Le language a sa beauté et ses mystères... Discutons quelques exemples curieusx ou illogiques qui montreront l'importance ou non, les reflets historiques socio- ou psychologiques, ...
(Q03) Je me posais la question s'il fallait accorder
0."une nouvelle fabrication que nous avons souhaité(ée) vous proposer"
Comment l'ecririez vous,
ainsi que:
1. J'avais (recueillir) ses dernières volontés.
2. Les trois toiles qu'il a (acheter) sont très belles.
3. La séance de la Bourse s'est (clôturer) sur une baisse très importante.
4. La directrice s'était (réserver) le petit salon.
5. Tout s'était passé comme il l'avait (prévoir).
6. De père en fils, les Dupont s'étaient (succéder) à la tête de ce magasin.
7. Quels efforts avez-vous (faire) ?
8. Vous avez (laisser) passer trop de temps avant de vous mettre au travail.
9. Dès qu'elle se fut (apercevoir) de son erreur, elle changea d'attitude.
10. Elle s'est (faire) faire une belle robe.
11. Elles se sont (voir) jeter à la porte.
La moitié du test me semblait trop simple pour etre honnête... in fine, j'ai fait 2 fautes sur 11, et hésitais pour l'une...
J'ai creusé le sujet, pour y perdre mon latin et mon francais: je réponds mieux en suivant mon intuition qu'en cherchant à appliquer la règle (les règles!).
Et vous?
Réponses et règles sous ma signature (ne trichez pas!)
------réponses (source infra)-----
1. J'avais recueilli (recueillir) ses dernières volontés.
2. Les trois toiles qu'il a achetées (acheter) sont très belles.
3. La séance de la Bourse s'est clôturée (clôturer) sur une baisse très importante.
Explications : Pour l'accord du participe passé des verbes transitifs et intransitifs employés pronominalement, il faut se rappeler que que l'auxiliaire être est mis généralement pour avoir; par conséquent, ces verbes sont traités comme s'ils étaient conjugués avec "avoir" : le participe s'accorde en genre et en nombre avec le pronom (me, te, se, nous, vous) si celui-ci est complément d'objet direct; dans le cas contraire (pronom complément d'objet indirect), et si le complément d'objet direct est placé après, le participe reste invariable. Exemple : Elle s'est jetée sur la voiture (elle a jeté qui ? elle (s'); s' complément d'objet direct donc accord
4. La directrice s'était réservé
(réserver) le petit salon.
Explications : COD le petit salon est placé après réservé, donc pas d'accord
5. Tout s'était passé comme il l'avait prévu
(prévoir).
6. De père en fils, les Dupont s'étaient succédés
succédé (succéder) à la tête de ce magasin.
7. Quels efforts avez-vous faits (faire) ?
8. Vous avez laissé (laisser) passer trop de temps avant de vous mettre au travail.
9. Dès qu'elle se fut aperçu
aperçue (apercevoir) de son erreur, elle changea d'attitude.
Explications : Le participe passé des verbes pronominaux non réfléchis (c'est-à-dire dont l'action ne se reporte pas sur le sujet, comme s'apercevoir, s'attendre, etc., qui ne signifient pas "apercevoir soi", "attendre soi") s'accorde avec le sujet, comme celui des verbes pronominaux proprement dits : Exemple : Ils se sont aperçus de leur erreur. Parmi les pronominaux non réfléchis, en voici quelques-uns : se plaindre, se servir, s'aviser, s'échapper, s'ennuyer, se jouer, se prévaloir, se saisir, se servir, se taire, s'attaquer ....
10. Elle s'est fait
(faire) faire une belle robe.
Explications : A noter que le participe passé du verbe "faire" ou "se faire" est toujours invariable devant un infinitif : Elle s'est fait faire une belle robe
11. Elles se sont vu
(voir) jeter à la porte.
Explications : le participe passé d'un verbe pronominal suivi d'un infinitif : le participe passé de ce verbe s'accorde comme le participe passé du verbe simple : Ils se sont vu jeter à la porte (ce n'est pas eux qui faisaient l'action : ils ont été jetés à la porte par quelqu'un) donc pas d'accord du verbe "voir" avec le sujet "elles".
rem: j'avoue ne pas bien comprendre pour les tests 6 et 9, et même certaines explications. Ex pour le 4, l'explication du COD après le verbe alors qu'utilise l'auxiliaire etre. Elle serait plus ok pour l'auxiliare avoir: La directrice avait réservé
(réserver) les petits salons.). En fait l'explication se réfère à des règles que je ne connaissait pas, à http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-34890.php.
