La ville de Mézières dispose de 4 écoles maternelles établies dans le faubourg d'Arches, le faubourg de Pierre, Mézières-Centre et le quartier de Manchester, cette dernière créée pour la rentrée scolaire de 1924. Le nombre des enfants inscrits à ces écoles sont les suivants :
-Ecole du faubourg d'Arches, 62 répartis dans 2 classes;
-Ecole du faubourg de Pierre, 80 répartis dans 2 classes;
-Ecole de la place de l'église, 122 répartis dans 3 classes;
-Ecole de Manchester, 105 répartis dans 2 classes.( Madame Pitou) ( baraquement sur le terrain de l’hôpital).
La Ville de Mézières, pour la rentrée de 1924, dispose également de deux écoles des filles situées place de l'église, le nombre d’élèves inscrits sont les suivants :
-Ecole annexe à l'école primaire supérieure (Madame Monat), 126 élèves, 4 classes ;
-Ecole primaire (Mademoiselle Arnould) 181 élèves, 5 classes.
Et enfin de trois écoles de garçons situées : place du Château, avenue de St.Julien, place Verte. Le nombre des élèves sont les suivants :
-école, place du Château ( Monsieur Justine), 235 élèves répartis dans 6 classes ;
-école annexe de l'école primaire supérieure, av de St-Julien (Monsieur Chaudron), 126 élèves répartis dans 4 classes (actuel lycée Monge);
-école St Julien, place verte, (anciens lits militaires, non ouverte encore comprenant 4 classes et logements des maîtres.
En outre, il y a à Mézières, au faubourg de Pierre, une école libre des filles.
Pour les filles il n'y a qu'un seul groupe scolaire situé au centre de la ville. Les fillettes du quartier de Manchester et de la Route de Warcq, ont un trajet moyen d'environ 1600 mètres à parcourir pour se rendre à ce groupe. Le Conseil municipal propose une visite des lieux et d’établir un avant-projet. Cet avant-projet, en accord avec l'Académie, permettrait d'obtenir tous les éléments d'appréciation sur la dépense et sur la subvention qui pourrait être attribuer à la ville pour l'aider à réaliser ce groupe scolaire.
En Mai 1925, le Conseil municipal retient la création de deux classes maternelles et de deux classes élémentaires des filles avec possibilité d'agrandissement dans l'avenir.
L'emplacement a fait l'objet d'une visite de la part de la commission de travaux qui a décidé de proposer le terrain situé à l'angle de la route de Warcq et de l'Avenue Pasteur. Cet emplacement qui paraît réunir toutes les conditions convenables pour un groupe scolaire; il est éloigné de tout voisinage bruyant et se trouve très central par rapport au quartier, appelé à se développer en bordure de la route de Warcq.
Il apparaît que la ville se désintéresse du projet initial jusqu’au 5 novembre 1929. A nouveau le besoin se fait sentir de remettre sur la table un projet modifié concocté dans l'urgence par suite du développement important que prendra le quartier lors de la construction d'habitations à bon marché prévues dans les rues Alexandre Ribot, bd Bronnert prolongé et à l' ancienne carrière de la Sorille sur l'avenue de Manchester et qui se termine pour la fin de l'année de 1931.
Le Conseil décide, le 16 avril 1931, la création de l'école sous réserve d'obtenir la décision ministérielle pour son ouverture. En outre par suite de l'achèvement des travaux du nouvel l'hôpital, il y a lieu d'envisager l'enlèvement du baraquement établi en bordure de l'avenue Pasteur, servant d'école maternelle [deux classes]. Pour le financement une subvention de l'Etat est nécessaire et la ville s'engage à régler les moyens d'exécution en prélevant sur le produit de la vente des immeubles en duo du quartier de Manchester [maisons en dur des rues Bronnert, Raulin et l’actuel Rogissart].
