. L'eau qui reste éventuellement bloquée dans l'oreille ne présente pas de danger particulier, autre qu'un inconfort (qu'on accepte très bien après un plongeon ou immersion lors d'un bain ou éclaboussures), même si l'eau ne s'évacue pas dans l'heure qui vient. Quelques gestes simples savent évacuer cette eau. Ne pas les apprendre/expérimenter est fort dommage le jour ou on en aura besoin.
Inutile de nettoyer avec un coton tige fréquemment, et surtout pas tous les jours ou même semaine: le faire pas plus d'1 fois par mois, ou au besoin (après exposition à un atmoshère poussiéreuse, durable ou si on y travaillé), de préférence après un douche ou bain ayant exposé les oreilles à l'eau.
Car le cérumen qui se forme dans le conduit de l'oreille est normal, il a même un role bénéfique (protéger, agglomérer les particules)! et s'évacue en partie par le pavillon (d'ou le nettoyage au gant). Le retirer activement (au coton tige ,sans cesse, à sec) expose à plus de risque, d'autant si le coton tige fait mal, frotte fort, trop profond: formation d'un bouchon (cérumen repoussé se compactant, qui impactera l'ouie, jusqu’à necessiter une intervention), risque d'éraflure ou irritation (et douleur),... Si le cérumen est très abondant bien sur (parfois même on peut le sentir couler (c'est bon signe dans un sens!)), cela justifie de l'aider à s'écouler, à l'eau, et fut-ce au coton tige (inutile d'insister a vouloir voir le coton blanc ressorti immaculé!).
Ceci vaut en particulier l'hiver, ou le cérumen s'évacue moins (froid), pour éviter des otites,... Utiliser de l'eau tiède.
.
Le soin des oreilles passe aussi par
. leur protection contre les sons agressifs (forts: > décibels; trop constants ou nourris ou proches (oreillettes)...)
. la vigilance en cas d'impression de perte auditive (avec l'age? suite à une expérience auditive? un choc?...)
Revue d'idées recues, fausses bonnes idées, et basiques à garder à l'esprit.
Remarquons d'abord qu'on consomme désormais plus de gels douche[g] que de savon en bloc, alors qu'on oublie les avantages des savons blocs, qui restent le produit type pour se laver le corps! Les autres formats de savons ne sont guère plus à encourager[d]. Le choix d'un savon devrait être simple, il suffit de vérifier que la composition du savon reste simple (<6ingrédients) et adaptée à l'usage, ce qui aboutit pour les multiusages courants à un simple savon de Marseille, plutot pour le linge [c], et à l'adoption d'un autre savon plus doux, pour le corps.
-Les plus robustes, ou adeptes du no-soap&no-poo pourront s'accomeder d'un seul savon! Ainsi mieux faut pour eux 6 douches à l'eau et 1 douche par semaine pour décrasser, que 7 souches au savon doux.
-les plus exigents ajouteront un savon noir (pour le ménage), et 1 savon surgras ou ultradoux pour certains usages (2em douche quotidienne, cheveux) ou notammant ayant la peau (très) sensible[d].
[g] "Manifeste anti gels douche": il sont bien plus chers, avec des emballages sophistiqués. On perd bcp plus de 'savon', dans l'égout, qu'avec un savon sur un gant, d’où consommation supérieure, temps et cout à racheter; pollution de l'environnement par les eaux et emballages. Alors qu'avec un gel douche on croit gagner coté pratique, on le paye trop cher, on passe plus de temps à en acheter, renouveler, jeter les emballages,... On croit éventuellement qu'un gel st meilleur pour se laver, pour sa santé,... mais on achète d'abord de l'eau et du rêve d'hygiène-beauté-santé plutôt que des ingrédients actifs, en oubliant ceux essentiels et l'essentiel (cad savoir se laver[p]). On achète surtout divers ingrédients donc on ne sait à quoi ils servent (qu'à justifier un supposée efficacité, savoir-faire, prix) dont certains font polémique, pour la santé ou pour la pollution.
[c] Choix par la composition d'un savon (et types)
Un savon commercial contient outre sa base de substance(s) saponifiante(s), des (trop de) substances accessoires, certaines faisant polémiques (néfastes).
Choisir un savon avec max 5-6ingrédients, car à la base, un savon contient que: huile végétale, soude caustique, eau salée et eau douce. un tel savon coute au grand max 5€/300g (un tel savon fait maison revient à 65ct/bloc).
Préférer le prendre, de couleur naturelle vert-olive (cad typiquement un savon de Marseille, cad fabriqué avec de l'huile d'olive) ou de couleur crème si on préfère opter pour d'autres huiles végétales (à l'huile de Karité, de coco. Éviter 'huile de palme).
Eviter les colorants, parfaitement inutiles (si c'est our une raison esthétique, ourquoi ne pas acheter plutot de la décoration?!). En premier intention un vrai savon de Marseille est parfait pour laver le linge comme le corps, néanmoins il pourra sembler quand meme un peu trop aggressifs pour les peau sensibles, trop souvent lavées,...