Je n'avais jamais réalisé qu'il y avait une autre règle que la 1et 2: la 3/ Accord du participe passé des verbes pronominaux . C'est vicieux au possible: ca commence par "En règle générale, le participe passé des verbes pronominaux non réfléchis (c'est-à-dire dont l'action ne se reporte pas sur le sujet) s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe" sic! le sujet n'est pas lié mais il sert à l'accord, quel illogisme! et notamment avec l'exemple "Elles se sont aperçues de leur oubli." qui correspond à mon erreur au test 9: elle se sont apercu de quoi? elle ont apercu quoi? pour moi c'est pas elles-meme (ou 'se') qu'elles ont apercuES, mais plutot qu'elles se sont apercu de quelquechose, (ont réalisé) leur oubli/erreur! N'ecrirait-on pas "Elles s'en sont apercU."? N'écrit-on pas "Elles se sont vu jeter à la porte" comme expliqué supra(11).
Et la suite est aussi assez gratinée, à distinguer verbes pronominaux reflechis ou non reflechis, COD ou COI, quand on cherche à comprendre la règle et les appliquer à des exemples:
"Elles se sont demandé d'où venait ce bruit."
"Elles se sont lavé les mains." mais "Elles se sont lavées"
"Ils se sont nui les uns aux autres." et "ils ont nui aux uns aux autres"
"Les années se sont ainsi succédé"
...
C'est finalement sur wikipédia que les règles sont les plus claires et complètes. Et aussi sur cette page perso noos pour un condensé séparant bien les régles/cas-exception au meme niveau, avec des exemples clairs. Ci après
Règles principales "connues de tous": règle1 (pour etre: accord avec lesujet), règle2 (pour avoir: accorde avec le COD si placé devant),
et appelons la règle0 (pour les participes passés comme adjectifs)
Règles moins évidentes: règle3 (pour avoir suivi d'un infinitif (3a), ou précedé d'un 'en' (3b): pas d'accord), (mais etre+infinitif donne un accord au sujet:(1))
règle4 (pour les verbes pronominaux, = règle1 pour avoir, sauf pour les verbes 'essentiellement pronominaux'),
et les exceptions des règles 0 à 4 qu'on prendra pour des règles 5 à n... liées au type de verbe (transitif/intransitif.subjectifs, autonomes,...impersonnels...), suivis par COI, CC, utilisés comme préposition, postposés,...)
*notes*** regles 4 / verbes pronominaux ***
verbes pronominaux, qui existent sous les deux formes, (car) considérables comme le verbe avoir:
Accord avec le COD (du verbe au passé composé) seulement s'il est placé devant:
Les cadeaux, elles se les sont envoyés / Les cadeaux qu'elles se sont envoyés , équivaut à 'elles ont envoyé les cadeaux'
et (COD après, ou COI): Elles se sont envoyé des cadeaux , équivaut à 'elles ont envoyé les cadeaux à elles' (COI)
mais ne pas confondre: si le verbe pronominal n'est pas considérable comme conjugable avec 'avoir': c'est un pronom.subjectif ou autonome?
verbes accidentellement pronominaux: le pronom qui les précède (se) n'a pas la fonction de COD, car
.peut avoir la fonction de complément d'objet indirect (ou COI) : 'Elle s'est envoyé une lettre' équivaut à 'Elle a envoyé une lettre à elle'
.peut marquer l'appartenance : 'Je me suis lavé les mains' équivaut à 'J'ai lavé mes mains'
Exemples: (se) Rappeler , Faire , Garder , Envoyer , Réflechir...
verbes essentiellement pronominaux: n'existent quasi qu'à la forme pronominale: pas d'accord (participe passé invariable), sauf si accompagné d'un COD placé devant
S'enfuir, se souvenir, se suicider: 'Ils se sont suicidé', car pas de COD ou alors un COI (se souvenir de qqch) ou CC (s'enfui à toute vitesse, se suicider à l'arsenic)
Avec COD: 'Les droits que la direction s'est arrogés', mais 'La direction s'est arrogé des droits étendus'
verbes pronominaux subjectifs ou autonomes: considérés comme essentiellement pronominaux: pas d'accord (participe passé invariable) (?sauf si COD devant: ne semble jamais devoir se produire, du moins en forme pronominale? car le pronominal 'se' réfléchit le sujet en tant que COD (pas COI) et empeche alors d'avoir un autre COD)
exemples: s'apercevoir, se recueillir, s'échapper,... : Ils se sont échappé
quand la forme pronominale remplace une forme passive, la règle veut que le participe passé s'accorde avec le sujet :
Cette ville ne s'est pas construite en un jour.
*notes*** regles 5 / cas particuliers et exceptions pour les accords des participe passé ***
*5a* participes passés lorsqu'ils sont précédés d'un complément de durée, de mesure ou de prix, qui ne sont pas des COD
Les vingt ans qu'ils ont vécu ensemble. (= ils ont vécu ensemble pendant vingt années)
Les vingt ans qu'ils ont vécus ensemble. (= ensemble, ils ont vécu vingt années, COD) (les deux sens sont différents)
*verbes impersonnels: falloir, ...
*5b* participes passés utilisés comme prépositions restent invariables. (Cas de ci-joint, étant donné, etc.)
