Les OGM (Organismes Genétiquement Modifiés - GMO en anglais), sont un développement biotechnologique majeur actuel de l'agriculture, de plus en plus controversé en Europe notamment. Ils sont vantés apporter une solution pour satisfaire les besoins alimentaires d'une population mondiale croissante, augmenter les rendements des cultures,... Cet article s'emploie à demystifier les éventuels bénefices qu'on peut en attendre et les inconvénients, cachés par l'agroindustrie, ou décriés par les anti-OGM.
Pour les arguments pros, il suffit d'aller sur les sites des agro-industries... commencant par Monsanto: outres les avantages techniques et économiques primairement avancés pour séduire les agriculteurs, les commercants et conseillers du monde agricole et les politiques, ils affichent désormais des argument environnementaux...!).
Une premier base d'arguments pros et cons, on pourra lire www.ogmdangers.org, ftranchement militant et fleuve sur certains points.
* Quelques réflexions de bon sens premieres, ouvrant au doute
Pour mieux nourrir les hommes, il est la voie de produire plus, plus vite, mieux, avec des techniques agricoles traditionnelles qui ont montré leurs bénéfices et limitations depuis de millénaires, et il est donc aussi des techniques modernes ou nouvelles, comme les OGM, avec leurs bénéfices (du moins potentiels, vantés) et leur risques ou limitations. Il est pour les OGM des signes déjà alarmants qu'il sera utile de confronter aux preuves de bénéfices, mais c'est une discussion ouverte qui demandera du temps à déboucher sur des preuves pour ou contre. Engageons nous d'abord sur le chemin du bon sens en prenant du recul sur la voie des OGM qui se présente:
On part avec l'idée d'inventer des semences avec de nouveaux pouvoir, pourquoi pas, mais pourquoi les premiers dévelopés adressent il la résistance aux pesticides (soja resistant au RoundUp) ou la production de toxines (ex Bt = botullique) plutot des plantes qui croissent plus vite ou mieux pour au final produire pllus d'aliments ou de meilleure qualité?
Des plante qui résistent aux pesticides (sic) conduisant à pouvoir utiliser ces derniers (sic). Or on constate que les plantes et (micro)organismes commensaux développent des résistances à ces pesticides:
Des plantes qui produisent des toxines (sic) pour repousser les parasites (soit): il faut que les toxines soient détruites ou non présentes dans l'aliment final vu qu'elles sont aussi toxiques pour l'homme (sic)
Les OGM passent toujours par des semences dont les plantes ne produisent plus de semences fertiles (sic), ce qui change tout la raison d'etre de l'agriculture traditionnelle. Admettons qu'il est des raisons justifiées pour ca: protéger l'environnement, et les industriels à rentabiliser leurs R&D, leurs brevets... Or l=les 2 raisons sont battues en brêche!:
Les OGM sont sensés ne pas se reproduire en culture (F1 stérile), or elles s'avèrent disperser des gènes non naturels dans les plantes sauvages, les bactéries commensales,... !
La protection des interêts des industriels liés au OGM (semence, pesticides,...) ne sont il pas d'abord d'assurer leur revenus? les semences stériles semblent bien d'abord une stratégie douteuse pour ca: faire payer des semaines qui seraient trop*
les prix? plutot que par
Les biotechnologies c'est génial pour beaucoup de choses, eventuellement pour des OGM si c'est pour les mettre en oeuvre de facon controlée et à bon dessein, pas en plein champs, pas pour couter plus cher in fine globalement et durablement (idem du nucléaire!), asservir les agriculteurs, ... N'est il pas des solution plus simples et directes: donner les moyens à l'agriculture conventionnelle et biologique, la valoriser combiné à la gestion de l'emploi (un gisement d'emploi immediat + amont et aval!) et de l'environnement (erosion, haies, ...) voire de l'énergie (irrigation/hydraulique; biomasse; panneaux solaires/hangars;...)
