L’étonnant destin de l’ antique
Madone de l’Hermitage
L’ Histoire d’ un miracle collectif à visage humain
autour de «la Bouna Vierga» de vé Grandris et
de l’ Hermitage
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I
Une disparition
mystérieuse
et Cent ans
d’Espoir
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La statue de «la Vierge de la Mission Royale», appelée aussi «Notre Dame des neiges», et celle de «Saint ANTOINE du désert», étaient revenues de leur escapade qui leur avait permis d’échapper à l’inventaire des biens décidés par l’administration de la révolution.
L’antique Madone du pèlerinage de l’Hermitage, quant à elle, n’avait toujours pas été retrouvée...
.......mais elle restait très présente dans une mémoire collective multiforme
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Le constat objectif et l’espérance de l’abbé CAMIN en 1912
«Nous arrivons ainsi finalement à cette conclusion (...) que, malgré les investigations les plus minutieuses, le sort de la statue de Notre-Dame de l'Hermitage reste totalement inconnu. (...) Qui pourrait affirmer qu'elle n'attend pas dans quelque retraite sûre, ignorée de tous, pour reparaître à la lumière et remonter sur son trône (...)? Heureux ceux qui verront ce jour béni, si jamais il se lève!».
(in «La statue de Notre-Dame de l'Hermitage étude historique et iconographique».)
....Et ce jour «béni» s’est bel et bien levé, 77ans plus tard!
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L’admiration, l’espérance et l’inquiétude des abbés GOUTTEFANGEAS
«Combien de miracles, de faveurs, de guérisons ont été obtenus à ses pieds. Et cette relique des vieux âges, tout imprégnée des suppliques de tant de générations, on ne sait pas ce qu’elle est devenue. Elle a disparu au moment de la Révolution sans qu’on puisse dire si elle a été détruite par une main sacrilège ou sauvée par des personnes pieuses».
( abbé Gouttefangeas, Notice Historique sur N D de l’Hermitage, début XX°).
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Son image était bien là, recréée par l’imaginaire, avec l’ appui de la mémoire collective.... mais où se trouvait donc sa statue ?
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L’image recréée de la statue originelle de la Vierge de l’ Hermitage était donc bien présente dans les esprits !
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Plusieurs pistes avaient été ouvertes pour retrouver «l’antique Madone du Pèlerinage», dont celle de l’Auvergne à La RENAUDIE, mais sans succès !
«la statue de la Vierge que l’on voit à la RENAUDIE n’a ni la physionomie, ni les caractères de l’antique statue de N.D. de l’HERMITAGE».
(Chanoine RANDANNE, 1885).
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La VIERGE de la RENAUDIE n’était donc pas la Madone du Pèlerinage de l’ Hermitage!
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«La piste Auvergnate» s’avérait pourtant pertinente, vérifiée pour «la Vierge de la Mission Royale» !
Les prêtres Missionnaires, présents à l’Hermitage lors de la Révolution étaient tous originaires de l’Auvergne!
Normal que la Vierge de la Mission Royale, appelée «Notre Dame des Neiges», chère à leur coeur, ait trouvé refuge à AUGEROLLES, puis à VIVEROLS, sous la houlette de Louis LAVERROUX, proche du Père Jean François GASCHON...
..... Le Père LAVERROUX, ex économe, et Jean François GASCHON, promis à la sainteté, avaient marqué leur passage à l’Hermitage, et s’étaient retrouvés ensuite dans leur sacerdoce auprès de Notre Dame des Neiges, qu’ils côtoyaient au quotidien!
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Notre Dame des Neiges ainsi présente dans l’église de VIVEROLS ne pouvait donc remplacer l’antique Madone du Pèlerinage de l’ Hermitage !
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Mais le retour à l’ Hermitage de «Notre DAME des Neiges» en 1971, était pourtant prémonitoire de celui de «l’antique Madone» ... d’où l’Espérance enthousiaste du Père J.M. DUBOST:
«Notre rêve (...) commence à se réaliser par le retour de cette Vierge de la Mission Royale... Elle mérite bien la seconde place dans le cœur des missionnaires et des pèlerins, après celle qui se cache dans un hameau du Forez, attendant patiemment son retour glorieux dans son antique domaine».
