Plan: Définition | Mecanismes (atous/travers) | Solutions/Evolution?
Finance: etude (et modèles, et agents,...) du financement (en argent) de projets ou activités économiques. Du niveau de l'individu à l'entreprise et aux états. Exploite la valeur temps de l'argent, ...
+/Wiki.
Types de finance:
- Autofinancement / financement direct en faisant appel au marché financier (émission d'actions ou d'obligations) / financement indirect ou intermédié en ayant recours au crédit bancaire.
- Au niveau de la microéconomie, ou de la macroéconomie.
- L'assurance est une sorte de finance (et assurément une activité financière) qui vise non pas à financer l'achat, mais à stimuler et sécuriser les achats ou les risques de perte.
Les courants (écoles, systèmes) de l'économie:
Les 3 principaux systèmes sont: le courant libéral, le courant marxiste et le courant keynésien. Autour de ces trois courants, gravitent plusieurs théories économiques et écoles de pensée fournissant des explications alternatives
LE COURANT LIBÉRAL A. Le courant classique :
1. Le modèle de l’Homo oeconomicus - L’individualisme des agents économiques - L’affirmation de la liberté économique - La permanence de l’équilibre économique 2. L’analyse de la production → La théorie de la valeur → La division du travail → La loi des débouchés → La théorie quantitative de la monnaie 3. La répartition → La théorie du salaire → La théorie de la rente → La théorie de l’intérêt
B. Les néoclassiques :
1. Le calcul à la marge 2. Le modèle de marché et l’équilibre général 3. Une démarche normative C. Les différentes écoles libérales 1. L’Ecole de Chicago ou le courant monétariste 2. L’Ecole de l’Economie de l’Offre 3. L’Ecole de l’Economie Publique 4. La Nouvelle Ecole Classique
LE COURANT MARXISTE
A. Les apports de Marx 1. La recherche de la plus value 2. La crise du capitalisme B. La théorie de la Régulation, un prolongement de la pensée marxiste
Se distingue par la valeur travail
LE COURANT KEYNESIEN
A. Les postulats keynésiens B. Le principe de la demande effective C. Les néo-keynésiens : héritiers de la pensée keynésienne
+/1cours.
+/WIki: apercu => historique (Economie islamique <XX et > XXeme; Mercantilisme (en Europe de la Renaissance jusqu'au XVIIe siècle). La physicratie (Francois Quesnau... Turgot); ...)
=>puis écoles actuelles et pensées alternatives: distributisme (philosophie économique chrétienne se voulant entre capitalisem et socialisme) 1.10 Institutionnalisme 1.11 Nouvelle économie institutionnelle 1.12 Néoclassicisme 1.13 École de Lausanne (Leon Walras / concept particulier de l'équilibre général) 1.14 École autrichienne(Karl Menger, cf infra) 1.15 École de Stockholm (Myrdal économiste orthodoxe mais son analyse institutionnaliste) => puis Ecoles contemporaines:
2.2 L’économie de la complexité2.3 L’économie computationnelle à base d’agents (Agent-Based Computational Economics ou ACE
3 Les écoles hétérodoxes actuelles
+/betterstudy: regroupe sous 3 courants 'influents' (hors marx/socialisme)
L’école classique rattachée à la révolution classique (1776-1817), Adam Smith (1776: « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations », qui est un des textes fondateurs du libéralisme économique, et David Ricardo (1817: « Des principes de l'économie politique et de l'impôt ». Donne la doctrine libérale en sciences économiques, avec l’emblème « laisser-faire, laisser-aller ».
L’école marginaliste rattachée à la révolution marginaliste (1874-1890) : William Stanley Jevons (1835-1882), Carl Menger (1840-1921) et Léon Walras (1834-1910) ont développé le concept d’utilité marginale qui induit la valeur économique: la valeur est issue de l’utilité (bien-être) que peut procurer la dernière unité consommée d’un bien ou service.