Rem: Le savon de Marseille est largement satisfaisant pour beaucoup d'usages (se laver le corps/alterné 1x/2 à 7 avec un lavage sans savon-cf §-no-soap-, laver des vêtements, une plaie,...), car c'est un excellent détergent/nettoyant, hypoallergénique, biodégradable, peu onéreux,...
Il est acceptable aussi pour se laver les cheveux pour ceux qui le peuvent (<3x/semaine: cf §-No-Poo; support le contact du cheveu un peu rêche). Sinon adopter un 2eme savon doux, ou shampoing.
Dans un savon, on peut accepter l'ajout de sorbitol, glycérol (savon glycériné), un parfum (naturel!), éventuellement un colorant (naturel!), mais fuir les autres ingrédients qui bien vite virent à de la chimie et surtout sont peu utiles!
Au delà de 6 ingrédients, les additifs à la base saponifiante augmentent ... surtout le prix, pour des effets de plus en plus discutables, et au final plus de risques toxiques. Exemples ci dessous par catégories de composants(propriétés), comme les conservateurs totalement inutiles. En effet multiplier les ingrédients/propriétés n'apportent guère à celle du savon de Marseille déjà multiusage, sauf à cibler un usage spécifique (toilette d'une peau sensible, ou ménage), et alors autant acheter un 2eme savon, simple aussi, pour cet usage.
Attention avec des composés ajoutés pour leurs effets annoncés comme nourriciers, relaxant ou à l'inverse revigorant,... car c'est souvent fallacieux: d'abord il faut comprendre que la peau est très peu perméable aux gros composés, à ceux qui sont polaires, ... (la nature a inventé la peau pour isoler! la kératine...). Ensuite, les composés actifs mis en avant s'avèrent être en fait plus souvent hydrobes. Ainsi leur présence, et via leur annonce publicitaire, est elle souvent purement marketing (ou stratégique: habituer à une odeur, un besoin nouveau, surfer sur la mode d'un aliment ou plante ou processus tel l'oxidation...). Pour chacun des effets recherché, il vaut mieux soit meme opter pour une crême dédiée, dont ou pourra doser l'usage indépendemment du fait de se laver! mais plutot selon l'exposition au soleil, le stress présent, l'alimentation moins bonne en ce momment,...
Liste d'ingrédients discutables/à éviter et solutions:
* substance ethoxylées (PEG): les éviter car elles se justifient peu pour un savon (moins que pour un shampoing, cf §). Leur nature de base (motif EthyleneGlycol) est non toxique, mais les les substances PEG sont néanmoins décriées, ce qui pourrait se justifier par les mille modifications chimiques que l'industrie se plait à inventer. Certains PEG s'avèrent ainsi un peu irritants sur le long terme. Elles sont disons assez peu préoccupantes pour la santé mais à éviter vu leur bénéfices fort discutables ou remplacables, ou alors à faibles concentration.
* silicones et apparentés: idem. Le (les!) silicones sont d'un coté considérés en général très biocompatibles, néanmoins des effets néfastes sont reportés (résultent possiblement des plus petits composés relargés en vieillisant, et recombinaisons organiques. Ainsi des prothèse mammaires en silicone...). Leurs bénéfices pour un savon ou shampoing sont vraiment louches ou mineurs/remplacables, alors éviter ces composés.
* graisses animale (de porc, bœuf..): à éviter car il n'y pas/peu de raison techniques par rapport aux graisses végétales (raisons éthiques, sanitaires,..)
* graisses végétales: huile de palme à éviter bien qu'acceptable au plan santé, pour son enjeu environnemental (outre qu'elle permet de revenir moins cher... au producteur seulement!). N'apporte aucun avantage comparé aux autres huiles végétales, dont on préférera certaines pour leur odeur/couleur/propriétés (par ex d'olive, de karité, de coco; attn l'huile d'argan est attractive pour ses propriétés mais ajoutée qu'à titre d'additif et non de base, car trop chère).
* ajout d'huiles/graisse (cf infra savons sur-gras): peu utile en usage standard, mais acceptables pour un usage toilette de peaux sensibles, et pour les cheveux.
* nutriments (pour la peau): souvent plus illusoires qu'actifs. cf infra savons aux laits.
* parfums: proscrire systématiquement les parfums synthétiques. Opter pour des parfums naturels, et si possible s'en tenir aux classiques (citron,...) pour éviter l'escalade sans fin et onéreuse des besoins nouveaux.
* conservateurs: totalement inutiles (sauf pour l’intérêt des producteurs de masse), le savon se conservant très bien tout seul des mois voire des années (il suffit de les conserver au sec, emballés ou enfermés. D'ou l'aberration des savons liquides peu concentrés type gel douche). Ces conservateurs sont en outre parfois perturbateurs endocriniens (tetraNa EDTA); irritants (BHT).
ex: BHT: conservateur à éviter car supposé irritant
* colorants: inutiles (autant se contenter des couleurs naturelles: vert, crème). Proscrire systématiquement les colorants synthétiques. Si souhait d'un savon coloré vif, préférer des additifs/colorant naturels type argile blanche (ou rouge)
. D'atant que l'argile a ses vertues (complexant; abrasif doux;...)