Étant donné la conjoncture…
*5c* Autres exceptions, cas particuliers,... (/wiki)
*5d* Autres (/noos) Cas particuliers : ci-annexé, ci-joint, ci-inclus, étant donné
En général, ces participes restent invariables :
- quand ils sont en tête de phrase: Ci-joint les factures... Ci-inclus une feuille de déclaration...
- quand ils précèdent immédiatement le nom qu'ils accompagnent: vous trouverez ci-inclus copie de...
Mais ils s'accordent :
- quand ils sont placés après le nom qu'ils qualifient : la lettre ci-jointe...
- quand ils sont placés devant un nom précédé d'un article, d'un adjectif possessif, démonstratif ou numéral : vous trouverez ci-jointes les pièces... je vous adresse ci-joints deux contrats...
*5d* cas où le sujet est postposé au participe : « il faut dire la peine que m'a donné cette affaire, (Bossuet 1960)
rem : ce cas devrait tomber dans le cas courant de la regle 2(avoir) si on prête bien attention que le 'que' ne représente pas 'affaire'! mais 'peine' (ou pour l'explication prenons plutot un nom masculin: 'souci')! Le mot 'cette affaire'/'ce souci' utilisé "postposé au participe" est le sujet du verbe 'a donné'. On pourra dire: il faut dire le souci que cette affaire m'a donné, ou que tu m'as donné (COD = que = souci). Et finallement, dans la phrase de Bossuet, il faudrait alors bien faire l'accord ! en écrivant: la peine que m'a donnée cette affaire, car le COD = que = peine, ce qui est plus apparent avec la phrase ordonnée: la peine que cette affaire m'a donnée, ou "la peine que ce problème m'a donnée'.
*9*Cas particuliers (EB) : doute/réserves ou difficulté certaine à observer ou accepter "la" règle:
-Exemples/(règle participe passé suivi d'un infinitif):
Les fruits que j'ai voulu cueillir. wiki explique bien qu'il n'y a pas d'accord à faire car condition1 (COD devant) remplie, mais "la condition 2 n'est pas remplie puisque les fruits n'est pas le sujet véritable de l'action cueillir.". La logique serait que l'on considère le COD ou sujet du participe passé (voulu)... or c'est le sujet de l'infinitif (sic) qu'il faut considérer dans la règle/exception!!! On le comprendra en écrivant 'les fruits que j'ai vouluS murir", car lfruits peut etre considéré comme sujet pour voulu (et pour muriri). Plus facile de comprendre/accepter la règle d'accord si on sait qu'elle remonte(rait) à la 'proposition infinitive' du latin. Mais ca montre qu'il faut etre érudit pour bien écrire. De plus, cette règle (une exception d'une autre règle!) souffre elle même d'un exception: il y a une autre règle/exception avec le verbe faire, qui rend toujours invariable le participe passé: "Ma robe, je l'ai fait nettoyer", alors que pas simplicité/cohérente, croyant bien écrire/dire, certains diront "je l'ai faite nettoyer". En outre, depuis 1990 une autre règle/exception similaire s'est ajouté avec le verbe laisser (qui rend toujours invariable le participe passé)... avec une tolèrance inverse!: il faudrait écrire "Ma robe, je l'ai laissé s'envoler" (laisser -> p.p. invariable), mais il est toleré "Ma robe, je l'ai laissée s'envoler" (robe sujet de s'envoler), et le p.p. invariable semble s'imposer dans "Ma robe, je l'ai laissé mordre par le chien" pour 2 raisons () tandis que laissée' serait acceptable pour 1 raison (car robe COD de s'envoler)
+:
http://www.langue-fr.net/spip.php?article297 pour le cas du partpassé de Laisser (et autre cas particuliers)
Tentative de "règle d'accord" plus simple:
Visée première: cadrer les accords ou non des verbes participe passés au temps composés, et si possible apposé aux noms et autres cas.
Principe: (idée20150324) considérer le verbe auxiliaire (etre, avoir, falloir) comme le verbe principal 'premier', et le verbe participe passé comme verbe 'secondaire' (et non LE principal, conjugué au participe passé). Le participe passé se retrouve ainsi considéré plus comme un adjectif (ou...) dépendant d'un sujet (pas forcement un nom ou le Sujet de la phrase). Ceci nous ramène/oblige à la construction sous-jascente (d'origine: latine), et donc un logique 'logique'... à distinguer le verbe secondaire au p.p."adjectif", du verbe secondaire "à l'infinitif" , d'un verbe à l'infinitif employé, comme 3eme verbe, ou comme nom/COD/COI....).
La règle (A) s'apparente aux règles ordinaires, mais se résoud à la règle1 quand on sait ce que sont les COD fonctionnels (adjectifs, reflechis,infinitif...) et leur propriétés de reconduire ou non le genre/nombre.