L'effectif des élèves de l'école primaire élémentaire de filles est tel qu'une nouvelle classe a dû être créée. À défaut de locaux disponibles, cette classe n'a pu être installée à l'école même (place de l'église) et a dû demander asile à l'école élémentaire des garçons du faubourg de St julien où son installation a été prévue dans la partie libre d'un baraquement annexe à cette école. Le Conseil s'inspirant des considérations qui viennent de lui être exposées, sollicite de Monsieur le Ministre de L'Instruction Publique l'autorisation de commencer les travaux de construction sans attendre la subvention de l’Etat. Il déclare en outre prendre l'engagement d'assurer par avance la totalité des ressources dont dispose la ville à l'exécution du projet. Il émet le vœu qu'un nouveau classement établi par le Conseil Général des Ardennes attribue le rang de priorité qui lui revient normalement.
Un lotissement de 900 m2 a été réservé à l'angle du Bd H.Bronnert et la rue Robert Bruxelle pour la construction d'une maternelle à deux classes et, à la suite de celle-ci, un terrain de 50 m de façade sur 60 de profondeur, compris entre le bd. Bronnert et la rue Jules Raulin, a été réservé pour la construction d'une école des filles comportant 4 classes. Le terrain parfaitement de niveau est vaste et très dégagé. Le sous-sol sablonneux et calcaire est très perméable et par conséquent extrêmement sain. Les architectes Chanson et Bouquet ont été retenus et sont chargés de la construction.
L'école maternelle comprend à l'étage deux logements pour la directrice et son adjointe. L'école des filles comprend au premier étage un appartement pour la directrice et deux logements pour les adjointes, plus un troisième logement au 2 ème étage.
Tous les locaux sont chauffés par un chauffage central à deux chaudières indépendantes et des dispositifs de ventilation réglables dans les salles. La pierre de parement devait être initialement en moellon de Domery étant donné son fort coût d'entretien pour l'avenir, il est décidé de retenir la pierre de Fépin plus variée et qui présente l'avantage d'être transportée par la voie d'eau peu onéreuse. Les inscriptions "Ecole maternelle" et "Ecole de filles" aux frontons des façades sont exécutées par moulage. Les murs de clôture est et sud sont en panneaux de ciment armé. Conformément au vœu exprimé par le maire, chaque entreprise ne pourra employer d'ouvriers étrangers que dans la proportion de 5 % de l'effectif total de la main-d’œuvre et seront tenus d'employer des chômeurs de la localité; 50 % d'ouvriers spécialisés et 80 % de manœuvres.
Le 14 avril 1932, une grosse partie du terrassement a déjà été exécutée.
Il y a lieu de prévoir l’aménagement intérieur de la salle d ‘enseignement ménager de l’école élémentaire des filles. Divers appareils notamment un fourneau avec gazinière à gaz, un appareil producteur d’eau chaude, un fer à repasser électrique, etc…Un appel pourrait être fait auprès des fabricants et industriels intéressés pour la fourniture gracieuse de ces appareils qui constituerait ainsi une excellente publicité.
A la suite d’observations faites par l’Inspecteur Primaire, madame la Directrice de l’école primaire des filles (madame Savart) demande que la salle d’enseignement ménager soit mise en communication avec la classe voisine par une porte et une baie de manière qu’on puisse faire pratiquement de l’enseignement ménager, la maîtresse surveillant à la fois deux classes et obvier à l’inconvénient d’une salle isolée.
Au cours d’une réunion plénière, le Conseil municipal a bien voulu donner son adhésion au projet de l’inauguration du nouvel Hôtel de Ville et laisser au maire toute initiative pour solliciter, à cette occasion, la venue à Mézières de monsieur Lebrun, Président de la République. Une démarche officielle de la municipalité, à laquelle se sont joints messieurs les parlementaires ainsi que monsieur le Préfet, faite à l’Elysée le mercredi 15 mars 1933, a été couronné de succès, monsieur le Président de la République ayant bien voulu consentir à venir inaugurer le 16 juillet 1933, non seulement l’Hôtel de Ville, mais aussi le nouvel Hôpital et le Groupe scolaire du quartier de Manchester.