[d] Types de savons / spécialités
* Le savon de marseille: plus de 72% d'huile (d'olive). choix de première intention multi-usages, car... cf ci dessus
* D'autres types de savons traditionnels ou commerciaux peuvent etre utiles pour usages plus particuliers ou raison culturelles, subjectives... en gardant alors (d'autant plus) le ligne guide de 6 ingrédients max:
Le savon d'Alep (syrien): à base d'huile d'olive et d'huile de baies de laurier. Alternative: savon de Marseille.
Le savon Azul e Blanco (portugais), bleu et blanc/jaunâtre, plutôt pour le ménage. Alternative: savon noir, ou de Marseille,...
Le savon noir (maroc) convient pour divers usages, mais notamment plus utilisé plus comme détergent, pour le linge et ménage. à base d'olives broyées, et utilise l'hydroxyde de potassium (et non l'hydroxyde de sodium pour le savon ordinaire). Pas facile a rincer (déconseille pour laver le corps). Alternative: savon de Marseille.
Le savon blanc (à base d'huile de tournesol/suisse) utilisé pour la toilette.
Les savonnettes utilisé pour la toilette: format plus petit, parfumé, coloré et neutralisé (à base de suif et noix de coco, >76% de sel d'acides gras). A éviter (suif: animal).
Les savons aux laits sensés plus bénéfiques pour la peau (plus doux, pour enfants) car le lait est neutre, nourricier. Non recommandés en usage courant (car les nutriments du lait ne rentrent pas dans la peau(protéines ); car bien-être animal; car cout)
Les savons "gras" et "sur-gras": enrichis en huile. C'est un peu l'intox mkg, mais utiles pour les peaux sèches (et assez aberrant pour beaucoup de gens qui en fait se plaignent que leur peau est (trop) grasse!).
Alternative: rien n’empêche d'utiliser un savon contenant de l'huile ajoutée (non saponifiée) sans l'estampille 'sur-gras' et le prix qui va avec. (rem: un savon ordinaire, ex de Marseille, contient toujours un peu d'huile d'olive non saponifiée, ou qui est parfois ajoutée). Il est possible aussi, après lavage au savon ordinaire, de se frictionner avec un peu d'huile sur une serviette, ou avec un lait de toilette adapté (gras et hydratant) mais lui aussi simple. C'est plus nécessaire pour les peaux sensibles (sèches,...)! alors le savon sur-gras cher ne se justifie plus. Alternativement, se laver no-soap présente l'avantage de garder un couche du sebum naturel qu'on secrete, avec le microbiote bénfique! Le savon surgrs pourra etre utile s'il s'agit de traiter localement une zone de peau plus sèche/sensible, irritée, gercée,....
Le savon de suif (ou animal): à base de graisse animale (porc, bœuf,...). Non recommandés.
Le savon transparent est obtenu par dissolution d'un savon de suif dans de l'alcool à chaud, puis refroidissement lent et coulage.
Le savon de glycérine: ajout d'alcool ajouté est le glycérol (glycérine). Souvent à froid.
Le savon Ponce (additionné de pierre ponce pulvérisée, pour décrasser). Alternative: savon noir; savon à l'argile.
Le savon dentifrice (additionné de glycérol,...): détrôné par les pâtes dentifrices qui ne doivent plus guère contenir de savon. Dommage dans un sens, ou ca montre que le savon n'est pas l'unique methode pour laver! l'effet solvant (de l'eau) et l'effet mécanique (arroser, frotter, inclusion d'argile ou cristaux ou....) sont déjà très satisfaisants!
Les lessives de savonniers: solution de savon pour laver le linge: à base de tensio-actifs d'origine végétale (typiquement du savon de Marseille, ou ménager) et de sucre (?!), sans agent de blanchiment, avec éventuels ajout d'huiles essentielles (comme parfum et sanitisant),...
* Savons saponifiés à froid (<45°C): sont ok et d’intérêt car plus doux. en général avec alcool ajouté qui reste entièrement dans le savon (savons glycérinés)
* Savons pour usages non domestique(ou para-domestique):
Savon médical (antiseptique), savon médicinal (texturant) , Savon sans*Savon (aussi appelé pain dermatologique ou syndet),...
(ajout d'antiseptiques tels le soufre, le phénol, l'ichtyol, le formaldéhyde, le sublimé de naphtol ou de salol, des goudrons ou du bois de Panama)
(ajouts de *tensioactifs tels que des ammoniums quaternaires)
Épaississants, Émulsifiants, : propriétés physicochimiques rencontrées avec certains savons/applications, mais assurées plus typiquement par d'autres types de composés.
* Formats de savons
Savons liquides, Gels, Mousses,... : à éviter (cf [g] - Gels douche), sauf intérêt particulier:
(mousse à raser, quoiqu'un savon à barbe est plus compact,...)
(dosettes en voyage,...).
Un savon en paillettes s’appelle une lessive, mais les lessives modernes ne contiennent plus guère de savon (des tensioactifs, phosphates, azurants,...)
* faux savons: (pas des ester d'acide gras et base alcaline)
le savons des verriers
Savon sans Savon (médical)
les lessives modernes
détergents, tensioactifs, surfactants,... ces termes désignent des propriétés physicochimiques, partagées en partie avec les savons, mais pas leur identité chimique d'ester'. ce peuvent etres de anions, cations, amphiphilles... .