( Annales, Père J.M. DUBOST 1971)
...La piste du FOREZ , ouverte depuis peu par Hubert THIOLLIER, confortait l’ espérance d’une proche retrouvaille de Celle que l’on recherchait depuis bientôt près de 2 siècles!
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L’ Histoire de Notre Dame des Neiges
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II
La révélation d’Hubert THIOLLIER,
Dans la maison chez Custe, à Grandris, hameau de Saint DIDIER/ROCHEFORT, un dimanche de juin 1969.
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«C’est le hasard, et la complicité de certains habitants de Grandris (et notamment «l’Amélia chez Grange»*) qui, un dimanche de juin 1969, ont fait que Hubert THIOLLIER rencontra «la Vierge de chez Custe», alors que l’Hermitage recherchait son antique Madone depuis des décennies».
(*) Amélie LAURENT (ma grand-mère : note rajoutée au passage)
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«Je fus saisi par une espèce de ferveur... C’était elle, c’était bien elle, je la reconnaissais !»
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La nécessité d’authentifier son acte de foi et sa conviction !
«Fort de sa conviction, Hubert THIOLLIER parviendra à démontrer que la Vierge de chez Custe était bien la Madone de l’Hermitage,cela en compulsant archives et registres d’état civil, en rapprochant dates et lieux ayant marqué les évènements familiaux dans l’environnement humain d’Antoine BALICHARD, personnage clef de cette belle aventure quasi miraculeuse.»
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Hubert pénétra donc le secret d’Antoine BALICHARD, dit «le jeune»
Cette lecture d’un texte relatant le périple de la statue de Saint Antoine du désert et son retour à l’Hermitage fût l’étincelle qui relança les recherches d’Hubert THIOLLIER, un dimanche d’octobre 1971, et le mit sur la piste d’Antoine BALICHARD:
«A la grande révolution, la statue de Saint Antoine-l’ermite fut sauvée et emportée par la famille BALICHARD duvillage du VIMORT...... Elle devait reprendre le chemin de l’Hermitage en 1890 après une intervention de Mgr BERNARD, Supérieur du pèlerinage, auprès de l’abbé BALICHARD».
(article du Père CONTE dans un numéro des annales de l’Hermitage de 1957, relatant le périple de la statue de Saint ANTOINE.....)
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le lien humain avéré entre le village de Grandris, l’ Hermitage et «l’image de la Bouna VIERGE».
HubertTHIOLLIER entreprit alors de faire vivre la Généalogie, avec des personnages à visage humain!
Antoine le jeune, et sa sœur aînée Antoinette...
Les familles BALICHARD et BARTHOLIN, du bourg de Saint Didier et de Grandris.
Le garde forestier Jean BONNAY habitant au Vimord et sa fille Antoinette.
Jean DESGOUTTE de la maison «chezCuste», aïeul de Joannès et Henri MOULIN.
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Des lieux en relation humaine : de l’ Hermitage au hameau du Vimort,du hameau du Vimort à celui de Grand-ris.
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Chez l’Aîné..... Maison natale d’Antoine le jeune au bourg de Saint Didier / Rochefort.
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L’ancienne maison de Jean Marie Bartholin à Grand-ris, où Antoinette, la soeur d’ Antoine Balichard était servante, puis devint sa belle fille en épousant l’ un de ses fils.
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La Maison «Chez Custe» à Grand-ris, où vivait Jean Desgouttes
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Généalogie romancée: une belle histoire qui aura une belle fin, vraie sur l’essentiel !
«la chronologie des dates (août1972) est trop flagrante pour ne pas incriminer Antoine BALICHARD et lui seul (...). Le Jeune a échoué au terme d’une entreprise de détournement qui s’est avérée sans gloire aucune pour lui et sa famille. Il en a pris immédiatement conscience et a voulu dès lors que sa faute soit ignorée»......