* OGM qui es tu? Qu'est ce qu'un OGM, comment sont apparus les OGM, que et ou sont ils à présent, à quoi servent-il et pourront*ils et pourraient ils servir?
Ethnologiquement, un OGM est un Organisme Génétiquement Modifié (acronyme, GMO en anglais), cad un être vivant, et on en arrive déjà à devoir considérer plutot l'espèce, dont 'on' à modifié les gènes et donc les caractéristiques. Mais cette définition ne suffit pas, ou alors introduit une frontière floue et extensible qui compliquera toute reflexion sur ces fameux OGM, laquelle doit bien sur intégrer un cadre sémantique, adossée à une culture scientifique/technique minimale.
Car la notion d'OGM rèfère en général aux modifications génétiques par biologie moléculaire (notamment depuis x par technique CRISPR/Cas qui permet ces modifications de facon considérablement plus facile/rapide, mais plus précise et nouvelle, ouvrant un champ des possible enorme à l'avenir), mais éventuellement aussi par méthodes de sélection clonale (au niveau d'une cellule) après mutation génétique dirigée, et à d'autres techniques de biomol encore. A ce niveau, on distinguer des OGM 'dur' quand le gène modifié l'est par des agents artificiciels (du fait de l'homme) et introduit artificiellement (ou accidentellement), ou que le gène (naturel) est exogène à l'espèce modifiée, et à fortiori quand le gène est lui-mêm modifié artificiellement (de facon dirigée). On parlera d'OGM quand le gène résulte d'une mutation naturelle et/ou que son introduction est artificielle in vitro (biomol), précisant éventuellement 'OGM sensu lato' quand le gène est modifié artificiellement in vivo par accident (mutation chimique, radiative -sans notion d'introduction), ou à l'inverse quand ce gène est naturel, exogène mais introduit par des pratiques de sélection des organismes (qualifiable d'artificielle ou non selon ses valeurs). Ces dernières méthodes et type d'OGM sensu lato' prolongent les méthodes (qu'on écartera ici à qualifier d'OGM) de sélection des organismes (individus) apres mutation naturelle dut elle influencée par l'homme/agronomie (non chimiquement - depuis le (?) XVIIm siècle et déjà meme antérieurement plus ou moins mélée à la sélection de populations (semences) depuis l'antiquité). Il devient bien sur vicieux de vouloir raccorcher la notion d'OGM à la sélection naturelle des espèces,même si elle satisfait à une définition minimaliste des OGM cad 'modifier les gènes'.
Parler d'OGM et notamment leur risques, leur acceptabilité, leur place dans nos sociétés depend donc du degré de modification des gènes selon les techniques, mais aussi des effets biologiques, de leur existence confinée ou diffusée et impact dans l'enviroonement huain et la biosphère,... Cela passe bin sur pas des exemples et situations actuelles, selon leurs impact avérés, enjeux actuels et futurs.
Ex de la rose XX est elle plus OGM que la rose YY ou ZZ ou WW?: les 2 sont des variétés de plante horticole à usage ornemental, mais XX est générée par sélection in vitro (?avec agent/forcage mutationnel), donc qualifiable d'OGM s.l. tandis que YY est générée par sélection classique horticole (variété horticole) et ZZ par sélection culturalle (variété rustique) quand WW est les variété sauvage (rosa canina, ou hydride d'autres espèces sauvages). On peut considérer XX tout comme YY comme un monstre de la Nature, son appareil reproducteur (la fleur) sur-dimensionné a sa fonction première (la reproduction). C'est pire avec la plupart des fruits et certains légumes dont les tissus d'interet (mangeables) sont surdimensionnés en égard à l'élément reproducteur qu'est la graine rendue parfois absente (ex raisin 'sans pépin'). Les plantes horticoles sont d'ailleurs le plus souvent moins fécondes que la variété sauvage, et même infertiles (hydrides F1), pour assurer un rentabilité économique (rachat de plants ou semences). De telles variétés OGM sensu lato sont développées sur l'autel de satisfaire des besoins de confort humain (décoration), mais cela n'heurte pas (ou peu) le sens éthique. On reconnaitra que les impacts éventuels de ces OGM s.l. restent négligeables, ou alors il faut soi a)atteindre des niveaux de cultures déraisonnables (comme dans l'ex suivant) b)aller sur des considération éthiques profondes plus de l'ordre de la philosophie ou de la croyance/cosmogonie (droits et place de l'Homme/Nature; espèces transcendales?;...)