(idée20150324): se raccrocher au concept/structure d'origine, ou le partpassé était un adjectif (plus un verbe) / (orthonet - infra).
A voir: la règle (B) s'appliquerait alors meme au participe présent?
(A)-1r tentative de règle simplifiée
1': règle générale(1ère, et récursive)
poser la question (sujet)+(verbe auxiliaire[1r voire v.secdr conjugué simple ou 2m: v.secondaire partpassé; 3m: v.tertiaire partpassé]) quoi?
Rem: - la question ne vaut naturellement pas si le verbe n'est pas l'auxiliaire conjugué à un temps simple, et autre verbe conjugué à un temps simple (verbe principal (je mange une pomme), car le verbe est alors principal et conjugué donc s'accorde avec son sujet.
- par contre, la question s'applique ainsi que les réponses/règles d'accord 1a à 1e, avec les précautions décrites en règles 2à5) si le verbe (dit principal) est à un temps composé (mais alors considéré ici comme verbe en fait secondaire voire teriaire)
- la question et règles 1a'/1b'/1c'/1d'/1e' valent aussi bien pour l'auxiliaire Etre (regle classique 1), qu'Avoir (règle classique 2), que les verbes auxiliaires accessoires (aller, falloir,...) gérés laborieusement avec d'autres régles d'accord et exceptions: ainsi, ou oublie de considérer comme principal un verbe conjugué à un temps composé (ensemble de verbes), les verbes à l'infinitif comme non conjugués et contrainte particuliere pour les accords, les règles par rapport à la fonction dans la phrase (COD). Ainsi on se concentre pour chaque verbe sous sa forme simple (1mot) sur sa place fonctionnelle par rapport au verbe premier (verbe secondaire, tertiaire) -on l'accorde alors avec le 'sujet' qui le commandant (pas forcément le Sujet de la phrase, ni un nom!), ou éventuellement [mais on sort du cadre 1r de la régle d'accord visé, pour les partpassé de temps composé] par rapport à un nom (ex à trouver) ou comme complément di verbe premier (ex à trouver).
1a': si la réponse est un COD 'normal', il n'y a accord (du v.partpassé) avec lui que s'il est placé devant le verbe principal(auxiliaire),
1b': si la réponse est un COI ou il n'y a pas de réponse (verbe d'état, ou subjectif, ou autonome), il n'y a pas d'accord (participe passé invariable)
1c': si la réponse est un verbe (secondaire) au participe passé (" COD 'participe-pass' "), pas d'accord du verbe, mais voir la regle 3
1d': si la réponse est un verbe infinitif (" COD 'infiinitif' "), voir la regle 4
1e': s'il n'y a pas de réponse en raison d'un verbe pronominal transitif (avec COD), il faudrait poser la question (sujet)+(pronom reflechi)+(verbe auxiliaire) quoi?), alors il ya accrod avec le COD. +/regle 5
1z': la régle amont de base ne serait elle pas: accord du verbe simple toujours avec son sujet (comme être), mais
-il s'agit de demystifier le COD comme un sujet caché pour un verbe seeondaire, et en outre
-ce sujet peut etre inconnu, indefini, neutralisé (le sujet est un verbe conjugué: verbe premier auxiliaire etre avoir aller...). Cela vaut pour un partpassé dont le sujet est un verbe conjugué qui attribue ou réflechi le sujet du premier verbe (cas de l'auxiliaire etre, mais aussi certains verbes d'état?), ou au contraire qui neutraliser le genre/nombre du sujet du premier verbe (verbe premier auxiliaire avoir, aller..., et tout verbe d'action manger) .
-c'est typiquement le verbe par lui-même qui peut neutraliser le genre du sujet, ne pas avoir de réel sujet (impersonnel), ne pas avoir de COD (intransitif)... obligeant à considérer les cas particuliers d'accord ou non accord selon sa nature.
-?autres cas/raisons
Est COD 'normal' - un nom ou entité avec genre et nombre, qui est classiquement considéré comme COD (donc pas pour l'auxiliaire Etre),
- un pronom, qui reprend le genre et nombre d'un nom, généralement en sujet du verbe principal ou secondaire (pronom reflechi 'se' d'un verbe pronominal) (COD 'fonctionnel'). Trouver exemple/ne se présente en fait ?pas du tout que la réponse soit "se": c'est le COD reflechi infra "se (...) lavées".
- un nom ou entité avec genre et nombre pour l'auciliaire Etre (classiquement NON considéré comme COD, mais attribut du sujet)
On considére " COD 'participePassé" un verbe au participe présent qui dépend (secondaire) d'un verbe conjugué: ex: j'ai chanté
rem: l'appelation CODpartpassé heurtera tout un chacun, considérant que c'est le participe passé lui-même, forme verbale qui correspond aux temps composés (passé composé,...). Par COPartPassé, je considère plus la fonction dans la phrase que le type ou forme de mot(verbe).