+/ https://www.youtube.com/watch?v=x2ylu8RTMkU Video sympa (min) pour faire le tour des compositions 'nobles'/historiques ou à marketing/discutables
[p] N'oublions par que l'action lavante d'un savon repose d'abord ... l'effet solvant de l'eau, et sur l'action mécanique du gant (pour la douche; ou de l'éponge, du balai brosse,... - cad de la manière d'utiliser le savon). Sans prétendre à une procédure, voici quelques pratiques déconseillées ou au contraire recommandées. Beaucoup de chose peuvent paraitre triviales, pourtant...
* Se laver à la douche (au savon , et/ou no-Soap):
.usage avec savon: éviter les gels douches (cf supra), les savons sophistiqués, à +de6ingrédients,... (cf supra)
.le savon n'est pas obligé/systématique! = usage 'no-Soap'. En effet, l'effet solvant et mécanique de l'eau et du gant suffisent pour un lavage ordinaire (+cf/§ savon). Mais maintenir quand meme l'usage du savon 1 fois par semaine est utile car l'effet dissolvant et détergent du savon permet un decrassage occasionnel utile, et notamment après exposition forte à de la saleté tenace: le 100% no-Saop ne vient pas au bout de graisse, encre,...
.disposer le savon sur un support sec ou asséchable (support drainants, mais il bien simple et efficace de disposer une scotch-brite sous le savon qui lui évite de glisser, se dissoudre,... si/quand ce support s'engorge, il est aisé de laver)
.frotter le savon avec le gant plutôt que le savon directement sur le corps (plus efficace pour en prélever ce qu'il faut; le savon qui glisse sur la peau ne le frotte pas bien; l'eau qui ruisselle perd du savon;...)
.frotter le corps avec le gant savonné (plutôt que la main, qui élimine moins les cellules mortes
.la friction peut etre plus vertueuse encore avec un gant rêche (au début et après la douche), voire avec un gant de crin pour les plus téméraires. Ceete action mécanique décapante accelère la desquamation naturelle. Bien si il ne faut pas en abuser, cad qu'une fois par semaine suffit!
.rincer le gant (éviter qu'il soit un nid à bactéries/levures, devienne visqueux); rincer la douche (évite les traces de savon qui peuvent faire glisser; l'encrassement des joints;...); aerer la douche (evite l'humidité/depots et rosissement des joints...); redisposer le savon sur son support asséchant.
Et cf §-Douche pour économiser l'eau, augmenter le confort,...
* Laver au savon du linge à la main: :
.on a perdu l'habitude de la faire, 'intoxiqués' qu'il faut des lessives toujours plus efficaces, des machines,... Certes le lavage manuel est plus fastidieux les grands vêtements. Le savon reste une lessive excellente, pratique et rapide pour les chaussettes ou slips (qui ne contamineront pas la machine à laver le linge de grade taille ou délicat). En manque de lessive à machine, (AV)du savon rapé peu dépanner dans une machine.
.faire tremper le linge ne serait ce que 5min à l'eau savonneuse économise pas mal d'eau et savon au final (2em lavage).
.travailler dans un sceau ou bassine de taille adaptée pour qu'il soit plus aisé et efficace (trempage, malaxage)
.malaxer/battre le linge: soulever et ré-appuyer le linge au fond (battre vraiment le linge ne se fait plus guère (fastidieux et fatiguant), et n'est plus guère utile pour des quantités de linge petite à moyenne)
* Autres usage du savon: plaies, glisser,...: :
.plaies, gerçures,...: les laver au savon (de Marseille, ou préférer un savon gras)
.
Un shampooing est destiné à laver les cheveux, mais pas que... dira t on. Avant de s'y plonger, et ne pas virer au produit trop sophistiqué, purement marketing, posons nous quelques question comme la différence être shampooing et savon, le besoin rréle ou supposé de se laver les cheveux,...
Se laver les cheveux au savon?: tout le monde décriera que le savon sera trop agressif pour le cheveux. En effet souvent les cheveux deviennent plus secs, moins brillants et ternes. Or savon (5 à 100x moins cher) et shampooings ont à la base les mêmes composants! (sel de sodium ou de potassium et tensioactifs) et la même fonction première.
Il est possible de se laver les cheveux avec un savon sous quelques réserves et limitations:
1)choisir un savon pas trop sec, sans virer aux formulations gras et surgras trop sophistiquées qui incluent d'autres composants discutables (cf §-Savon).
2)bien rincer, et ou alterner avec un shampooing commercial, ou un NoShampoo maison ... qui peut ou non contenir du savon (cf infra "No shampoo").
Un traitement regraissant est usuellement utile, en préalable (enduction d'huile) ou intermédiaires aux lavages au savon espacés de 3-14jours.
Un demelant (action mécanique) est un complément possible.
Ainsi trouvera t on des adeptes du lavage des cheveux au simple savon par ex d'Alep(adepte) voir de Marseille à >72% d'huile(). Mais le lavage au savon sur la durée ou avec exigence de confort.esthétique/bien etre vire aux solutions 'No-Poo' infra, qui sont un alterantive efficace (et plus saine, moins chère) mais souvent un peu plus contraignante que les shampooings commerciaux.