Ex du blé Tritical est il plus OGM, et à risque ou acceptable,... que le blé cultivé, qu'il soit une des 3000 variétés de blé dur ou tendre créées depuis 10 000ans?
Le triticale est une Poaceae (graminées), première céréale créée par l'homme comme un hybride (amphiploïde) entre le blé (dur ou tendre - hexaploide) et le seigle (?). le croisement observé dans la nature (XIX) fut obtenu infertile, puis fertile avec de la colchicine en 1983). Il combine la productivité et intérêt du blé cultivé (OGM sensu lato) et la rusticité du seigle. Sa culture augmente (Pologne, EU). (+/wiki)
Histoire du blé(/semencemag): Le blé a d'abord (-500 000ans) été récolté à l'état sauvage puis cultivé depuis le néolithique (-10 000ans) dans le « croissant fertile » (actuels Liban, Syrie, Sud de la Turquie) où subsistent à ce jour des blés sauvages. La domestification fixe génétiquement un certain nombre de caractères, ce qui a donné le blé amidonnier (Triticum dicoccon, à partir du sauvage T.dicoccoides)* puis les actuels blés cultivés dits durs (Triticum turgidum subsp. durum (blé poulard ou Kamut) et avec +500 variétés). Parallèlement, un croisement spontané majeur (entre le blé amidonnier*, et une graminée sauvage Aegilops squarrosa) a donné naissance à une nouvelle espèce (Triticum aestivum), à l'origine des blés cultivés dits tendres (de l'épeautre à l' actuel froment et ses +2000 variétés). Wiki relate plutot en fait une double hybridation entre T.monococcum(engrain ou petit épeautre) et Aegilops speltoides donnant il y a -800000ans Triticum turgidum, le premier blé tétraploïde, puis vers -400000ans s'hydride avec Aegilops tauschii (diploide issu d'une hybridation entre Triticum urartu et Aegilops speltoides a -5.5MdA) donnant Triticu aestricum (le blé cultiivé tendre); Les deux genres fondateurs (Triticum et Aegilops) s’étaient dissociés de leur ancêtre commun il y a environ 6,5 MdA. Retenons que les blés cultivés, hexaploides, resultent de la domestification + d'hydridations entre 2-3 graminées, 1/2 Triticum (tetraploide) et 1/2 Egilope (diploide), en 2 lignées/espèces (blé dur et blé tendre).
Car l'agriculture produisit empiriquement par croisements multiples et sélections de nombreuses variétés à partir de ces espèces/lignées (*sans exclure l'implication d'autres espèces de blé sauvages (T.durum,...) voire d'autres graminées). De très nombreuses variétés agricoles de blé dur et de blé tendre ont été crées, notamment avec le recours de techniques plus systématiques (début de l'agronomie - Vilmorin au XIX), puis d'autres techniques modernes. Ainsi l'introduction de l’induction polyploïde par la colchicine inaugure une nouvelle espèce (le Tritical, issu du croisement entre le seigle et un blé tendre; +/w). Les OGM commencent là, ou avec l'introduction de la technique de 'sauvetage d'embryon', ou avec les blés hydrides (stériles) (<7% des cultures), et résolument avec la biotechnologie biomoléculaire dont à présent la technique CRISP/Cas9.