L’école keynésienne rattachée à la « révolution keynésienne » (1936) : John Maynard Keynes (1936: « La Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie », établit l’incapacité d’une économie de marché à atteindre le niveau de production globale permis par la main-d’œuvre disponible et justifie ainsi l’abandon d’un laisser-faire général au profit d’une intervention de l’État.
(ce § focalise sur les explications en général classiques sur la finance (et l'économie), comment elle fonctionnent ou dysfonctionnent, et les corrections mise en oeuvre (à bon escient, ou non, ou anbivallente/incertaine/douteuse). Les propositions alternatives interessantes, novatrices ou non, les solutions qui semblent aller dans un meilleur sens ecoresponsable sont au / suivant "Solutions/Evolutions?".)
Heureka-21min: Produits dérivés:
Ce sont des investissement entre financiers (et non sur des entreprises) qui parient entre eux sur des actions. Les différentes produits dérivés correspondent à la facon dont on parie (parie tout ou rien ou à seuil ou à proportion; mise fixe ou à proportion). [ajouter un schéma pour chaque type d'action dérivée]
Principe d'une action "binaire": [présentée en 1r par esprit pédagogique, car simple/pari usuel, mais peu pratiqué/utile, et serait plus logique à fin apres 'Actionsminées', et avant la variante 'edge' (autre type de proba)]: action/placement 'B' basé sur un pari qu'un autre placement 'A' sera à la hausse (un "call") ou à la baisse (un "put"): cad que certains investisseurs parient à la hausse, d'autres à la baisse, et les uns gagnent une mise fixe, l'autre la perdent. Les actions binaires pratiquées sont rares/clairement une arnaque, quand il y a u truc ou un pigeon...
[Reflexion EB] Pblm génral des pdt dérivés; Le but des pdt dériviés (pour les parieurs/financiers donc) est d'obtenir semble t il un effet de levier pour le rdt (de lui?; de A?).... Et vu que les financiers ne perdent au global jamais...je crains que les mises gagnées/perdues entre finanicier ne viennent en fait pas que d'eux..., que cela revienne à faire payer les actionnaires/fonds non dérivés. Justifier la nécessité de pdt dériiviés par le pretexte de limiter les gains et pertes de certains (financiers investisseurs 'réels', et en amont d'entreprises), c'est masquer/transferer/changer les risques et au final ca attenue les gains de vrais actionnaires ET ca accuse les pertes d'autres ou les attenue moins qu'il serait logique avec un bilan neutre: cout d'une 'assurance globale' inutile (ou disproportionnée) car il faut bien payer l'ardoise globale et c'est le marché primaire (et en amont l'économie primaire) qui la payera. Comme des assurances (cf edge) c'est globalement un cout pour l'ensemble des actionnaires, qui fait vivre les financiers/parieurs.
On peut accepter qu'il faut une assurance(finanicière), qu'elle a un cout, et ca génère un revenu aux financiers qui font le travail de base à faire fonctionner cette assurance. Mais en fait ils en dégagent des profits supérieurs à ce que le marché/économie primaire peut/sait dégager: ils utilisent un effet de levier. Ils justifient leur gains (supérieurs) en pretextant en faire bénéficer/redistribuer a tout investisseur privé (épargne>investissement). J'ai cru lire que la finance génère 15% des gains (croissance) globale de léconomie, mais ce n'est une plus value que pour eeux, supérieur à celle moyenne de la société. Comment imaginer qu'on pusse générer des transactions financières très supérieures au niveau des la finance, des produits dériviés, au flux monétaire sur lequel elle se nase?! C'est en accélérant le débit et nb d'opérations (jusqu'à la finance haute fréqunce: nanosecondes!) au dessus du débit de base.Comme créer sur une rivière une microturbine qui brasse plus d'eau que la section qu'elle prélève, en absorbant l'eau activement avec un moteur dont l'énergie est générée en freinant un peu l'eau sur le reste de la section. Au final autant d'eau passe par seconde, mais 10 000 fois plus dans le tuyan finance (section de admettons 10% de la section totale) et 1/10 000 fois moins dans les tuyaux ordinaires.
