Les souvenirs de Dominique BLANC
Sur la maison du Grand Vernay je n'ai que le souvenir d'une maison perpendiculaire à la "rue" en pierres brutes (sans crépi) avec au dessus de la porte une niche (triangulaire?) qui abritait un Christ en croix ou une statue (maison mariale? il me semble avoir entendu ce terme)
De Dominique MALLET BONJEAN
nous habitons la maison de Jean MOLLE Maçon que mon grand père avait acheté
Jean le Maçon est le père de Pierre et le frère de Jeanne
Sur la photo, c'est la maison à droite à l'endroit où on voit le mobilier de jardin.
De René CHARLAT le 2/2/2014
Bonjour André,
Suite aux deux dernières demandes sur le site, pour les "Blanc", je sais qu'il y avait une maison appelée chez "Le Blanc" qui avait appartenu à mon grand père, elle est aujourd'hui démolie.
La maison de Jean du Maçon il y environ 50 ans
De Dominique MALLET BONJEAN:
Elle a dû être modifiée par rapport à l'origine
Je me souviens que le sol était en carreaux de ciment colorés.
Elle n'avait pas encore les fenêtres cotés chemin.
Aquarelle de Mr MAZOTO faite vers 1960/1970,
ami d'un habitant du Grand-Vernay (ancien prisonnier Allemand).
Du NOUVEAU (14/10/2015)
Capitaine
La photo a dû être prise entre 1956 et 1960.
De: Fernand DAVAL:
Capitaine est l’homme à la canne à droite de Simone Chatelus.
La dame aux lunettes sombres est sans doute (à vérifier²) Maria Bouchery, puis « Guiguite ».
La dame à gauche ?
Sur la fenêtre à droite Claude Dumas.
Marcel BOCHARD (dans les avis de décès) était le mari de Guiguite.
Si j'ai bien compris:
Sur la fenêtre: 1 Clément TESSIER (élevé par guiguite) .??? 2 Claude DUMAS
Au premier rang: 3 .?. 4 Marguerite FEY dit Guite ou guiguite 5 Jeanne Décombat 6 Simone CHATELUS 7 Johannès FEY dit Capitaine
Les points d’interrogation attendent vos commentaires.
Réponse 1 de Dominique Mallet BONJEAN:
Capitaine était le père de Guiguitte Fay ou Fey de la Chauchère.
Réponse 2 de Fernand DAVAL 2/2/2014
Bonjour André,
Suite à la mise en ligne de ta page « Souvenirs en vrac », où vers la fin tu parles de « Capitaine ».
C’était le surnom donné à Johannès FEY (originaire de la Sable), le père de Marguerite FEY dite « Guite » qui habitait à la Chauchère, juste après la maison Moulin en allant vers le Mas.
À cette époque, ils avaient 3 vaches, quelques chèvres et brebis et un cochon, et Guite faisait des « grenades » comme un grand nombre d’épouses à cette époque.
J’ai très bien connu « Capitaine », on l’appelait ainsi car il avait tendance à toujours commander. Et puis, il avait fait la guerre de 14.
J’ai passé mes dix premières années, dans la maison à côté, étant le fils d’Henri dit Marius Daval, le cordonnier. Gamin, j’ai passé beaucoup de temps avec eux.
J’espère que je n’étais pas dans le groupe de gamins qui se moquait des parisiens (j’étais déjà un peu grand – né en 1946 – mais sait-on jamais ! j’ai quitté Saint-Didier en 1963).
Notre famille avait aussi un surnom « chez Pataud ». Je n’ai jamais su pourquoi.
Je fais beaucoup de généalogie et suit un des bénévoles actifs de la revue généalogique « Généalogie & Histoire ». – www.cegra.fr
Cette information complètera un peu l’histoire de notre village.
Merci pour ton site, toujours très à jour.
Ma réponse à Fernand:
Bonjour Fernand,
Très sympa ta réponse. Elle va dans le sens que je cherche à donner au site.
Le puzzle de nos souvenirs continue de se réajuster pour le plaisir de chacun.
Dès que tout çà aura pris forme dans mon esprit (mais très vite sans doute!), je porterai ta réponse sur le site.
Dans la confusion de mes souvenirs, il me semble que le "capitaine" devait son surnom aussi à sa tenue vestimentaire. Il me semble le revoir avec peut-être une casquette et une veste avec des boutons à ancre de marine du style Capitaine Haddock dans "Tintin".
Est-ce que mes souvenirs me trahissent si je dis que Guiguite FEY a été aussi Aide Familiale! Il me semble la revoir assez souvent dans mon cercle familial. Et Comme mon père s'en est beaucoup occupé, cela s'expliquerait.
Je te remercie fortement au nom de tous les lecteurs et de la famille BLANC qui vont ainsi pouvoir restaurer un pan de leur histoire.
Cela donnera peut-être aussi l'envie à d'autres personnes de passer par le site pour rafraîchir leurs souvenirs qui s'estompent avec le temps.
C'est aussi comme çà qu'on écrit l'histoire en empêchant la mémoire de s'effacer. Combien de fois j'ai regretté de ne pas avoir pu faire tout çà du temps du vivant de mon père. J'aurais ainsi pu profiter d'une mine de renseignements qu'un instituteur de village peut accumuler. Mais j'ai quand même de la chance puisqu'il a écrit une sorte d'autobiographie que j'ai reporté sur le site.
L'informatique nous est maintenant d'un grand secours. Il suffit de voir tout ce qui se met en place pour récolter les souvenirs de la guerre de 14.
J'espère que ce site contribue à la mémoire collective et que certains en font des copie au cas où Google nous jouerait des tours.
De Fernand DAVAL le 2/2/2014
Pour la tenue vestimentaire, je ne crois pas. Il me semble que je m’en souviendrais.
Par contre, Guite aide familiale, c’est peut-être possible mais sans doute pendant une courte période. Peut-être après mon départ de Saint-Didier.
J’ai cherché une photo de « capitaine », j’étais sûr d’en avoir une, mais je n’ai pas trouvé.
J’ai son livret de famille et son livret militaire récupéré quand Marcel Bochard (mari de Guite) a vendu la maison de Saint-Didier après son décès.
Je poserai aussi à Marcel (92 ans, mais toute sa tête) la question de l’aide familiale, mais ils se sont mariés tard (en sept 1970).
Quand j’irai à Boën, je chercherai dans les affaires de Guite, on doit pouvoir trouver une photo de son père.
Bon courage .
De Dominique BLANC le 3/2/2014
Concernant "Capitaine" il est bien dans mon souvenir vêtu d'une veste foncée -bleue marine ou noire- munie de boutons militaires métalliques et coiffé d'une casquette.
Autre souvenirs:
Mon père avait gardé des relations avec un cousin à St Julien La Vêtre (Louis et Félicie FAYE (ou Vey) qui avait une fille Camille, lui devait travailler aux chemins de fer et elle a été garde-barrière à St Julien. Je me souviens aussi d'un cousin Johannes (surnommé Robinson) qui habitait une ferme isolée et bien pauvre dont la femme faisait des "grenades" l'hiver devant sa fenêtre et derrière une sorte de carafe qui servait de loupe.
Ma sœur m'a aussi indiqué que notre grand-père Jean Pierre était le dernier d'une fratrie de 9 enfants et qu'il a fait ses études à St Etienne ou Lyon, ce qui rend possible l'hypothèse de l'école GERSON