Le chasse et la peche sont 2 activités importantes en France (plus que les autres pays européens), parfois décriées (la chasse notamment) et qui s'en défend cet égard.
Pro ou anti chasse?
Notes et decryptage d'informations, articles et brochures trouvées sur le sujet.
Mon avis
Source "Etude BIPE 2015 - Impact économique et social de la chasse". Article/openédition. Infographie/FDC (Genéral(&≠/photos201809)+par région ex RhoneAlpeAuvergne)
Je découvre une superbe brochure éditée par la fédération des chasseurs à la festivité de Vitray(Troncais) pour le brame du cerf. Elle fourni une infographie très bien concue et présentée sur le statut économiqe de la chasse.
-éditer cette brochure avec une telle qualité (de papier, mise en age mkg,...) me laisse un peu songeur quand à son cout et 'investissement' de la fédération à vouloir se justifier.
-habileté de language: l'étude BIPE a été commandée selon l'édito par la FNC "et de leurs partenaires" dont les ministères de l'écologie, Energie, Agriculture/AgroAlim et Foret,... l'ONCFS, Interprochasse et FFS. Létude semble en fait commandée par la FNC, et peut etre ONCFS, Interprochasse et FFS qui ont leur logo sur la brochure; ainsi formulé les ministère semble impliqués et garant du poids économique (le impact dans le titre est habile aussi)..
-les chiffres de la brochure papier (201809) différent un peu de ceux sur le web (2016?). Soit il y a eu actualisation, docs non datées, et les chiffres evoluent moins favorablement aux chasseurs (nb de chasseurs 1.2M>1.1M en Fr et 138000>119000 en RAA; 2.3M€>2.1M€ PIB, 27800>25800emplois, dépenses 2168>2162€,...)
(intro/résumé)
La FCN mise sur le poids économique puis social et environnemental pour défendre ses intérêts, avec une présentation fort élaborée. L'interprétation des données (supposées valides et représentatives) et considérer les impacts négatifs qui ne sont pas exposés bien sur et sont aussi des faits, non chiffrés bien sur ou en grande partie non chiffrables.
*Contribution économique.
C'est un marché de consommation important en effet, mais présenté un peu abusivement comme une plus value (PIB). Genérer de l'économie par la fabrication distribution et usage d'armes n'a pas le meme impact et sens économique et social que sur d'autres activités: en quoi cela retentit il (positivement) sur d'autres activités, pour le bien de la population? Les passerelles vers la délinquance, voire le terrorisme et l'économie de la défense/guerres n'est pas anodin ni souhaitable.
*Contributions de chasseurs pour l'environnement, la préservation de la nature, la biodiversité:
Les pro-chasseurs trouveront de nombreuses actions des chasseurs qui se veulent favorables à ces égards, et qu'ils developpent et valorisent volontiers, sans doute pour justifier leur existance et nécessité. On ne peut leur reprocher d'évoluer avec les préoccupations du moment, mais aussi ne pas se laisser leurrer par certains argument fallacieux ou peu significatifs.
Les anti-chasseurs releveront pour leur part moultes faits -ou craintes- defavorable à l'environnement, la sécurité, ... aussi à relativiser.
Au final, avant d'en lister ci dessous quelques point qui me semblent importants ou à reconsidérer, la chasse (et la peche) me semblent avoir un role significatif en positif, avec hélas des effets négatifs difficilement corrigibles. Et pas au point que ce role soit essentiel pour la société, justifie un support important de la nation. Les chasseurs s'arrogent une responsabilité et utilité pour l'environnement qui fait parfois sourire. L'agriculture, qui est une activité primaire essentielle, a déjà et aurait assurément plus encore un rôle majeur pour l'entretien des forets, des payasages, de la biodiversité,... pour peut qu'on l'encadre et aide d'avantage, avec des retombées économiques plus directes.
Il n'est ni souhaitable de disqualifier les chasseurs dans ces roles, et de facon générale de defavoriser leur activité tant qu'ils évoluent pour s'accorder avec les besoins de la société, ni souhaitable de les aider activement: ils ont des ressources et dynamisme plus important que dans d'autres secteurs (de loisir, de sport, de culture), et le maintien de leurs valeurs et motivation reste non essentiels, ou du moins substituables par des valeurs, motivations, besoins...d'autres activités, plus actuelles et futuristes. Sans doute la chasse (et la peche) pourra (voire devra) continuer comme une activité respectable et respectée (et elle aussi respectueuse) plutot accessoire et marginale (comme la plongée sous-marine pour etre un loisir et ponctuellement un outils sauveur d'épaves-trésors, de décharges sous marines (201809), d'incidents industriels ou commerciaux, d'équipement scientifiques... ).