>idée de vidéo mettant en parallele: les produits dérivés, selon leur type/fctmt/reglès peuvent s'apparenter à ...
-une loterie ou tout le monde à des chances de gagner, le seul gagnant régulier est l'or,ganisateur des jeux, et ca coute à tous les participants. Mise libre et fixe; Probabilité clairement affichée alétaoire; gain fixe>>>mise;
-un impot ou tout le monde paye: cad commission proportionnelle; l'utilité est dans les service communs redistribues (defense, route, hopitaux,...); redistribution équitable liée à l'usage volontaire ou non-usage mais comme ce sont des services surtout essentiels/genéraux/communs, c'est en pratique quais équiprobable (pour tous, systématique): quasi personne ne prétendra ne pas avoir à beneficier de svc santé, route, ecole pour ses enfants, defense,...
-une assurance (santé, voiture,...): commission fixe et dépendant du service(la voture; l'état de santé) (avec options possibles: meilleur couverture ou reboursements...), payée d'avance,...; Probabilité considérée aléatoire continue, sur la durée; pas de variation positive du 'prix' assuré mais que ses domages; mise nulle à seuil (franchise) puis indeminité +/- proportionnelle mais a plafond
--un emprunt/crédit financier: commission d'entrée eventuelle(?jamais) en fait par gage (autres avoirs: hypothèque) ou notoriété, mais surtout payé pseudoproportionnellement sur la durée; Pari basé sur un remboursement plutot sur, a terme déini mais modulable, avec des échéance pré-fiixées, ainsi que les frais(eq.commission). Mise variable (initiale = montnat u pret) puis diimine avec les mensualités, pour s'annuler avec le remboursement final). La probalilité (de perdre = ne pas etre remboursé pour le preteur / ne pas pouvoir rembourser pour l'emprunteur) est pseudodeterminée (x% et faiible au début devenant à la fin des échéances de remboursements); le gain pour le preteur est predeterminé ( à taux constant TAEG, ou varialble..;
-un achat de service (téléphonie): commission(forfait) avec options de sevrices; Service fixe (nh d'hu,...) et d'usage libre; Probabilité d'usage libre (considéré aléatoire, mais c sans interet: cout dérisoire si utilisé ou non)
-Mode futur: forward : [shéma mise proportionnelle cad droite croissant passant à l'origine/seuil] la mise du pari est la différence entre le prix de l'action initiale et finale de l'action sousjascente (proportionnel). le parieur gagne (ou perd) au profit (ou détriment) du sousjacent, les chances/risques sont symétriques et en probabilité typiqueent gaussienne. Ca correspond à un pret/assurance, ce qui peut se faire à nouveau à la hausseou à la baisse.
-Mode 'Option" ou "Warrant": [shéma mise négtive et fixe a fauche/baisse, croissant à droite/hausse] le sousjascent se fait payer une commission (droit d'entrée, qui varie ave le ssjascent, le niveau du pari(strike: la valeur de départ ou seuil, la maturité du pari, et en cas de baisse de son action le parieur lui paye ses pertes. L'avantage pour le sousjascent est de se couvrir en cas de forte baisse et bénéficier de plus de chance de gagner pour des variations faibles, alors qu' il perd (par rapport à l'option Futur) qu'a partir du prix initial+option d'avoir à céder ses gains d'action (non prévus). Inversement le parier ne gagne qu'à la hasse forte de l'action.
[Reflexion EB] l'option/warrant correspond en fait aux assurances voiture, maison, santé!
-Option minées: [shéma mise fixe negative a gauche/baisse et fixe positive plus faible a droite/hausse] le parier défini ce qu'il veut, cad la duré (en général courte), le seuil, et la mise (ex fixe) mais celle ci doit etre plus forte à la baisse qu'à la hausse: chacun à la meme chance de gagner (selon les postulats économiques), mais le parieur perd toujours plus qu'il ne peut gagner. Valable quand ...(pas compris) et car on considère que tous les parieurs (financiers investisseurs) sont également informés...