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L’histoire d’Antoine BALICHARD fût donc «réveillée» et écrite par Hubert THIOLLIER
«Un Balichard,
Une consurée de branches de sapin,
Au Vimort.....puis à Grandris»
Cette histoire débuta sans doute le 16 août 1792, quelques jours avant l’inventaire des biens de l’ Hermitage imposé par l’administration révolutionnaire, dont les prêtres missionnaires de l’ Hermitage avaient été complaisamment informés
in «Vierge et Révolution», pages 71 à 74
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Un témoignage raconté dans les annales de l’ Hermitage en 1916 permet d’étayer le début de l’histoire!
Le transport des objets que les pères missionnaires voulurent soustraire à l’inventaire des biens imposé par les révolutionnaires avait eu lieu dans une consurée (voiturée) de branches de sapin.
Les charrettes de bois (dont celle tirée par Antoine le Jeune) quittaient ainsi l’Hermitage sans risque d’interception puisque leur contenu allait subir le contrôle d’un garde forestier municipal... Jean BONNAY au Vimort.
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C’est au hameau de Grand-ris et non à celui du Vimort qu’ Antoine devait déposer l’ antique Madone du Pèlerinage... mais il le fît dans la maison «chez Custe», au lieu de celle de Jean Marie Bartholin.
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Acte de bravoure ou erreur de jeunesse!
C’est au Vimort qu’Antoine aurait du laisser l’antique image de N.D. de l’HERMITAGE, cachée par les pères à côté de la statue de Saint Antoine du Désert dans une consurée de branches de sapin, pour échapper à l’inventaire dont ils ont été complaisamment informés!
Que s’est-il passé dans sa tête lorsqu’il découvrit à l’approche du Vimort qu’était ainsi cachée la Vierge Miraculeuse? Pourquoi décida t’il de la soustraire pour l’emmener à Grand-ris, où vivait sa sœur aînée Antoinette qui venait de donner naissance à une petite fille?
....La voiturée de bois qu’il amène chez Jean BONNAY, le garde forestier, ne contient donc plus que la statue de Saint Antoine... Très vite, Antoine prend congé de Jean BONNAY et de sa fille Antoinette qu’il connaît déjà, pour poursuivre sa route vers Grand-ris, portant avec lui la statue de la Vierge miraculeuse.
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Pourquoi Antoine a-t-il déposé l’ antique statue chez Jean Desgouttes , et non dans la maison Bartholin où vivait sa sœur Antoinette, belle fille de Jean Marie, et maman depuis 4 jours ?
« Selon les actes de l’ état civil, le mardi 21 août est décédée Jeanne Marie, l’ épouse de Jean Marie Bartholin ! Est elle tombée malade quelques jours après le baptême de sa petite fille ?.... Alors, les mêmes qui étaient au baptême, quelques jours avant, étaient revenus s’ enquérir de l’ état de santé de Jeanne Marie...et puis, avec tous les gens du hameau de Grand-ris, ils ont du assister à l’administration des derniers sacrements !
Avec sa statue de missionnaires réfractaires, Antoine le Jeune n’ était donc pas arrivé au moment propice!...au lieu de tourner à droite pour rentrer dans la cour de la propriété de Jean Marie Bartholin, Antoine continua son chemin, et s’ arrêta vers la maison de Jean Desgouttes ( chez Custe) ! ..Et c’est ainsi que, déchargé de son fardeau important, Antoine pu retourner sur ses pas pour retrouver sa sœur Antoinette et faire connaissance avec sa petite nièce ! »
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Son secret ayant été bien gardé, 4 ans plus tard Antoine le jeune retourne au Vimort ...peut être pour se faire pardonner par Jean BONNAY, le garde forestier qui aurait du accueillir l’ antique Madone.
.... En 1796, le Vieux Jean BONNAY n’était plus garde des forêts nationales, et donc des Bois de l’Hermitage... Fût-il surpris en voyant BALICHARD ? Il du lui dire à peu près ceci :
« Bien sûr vous deviez me remettre la statue de Notre-Dame et vous avez failli à votre devoir, Antoine. Mais maintenant, l’ Hermitage, c’est du passé. Dieu seul sait quand nous remonterons prier la Sainte Vierge près de la source. Et puis, où que vous ayez caché la statue, je suis sûr que vous n’avez pas voulu mal faire ! »
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Et s’il revint au Vimort, c’était aussi pour revoir Antoinette, la fille de Jean BONNAY, qu’ il devait épouser un an plus tard !