Est considéré " COD 'adjectif' " un adjectif (attribut du sujet) ex: Elles sont belles. Elle a été belle. L'adjectif pouvant se confondre avec le participe passé, on pourra préciser la fonction CODPartiPasseAdjectif.
Est considéré " COD 'réflechi' " le pronom refléchi d'un verbe pronominal: elles se sont lavées, et en fait "se ... lavées": elles sont quoi? réponse: se laver. On pourrait dire: Elle se sont quoi? réponse: lavées. Ou aussi: Elle sont lavé quoi? réponse: se. Donc l'usage de pronmn réfléchissant le sujet (comme COD avec avoir, ou comme attribut avec Etre) introduit une forme passive (avec l'auxiliare etre) ou indirecte (avec l'auxiliaire avoir, voire aller, falloir,...)
Est considéré " COD 'infinitif' " un verbe à l'infinitif dépendant (secondaire) d'un autre verbe conjugué simple ou composé(au partpassé) (ancêtre latin de la proposition infinitive) voir autre (à l'infinitif,...). Ex: il va partir (infinitif secondaire). Il est allé manger(infinitif tertiaire). Il va falloir manger. Il faut faire manger (infinitifs secondaire et tertiaire). Ne pas confondre avec un verbe infinitif utilisé comme complément d'un verbe (il faut donner à manger) ou autres mots/fonctions(à trouver). Par définition, l'infinitif ne s'accorde pas mais il peut retentir sur l'accord d'un aprticipe passé amont (mais non ou aval)
On considére " COD 'participePrésent " un verbe au participe présent que dépend (secondaire) d'un verbe conjugué: ex: elle est partie en chantant
notion pas évidente, car le partprésent est souvent confondu pour 2 usages, à l'instar du ParticipePassé utilisé soit comme verbe secondaire dans un temps composé (j'ai chanté), soit comme adjectif (la chanson chantée): l'usage comme complément à un verbe (claissquement considéré comme un ComplmtCirconst de Manière, plus qu'un'CODppret') se repère normalement par l'emploi du en, tandis que l'usage comme complement à un nom, est sans le 'en'.
Ex: (comme 'CODprst/CCM):
j'ai été la-bas en chantant; je travaille mieux en chantant; C'est en chantant que... Parce qu'en chantant,... un ami qui travaille en chantant.
Ex (comme attribut/epithète/? - pas accord de nombre et genre avec le nom) je suis chantant = moi chantant, je suis; chantant toute la journée, je suis content; j'ai été ici et là, chantant toute la journée et grignotant à toute heure; je travaille mieux, (en) chantant toute la journée et grignotant à chaque heure. La voiture, pouvant demarrer, part (mais sans virgule 'La voiture, pouvant demarrer, part.', risque qu'on prenne le ppresant pour le verbe premier
Ex (comme adjectif - accord de nombre et genre avec le nom) J'ai une amie charmante/chantante (mais chantant beaucoup, qui chante bcp)
2: (plus de règle 2 (pour le verbe auxlr avoir, la 1ere étant pour être), ni 2' (réponses/régles à la question/règle 1')
3: (cas d'un verbe à un temps composé, qui est considéré (rappel) comme verbe secondaire du verbe auxiliaire considéré lui comme verbe premier (principal)
on réapplique la règle 1' mais avec la question (sujet)+(verbe auxiliaire ou 1r)+(verbe secondaire part.passé) quoi?
et en appliquant les règles 1a' et 1b' s'appliquent alors au participe passé du verbe secondaire (?voire tertiaire: 3b')
3b': (cas de la forme passive: verbe à un temps composé combiné avec un autre (3eme) verbe participe passé = "temps composé tertiaire")
Elles ont été impliquées:
Q1: elles ont quoi? pas de réponse, ou 'été impliquées', cad un partpassé (ou2!), donc régle 3: pas d'accord du verbe secondaire partpassé, et renvoit à la Q2 pour le verbe tertiaire partpassé
Q2: elles ont été quoi? réponse 'impliqué', donc regle 3: pas d'accord du verbe secondaire partpassé
Q2: elles ont été impliqué quoi? réponse 'i
4: (cas d'un verbe à l'infinitif derrière(dependant) du verbe principal(auxiliaire ou non), qui est considéré (rappel) comme verbe secondaire du verbe auxiliaire considéré lui comme verbe principal
on réapplique la règle 1' mais avec la la question (sujet)+(verbe auxiliaire)+(verbe secondaire infinitif) quoi?
5: (cas d'un verbe pronominal) poser la question (sujet)+(pronom reflechi)+(verbe auxiliaire) quoi?:
si la réponse est un COD, il y a accord que s'il est devant,
ex: Se = soi, Nous= nous,... Il SE regarde; Nous NOUS sommes réfugiÉs ...
si la réponse est COI ou il n'y a pas de réponse (verbe d'état, ou subjectif, ou autonome), il n'y a pas d'accord (participe passé invariable)
ex: Se = à soi, Nous= à nous,... Il SE donne; il S'EN donne; Nous NOUS étions ACHETÉ...