Aspects génétiques: Globalement, on remarquera que le nombre de copies du génome a augmenté, de diploide (2n) ou surtout tetrapoide (4n) pour les blé sauvages qui furent domestiqués, à hexaploide pour T.aestivum (n=6) et la plupart des blés cultivés. D'un part le génome de Aegilops squarrosa (7 paires de n chromosomes B=?diploide 2n) s'est additionné sans fusionner à celui du blé amidonnier (tétraploide: 4n: 2 fois n' paires A). D'autre part les paires de chromosomes se sont multipliées de facon stable dans la plante adulte (polyploidie). Actuellement, le blé cultivé est hexaploide, il contient 42 paires de chromosomes, en fait 3x7 paires de chromosomes AABBDD ou A B et D sont les haploides de 3 espèces d'origine (selon les auteurs, 2 de Triticum Dicoccon et 1 de Aegilops squarrosa, ou(/w) 1 de Triticum M/T, 1 de Aegilops speltoides et 1 de Aegilops tauschii). Au final, le génome du blé (son patrimoine génétique) est 40 fois plus important que celui du riz et 5 fois plus volumineux que le génome humain, malgré que seulement 30 000 gènes seraient suffisants pour assurer la croissance et reproduction. Mais la polyploidie, qui pourrait 'coûter' de l'énergie inutile à la plante, assure une stabilité et flexibilité peu communes du moins pour les besoins de l'agriculture. Paradoxalement, les techniques des semenciers au XX" puis agronomes modernes semble avoir créé une homogénéisation génétique des variétés cultivées. Les technique de biomoléculaires d'ingénierie génétiques ouvre de nouvelles voies à ces recombinaisons génétiques, ouvrait une porte à un nouvel enrichissement génétique mais avec des risques corollaires (à la vitesse des créations permises, l'utilisation d'exogènes desormais possible, la mutagénèse dirigée, l'édition génétique/CRIPR-Cas9),...)
Ex des Blés cultivés et blé OGM.
Les blés cultivés classiquement peuvent être considérés comme non-OGM, et aucun OGM n'est officiellement autorisé. La Chine, qui est le plus gros producteur de coton OGM, auraient mis massivement sur le marché de l'alimentation humaine du blé OGM (inaugurant la 2eme production alimentaire OGM massive, après le soja). Apres un scandale le trahissant (nouilles chinoises/frère Tang), la Chine ne reconnait pas faire de culture d'aliments OGM. (+/wiki) Le premier blé OGM développé par Monsanto (1997-2014r), n'a pas reçu l'autorisationw d'être cultivé pour la consommation (humaine ?et animale).
Néanmoins, la notion d'OGM etendue (à la modification de gène par voie chimique), nous trouvons que beaucoup de variétés cultivées modernes sont considérables comme des OGM s.l. Il est défendu ici/infogm que le blé Renan, très utilisé en agriculture biologique, n'est pas OGM (n'a pas recouru au sauvetage d'embryon; néanmoins la colchicine à été utilisée!). Au delà de la polémique OGM ou pas, tous les blés modernes contiennent beaucoup de gluten (utile pour la panification), ce qui a un incidence pathologique (allergie et sensibilité au gluten)r, même pour les blés durs reputés peu riches en gluten à en croire l'augmentation de ces pathologies. Les pratiques agricoles/agronomiques sont probablement la 1ere cause de ces maladies de civilisation (variétés riches en gluten privilégiées), combiné à l'évolution culturelle (un régime alimentaire devenu déséquilibre pour les nouveaux modes de vie). Des blés OGM; s'ils sont autorisés, tels que développés ne feront que reforce ces problèmes.
Blés rustiques, spéciaux, et autres céréales: une histoire multiculturelle, et le spectre des OGM continue.