-"edge': couverture/assurance. Typiquement par 'CreditDefaultSwap' [shéma comme la minée, mais la mise positive à droite/baisse est très supérieure], cad que le parieur recoit un commission de risque (25K€) si un emprunteur A(rgentine) ne fait pas défaut à un Preteur, mais il payera +/- beaucoup plus (100K€) au preteur si son emprunteur faisait défaut. C'est une assurance en cas 'de defaut' (et non 'au futur' qui mise +/- proportionnel à la variation), ca ressemble au binaire pour la mise, mais la probabilité est binaire pour un CDS (tt ou rien: proba de défaut, proba binaire') et non une proba continue (courbe de gagner +/- gaussienne) [subtilité apa très claire].
n
Heureka-1h12: Les marchés financiers efficients?: la présentation est sidérante jusqu:à min': le modèles des marchés efficient postule des hypothèses le plus souvent contraire à ce qu'on voit, mais acceptées par l'économiste et le financier, pour simplifier la réalité et pouvoir modeliser mathématiquement. Par ex que l'homme est un Homo Economicus (...), cad rationnel (...), que le marché de l'offre et de ldemande fixe le prix d'équilibre pour maximiser l' "utilité" des agents (consommateurs et producteurs), ... En explicant et répliquant, Heureka dit tout de l'abbération des modèles économiques.
Par ex: ok le rdt décroissant de l'utilité d'un produit acheté en nb croissant, qui explique que la courbe decroissant du prix d'achat pour l'acheteur, mais aberrant de justifier la courbe de prix de l'offre croissant à accepter un rendement décroissant en produisant plus; (à 31-32m) c'est le marché secondaire (de la finance) qui règle les prix or il n'obéit pas au loi de l'offre et la demande, mais de la spéculation... comme l'illustre le 'marché de beauté' de Keynes.
). A 32m40, les prix de la finance sont semi-aleatoires, et les financiers spéculent par des actions entre les variations minimales et maximales (aléatoires) en dehors des variations de fond (expliquées par le climat, l'innovation, ....). Pour gagner au jeu financier (aléatoire) il faut un (des) pigeons(à 36m). Les possibilité d'arbitrage (rationnel) disparraissent avec la professionalisation de la finance. On remplace finallement un arbitrage long terme risqué, par de milliers(millions!) de nano-arbitrages à espérence positive ou nulle (donc non risqués). Au final, avec la meme hypothèse empirique de prix aléatoires, l'efficience des marchés serait (Eugène Fama) à un premier niveau (montré) de type 'aléatoire/arbitrage zero' (chacun a la meme chance de gagner, avec le même dè au Casino), eventuellement (réalité) de type informationnel (le marché intégrerait les infos, les prix reflètent pleinement toute l'information, il suppose l'intelligence collective des financier à interpréter mieux pour plus gagner, mais en fait cette théorie n'est qu'un cas de l'efficience zero arbitrage, masquant par le concept de l'info dans le prix le fait que la variation de prix est elle meme un info, et ecartant les retroactions, équilibres d'interactions, mouvement d'humeur,...). En fait la différence d'interprétation financière vient entre court et moyen/long terme, pour les prix, les informations,... Cela ressort avec un dernier type d'efficience dite allocative qui fait un pas de plus vers la théorie (suppose satisfaire l'utilité maximale des agents), et fut invalidée par Shriller, ouf: (à 57m0) les financiers ne sont pas des rationnels à maximiser l'utilité de l'économie, mais à maximiser leurs gains personnels. Cela se fait en spéculant à court terme sur des aléa/bulles, au détriment de pigeons et de l'économie réelle. La rationallité financière n'est pas la rationalité économique (>cela justifie qu'elle fasse l'objet de règles propres, sans etre taxé d'anti (néo)libéral !).