6: (cas d'un verbe partpassé apposé) (ici, à un nom plus qu'à un verbe)
ex: moi Veronique, je mange rassurée / j'ai mangé rassurée: rassuré est ?verbe secondaire ou tertaire (dépendant/commandé par ?mange/mangé, ?ai), ou en fait plutot, rassuré est participe passé attribut de 'je': car on pourra dire: rassuré, je mange. je, rassuré, mange bien: on considère ce v.partpassé apposé(attribut) plutot que lui donner un ordre par rapport au verbe premier, principal, secondaires.... A cet égard, mange peut être considéré comme un auxiliaire occasionnel du v.rassurée, mais en verbe d'état comme Etre (d'ou l'accord) et non en verbe d'action Avoir
A trouver si exemple je (v.conjugue simple) (verbe partpassé qui s'accorde avec un COD placé devant): la pomme que je mange tombée ou je mange la pomme tombée (car partpassé dépend de pomme, sinon, serait pas accordée: je mange tombé la pomme. En mangeant, tombé la pomme et épluchée de sa peau, je me suis régalé: le style de mettre tombé et épluché dans leur nom-sujet empêche l'accord de tombé, mais pas de épluchée car son sujet est aussi la pomme déjà nommée avant. On écrirait ' tombé la pomme et épluché la belle (ou sa peau),". Remarque: on accordera pourtant facilement tombé et épluché avec son sujetpourtant après, par anticipation, de meme qu'on le fait naturellement et sans contrainte de règles avec un adjectif: jaune(tombée) la pomme et brillante(épluchée) la belle (pomme). Ceci rend raison à l'usage très flexible pour les accords, à l'intention de l'auteur/ecrivains, comme il se pratiquait d'ailleurs l'ancien francais et de facon plus naturelle en latin car construction plus structurée. Cela rend raison aussi à la simplicité de considérer le participe passé non plus comme un verbe mais un adjectif.
(/orthonet) +++ à relire, pour l'origine/evolution de la grammaire:
A l'origine, nos participes passés étaient des adjectifs.
Les participes font partie, pour le sens, des formes nominales des verbes. Contrairement, aux autres formes du verbe, ils ne se conjuguent pas (je, tu, il...); ils fonctionnent comme des adjectifs (épithète, attribut, etc.). Et la plupart de ceux que vous rencontrez dans les textes ou que vous écrivez ont une fonction d'adjectif, et s'accordent comme des adjectifs : en fonction du SENS.
(/mapage.noos : très clair/concis/exemplifié +++)
Le participe passé d'un verbe (transitif) comme acheter est la seule forme passive du verbe : il ne s'applique pas à celui qui fait l'action (l'acheteur), mais à ce qui subit l'action (un article?), ce qui ... est acheté
REMARQUE : Et ceux des verbes intransitifs ? dormir, par exemple : que faire de dormi, puisque'on ne peut parler d'être dormi?
REPONSE : L'histoire les a dotés d'un autre emploi ...: Nous en avons besoin pour une autre fonction
(B)-2eme tentative de règle simplifiée
1': règle générale(1ère, et récursive)
Un verbe intransitif (pas de COD, mais COI, CCM, CCL, CCT,...), d'état ou d'action, s'accorde avec son sujet
Un verbe transitif (qui a un COD), typiquement d'action, s'accorde avec son COD s'il est placé devant
Intransitif qualifie un verbe qui n'a pas de COD, seul son sujet importe donc (d'ou son accord)
Par sujet, on entend le mot (ou groupe de mots) qui le commande
Les intransitifs sont typiquement des verbes d'état, de devenir, mais aussi certains verbes d'action,... et comprenent les dits impersonnels (pleuvoir), subjectifs (s'apercevoir), autonomes, pronominaux essentiels,...action surjective (il pleut),
Transitif qualifie un verbe qui a (ou peut avoir) un COD. Ce COD importe presque plus que le sujet (d'ou accord avec son COD, pour peu qu'il soit connu au moment de l'énoncer!). Par COD, on entend le mot (ou grope de mots) qui est commandé directement (sans préposition de manière, lieu, temps, circonstance,...)
Les transitifs sont typiquement (et que?) des verbes d'action: action causale injonctive (dévolue à un COD),
=> poser la question (sujet)+(verbe simple[partpassé]) comment/quoi? (sujet)+(verbe conjugué [à un temps composé]) comment/quoi?
ou mieux parfois: Qui est-ce qui+(verbe simple[au partpassé])? Qui est-ce qui+(verbe conjugué[à un temps composé])?