Par lettre du 24 janvier 1936, monsieur Plaindoux, Inspecteur Primaire, adresse une requête au maire en lui demandant qu’une institutrice adjointe soit nommée au 4 ème poste créé récemment, et de rappeler que :
L’école compte actuellement 145 élèves inscrites, parmi lesquelles une seule a atteint 13 ans. La fréquentation scolaire est excellente.
Les elèves se répartissent de la façon suivante dans les trois classes :
- 1 ère classe : 31 élèves ;
- 2 ème classe : 54 élèves ;
- 3 ème classe : 60 élèves.
Les tables de classe n’ont pas été prévues pour un nombre d’enfants aussi élevé, et, dans la troisième surtout, les fillettes sont beaucoup trop nombreuses et trop serrées pour que la surveillance effective de leur travail puisse se faire aisément. La quatrième classe étant complètement installée, et un appartement ayant été prévu pour la quatrième institutrice.
1933 : Mademoiselle Guérin est directrice de l’école maternelle de Manchester et madame Homé, femme de service.
Par suite des évènements et de la situation actuelle de la Ville, il n’est pas possible d’ouvrir l’école des garçons de St-Julien, et tous les garçons et filles, depuis La Sorille jusqu’à Manchester fréquentent en gros l’école des filles de Manchester.
La population de ce quartier en décembre 1941 est presque entièrement rentrée. Il se trouve que les quatre classes de filles, dirigées par des femmes, sont à l’heure actuelle surchargées d ‘élèves mixtes avec les chiffres suivants :
- 1 ère classe, madame Vauchelet : 40 élèves ;
- 2 ème classe, madame Thiriet : 41 élèves ;
- 3 ème classe, madame Daujon : 48 élèves ;
- 4 ème classe, madame Lambert : 48 élèves.
Soit un total de 177 garçons et filles.
Il reste possible que ce chiffre aille en augmentant dans les jours à venir.
Si l’on se conforme à la réglementation normale, précise le journal des délibérations du 17 décembre 1941, l’on peut admettre qu’un maître ou une maîtresse ne peut obtenir un rendement rationnel qu’avec un maximum de 30 élèves, à la condition toutefois que la classe dirigée ne soit pas mixte ou le maintien de la discipline devient à ce moment plus ardu. De plus le matériel même devient insuffisant, notamment dans les 3 et 4 ème classes pour l’installation des élèves.
Malgré le courage et la bonne volonté des maîtresses actuelles, il leur est impossible dans les circonstances présentes, d’obtenir les résultats normaux afférents au cours suivis et notamment le maintien de la discipline nécessaire à un si grand nombre d’élèves mixtes.
La solution à envisager à court terme est de : créer une classe supplémentaire à la Maternelle après resserrement des petits ou plutôt en envoyant les plus âgés des garçons à Mézières-Centre. Cette dernière solution qui peut paraître paradoxale existait bien avant 1925 pour les garçons, l’école de St-Julien n’étant pas encore ouverte à cette date.
Considérant qu’à défaut d’autre emplacement, les Commissions municipales chargées de la recherche d’un local approprié ont jeté leur dévolu sur le préau de l’école maternelle, lequel pourrait être facilement aménagé en réfectoire, une petite construction légère édifiée à proximité immédiate étant susceptible de tenir lieu de cuisine.
L’inspection académique a exposé que trois nouvelles classes ne sauraient répondre au problème que posera avant quatre ans, l’arrivée de nouveaux élèves. Un bloc nouveau s’impose dès maintenant, coût de 110 millions de francs. La Commission n’est pas hostile à l’étude de l’ensemble proposé par l’architecte Courtaud qui comprend une école de 11 classes, mais devant la crainte d’un laps de temps fort long pour obtenir les crédits nécessaires, elle maintient la décision prise précédemment, et décide à l’unanimité de voir la construction des trois nouvelles classes dont deux maternelles ayant fait l’objet du second projet de monsieur Courtaud.