(à 1h0), super la représentation du prix d'achat d'une action (15€) comme la somme des dividendes promis (1.5€/an) en en déduisant le rendement escompté (10%) chaque année (le dividence ne pèse plus que 22ct a 20ans): rendement, prix et durée sont liés: on peut estimer, en fixant le rdt escompté (ou la durée, ou le montant acheté), le prix d'achat attractif comme acheteur (et id pour un vendeur, quand d'accord ca fait le prix du marché équilibré ou 'efficient'). Les variations de prix d'actions devraient ainsi suivre les dividences, or Schiller montre experimentallement que non (donc financier non rationnel de l'économie).
* Notes sur les travers de la finance % préoccupations de durabilité, équité, ecoresponsabilité
- la finance a permis ou du moins amplifier l'endettement non maitrisé, et combiné à d'autres mécanismes (palliatifs) au surendettement.
- (Denis Dupré)/wiki: Les financiers, contrairement aux économistes parmi lesquels des opinions différentes s'expriment, forment un corps soudé d'« experts » souvent complices par leur silence et inaction8 sur la lutte contre les pratiques mafieuses, la corruption et les paradis fiscaux9. La profession financière s'oppose aux réformes urgentes que sont notamment la mise au service des citoyens de la BCE10,11, la séparation des banques, l’interdiction de la finance casino12, la réforme des marchés boursiers
- l'économie classique opere avec des agent (travailleurs, sociétés) et des ressources économiques (Kapital, Travail) mais les ressources naturelles sont indépendantes et considérées illimitées (ou telle ressource substituable par telle autre au prix d'une transition géré par le marché).
* Notes sur la situation financière;
-/wiki.fr: le secteur financier représente 1 million de collaborateurs en France, dont 40 % pour le seul secteur bancaire. Fin 2011, les sociétés d'assurances avaient investi 925 milliards d'euros dans les entreprises, soit 54 % de leurs actifs. Outre l'immobilier, les Français auraient 3 600 milliards d'euros de placements financiers dans leur patrimoine en 2011, dont 39 % sur des comptes d'assurance-vie.
* Propositions de Gaël Giraud
- considérer comme un bien commun la liquidité des actifs sur les marchés financiers et le crédit.
* autres pesneurs à voir: Denis Dupré
* autres idées:
- reconsidérer de valeurs ou usages évidents comme:
.Les prêts à taux d'intérêt sont interdits (par l'économie islamiste antique, car considérés comme immoraux).
*Le modèle économique de l'école 'autrichienne' de Karl Menger / Eamonn Butler :
Economie libérale basée sur des actions uniquement individuelles, la propriété, ... Ppt tres sympa/claire/complet en 10 principes/contrepoints.org (+++) à paritr du Livre de E.Butler.
le marché doit être analysé comme un processus et non comme un résultat, et non plus comme des états (d'équilibre) gérés par des lois en entre agents et ressources économiques (Kapital, Travail). Utilise une notion de temps 'réel' fleché par la subjectivité des choix, contrairement à l'économie classique qui utilise un temps neutre (le même pour tous, en tout lieu, et à tout moment).
+/Universalis;
*Vidéo Heureka-1h12: "Les banques face au défi climatique": trop long pour bcp de concept et supputations, bien que le 17min debut sont to a poser le cadre. La conclusion à 1h08-12 suffit, intessante/sensée mais ne rassure pas, car la stimulation me semble rester molle/indirecte/détournables quand à la sobriété (par augmenter la sovabilité des investissement carbonés) et à l'activité plus écoresponsables (maintenir voire evltm diminuer cette solvabilité).