Abordons donc enfin les shampooings (commerciaux): https://www.youtube.com/watch?v=jCTF6Gsn494 (22min /ONPDP)
ils contiennent des substances lavantes, mais aussi d'autres substances destinés à d'autres fonctions plus ou moins pertinentes selon la personne, l'usage, et des aprioris! (nourrir, relaxer, colorer,...). Ces substances seont selon son approche scientifique, cosmétique,...bien considérées, suspicieuses, toxiques. Un premier hiatus repose sur la conception vu cheveu vu comme vivant, ou non-vivant (biologiquement), mais aussi la notion de confort, d'esthétique,... Citons des substances suspicieuses ou décriée:
Tensioactifs (à base/fonction première du shampooing): SDS (SodiumLaurylSulfate, souvent recourir au terme Sulfates),... purs ces tensioactifs sont irritants. Question de dosage, et d'équilibration par des agents adoucissants, protecteurs,... A noter qu'un tensio actif simple, pas cher non allergénique,... est le savon (bases saponifiées)n comme le savon de Marseille qui est bien moins irritant/agressif, non allergénique,...
Silicones (& dérivés tels que le thicone, le thiconol, le siloxane ou le silane): destinés à 'gainer le cheveux', le rendre brillant,... Coté négatif, les silicones ont tendance à coller, ils sont peu écologiques (la production à partir de sable est une chimie lourde; et le silicone n'est pas très biodegradable). Le silicone "etoufferait" aussi la fibre capillaire (or il est mort biologiques, mais certe non inerte).
éthers de glycol : utilisé comme (?!) conservateurs, et (eb) pour leur proriété hydratantes, gainante, brillant. Connus pour être des (!!!)perturbateurs du système reproducteur, nocifs pour la santé. Ils apparaissent sous les appellations « phénoxyéthanol », « PEG », « PPG », « polyéthylène glycol ».
Parabènes: utilisés comme conservateurs, certains parabènes sont des perturbateurs endocriniens et sont accusés d’être cancérigènes et mutagènes. Même si la tendance vise à les supprimer, ils sont parfois remplacés par des éthers de glycol comme le phénoxyéthanol hautement irritants. On les trouve sous les noms « butylparaben », « isobutylparaben », « méthylparaben » et « éthylparaben ».
Gelifiants: c'est histoire de formulation en gels, pour le coté pratique/usage. Les composé gélifiants dont en général tres anodins (et biologiques). Cependant un gel est utilisé volontiers en plus grande quantité et finit emporté par l'eau, avec les autres composants. Donc considéré comme encourageant la pollution.
Protéines (de plante, d'animaux): ajoutés à but surtout 'nourricier', ce qui ce discute (polémique vivant/non vivant). mais apportent parfois des propriété allergènes (protéines de céréales: gluten).
Ajusteurs de ph: ajoutés pour etre moins agressif envers le cheveu et plus encore le cuir chevelu. Mais ne cahent il pas un base détergents trop agressive (SDS) et mal dosée ou équilibrée (mal saponifiée)?
Stabilisateurs: est il besoin que des ingrédients non stables soient utilisés? les ingrédient de base, ceux d'un simple savon, sont parfaitement stables... Par contre pas les protéines, les géllifiants...
Colorants: c'est question d'esthétique, coté marketing (pour mieux vendre en rayon!), et coté capillaire mais on gagne alors le sujet des colorants capillaires, ou les colorants biologiques (henné,...) sont disputés par les chimiques...
Il en ressort, que tout shampooing commercial, largement chimique (cf supra) est une agression chimique (tensioactive d'abord) éloignée de ce que la Nature avait sélectionne (le lavage à l'eau, à la bave - effet solvant aqueux + action mécanique), compensée par d'autres actions (hydratantes,...) souvent apportant une part de nocivité à la santé humaine via le cuir chevelu, et à l'environnement.
Pour le 1r ingrédient de base, qui est le tensioactif, il seraient plus simple et logique d'utiliser un savon doux naturel que des détergents chimiques certes plus efficaces à l'égard nettoyage, afin de laver le cheveu -comme un laine!) plus doucement afin éviter ou limiter le recours à des adoucissants. Ceci comporte de dégraisser (sébum abimés, mais aussi gras extérieur), raisonnablement car le cuir chevelu et le cheveu a quand même besoin de sébum ou autre composé alternatif (gras), sinon il s’assèche (et s'enmele, se casse)! S'il faut compenser avec agent gras et/ou hydratants, il est a nouveau logique d'éviter des ingrédients chimiques à effet secondaires négatifs (pour la santé, l'environnement).
Ce qui nous ramène, pour l'action tensioactive, aux savons naturels, dont mile formulations ont été développées pour respecter les peaux (et donc le cuir chevelu), et pour tempérer leurs limitations sur le cheveu (et ses points de fragilité: décollement des écailles). Il est vainc de vouloir laver le cuir chevelu comme on lave les cheveux (et l'inverse), sans jouer sur plusieurs agents lavants utilisés avec discernement en fréquence et mode d'application. Le shampooing se décline donc en plusieurs agents et leur mode et fréquence d'application. Sans oublier d'envisager des modes de lavage non tensioactif! comme l'effet solvant, l'effet solvatation acido-basique, le lavage à sec,...
