Cela ne nous rajeunit pas!!!
Ce sont des coupures du jounal "Le Stéphanois" qui date du 13 et 15 octobre 1896.
C'est Henry POYET, généalogiste dans l’âme, qui a découvert ces faits divers et me les a communiqués lors de notre dernière rencontre.
Il serait peut-être temps que les arrières, arrières petits enfants de ce monte en l'air venternier sans doute bonjourier auteur de ce fric frac rendent aux arrières, arrières petits enfants de ces marcandiers les objets de ce recel.
Comme Henry et moi (et vous aussi peut-être), nous avons une idée de qui sont les descendants de ces victimes, nous pouvons nous charger de les leur faire passer... non sans avoir au préalable prélevé la dîme en usage au moment des faits.
Pour être plus précis, il y a de fortes chances que ce Jean NOVERT (44 ans en 1891 et le seul Jean NOVERT à cette date-là sur la commune: recensements de 1891, 1901 et 1911) soit le mari de Joséphine BERNOLIN (46 ans à la même date). Ils habitaient l'Arnaudin ou Prajean (les deux lieux sont cités ensemble). En 1901 et 1911, ils habitent Combacon. Ils avaient 4 enfants : Joannès, Marie, Maria et Joseph.
13/10/1896 15/10/1896