Le récapitulatif de 1h07 à 1h10'30 est très bien et suffisant[rem]:
Il faut d'abord contraindre l'économie carbonée, bien que ce soit impopulaire, pour la réduire au nécessaire (besoins primaires) non satifaisable autrement, et pour élaguer tout ce qui est du confort/luxe/virtuel. Car elle est si énorme et pléthorique (">600 esclaves énergétiques"; confort) qu'elle ne sera pas compensée juste en développant une économie verte (qui gagne 5 ou 20% au mieux). Pour ce faire, coté finance,... les 4 points d'Eureka et j'en ajoute 2:
1-Définir et appliquer de suite une taxonomie des produits financiers carbonés/verts, et l'ajuster au besoins au fur et à mesure mais qu'elle soit assez stable pour ne pas destabiliser les investissements (nota long terme, au détriment des spéculatifs), la taxonomie étant un spectre de lecture adapté avant d'être de se vouloir être une incitation pour orienter l'économie;
2-Réglementer la solvabilité des activités/entreprises/produits financiers carbonés.'bruns' versus ceux 'verts' (pour effet incitatif): cad exiger des entreprise/activés fortement carbonées de compter au passif de quoi pouvoir payer une dette carbone (importante et durable, très sous évaluée jusqu'à présent: les emissions de C directes, et par les activités en aval de leurs clients, éventuellement dégrevées des séquestration de C induites par leur activité propre et en amont par leurs fournisseurs -mais pas en aval-). Le ROI des actionnaires s'en trouvera réduit d'autant, et ils prefèreront se tourner à investir sur les entreprise/activités plus 'vertes' (à solvabilité moins contraignate).
3-Substituer la notion de risque financier (lié à la transition) par celui de risque de réchauffement climatique accru pour les génération futures, les 2 risques étant tout aussi probabilistes que relatifs, en argent versus en énergie physique (l'effet attendu est d'inciter à une valeur de précaution sur l'avenir, plutot qu'un gain/perte d'argent passé(dommages) présent(rentabilité) ou futur(spéculation))
-Réglementation exigeant des banques et investisseurs une documentation claire qui renseigne sur le niveau de carbonatation ET de verdissement que les activités financées soutiennent (pour une effet responsabilisant vis a vis des pouvoir publics et, des médias: transparence et réputation des banques)
4-Reglementer pour exiger des banques/investisseurs (et toute entreprise) une documentation claire montrant l'impact carbone/brun ET l'impart 'vert', propre et indirect: estimation en amont (benefices écologiques et sociaux des fournisseurs) et en aval (carbonatation et pollution des clients et activités sous-tendues). Le but étant de responsabiliser, vis à vis des pouvoir publics et des médias (transparence et réputation).
5-Réglementer une durée d'investissement minimale ou assortie de conditions, pour réduire la finance haute fréquence, car celle ci n'apporte pas de plus value réelle à la société en terme de création d'utilité physique, mais au contraire renforce les instabilités dans un contexte menacant.
6-Réduire le produits financiers d'assurance, et surtout les assurances pour les financiers! C'est eux qui permettent de prendre toujours plus de risque (sans en assumer les conséquences), et c'est un comble, pour faire des profits. Assurons pour compenser un accident imparable sur une activité essentielle, eventuellement secondaire et physique, mais pas la finance ou le virtuel!
[rem]les explications théoriques, en 1heure, sont je trouve peu utiles au final car elles sont complexes et bouclent,relatives à des valeurs (rentabilité économique ou enjeu climatique? court terme ou long? pouvoir pulic ou privé? marché efficient/économie libérale ou economie dirigée?)
L'écoresponsabilité désirée de nos sociétés face au changement climatique est la fin qui justifie les moyens, par l'inverse. Donc il faut rappeler au politique qu'il s'est engagé avec l'accord de Paris, à corriger le fonctionnement de la société (entière: pas que la finance) pour limiter la casse et se préparer aux conditions de vie qui résultent du réchauffement climatique. Rappeler que l'argument du risque financier n'est pas nécessaire ni suffisant pour agir ici ou là ou pas. Il faut agir presque "quoi qu'il en coute" à la finance (et à notre mode de vie de confort, de luxe, de virtuel,...), et ca passe d'abord par de la sobriété.