...à partir de ce jour là, Antoine revint souvent au Vimort : le 8 brumaire An V, il épouse celle qui l’ a attendu pendant 4 ans !
...Devenu garde forestier, comme l’ était son beau père, il s’ établit donc au Vimort.
En 1805, naît Etienne, futur curé de l‘ Hôpital sous Rochefort, qui ne rendra à l’ Hermitage ( fin du XIX ° ) que ce qu’il aura..., à savoir la statue de saint Antoine
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Etienne BALICHARD, curé de l’ Hôpital sous Rochefort devait donc restituer en 1890, à l’Hermitage, la statue d’Antoine du Désert, que son père Antoine avait déposé au Vimort près d’un siècle plus tôt....après avoir retiré de la « consurée » , celle de la Vierge !
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III
L’ accomplissement d’ un véritable miracle collectif à dimension humaine autour de « la Bouna Vierga de vé Grandris et de l’ Hermitage » !
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« C’est un véritable miracle collectif à dimension humaine qu’auront accompli les femmes et les hommes qui de près ou de loin ont participé à la conservation de cette statue pendant près de 2 siècles, puis à sa recherche, et enfin à sa restitution.
Si elle a pu être conservée et restitués, on le doit au sens du respect de la valeur des choses et du sens qu’elles comportent, honneur des gens simples et pas riches, transmis de génération en génération depuis Jean Desgouttes jusqu’à Joannès et Henri Moulin, et cela dans une modeste chaumière, dans ce hameau de Grand-ris,.... »
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la dimension humaine : une harmonie entre le cœur et la raison !
« L’intelligence de la raison mais aussi et surtout celle du cœur expliquent la décision que devait prendre en juillet 1979 Henri Moulin de remettre à l’Hermitage la Madone qui était la sienne; cette décision, il ne l’avait pas prise tout seul et elle appartient aussi à son frère Joannès qui avant de mourir lui avait fait comprendre qu’il n’était pas question qu’il retire le moindre centime de cette statue, et qu’il pourrait la léguer à un Hermitage.... »
Ce pas exigent, qui demandait de prendre beaucoup sur soi, Henri l’ aura réalisé aussi avec le soutien et les encouragements des gens de Grandris !
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dans ce hameau de Grandris, depuis Jean Desgouttes jusqu’à Joannès et Henri Moulin, dans une modeste chaumière...
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Mais tout le village de Grand-ris était aussi aux côtés de chez Custe, autour de la bouna Vierge.
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Rien de mieux que la convivialité pour faire avancer les grandes questions !
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La maison de « chez le maréchau » aura aussi participé à cette belle histoire... car, par sécurité, la Bouna Vierga y fût logée les deux dernières années de son séjour à Grand-ris.
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....dans une dimension intergénérationnelle !
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Épilogue : « Riri rend sa statue à l’ Hermitage, sans condition ! »
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Mesurons toute l’ ampleur du pas accompli par Henri MOULIN !
« Début juillet 79, Madame Bartholin me téléphona de Grandris ! Quinze ans après, j’ entends encore sa voix, claire et joyeuse, un tantinet railleuse comme pour me reprocher d’ avoir tant douté du petit Homme : « Riri rend sa statue à l’ Hermitage, sans condition ! » »
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IV
« C’est le plus beau cadeau que tu aies pu nous faire ....cette journée du retour de la Vierge de Grandris à l’ Hermitage aura été le plus beau jour de ma vie ! »
(Pierre COMBE, de la maison voisine « chez Daré », à Riri MOULIN)
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les ultimes préparatifs du retour à l’ Hermitage ( 1° septembre 1979)
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De chez le Maréchau, retour chez Custe, la veille du grand Retour à l’ Hermitage ( 1° septembre 1979)
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... l’émotion était forte, et partagée !