[a] le verbe doit etre utilisé dans sa forme simple, un seul mot: le participe passé, comme v.secondaire (passé composé: j'ai mangé) ou v.tertaires (plus que parfait: j'ai eu mangé)
[b] si le verbe est utilisé sous la forme d'un temps composés (auxiliaire+participe passé)
Rem: - la question comment/quoi vise a distinguer les verbes d'état/d'action, ou intransitif/transitif. Mais ce n'est pas toujours évident:
Ex: elle a mangé: elle a quoi? réponse: mangée. Pas de réponse à la question comment.
elle est partie(ou mangée): elle est quoi? il ne faudrait pas répondre, mais plus exactement à la question: elle est comment? réponse: partie.
c'est pourquoi la 2eme formulation de la question est préférable (sans sujet, sans impliquer un COD par quoi): qui est-ce qui (a mangé). réponse elle (sujet).
qui est-ce qui (est mangée): réponse elle (COD)
la règle (B) est simpliste, plutot que s'embarasser de cas particulier, elle reporte sur l'analyse des mots (le type de verbe). Dans la 2eme formulation (qui est ce qui) elle s'applique aux autres usage du partpassé que les temps composés. Elle pourrait même s'appliquer au participe présent? Ceci est à metre à l'épreuve d'exemples/chaque cas général ou particulier des règles académiques:
a voir: "avez vous la lettre? / tenez la, ci-joint" accord possible (et logique), mais pas d'usage (ou a justifier: ci-join invariable; ...)
(z)pour moi, seule impossibilité: accord du ppassé + infinitif: la personne que j'ai entendue chanter: car
-entendue ne peut accepter de facon compatible les 2 COD putatifs (la personne, chanter):
.peut-on y connecter chanter à entendu en tant que COD: oui si je pose la question (j'ai entendu quoi?) et répond: chanter (CODinfinitif). On insiste alors sur l'action de chanter qui est entendue, et ce CODinfinitif (chanter) n'a pas de genre (neutre, impersonnel) donc entendu serait sans accord (invariable/masculin/neutre) s'il lui transmettait. Ca tombe bien mais qu'importe, car l'infinitf par la règle 3a confère de toute facon l'invariabilité au pPassé: ceci est incompatible avec 'entendue', selon l'option suivante:
.peut-on y connecter 'que/personne' à 'entendue' en tant que COD: oui si je pose la question (J'ai entendu quoi?) et réponds: que/la personne. Cette personne se trouve certes chanter en réalité, mais chanter ne peu y etre raccroché à 'personne': 'personne chanter' n'est pas autonome (impossible de dire 'j'aime la personne chanter'), et 'chanter personne' n'a pas le même sens. En fait 'personne' n'est pas COD de chanter (QuiEstCeQuiEst chanté / Chanter Quoi?: la chanson!), mais serait plus le sujet de 'chanter' (QuiEstCeQuiA chanté, VA/chanter), et en fait plutot le COI (qui tient lieu de sujet), car on a perdu un 'par', qui reste implicite:
j'ai entendu (l'action de) chanter (par) la personne: On retrouve et distingue Sujet COD et COI par 3 questions (qui chante?: la personne; chanter quoi/qui: la chanson; chanter par quoi/qui?: par la personne). Ce 'par la personne' implicite un manière, se doit d'etre de genre neutre? (d'ou la règle 3a/avoir+infinitif). De plus, il est en conflit avec la personne/son pronom 'que' dans: la personne que j'ai entendue chanter. Car chanter ne peut pas se connecter proprement à que/la personne, à cause de son COI 'par la personne' implicite.
-Soit que=personne, or il ne peut etre à la fois COD de entendue, et COD de chanter (car chanter se rapporte à un verbe pPassé que la règle veut alors invariable, 'ai entendu chanter'). (Rem, règle3a pas illogique: si l'infinitif 'chanter' est après le verbe, la règle 2 dit qu'il(CODinfinitif) ne donne pas son invariabilité (à defaut de genre/nombre) au participe passé, donc pPassé invariable ok; Si l'infinitif pouvait etre devant le verbe ('la personne que/dont/comme chanter j'ai entendu), il passerait son invariabilité (à defaut de genre/nombre) au partPassé, Ok.
-soit il faut changer le 'que' pour etre compatible avec 'chanter (par)' et rester compatible avec la personne!:
.avec 'la personne dont/comme j'ai entendu (le truc ou la chose, qui est l'action de) chanter', le 'dont/comme (le truc)' faire apparaitre un nom(genre). Pour faire apparaitre le feminin à entendu, ce nom doit etre feminin et devant le verbe, et ce n'est pas aisé: on voit qu'on ne peut pas inclure cette truccesse et maintenir l'infinitif 'chanter' après (et encore moins devant) le verbe, sans trop changer la phrase,...):
.'la personne dont/comme chanter j'ai entendu'
.'la personne dont/comme la trucesse j'ai entendue chanter' (incomptabibilité du COD et du CODinfinitif?)
