Organigramme résistance

En fait, il est difficile de donner un organigramme de la résistance belge car chaque mouvement est indépendant. La situation change aussi en fonction des structurations et incorporations.

Certes des inter actions ont lieu entre certains mouvements comme Armée Secrète et Front de l’Intérieur lorsqu'il s'agit de mettre à l'abri des résistants "brûlés" dans des refuges, lorsqu'il s'agit de répartir les armes parachutées de Londres, lorsque des chaines d'évasion sont mises en difficulté par des traîtres ou des infiltrés, mais ces actions liées ne mènent jamais à une structuration de la résistance en un tout. C'est ce qui fera sa force face au contre espionnage allemand et face à la hargne rexiste.

Lignes d'évasion: aidé par le MI9 (Military Intelligence, département numéro 9)

- Comète

- Pat O'Leary

- Marathon

- Sabot

Renseignement aidé par le SIS (Secret Intelligence Service) également connue sur le nom de MI6 (Military Intelligence, département numéro 6)

- Clarence, dont son ancien nom fût La Dame Blanche (14-18) de Walthère Dewé

- Zéro

- Zéro-France

- Luc, plus tard Marc

- Bayard

- Mill

- Zig

- Beagle: réseau d'observation météorologiques.

_ Tégal

- Beaver-Baton

Mouvement de résistance civil et militaire: aidé par le SOE

- Mouvement National Belge (MNB)

- Mouvement National Royaliste (MNR)

- Witte Brigade

- Les Affranchis

- Le Front Indépendance (FI) avec deux sous groupes qui sont les Milices patriotiques et les Partisans

- Armée secrète dite Armée Belgique

- Organisation Militaire Belge de Résistance

- Groupe G

- Nola

- Service D

- Kempisch legioen (KL)

- Les Insoumis

- L100

- Amée belge des Partisans (PA)

- L'armée de la Libération (AL)

16 mouvements de résistance armée ont fait l'objet d'une reconnaissance officielle soit dans l'immédiat après-guerre, soit plus tardivement. Le premier arrêté ministériel date du 28 février 1949.