La Commission demande que cette construction soit décidée dès que possible, elle retient que si la demande de l’inspection académique se réalise, il sera facile alors d’affecter l’école des filles de Manchester, et dont il est question ici comme école maternelle et de construire une école des filles de 11 classes.
Le 8 juillet 1954 sous proposition de monsieur Demoulin, architecte, associé à monsieur Ducaud, le Conseil à l’unanimité décide l’agrandissement de l’école des filles de Manchester, approuve le devis s’élevant à 19.050.000 de francs pour la réalisation de 3 classes primaires, 1 classe maternelle et 2 logements.
Projet retardé, comme constate, en octobre 1955, le Conseil municipal qui regrette que ce projet d’agrandissement se soit heurté à des difficultés administratives qui retarde sa réalisation pourtant urgente dans un quartier où 90 nouveaux logements vont être prochainement habités.
Par lettre du 5 mai 1958, monsieur Demoulin, architecte, transmet le dossier définitif de l’agrandissement du groupe scolaire du quartier de Manchester. Il rappelle que ce projet établit suivant le programme fixé par le Conseil municipal, d’accord avec les services de l’Inspection Académique comporte : 6 classes primaires, 1 classe maternelle, 1 préau, 4 logements, l’ensemble des bâtiments devant être construit en bordure de la rue Jules Raulin. Montant des dépenses, frais d’architecte compris : 40.100.480 fr.
Pour la rentrée d’octobre 1958 les classes démontables implantées dans l’agglomération permettront d’absorber les effectifs supplémentaires.
La prochaine rentrée scolaire n’échappe pas encore à la règle qui veut que chaque année, on doive, à la veille de la reprise des cours chercher des solutions provisoires aux graves problèmes que pose l’accroissement des effectifs scolaires : l’insuffisance des locaux et le manque de maîtres qualifiés.
Le Conseil général des Ardennes, lors de sa dernière session a décidé à implanter classes démontables dans les secteurs les plus nécessiteux. L’insuffisance des crédits de la loi Barangé lui a permis de recourir à cette solution de fortune en y affectant une partie des crédits obtenus par cette loi.
Trois classes (deux jumelées et une séparée) sont en cours de montage dans la cour de l’école primaire de Manchester. Elles permettront aux élèves d’être installés plus confortablement qu’actuellement, entassés dans les vestibules dans l’attente de la prise de possession de ces nouvelles classes.
Le déchargement des pièces détachées dans la cour de l'école.
S’il n’y a rien à dire sur les nouvelles écoles, ni sur le projet de construction d’un groupe scolaire « garçons » de 21 classes, à Manchester, dont le Conseil municipal vient de décider la réalisation et qui doit permettre de faire disparaître le baraquement de trois classes qui encombre depuis 1928, la cour de St Julien, il n’en est pas de même pour les autres écoles. Tout d’abord, le projet d’agrandissement (6 classes) de l’école des filles (primaires et maternelles) de Manchester, qui attend toujours, pour être réalisé, l’agrément du Ministère de l’Éducation Nationale.
Alors en attendant, les fillettes continuent – comme leurs aînées le firent depuis 1945 - à s’entasser dans des baraquements inconfortables et insalubres de la Place Verte.
Le maire de Mézières, Monsieur Hanus leur a rappelé que la question primordiale est celle des crédits. Monsieur Ninitte (Adjoint au maire et président du Comité) a souligné qu’il y a bien des classes démontables qui ont apporté cette année un dépannage, mais ces constructions provisoires reviennent presque aussi cher que les logements en dur. Il y a bien des solutions de dépannage si l’autorité militaire voulait bien remettre à la ville, comme convenu, les logements libres de la caserne Bayard qui pourraient servir à des classes provisoires.