Et pour les traitements complémentaires (regraisser, hydrater, apaiser,...) on se ramène aussi à des ingrédients naturels, dont les aliments qui ont l'avantage d'être sains/non toxiques (décapants, nourricier, hydratants, ...), les huiles naturelles (lubrifiant), l'aloé vera (gel hydratant), mais aussi l'argile et le bicarbonate de soude (décapants physique ou chimiques),...
Solutions alternatives: passer au shampooings maison, et notamment le "No -Poo = Non-shampooing": Il s'agit d'alterner:
Moins se laver les cheveux: l'intox mkg a ancré qu'il faut se laver le cheveux fréquemment et régulièrement, jusqu'au quotidien! Or on ne se salit pas les cheveux pareil assis au bureau 8h qu'en travaillant dans la poussière au champ ou dans la fumée grasse d'un restaurant. Certains secrètent beaucoup de sébum, d'autres très peu (cheveux secs). Du sébum il en faut, c'est un choix de ne pas trop l'enlever avec des lavages doux ou assez espacés (5-14jours), ou au contraire opter pour des lavages plus forts ou fréquents mais combinés avec des traitements re-graissants; avec à la clé plus de risques d'agressions mecan0-chimique,..; et du temps passé!
NoShampooing liquide maison (et bio):
1)à base de bicarbonate de soude (g + eau) (youtube)- ne mousse pas mais lave très bien; ne pas l'utiliser tout le temps: 1x/sem - rincer au jus de citron (effet neutralisant - éviter le pulco et ses conservateurs!) très dilué mais bcp d'autres aliments conviennent (même non neutralisant: effet tampon outre l'effet rincage). Effet solvant eau + acidobasique. un pre- ou postérieur ou entre lavages pour regraisser le cheveux est nécessaire.
2)laver avec de l'eau et du vinaigre de cidre (pour l'odeur; d'autres vinaigres envisageables): pareil pas trop souvent. Effet solvant eau + acidobasique qui nettoie déjà bien, mais un complément pour regraisser le cheveux est nécessaire à priori aussi.
3)l'argile, le talc,.. sont un composant utile pour décaper par abrasion, et absorber des composés. Et donne au shampooing maison une texture (pâte).
3)au savon de Marseille (adepte), avec plus de 72% d'huile d'olive, voir l'enrichir (nota pour 'réparer' des cheveux abimés) en le fondant avec d'autres huiles (e germe de blé et d'huile d'amande douce, puis 2 jaunes d'œufs). Expérience similaire avec du savon d'Alep (adepte), qui requiert sur le long terme des traitement réparateurs intermédiaires. Remarquons que ces traitements riches en huile valorisent l'effet solvant d'huiles, et non de l'eau, ce qui est complémentaire et peut être plus efficace pour certaines salissures (grasses). De même l'usage de démélants après lavage combine une action mécanique.
4)traitements pré- ou post-parateurs (à faire en préalable pour protéger d'un lavage un peu agressif tel bicarbonate ou vinaire, ou SDS!; ou à intercaler pour 'réparer'; a evtlm intégrer à l'agent/étape de lavage: shampoing).
4a)traitements regraissants: friction d'huiles (Olive, Alep, Argan, Amande, Ylang-Ylang,... chacun ira de son habitude ou préférence en fonction d'actions complémentaires appréciées: odeur, effet bio (type de gras, apaisant, relaxant, vivifiant, nourricier, antioxydant,...) ou non (écologie: H.de palme,...)
4b)traiements hydratants: aloé vera (tranche de feuille a frotter sur le cheveu), ...
4c)
NoShampooing sec maison: fécule de pdt et poudre de cacao (un peu gras): saupoudrer, surtout à la base des cheveux ou se pose le problème majeur de sébum accumulé et vieilli/sale ou odorant. Laisser agit 2 min, puis secouer. Cela laisser un odeur des poudres qui peut etre appréciée..
On remarquera que ces solutions utilisent essentiellement des matières naturelles, et même des aliments, ce qui apporte sa logique: laver naturellement c'est aussi se nourrir.
Autres / a creuser
Shampoings solide:
(/ONPDP) pour les dentifrices + https://www.youtube.com/watch?v=xnvX_Px1JtM (/ONPDP) pour des dents blanches
Doit contenir une basse lavante et du fluor pour la prévention (tous la même qté de Fluor). Dentifric blancheur illusoire si pas usité très régulièrement. Certains dentifrices sont des médicaments (soumis à AMM: effet et innocuité; que en pharmacie) ou des cosmétiques (innocuité à prouver). composant tjr identiques plus qq ajouts.
Paraben, triclosan,... sont à présent considérés comme perturbateurs endocriniens
Les concentrations max légales sont respectées, mais les effets cocktails ne sont jamais appréciés..
Dentifrices bio: globalement plus sains
Le plus important reste... l'action mécanique de la brosse à dent!