(exemples) Role ECONOMIQUE
-CA de 3.9M€(2016?)>3.6M€(201809) et PIB 2.3M€>2.1M€: sont comparés au tennis en 2012 (1M€) et peche en 2011(0.96M€). Ca fait sourire, quand le tennis est purement sportif/social, et la peche plus démocratisée et frère/concurrente! Ensuite il faut voir ce que cela inclu: beaucoup d'activité locative de terrains de chasse privés... on peut penser que c'est peu/moins reinjecté dans l'économie ; les revenus de permis de chasse sont intra activité;
(exemples) Role SOCIAL
-les chasseurs ont 2 gros contingents: les retraités (40%) et les 'actifs' agés (10+19+24=54% >55ans, puis 19% 45-54ans, 13% 35-44ans). Si elle se prete à tout ages >?15ans, elle prend dans un sens un relai à d'autres activités moins praticables avec l'age. La chasse est à ce titre une activité de loisir salutaire et joue un role social, en particulier pour les retraités qui ont 'moins de choix', et contribue sans doute au maintien de la santé. Sans y voir un 'sport de vieux', elle mérite un soutien mais qui soit proportionné à celui requis par d'autres populations, en particulier les jeunes desoeuvrés qui non/mal occupés générent plus de couts dans nos sociétés.
-La chasse est une occupation salutaire comme activité de plein air, et pour la santé grace à la marche, respirer au grand air, et les relation entre chasseurs. Cependant....
Même avec 20 à 50 sorties par saison pour 36% des chasseurs, cela reste à priori plutot inférieur à bien des activités sportives et culturelles en club. Le collectif des non chasseurs demande meme que la chasse ne soit plus appelée une activité de loisir. Quel autre loisir se fait au détriment d'etres vivants, avec un impact délétaire sur la faune?
-Role culturel: la chasse est une activité ancestrale et sa pratique certains patrimoines (batiments; chasses anciennes/vennerie, à l'arc, tendelles, glu,..).
-Role citoyen? la FNC met en avant le chasseur eco-citoyen: selon l'étude BIPE2015, "48% font du bénévolat avec 75hr en moyenne soit 50 000 equivallent emplois". De meme pour un role éducatif, d'éveil à la Nature,... Ceci est aussi, et peut etre mieux mis en oeuvre autrement (école, autres loisirs de plein air,...).
-Impact anti social: les chasseurs s'arrogent la gestion d'espace naturels, l'usage de territoires,... au détriment d'autres pratiques (promeneurs, photographe de nature,...). Un droit de non chasse, pour le promeneur, le proprietaire; ainsi qu'une participation de non-chasseurs à la gestion cynogénétique,.
-couts sociaux indirects (appréciés plus souvent au plan /cf/ économique ou écologique): victimes de collisions véhicules-animaux, de balles perdues,...
Conclu: on ne peut négliger le role social de la chasse et que le respecter au mmee titre que la plupart des autres activités de loisir, le sport, la culture, dont la chasse apporte sa contribution pour satisfaire un besoin qui est diversifié, de facon disons complémentaire (plus que essentielle, populaire,...).
-Juridiquement, la chasse a aussi une dimension d'appropriation d'animaux sans propriétaires légaux par un individu ou un groupe d'individus (Res nullius dans le droit).Le parallele à l'exploitation du bois ou de minerais devrait conduire à un taxe écologique et un accord de toute la société sur l'utilisation de la nature au bénéfice de l'homme (son dégré, les conditions,...). En dépit de la prégnance des traditions millénaires, la chasse n'est pas un droit constitutionnel.
Histoire des la législation de defense des animaux: /collectifnonchasseurs(&wiki): ++ en 1page. le RU a été plus actif/précoce.
Notion d'animal etre sensible... a present dans le code civil...