Le 21 janvier 1959, le Conseil municipal décide d’aménager une classe maternelle dans l’ancien laboratoire du bâtiment, 45, rue de Warcq.
A compter du 1er octobre 1959 la scolarité obligatoire est prolongée de 14 à 16 ans
L’accroissement constant de la population scolaire et aussi ses déplacements posent chaque année, des problèmes délicats aux autorités académiques et municipales qui ont la délicate mission de veiller au bien-être des écoliers.
Tout serait sans doute parfait si tous les projets étaient réalisés en temps utile. Hélas les restrictions des crédits s’ajoutant aux excessives complications administratives retardent souvent la mise en chantier la plupart des projets et c’est alors que des mesures sans doute provisoires mais certainement onéreuses, doivent être prises par les autorités départementales et locales pour pallier les insuffisances notoires des crédits du budget de l’Éducation Nationale.
Septembre 1960 : Mademoiselle Martin est nommée à Manchester.
Dès la rentrée des classes d’octobre 1960, les écoliers occupent les 4 classes préfabriquées sur l’autre partie de la Place de St-Julien. Les 6 classes préfabriquées de la rue de Warcq ouvrent leurs portes également en octobre 1960.
Le ministère n’acceptant de financer que 2 logements d’instituteurs au lieu de 4 demandés dans le projet d’un groupe scolaire de 6 classes à Manchester (rue Jules Raulin), le Conseil municipal regrette de cette décision et refuse de prendre à sa charge totale la construction des 2 logements non subventionnés. (L’Ardennais du 9 novembre 1960.)
Les mutations de septembre 1961 :
Madame Vergnaud est mutée à St-Julien (garçons) ; madame Lagneaux de Givet à Manchester (maternelle) ; monsieur Varloteau venant du service militaire est muté à Manchester (Garçons) ; madame Treille de Lumes à Manchester (filles).
En mai 1963, le sculpteur parisien, Marcel Bodart, a mis en place le bas-relief en ardoise à l’école de Manchester (rue J.Raulin). Cette œuvre, dont il est le créateur, mesure 1,10 sur 3,20 m et a pour thème les quatre fils Aymon. Monsieur Bodart est originaire de Carignan, prix de Rome, membre de l’association « Ardennes à Paris », il est aussi l’auteur des très expressifs bas-reliefs (Les sangliers) qui existent au groupe scolaire de Mohon.
Ecole Henry Bronnert en 1962
Rentrée de septembre 1963
Retard provisoire des 4 classes supplémentaires à l’école des filles de Manchester.
Une partie des anciens locaux de cette école primaire ont été mise à la disposition de l’école maternelle voisine (bd. Bronnert) mais comme les travaux indispensables de plâtrerie et de peinture n’ont pas été entrepris en temps opportun, les bambins de l’école maternelle bénéficient de 8 jours de vacances en plus.
Mutation des enseignants en 1965 :
Madame Pierrot, directrice des maternelles est mutée à la Belle-vue-du-Nord à Warcq ; monsieur Pol Nally quitte l’école de garçons de St-Julien pour le quai Albert 1er , il est remplacé par monsieur Michel Quinard venant de Vrigne-aux-bois ; madame Jeanne Duterque de l’école des filles rejoint son nouveau poste à Prix-les-Mézières, elle est remplacée par Ligeron-Salmon venant de Deville ; madame Doudoux de Revin est mutée à l’écoles maternelle.
Devant l ‘augmentation de la population et la non possibilité d’extension du groupe scolaire de Manchester, le maire décide de créer un autre groupe scolaire appelé « Louis Hanot » du fait de sa position dans cette nouvelle rue. Il verra le jour quelques années plus tard (rentrée de septembre 1967). Pendant ce temps les enseignants s’inquiètent du nombre croissant des nouveaux venus et les élèves du groupe scolaire de Manchester se resserrent davantage pour les accueillir.
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