.le conjonction prépositionnelle 'par laquelle' est la plus compatible (respecte personne, chante par), mais le féminin qu'elle apporte pourtant n'est pas pris en compte pour entendu, car COI. Il faut donc recourrir à modifier chanter pour apporter le féminin (l'action de chanter, et placé devant entendu)...:
'la personne par laquelle l'action de chanter j'ai entendue' serait totalement compatible, hélas non usitée, et rétablir l'ordre fait perdre l'accord féminin!:
'la personne par laquelle j'ai entendu (l'action de) chanter , car le COD(action de chanter) d'entendu bien que feminin est après entendu
.la conjonction 'par qui' permettrait elle de résoudre le problème?
'la personne par qui l'action de chanter j'ai entendue': meme commentaires qu'avec 'par laquelle'
In fine, que(personne) + chanter + entendue sont incompatibles. A moins de dire
-'la personne comme j'ai entendu chanter l'esprit/l'ame'. Alors chanter est CODinfinitf de entendu (invariable), et esprit/ame COD de chanter.
-'la personne comme j'ai entendu chanter' ne peut tenir qu'insérée dans une phrase telle 'je crois en la personne comme...' comme je l'ai entendu chanter en espagne' mais chanter n'a pls la personne comme sujet!
alors, raccrocher un 2eme COD de meme type(infinitif) est possible (j'ai entendu chanter et pleurer), mais pour raccorcher un 2eme COD de type different (un nom: j'ai entendu chanter, et une personne) on introduit une confrontation des règles d'accord (du moins quand CODnom devant: j'ai entendu chanter, et la personne (que j'ai) entendue/vue). Dans un cas de confrontation de règle pour les noms/adjectifs ou verbes, on priorise une marque de genre, le masculin, et le pluriel (paul et la fille sont beaux). Par homologie donc pour entendu, l'invariable semble de mise, cad: j'ai entendu chanter et la personne - meme si 'personne' était devant 'entendu' (la personne que j'ai entendu chanter et elle-meme; je l'ai entendu chanter = j'ai entendu l'action de chanter par elle, ?à l'instar d'un faux reflexif se=par soi). En outre, on ne peut pas dire '(la personne) que j'ai entendu la personne/elle-meme' si que représente la personne/elle-même! Il faut donc comprendre l'incompatibilité pour 'que' de répresenter un nom (pour personne > qui induit entendue), et de représenter une présposition de proposition (?subordonnée) (avec chanter > qui induit entendu)
Autre solution, séparer les 2 propositions, et inférences pour entendu:
Il faudrait dire: j'ai entendu la personne et j'ai entendu chanter (celle-ci). J'ai entendu quoi? (QuiEstCeQuiEst entendu?): chanter; j'ai entendu chanter quoi/qui; la personne/celle-ci (la question (QuiEstCeQuiEst (chanter)? répond moins bien, et plutot: la chanson!).
Mais difficile d'inverser les COD (alors qu'inverser est possible avec un nom remplacant l'infinitif: 'l'action de chanter que j'ai entendue' - et induit l'accord du pPassé!): 'La personne que j'ai entendue, et chanter(l'action) que j'ai entendu' ne marche pas.
En fait, contrairement à "la personne que j'ai entendue", on ne pourra pas dire, sans phrase préalable: chanter que j'ai entendu, mais plutot 'chanter comme j'ai entendu. Ceci traduit le fait que chanter se rapporte à la proposition infinitive latine, et donc ne devrait pas se connecter à une autre proposition par un 'que' ambigu, mais par un 'comme', ou 'parceque',...
Le que pour une proposition avec l'infinitif (mieux vaut rire que pleurer; c'est que j'ai entendu pleurer) n'est pas de meme nature que le que se rapportant à un nom (la personne que j'entends), alors on joue un syncrétisme avec 'la personne que j'ai entendu chanter)'.
Dans 'c'est chanter que j'entends, ou 'c'est entendu que chanter...", le 'que' est un 'quoi' neutre, impersonnel, ou un 'le truc que' ou 'la chose que', cette chose étant chanter (genre indéfini: l'action, l'évènement,...) et non la personne ou l'objet (genere toujours défini).
D'ou obligation de séparer les propositions.
Pour panacher les possibilités, La personne que j'ai entendue, et la personne que j'ai entendu chanter, ou un "J'ai entendu la personne et (qu')elle chante ! "
Anagrammes:
Carpe diem (ca déprime)
Le superbe spectacle de l'amour (à trouver/piste: le temps oracle de l'espace)
Palyndromes:un texte ou un mot dont l'ordre des lettres reste le même qu'on le lise de gauche à droite ou de droite à gauche (c'est un cas particulier d'anagramme et d'anacyclique. on convient en général de ne pas tenir compte des diacritiques (accents) et espaces.)
Exemples: "Radar", ...
"Ésope reste ici et se repose"
"La mariée ira mal » (à un accent près)
"un art luxueux ultra nu. " (palindrome élegant, car il définit un palindrome!)