02 Vie sociale et ses déterminations

"Le pouvoir n'accorde rien si on ne l'exige pas" Frederik Douglas

LA PRATIQUE ET SES FINS

    • L'action humaine peut-elle se passer de toute référence à une fin inconditionnelle ?

    • Peut-on être à la fois ignorant et sage ?

    • Y a-t-il à la question « que faut-il faire ? » une réponse ayant une valeur universelle ?

    • Suffit-il de bien juger pour bien faire ?

    • Faut-il juger un homme sur ses intentions ou ses actes ?

    • Ne peut-on, juger que selon le bien et le mal ?

A- Les facteurs de la vie sociales

  • La société

    • Est-ce par opposition au social que se définit l'individuel ?

    • Peut-il exister une société sans conflits ?

    • En quel sens peut-on dire que l'homme est un « animal politique » ?

    • Les crises au sein d'une société sont-elles le signe de sa vitalité ?

  • Les échanges

      • Peut-on tout donner ?

      • La notion d'échange n'a-t-elle de sens qu'économique ?

      • Dans une société dominée par l'échange, est-il encore possible de donner ?

      • En quel sens les échanges économiques sont-ils des faits de communication ?

      • L'échange n'a-t-il pour but que la satisfaction des besoins ?

      • Faut-il voir dans la compétition le principe du progrès ?

      • En quel sens peut-on dire que l'échange est le fondement de la vie sociale ?

      • La discussion permet-elle de lever tous les obstacles qui nous empêchent de comprendre autrui ?

      • Lorsque je dis : « J'ai raison », mon interlocuteur n'a-t-il plus qu'à se taire ?

      • L'échange est-il au principe du social ?

  • Le pouvoir

      • En quoi le pouvoir du peuple serait-il légitime ?

      • Celui qui exerce le pouvoir s'en trouve-t-il changé ?

      • La politique est-elle l'affaire de tous ?

      • La compétence technique peut-elle fonder l'autorité politique ?

      • Peut-on régner innocemment ?

      • Des relations sans domination ni pouvoir sont-elles possibles ?

      • Quels rapports la politique entretient-elle avec la morale ?

      • Quelle est la mesure de l'efficacité politique ?

B- Rapports de force et institutions

  • La violence

      • La violence peut-elle avoir raison ?

      • La violence se distingue-t-elle de la force ?

      • Tout ordre institué est-il une violence ?

      • Le discours peut-il abolir la violence ?

      • Y a-t-il des guerres justes ?

      • La violence a-t-elle un rôle dans l'histoire ?

      • Un monde humain sans affrontement est-il pensable ?

      • Les rapports humains sont-ils nécessairement des rapports de force ?

      • Peut-on parler d'une violence légitime ?

      • Est-il légitime de recourir à la violence pour défendre ses droits ?

      • La guerre est-elle « la continuation de la politique par d'autres moyens » ?

  • L'Etat

    • Sur quoi se fondent les pouvoirs de l'État ?

    • L'État est-il pour la liberté de l'individu un obstacle ou une condition nécessaire ?

    • Pourquoi des institutions ?

    • Est-il dans la nature de l'État de refuser les différences ?

    • « La démocratie, tyrannie de l'incompétence », que pensez-vous de cette affirmation ?

    • Ce que la morale autorise, l'État peut-il légitimement interdire ?

    • La puissance de l'État est-elle condition de l'harmonie sociale ?

    • L'emploi du mot « raison » est-il légitime dans l'expression « la raison d'État » ?

    • A quelles conditions le pouvoir d'État est-il légitime ?

C- L'ambivalence du droit : codification de l'ordre établi ou référence critique

  • Le droit

      • Les exigences du droit entrent-elles en conflit avec la nature humaine ?

      • Le droit se fonde-t-il sur la réciprocité ?

      • Dans quelles limites peut-on admettre un « droit à la diférence » ?

      • Les droits de l'homme sont-ils les fondements du droit ?

      • Que veut-on dire quand on affirme : " Ceci est mon droit " ?

      • Peut-on réduire le droit à la contrainte sociale ?

      • Combattre l'injustice, n'est-ce pas respecter le droit ?

      • Comment le droit pénal peut-il se fonder philosophiquement ?

      • Peut-on discerner dans les changements du droit un progrès vers la justice ?

      • Le respect de la loi est-il réductible à l'intérêt bien compris ?

      • Défendre ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ?

      • Peut-on parler d'un droit naturel ?

  • La justice

      • Faut-il raisonner pour être juste envers autrui ?

      • A chacun autant.

        • A chacun selon son travail.

        • A chacun selon ses besoins.

        • A chacun selon ses mérites.

        • L'une de ces maximes définit-elle, mieux que les autres, l'idcul de la justice ?

      • Être juste, est-ce se comporter de la même manière avec tout le monde ?

      • Être juste, est-ce être neutre ?

      • Être égaux, est-ce être identiques ?

      • Entre le désordre et l'injustice, faut-il choisir ?

      • En quel sens l'égalité entre les hommes est-elle la condition et la fin de la démocratie ?

      • Sommes-nous autorisés injuste ?

      • Pourquoi défendre le faible ?

      • Le besoin de justice n'exprime-t-il que la jalousie des déshérités ?

      • La balance est-elle le symbole adéquat de la justice ?

D- L'exigence éthique et les aspirations personnels

  • Le devoir

      • L'exigence morale conduit-elle l'homme au-delà de lui-même ?

      • La moralité consiste-t-elle à se contraindre soi-même ?

      • Dire la vérité : en quel sens et pourquoi est-ce un devoir ?

      • La science peut-elle nous apprendre nos devoirs ?

      • Qu'est-ce qui est respectable ?

  • La personne

      • Qu'est-ce qu'une personne ?

      • Le verbe connaître a-t-il le même sens quand il s'applique à des choses et à des personnes ?

      • Toutes les personnes ont-elles droit à un égal respect ?

      • Qu'est-ce que rester soi-même ?

  • Le bonheur

      • Peut-on parler de bonheur d'une communauté ?

      • Le bonheur est-il le bien suprême ?

      • La beauté est-elle une promesse de bonheur ?

      • La lucidité conduit-elle nécessairement au pessimisme ?

      • Le bonheur est-il le but de toute action humaine ?