L'Histoire des céréales/w montre que les différentes céreales se sont developpées dans l'alimentation et les activités humaines par périodes tant chronologiques que culturelles/géographiques, avec des incidences importantes sur la culture/social, le développement du transport, de la finace... Voir l'article correspondant.
Ainsi du riz en Asie et Afrique, du Seigle, de l'orge de l'avoine et du blé selon les endroits froids/secs ou fertiles et modes culturelles entre Moyen-Orient Europe de Nord, du Sorgho en Afrique (collecte/farine -100 000ans age de pierre et culture à -2000), du mais en Amérique(cultivé à Mexico -7000ans). A l'antiquité, l'orge ubiquiste (des tropiques au Thibet 4500m) se développe un peu partout mais notamment en Grèce antique (délaissant l'avoine et le sigle), et avec les Numides/carthage et afrique nord. Le millet dans les zones arides, et un peu de blé dur. C'est la révolution néolithique qui développe le blé dans le croissant fertile (-10 à -5000ans) et sa cuisson(poterie). Le blé passe à l'empire Romain (héritant de carthage -814avt JC) jusqu'avant le moyen age ou c'est la traction hippique et la charrue lourde émergeantes qui développent le blé en Europe de l'ouest (Gaule,...) à la faveur aussi d'un réchauffement climatique. Le riz dominait lui en asie depuis -13000 (collecte de riz sauvage) à -9000(culture apres hybridation d'un riz pérenne et un riz annuel), l'espèce cultivée se fixant vers -5000, se répandent (2-800) en Inde, Corée, Japon, Indonésie et Thaïlande, puis même en Perse ou les Romains le découvrent et utilise à titre seulement officinal.
Au moyen age, le blé surtout se developpe beaucoup dans la « grande Beauce » des abbayes, de 1130 à 1230, et le seigle en montagne jusqu'à 1400/2000m. Ceci se produit dans d'autres pays d'europe, et se poursuit entre crises (en france 1590; 1611, grandes famines de 1683à1989 en France et Ecosse) et prospérité (Beauce la plus réputée; Languedoc et sa diversité de blés classés,...). L'état s'investit à controler ces activités, pour alimenter l'armée et secondairement le peuple, parfois de facon inverse... L'importance des activité périphériques se révèle, notamment les voies de transport (navigation) pour le commerce, et les finances (taxes, prix minimum,...). La production de céréales devient essentielle tant au niveau alimentaire que pour les privés et l'état.
Le Riz se répand en Egypte (X) puis via les maures en afrique du Nord et enfin en Espagne (XI), tandis que par le nord de la méditerranée depuis le Milanais/Pô que développe la culture en Italie et plus erratiquement en France pour se limiter au delta du Rhone à lla faveur d'un plan d'aménagement.
Le maïs a été de tous temps à la base de culture meso-amérindiennes (Olmèques, Mayas, Aztèques). Les européens le découvrent en 1500-1500, cultivé des rives du Saint-Laurent (Canada) à celles du Río de la Plata (Argentine), et l'introduisent de suite en espagne. Il se propage dès le XVIe en certaines région de France et d'Italie, et via la Turquie en Bulgarie, Roumanie, Serbie et Hongrie puis Ukraine, et en Egypte puis Afrique, et aussi en Chine: tout le vieux monde l'a adopté au XVIIe, car la culture est plus facile/rapide/productive que le blé, mais pas en culture principale: il ne ravit pas la place du blé et autres céréales ou légumineuses pour l'alimentation humaine, mais plus l'alimentation animale.
Du XVII donc au XX, la production de céréales, notamment de blé, se massifie au niveau mondial. Le blé ukrainien prend les devants (XVII). Les USA pour leur part developpent aussi le blé, le mais et le soja, et concentreront en 2007 près de la moitié de la la production et des exportations de maîs, et aussi de soja, et plus encore de sorgo.