Considération phylosophiques/ethiques: /collectifnonchasseurs: ;Le respect des animaux est promus depuis longtemps sans trop s'intégrer aux lois que l'homme se donne: par croyance en une transmigration des ames humaines aux nonhumains (Pythagore, -VIe), par injustice (Theophraste), pour leur sensibilité: JJ Rousseau, 1754, introduit cette raison qui guidera l'essentiel de la physlosophie pro-animale, et antichasse. Il introduit meme l'amorce de notion d'un droit: "les animaux devraient participer au droit naturel, et… l'homme est sujet à de certains devoirs envers eux » ; idem par Henry Slat 1892 pour un progres social ; et Martinnetti et Goretti comme "sujets de droit" ayant une conscience morale, même s'ils ne le savent pas(Jean-Yves Goffi/Boris Cyrulnik). La violence à l'encontre des animaux est comparée par le philosophe Jacques Derrida à la Shoah (génocide qui tient son caractère « exceptionnel » du fait qu'il est aujourd'hui encore le seul de type industriel). Pour reconnaitre un droit fondamental des animaux, il ne s'agit pas d'abollir des pratiques, mais réglementer, les niamux se sont pas la propriété des humains (Gary Francione), pas des chose/produits/machines. A l'école des droits pour les animaux (déontologistes), se distingue celle d'un plus grand bien etre pour les animaux (conséquentialistes) qui repose sur une responsabilité morale des hommes à l'égard des animaux, celle de minimiser leurs souffrances (plus par humanité propre, que par necessité ('divine' ou non) propre à la nature des animaux.Cette école peut parraitre clivante par rapport à la 1ere, aller moins loin, se limiter à un moindre mal,... En fait elle la rejoint, le droit ou le respect se rejoignent ainsi que leur motivation, divine our sublimanet le non humain, ou l'homme lui même.
L'animalisme intègre l'humanisme à une doctrine morale plus globale, contestant la centralisation de la morale sur l'être humain (le spécisme).
L’antispécisme prône l'égalité au niveau des individus, plus qu'au niveau des espèces. Il défend ainsi notamment la souffrance de, donc, l'individu - à l'instar de l'homme-.
L’animalisme et la morale antispéciste sont à voir, plutot que comme un anti-humanisme, comme une généralisation de l’humanisme au-delà des frontières de l'espèce humaine, comme une sorte d'universalisme de la compassion/respect/devoirs. On pourra considérer l'extension de l'antispécisme aux plantes, voire aux microorganisme et meme aux cristaux et roches qu'on exploite!
(EB)les raisons de donner des droits aux animaux se justifie à parti du moment ou l'homme intégre les animaux dans son périmètre sociétal. et c'est de plus en plus possible le conscience collective comprend de plus en plus que l'homme dépend des animaux et de la nature (Idem par extension aux plantes, microorganismes, minéraux!). L'homme doit donc pour sa pérennité les inclure dans son monde et modèle social, pour rester cohérent, et se donner certains devoirs envers eux, pour se respecter lui même. A l'instar de ce qui s'est passé pour les enfants ("qui ne parlent pas"), les bébés et les foetus-qui, sans le savoir, ont des droits à nos yeux d'adulte conscient). L'école du bien etre animal, plus immédiatement sensible, rejoint ses préoccupation personnelles. Mais pour ne pas que l'homme perde ses repères identitaires qaund meme necessaires, il faut qu'évolue aussi sa notion d'identité, à l'heure ou ses bases religieuses s'étiolent, et ou ses attitudes philosophiques tergiversent. Se voir une entitié à délimitations multiples, chimérique, traversée par un flux d'énergies matérialisant ses interactions . Partageant un patrimoine partiel avec les animaux, les plantes, les cristaux...
Dans toutes ces considérations philosophiques, la chasse est une interaction brutalle sur une fraction discriminée de l'environnement (certains animaux) ayant leur propre existence d'etres (sensible, meme intelligents,...), et donc leurs 'droits naturels'. Elle se comprend plus avec voire se justifie pour ses satiisfaire ses besoins primaires de s'alimenter, fonction 'naturelle'. Apprécier le privilège de pouvoir chasser pour satisfaire des besoins raisonnés en 'sacrifiant' un fraction de l'environnement (animaux). Dans certains cultures tradtionnelles, s'excuser et remercier l'animal, la nature. Ceci exclue quasiment la chasse-loisir ou chasse-sport, cependant plus acceptables à l'occasion d'une chasse à but regulateur.
(exemples) Role ENVIRONNMT (ecologie, biodiversité,...)
-"Qui préserve et restaure le patrimoine naturel nécessaire à la reproduction des espèces ? Qui plante chaque année près de 20 000 km de haies ? Qui entretien les chemins, les mares, les zones humides ? ". Les chasseurs répondent bien sur...eux! Or
Les agriculteurs semblent pourtant les 1r artisans d'entretien des chemins (avec aussi des dérapage: appropriation) et les haies. Les mairies aussi!