Blanchissants: (plutot que les pdt formulés avec un gouttière: désinfectants, mais pas la chlorhexidine qui tend à colorer un peu les dents)
bicarbonate: pas agréable, tous les 15jours
la carotte, les pommes: action purement mécanimque, je blanchit pas vraiment
le jus de citron: decapant, plutot que
Traitements de blanchissement: traitement médical (par les dentistes): détartrage efficace, puis traitement au Perborate, puis à la maison tous les soirs 18jours. efficace mail il faut continuer régulièrement et ca revient oins cher que le bar ç sourire au final;
Bars à sourire: utilise le meme pdt (Peroxide d'hydrogène) mais a conc.(60x) inférieur, agit qu'en surface il faut le refaire tout les mois, ca revient au final plus cher(+1000€) que le dentiste(500€)
que par un professionnel, a refaire tous les mois,...
perborate de sodium, 12-18 traiement à l maison, 6% H2O2,...
https://www.youtube.com/watch?v=x2ylu8RTMkU (/ONPDP) Très bonne vidéo (22min) pour faire un 1r tour de la situation.
Conclusion: Les déodorants contiennent des composés suspicieux, ou même avérés toxiques, c'est une question de dose légale, d’appellations,..On distingue les anti-transpirants (protégeant >24h) par un composé, l'aluminium ou ses dérivés, qui resserre les pores de la peau, et a donc une action "anti-transpirante". Ces sels d'alu sont manifestement toxiques (invitro), hélas le flou repose sur le fait qu'on ne sait pas trop dans quelle mesure ces produits traversent la peau, et cela dépend fortement des conditions d'usage (fréquence, dose, sur peau fine ou éraflée: rasage!): difficile de dire ainsi si/quand cela est préoccupant pour la santé.
Sels d'alu: l'antitranspirant (resserre les pores de la peau) le plus courant car plus efficace et peu cher; absent (normalement!) d'un déodorant. Risque pour la santé présumé, contesté par contact, plus évident en cas de rasage. Cas des cancers du sein (possiblement induits par les sel d'alu - 2012) plus importants près des aisselles (rasées).
Parabens: conservateurs.
Talc: desséchant
Tricolosan: bactéricide
PEG: émulsifiants
Cires de silicone: adoucissants
Parfums; huile essentielle
Gaz propulseur des spray: nocif pour l'environnement.
La polémique sur les d'alu persiste(ra) d'autant plus qu'il n'y a pas d'alternative aussi efficace et si bon marché. Les déodorants et même antitranspirants qui se veulent sains (sans alu, et sans d'autres composés aussi suspicieux) préfèrent afficher ce qu'il n'y a pas dedans pour rassurer mais contiennent en fait d'autres composés pas meilleurs en efficacité ou sains; Par ex "pas d'aluminium", mais contient de la pierre d’Alun (plus rassurant? non c'est un forme d'aluminium); "pas d'alu ni alun" mais contient x très décrié; "testé pas toxique par ceci ou cela". On peut être rassuré avec des concentrations sous la norme autorisée pour un composé craint, mais le niveau d'exposition explose avec la durée, la synergie entre substances, les peaux fines (enfants/ados) ou affectée (p.âgées)...
Au final, les plus chers ne sont pas les plus sains ou efficaces, même les bios..., tous contiennent des composés polémique et assez souvent même avérés toxiques.
Il est évident qu'à titre préventif il faille éviter d'utiliser des anti-transpirant sur des zones rasée, et mème éviter de les utiliser quotidiennement (sauter 1-2jours). Un "simple" déodorant suffit pour la plupart des personnes (qui n'ont pas de problème sérieux d'odeur), qui agira certes moins longtemps (quitte a renouveler son application). voire des alternatives plus naturelles: à commencer par la désodorisation mécanique de l'eau/savon en se lavant tous les jours(cf §-Savon, -Soin corps). Accessoirement, un simple parfum peut masquer suffisamment une transpiration légère. Et il a d'autres moyens d'actions doux:
Agir via l'alimentation, car certains aliments donnent un odeur particulière en transpiration (et à l'urine: artichaut), d'autre réduisent la sudation...
Utiliser des probiotiques,
Utiliser du bambou et d'autres matières naturelles à frotter pour absorber la transpiration/sueur. Un simple papier absorbant ou issu peut faire l'affaire.
Prévoir de changer de (sous) vêtement, dans la journée (l'ancien tricot de peau, le Tshrit,...), ou en cours ou à la fin d'une séance de sport, un trajet à pied ou en vélo. C'est simple et efficace, et bénéfique à d'autres égards.
Recourir à un déodo maison, moins cher et souvent aussi efficace (personnalisé!)
(20g huile de coco (antibact, hydratant), bicarb soude 30g (absorbe), 20g fecule(absorbant), 4-10 gouttes d'HE; voir beurre de karité; conservé au frigo - 1.5€ le pot pour 5 mois d'utilisation)
Une autre intox marketing: la publicité cible par exemple les activités sportives, ou la pertinence est encore plus discutable: ne pouvons nous plus imaginer normale d'avoir une odeur corporelle dans l'activité physique, ou comme dans l'acte amoureux! et nous laver après une séance de sport!(ca en fait parti, décontracte,...). Le blocage des toxines par les antitranspirants ne pose t il pas plus de problème en sport?