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Tout le hameau était là autour de Riri et de sa « Bouna Vierga »,
qui reste encore un peu celle de Grand-ris !
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C’ est le grand jour du Retour à l’ Hermitage !
( le dimanche 2 septembre 1979)
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C’ est le grand jour du Retour à l’ Hermitage !
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Riri avec celle qui fût, chez Custe, la compagne de sa vie
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Belle et émouvante cérémonie, où la Madone du Pèlerinage avait donc rejoint Notre Dame des Neiges !
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Et là encore, tout le hameau de Grand-ris était bien là
autour de Riri et de la bouna Vierga !
(après la célébration, avant le repas pris en commun)
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Et la convivialité toujours présente pour faire vivre l’ amitié ...la complicité « boute en train » entre le Père DUBOST et RIRI aidant...cela valait bien Vêpres !
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EPILOGUE:
Un beau témoignage !
.......Et si les miracles étaient tout simplement des histoires d’amour !
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Un beau témoignage !
« C’est une belle leçon de dignité, de volonté, d’honnêteté et de générosité que nous auront donnée le Grand et le Petit Moulin, eux qui vivaient laborieusement, chichement, qui ne fréquentaient pas particulièrement les églises à une époque où la pratique religieuse était plutôt la norme dans nos villages….leur exemple est d’autant plus appréciable en cette période où l’argent est devenu omniprésent, y compris dans des domaines qui relèvent pourtant du Bien Commun ….Les frères Moulin ont compris que la Madone avec laquelle eux et leurs aïeux auront partagé leur vie, et qui était sans doute le bien le plus cher de leur maison, appartenait à tout le monde. »
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Un véritable miracle collectif à dimension humaine !
« Pour écrire cette histoire, il y aura eu la complicité de tous les habitants de Grand-ris…. d’abord dans la reconnaissance et cette fierté qu’ils expriment pour avoir été associés à cette belle histoire.
Beaucoup de ceux qui étaient là il y a trente ans, sont partis ….les images et photos nous le rappellent, les sentiments que nous partageons aujourd’hui nous permettent de mesurer ce qu’ils nous ont apporté, et la part d’espérance qu’ils ont eu dans cette belle histoire, qu’il nous appartient de poursuivre….. »
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Et tout cela reste très présent dans nos têtes et dans nos cœurs
...plus de 30 ans après !
(le 30 Août 2009)
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Et si les miracles collectifs étaient tout simplement des histoires d’amour!
« Dans ce miracle collectif, on doit bien sûr évoquer le rôle d’Hubert THIOLLIER. (....) Il ne s’est pas limité au rôle de l’historien scientifique ; sa démarche aura été guidée par son attachement à ce pays du Forez, mais surtout aux femmes et aux hommes qui le font vivre et aux sentiments qui les animent (...)
Pour que vive cette belle histoire, Hubert aura su associer la complicité de tous les habitants de Grand-ris…. qui expriment toute leur reconnaissance d’avoir été associés à cette belle histoire. »
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Hubert aimait les gens, et savait associer le cœur et la raison !
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Remerciements
Tenter de trouver ensemble le Sens Humain que recouvre la véritable Histoire de « la Bouna Vierga de vé Grand-ris et de vé l’ Hermitage »
.... telle était l’intention de ce document !
La réalisation de ce document aura été largement inspirée de l’ouvrage « Vierge et Révolution » d’Hubert THIOLLIER (en bleu).
Elle s’ appuie aussi sur le texte écrit et lu le 30 Août 2009 à l’ Hermitage au nom des habitants du hameau de Grand-ris qui avaient tenu à honorer ici le 30° anniversaire du retour de la Vierge de Grand-ris (en rouge bordeaux).
Merci à toutes celles et ceux qui, avec les photos qu’ils ont mis à disposition, ont enrichi ce diaporama !
Merci à toutes celles et ceux qui ont créé cette belle Histoire...Ils peuvent être fiers du message qu’ ils nous ont transmis !
Jean BARTHOLIN, de chez « le maréchau »
Septembre- novembre 2016
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