20 000km de haies est que sur les propriété privés (des activité de chasse), alors oui mais pas plus que les +++20000km de haies des propriétés de non chasseurs (euh aussi peuvent revendiquer un role écologique!).
Les pecheurs re-alevinent les étangs, mais surtout pour les pêcher. Ce n'est pas vraiment du maintient 'naturel" de la bioversité naturelle.
-La pratique génère un cout écologique non négligeable, en dépit de l'image verte que les prochasseurs mettent parfois (trop) en avant:
.lié au transport (1940km/chasseur/saison en moyenne), ce qui induit un cout écologique en carburant brulé dans les campagnes, mais aussi de la nuisance sonore (pour la fauune): incidence qu'on pourra juger raisonnable par rapport à la nature de l'activité, et d'autres sport ou loisir de plein air proportionnelement plus gourmants (sports motorisés) ou disproportionnés (déplacmeents pour des sites parfois/souvent lointains: vol à voile, ski,...)
.lié aux dommages: aux lignes électriques, aux vehicules (collisions), ...Ceux-ci sont appréciés d'abord pour leur cout économique, mais les déchets générés rajoutent un cout écologique final, et même un cout social pour les victimes.
-pourquoi les chasseurs vertueux font si peu l guères aux 'mauvais chasseurs'. Ceux qui bousillent les chemins avec leurs 4×4, ceux qui tirent à moins de 200m des habitations, ceux qui perdent leurs chiens, Ceux qui élèvent des faisans et des garennes, ceux qui nourrissent les animaux pendant l’été pour ne pas qu’ils s’éloignent.Pourquoi la FCN ne parle denonce guère les mauvaises pratiques?
Critiques envers la chasse:
Dangerosité des armes de chasse: Les armes à feu de chasse font courir un risque aux chasseurs ainsi qu'aux autres personnes.EN france 10 à 20 morts par saison, dont 2à4 non-chasseurs. La possession des armes ouvre la porte à des homicides et suicides (de l'ordre de 3x+ que les décès accidents de chasse).
Impacts environnementaux: regression et meme disparition d'especes (mammout, ours, auroch, bisons...) conition a appauvirssement génétiqe, des deséquilibre sylvocynegéntiques
L'utilisation de métaux lourds: munitions toxiques (au plomb) contenant des amorces composées de métaux lourds. Le plomb est désormais interdit (2005 vers les zones humides). Cas de saturnisme aviaire.
Autres risques pour la santé : Risque sanitaires plus élevés pour les chasseurs au sol, qui dépècent ou cuisent mal la viande, en contact avec l'animal et les chiens infectés....
Une fonction régulatrice discutée : La France 'surpasse' les autres pays européens à divers égards: en nb de chasseurs (et %), la chasse abat 30millions d'oiseaux et mammifères, les quart des oiseaux abattus en Europe. Le plus grand nombre d'espaces chassables (91, contre 18 en Hollande...). Et ceci sans tenir comptes des animaux blessés et non retrouvés (un tiers des animaux tirés), ni un part d'animaux abattus non déclarés. Reduction des oiseaux migrateurs (palombe: de 15million dans les années 60 à 4 fin de décennie 80 et 1 en 97-98+/nonchasseur.
Voir les 13 propositions du collectif des non-chasseurs.
Mon avis: pro ou anti chasse?ni l'un ni l'autre!
Personnellement je ne chasse pas, j'ai meme quelques griefs envers les chasseurs, j'aime observer la nature et ses animaux et par principe général les proteger (2 inclinations dont beaucoup se réclament, ce qui semble paradoxal), je consomme peu (de moins en moins) de viande et par moment plus du tout mais y reviens avec plaisir à l'occasion d'un bon barbecue avec des amis),...
Pourtant je ne suis pas anti-chasse (et pas plus pro-chase!): voici les raisons:
1- Les chasseurs, de ceux que j'ai croisés, ne sont pas majoritairement des gens comme souvent décriés (désagréables, irrespectueux de l'environnement,... ). Comme dans toute population et activité, il a une variété entre les images d'épinal qu'on peut dresser d'eux et leur inverse (l'homme vieux inactif qui tire comme un fou pour ne pas rater sa proie et la tue, pollue la foret de ses plombs, touche ou tue à l'occasion un promeneur, fait ripaille entre eux et se fout des enjeux de la société). Je veux bien leur reconnaitre voire leur faire crédit de hautes valeurs qu'ils revendiquent de plus en plus, même si je sais que ca concernent qu'une part d'entre eux, c'est beaucoup prétextes, ou un idéal et sujet de comm. Car qui n'a pas doit à prendre conscience de ses dérives, de vouloir évoluer,... Bref, ne pas faire l'amalgamme, écouter et respecter les comportements respectueux,
2- On ne peut balayer d'un revers de main certains 'avantages' liés à la chasse.