i
-cela bloque l'élimination de substances que l'organisme a trouvé utile d'éliminer par la sudation et transpiration, délétères. Ainsi le corps se nettoie moins par lui même par ce canal, ce qui peut accumuler des toxines à un niveau critique (en aiguë, et au au long terme), et surcharger d'autres modes d'élimination (urine/reins; foie/bile). On peut donc préférer accepter la sudation/transpiration comme une fonction naturelle nécessaire, accepter un certain niveau d'odeur et de moiteur, se contenter d'en résoudre les inconvénients (odeur) à l'occasion du lavage quotidien du corps, ou ponctuellement et en partie avec un déodorant. Ajoutons que la publicité pousse à faire penser que tout le monde à besoin de déodorant. Or on n'est pas tous égaux: certaines personnes peuvent s'en passer raisonnablement car elles transpirent peu naturellement, d'autres on en effet de vrais problèmes d'odeur à résoudre pour vivre en couple/famille/société.
-cela induit un cercle pernicieux: une expérience de passer 1 mois sans déodorant sur les aisselles montre plus de bonnes bactéries et peu de "mauvaises" (qui sentent). Ça s'inverse quant on met du déodorant, dont on doit en utiliser plus et régulièrement pour chasser les mauvaises odeurs (des "mauvaises bactéries").
Les laits et crêmes sont utilisés dans nos société de facon sans doute excessive (plus par confort, conformisme, habitude... que pour soigner, éventuellement prévenir). Précisons d'abord que nous parlerons principalement des crèmes, privilégié aux laits, ces derniers étant considérables souvent comme des formes diluées de crèmes plus pratiques (ou non!), ou d'interets complémentaires plus limités/spécialisés. Notre propos est de focaliser sur leur buts avérés pour des soins corporels nécessaires ou du moins en usage raisonnable.
Le premier but en usage courant reste l'hydratation de la peau, qui fait toujours du bien, même si ces buts restent surtout du confort (souplesse et aspect de la peau) et d'effet limité (en long terme pour le vieillissement), et pertinent en préventif/thérapeutique cad quand appliqués avant ou après une agression (vent, soleil, frottement, mycose sèche,...).
les autres buts devraient etre plus a dessin de soin curatif (ou préventif d'une situation à venir) que de soin courant / d'entretien, ou parfois considéré par des actions différentes (alimentation, lavage,...).
Ainsi, un tord est de penser qu'une seule crème (ou lait) utilisée en sage régulier fréquent) assurera une prévention globale, car on virera à des crèmes de plus en plus sophisitiquées vantées pour milles bénéficies, donc chères et sans plus trop savoir ce qui peche et est corrigé. De même penser qu'utiliser plusieurs crèmes en alterné ou simultané assurera plusieurs buts
ne crème formulée à ce dessein (principe actif) peut certes etre utile, en curatif
Hydrater la peau: crème hydratante (Nivéa) en usage préventif/curatif , et evtlm qausi quotidien topique
Choisir une crème (ou lait) de composition simple éprouvée (type Nivéa...), quitte à devoir acheter (ou préparer) ponctuellement des crèmes complémentaire mais alors qu'en petit nombre, à dessein de but complémentaires (relaxer, assouplir,... cf infra).
Remarquons que les laits hydratent éventuellement un peu mieux que les crèmes, du fait de leur nature aqueuse. Mais que leur usage à ce propos n'est pas vraiment pertinent en usage courant, du fait du faible temps de contact à l'état liquide car on en met peu pour ne pas attendre que le lait soit absorbé par la peau, même si cette absorption est pourtant assez rapide! -ou évaporé-) ou n'attend pas assez et essuie (d'ou le but supposé d'aussi nettoyer!). La remarque est néanmoins en faveur du lait pour des applications longues, comme sur une brulure (et le lait est alors plutôt une crème liquide pour ne pas couler; ex biaffine, fumazine)
Nettoyer: gant > lait
l'usage d'un lait de toilette (et de coton...) est un réflexe assez féminin qui fait oublier le nettoyage classique au gant avec de l'eau savonnée ou non, très efficace, plutôt plus rapide, moins onéreux, plus écologique... Voir des traces collectées sur le coton rassure sans doute d'avoir fait un geste utile, que c'est le lait qui l'a décrochée,... mais c'est assez dérisoire. L'avantage de combiner d'avoir en meme temps hydraté la peau existe, sans égaler celui d'enchainer un lavage (avec de l'eau!) et et soin par une crème (hydratante).
Relaxer, decontracter,...:
Une crème formulée à ce dessein (principe actif) peut certes être utile, en curatif. L'appliquer en soin courant pallie sans doute des insuffisances dans le rythme et hygiène de vie, l'alimentation,... qu'il serait préférable de corriger ou améliorer.
Assouplir,...: crème + massages (huile)
Une crème formulée à ce dessein (principe actif) peut certes être utile, en curatif (après une exposition au froid, des frottements, cicatrisation,...). Mais il est bon de compter peut etre plus sur des massages, qui agissent aussi à distance (bien-être, conscience du corps,...). Le massage avec une huile (olive, karité) apporte en outre un effet nourricier, et protecteur. Pour un usage préventif et notamment avec l'idée de vieillissement de la peau, le besoin n'est peut être pas tant d'assouplis (la peau d'une personne âgée est en général souple) que nourricier, antiioxydant,...
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