Le rendement en blé progresse au XVIIIe siècle par une application plus rigoureuse de principes agraires anciens, mais 4 crises se produisent, avec une évolution d'une agriculture plus intensive, par ex
.Les techniques culturales évoluent,. Par ex en Alsace le blé évince le seigle, et l'orge remplace l'avoine, l'assolement devient plus complexe et la jachère quasi disparait à ppartir de 1750. Dans une moindre mesure, le defrichement contribue à produire plus dans certaines régions. 20% de gains avec le chaulage et de nouvelles variétés de blé. On developpe en 1753 l'utilisation des engrais, et le stockage des ceréales est allongé par circulation d'air. L'invention en 1701 du semoir, par l'anglais Jethro Tull augmente le taux de germination, la densité cultivée, permettant à l'angleterre de devenir exportatrice de céréales en 70ans.
Les crises et progrès s'enchainent au fil des aléas climatiques et 'encadrement ou libération du prix des céréales, enjeux entre pouvoir et acteurs privés. Un agriculteur par son travail nourrit en 1700 péniblement 1.7personnes, et 3 siècles plus tard env.800personnes (avec une consommation d'energie fossile). Des périodes de baisse des prixsont contrecarées par des périodes de hausse des prix, comme lors d'aléas climatiques (gd famine de 1709), et en raison d'enjeux de pouvoir politique ou privés, comme en 1760 ou la liberté des prix obtenue reaugmentera les prix. cela ouvrit aussi la porte à des crises ou inversement poussées désormais économiques et financières que l'agriculture à fort contribué à developper. Ainsi à Londre pour le blé se developpe une place de marché qui deviendra le LibreStock Exchange avec se propres viscicitudes et succès. Similairement par ex, la production de riz en asie (via la Bourse au riz japonaise), introduira l'argent papier, et le système bancaire moderne, avec ses crises (1ere en 1730).
La production de blé retentit en effet à bien d'autres niveaux. Par ex une période stable de recolte céréalière en europe stimule la construction en autriche-Hongrie du canal de la Bega (73km) en Roumanie, et une liberté du blé accordée en Russie(1717), mais aussi la matirise de l'information par les commercants et négociants (cas des succès et disgraces des frères Pâris en 1705-09 puis 1725-26). On retrouve des incidence politiques et sociales avec d'autres productions céréalières, par ex: entre la france qui concurrene au XII Constantinople pour le riz egyptien puis developpera alternativement une voir commerciale par Marseille / la mer noire Dniepr pour importer le blé polonaie en souffrance de débouché quand l'UK est devenu exportatrice. Aux US, la Caroline devient fort producteur de riz de 1725 en investissant l'argent de la traite de amérindiens par les colons. En 1730, le pain blanc prend un essor avec les boulangers en France(1400 à Paris). Les voies navgables sont modernisées (nota en UK) pour pallier aux pénurie (nvlle crise 1740) ou pour exporter.
L'histoire du blé (et des céréales) continuera au XIXe siècle avec 9 crises alimentaires au XIX mais produissant toujours plus, boostée par le récolutio des transports (cheimin de fer) et des télécommunication (télégraphe, puis téléphone, puis internet), le démographie, et la mécanisation(1900). La France cède la 1r place de producteur de blé à a Russie(1832) puis les USA (1833) qui répondent à la pénurie mondiale de 1866-1868, et continuer à produire 2x+ que la moyenne mondiale (3.6% et parfois 5%). Puis la Russie devient 1r producteur en 1909-1918, l'Inde doublant alors la France en 4m position. Cela s'accompagne de plan politiques face aux disettes (UK en 1902 et Corn Law de 1815, famine en 1830/Europe nord; 1962-1963) avec corollaires tensions (en 1816-1817/eruption tamboura; idem en France avec la police de grains + prix plancher de Bonparte) ou besoins de l'armée (Bonaparte en Egypte en 1800, en égard du Maroc; L'égypte qui élimine les Mammelouk de haute égypte poussés par UK et Bonapate), de nouvelles villes (Odessa quadruple sa production de blé en 10ans, et 10x sa pop en 20ans),
En France, les rendements et les surfaces vont le plus progresser pour le blé qui dépasse peu à peu l'avoine et le seigle, devant l'orge puis le méteil, tandis que
le maïs est encore marginal. Aux US c'est le maîs qui domine depuis le début, bénficiant d'une immense expansion du territoire.