.La chasse participe dans une certaine mesure à la santé de ses pratiquants: marche, plein air, relation sociales,... Cela n'est pas anodin pour des retraités notamment. Il ne s'agit pas prétendre pouvoir les obliger à se 'soigner' autrement.
.La viande consommée par les (79%) chasseurs à un sens (ci après) et n'est pas 'vaine' ou anodine: 79% des chasseurs soit 950 000 chasseurs x ?10kg de gibier/an, comparé aux 66kg moyen de viande par an pour le francais. Une attention (éducation, vigilence) soit etre portée au risques sanitaires qui en découlent (trichinose,;..).
.La chasse est une activité de loisir sportif de plein air respectable dans une certaine mesure. Elle n'a pas à être plus interdite plus que d'autres aussi destructrices à d'autres égard (les sports mécaniques en foret,...). Mais réglementée, limitée face au enjeux de gestion de l'environnement, de sécurité,... Des solutions alternatives partielles existent mais ne sont pas ou peu satisfaisantes (faut il construire des pas de tir artificiels ou des parcs de chasse, qui artificiallisent la nature, génèrer aussi de la pollution (disque, beton, ...)
.Les chasseurs assument un certain rôle de gestion voire protection de l'environnement, mais il ne s'agit pas qu'il s'en arrogent, sans le concours des autres utilisateurs de la nature (du promeneur au kayakiste ou au photographe amateur). Le (soit-disant) rôle de régulation des populations d'animaux (devenant 'nuisibles') n'est pas a dénaturer par l'agrainement, l'introduction de jeunes élevés,...
3- Concernant la soi-disant barbarie des chasseurs, et question éthique: le gibier consommé signifie que ces chasseurs ne contribuent pas ou moins aux massacres d’animaux entassés dans les abattoirs (des conditions parfois catastrophiques qui ne sont pas mieux qu'une mort certes brutale, parfois aussi agonisante, dans le milieu de vie du gibier. Vaut il mieux mourir chez sur son lit ou tombé de l'escalier qu'à l'hopital ou la maison de retraite cache misère denos vieux?). L'argument de penser qu'il suffit de ne plus manger de viande nous emène dans un autre débat/problèmatique culturelle (véganisme) ou la nonchasse ne serait qu'un élément négligeable.
Quand je lis certains propos anti-chasse, je trouve qu’il y a plus de barbarie de leur côté que du côté des chasseurs… Le citadin qui ne voit plus produire et tuer les animaux qu'il achete (sous cellophane! souvent dénaturé, appauvri,... et cher au profit des actionnaires d'industries et commerces), ne sait plus ce qu'est la vie organique. Il y a une sorte de barbarie à reporter sur certains acteurs amont (les producteurs, les abattoirs,...) les dérives quand ils les découvrent, et se responsabiliser. Il n'en reste pas moins que tuer un cochon dans sa ferme, ou un gibier à bout de fusil, oou un lapin a piège,... est selon sa sensibilité une 'tuerie' ou un mal nécessaire. Le tout est que ce ne soit pas un mal accessoire inutile, caché, inutile quand remplacable par mieux,...
4- Les gens sont déjà assez divisés et divisables, il n’est pas la peine et surtout vainc d’en rajouter. Ce genre de querelle est inutile, et fait dépenser de l'énergie pour rien des 2 cotés, ou personne ne gagnera: brimez la fibre chasseur, elle resurgira ou on ne l'attend pas, autrement,... Si les anti-chasse veulent un combat, alors qu’ils dénoncent en effet les dérapages pour responsabiliser les autres chasseurs, qu'ils se battent pour les conditions horribles des animaux dans les abattoirs, qu'ils montrent l'exemple du monde qu'ils pronent à protéger la nature en vrai/directement. Plutot que pleurnicher sur les réseaux sociaux, seules les actions comptent. Nos comportements et nos actions créent le monde de demain pour nos enfants, et ceci vaut coté anti chasseurs, coté des chasseurs, et coté de la tolérance responsabilisante. Liberté, égallité, fraternité?