+(Post EB20210526: commentaire sur une réponse d'un avocat d'une 'Platform for Sustainable Finance'):
Ca fait peur d'avoir besoin d'avocats ... dans une 'Platform for Sustainable Finance' pour... "plancher sur la question et recommander sa rédaction ou non", et que ca déboucherai ... qu'en 2025 ... ou non! . des avocats ... j'espère qu'il ne s'agit pas de d'abord défendre des intérêts privés avant des intérêts collectifs! . pas sur que ca débouche: tient donc, ils peuvent dire que c'est pas possible ou pas besoin? j'y pense au point B. . plancher sur quoi au fait? sur une taxonomie brune (carbonée), cad définir des catégories de produits financiers? le propose au point C. A- Je pensais naïvement qu'une plateforme de finance durable travaillerait à AGIR CONCRÈTEMENT! cad décider et financer directement des projets plus durables/ecoresponsables (et nécessaires à la souveraineté, la sobriété, des garanties pour les générations futures plutot que des dettes,...). Si ca heurte trop l'esprit d'économie libérale, disons que ces experts devraient réglementer la finance pour qu'elle soit 'Sustainable' DANS L'OBJECTIF (européen je suppose) d'une économie globale et durable cad ECORESPONSABLE: pas que financière, ou qu'industrielle, mais bien plutot aussi sociale et environnementale en limitant voire réduisant notre emprise sur / exploitation du capital Terre-Nature. B- Je ne néglige pas le besoin de préciser le sens des mots, catégoriser les produits financiers,... pour que tous les acteurs parlent un même langage. Ni de développer des concepts. Dans d'autres secteurs, ce travail de taxonomie (disons de linguistique au sens large, de la sémiologie à la syntaxe ou les classifications) est fait par des académies (de l'académie française aux associations et instituts dans chaque domaine des sciences et activités), en relation et avec des experts-chercheurs publiques et privés. Et cela évolue au fil des usages et sciences! En finance, il est fort probable qu'il faille changer de classification de produits financiers durables, déjà d'ici 2025, puis de nouvelles contraintes climato-environementalo-politico-sociales sans parler d'aspirations nouvelles. Bref, la platforme doit etre une sacrée GEGUERRE DE COCHERS TAXONOMISTES ceci contre cela soudoyés par des lobby/enjeux privés, ce qui doit COMPROMETTRE TOUTE REFLEXION SERIEUSE SUR UNE FINANCE AU SERVICE DU BESOIN COLLECTIF d'ECORESPONSABILITE (et non l'inverse!), et ce qui doit hypothéquer des perspectives réalistes d'actions: C- mais/car l'URGENCE EST A L'ACTION EFFECTIVE!, pas à mettre 4ans pour définir une taxonomie qui reculera les actions réelles, ou les hypothéquerait d'autant! Ne serait il pas plus efficace : .que chaque expert interessé publie sa définition des termes, catégories de produits financiers, qualifications,... relatifs à une 'taxonomie brune'? Ca prendrait 1 ou 2 mois à certains, 6 ou 24mois à d'autres, qu'importe. .alors chaque acteur pourrait de suite AGIR EN VRAI (conseiller pour l'expert, reglementer la finance pour l'EU ou les consortium de banques/finance, financer ecoresponsable pour les banques, developper des projects écoresponsables pour les industriels), EN SE REFERANT A TELLE TAXONOMIE de Mr X (202xmm), et/ou si besoin Y (202ymm). J'imagine que les taxonomies les plus consensuelles ou claires ou meilleures seront favorisées, et alors oui en 2025 l'Europe pourrait opter pour telle taxonomie, au besoin en l'adaptant peu ou prou. Chacun aura loisir de traduire son travail d'une taxonomie à une autre, car tout ce beau monde de la finance est soit expert soit à les moyens de se payer des 'traducteurs', experts ou avocats. Ces frais seront évitables pour ceux qui choisiront d'adopter la taxonomie normée par l'EU quand elle y arrivera. D- Aura t on à l'esprit que LA TAXONOMIES (FINANCIERE) EST UN SPECTRE DE LECTURE avant d'étre un but/action pour influencer les investissements. Retenir une taxonomie médiocre rapidement c'est peut etre mieux que plus tardivement une taxo théoriquement meilleure qui s'avera finallement pas meilleure, aura et devra sous- ou sur- classer des niches carbonées et d'autre vertes en adoptant des critères dogmatiques, sera contournée pas de nouveaux stratèges financiers,...