Seigle, orge, avoines sont d'autres graminées que les blés, utilisées également comme céréales, mais non ou peu panifiables (pas/peu de gluten - comme le ble dur). Le meteil est un mélange de blé et seigle ou autre graminées et même légumineuses (aliment pour les hommes pauvres, et les animaux).
Ces graminées proches du blé Triticum offrent des opportunités de combinaison génétique, dont déjà une espèce croisée à été créé, est cultivée et en progression: le Triticale. Le contexte devrait encourager d'autres croisements entre graminées, même si l'avènement d'un OGM 'dur' semble pour l'instant pas d'actualité (idem di riz, auu contraire du soja, du maïs, de la tomate,...).
Le riz est une Poaceae (graminées), avec une histoire similaire à celle du blé: domestification et croisement de riz sauvages vers -10000, +250 variétés actuelles. On distingue un grand groupe d'espèces Oryza (dont les 1 de riz cultivées et leurs parents sauvages 'sativa', plus des espèces proches dont le 'riz sauvage' d'Am;Nord 'Zizanie'), un autre grand aussi ('officinalis' plus diversifié), et d'autres encore. Des variétés de riz OGM ont été développées (et cultivées en Chine, mais non reconnu), aux US, en Suisse (le riz doré pour contenir du b-carotène à but préventif/sanitaire sur 1Million de personnes - cf infra).
Le sarrasin (Fagopyrum esculentum Moench) n'est pas un espèce du genre Triticum, ni meme une graminée (mais une polygonacée), mais aussi dénommée blé noir, froment noir, ce qui en fait néanmoins une (pseudo)céreale. (+/wiki).
Autre pseudocéréales s.l: Le maïs (« blé de Turquie » ou « blé d'Inde », le Millet, le Sorgho, le Quinoa (Amaranthaceae ou Chenopodiaceae selon la classification). Voire des légumineuses (pois, fèves, vesces, feverolle,…).
Ex Les blés rustiques, anciens blés sauvages domestiqués pour la culture (épeautre, petit épeautre(engrain), épeautre de barbarie(amidonnier), blé compacts, blé hérisson, blé indien, blé de Khorasan,...), reprennent de l’intérêt pour des raisons culinaires/diététiques (pauvres en gluten, riches en vitamines,...) ou agronomiques (résistances), au delà de caractères délaissés (les blés barbus, les blés nus/vétus(zéa), ). Utilisés tels quels, ou pour créer de nouvelles variétés adaptées aux enjeux de l'agriculture, bio, dynamique, raisonnée. Par croisement/sélection classique, mais là encore avec le spectre OGM attribuable à telle étape chimique (cas du Tritical, cf ci dessus) ou croisement stérilisant (cas des blés dits hybrides (F1): 5-7% de la production mondiale), ou d'étape biomol pure (cas de blés OGM ci dessus aussi).
Ex du "riz doré":
Des variétés de riz OGM ont été développées (et cultivées en Chine, mais non reconnu), aux US (non autorisés aussi/à creusé/2013-a creuser, au canada...). En Suisse un riz OGM dit riz doré pour contenir du b-carotène à but préventif/sanitaire sur 1Million de personnes.20 ans de recherche...
Pour résoudre le problème de carence en vitamine A et de sécurité alimentaire, il est préférable d’encourager un régime alimentaire basé sur des légumes riches en vitamines et donc une polyculture aux mains des petits paysans en opposition à une monoculture, dont les semences seraient brevetés par des multinationales.
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