Groupe scolaire Louis Hanot
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Lors de la réunion du conseil municipal de Mèzières d’octobre 1963, le maire de Mézières, monsieur Miquel, devant l’accroissement de la population au quartier de Manchester demande que soit étudier d’urgence la construction d’une nouvelle école.
Le 5 juin 1964, au cours d’une réunion des parents d’élèves, son président, monsieur Ninitte soulève le problème du projet du nouveau groupe scolaire qui devrait comporter une école primaire filles, une école maternelle ainsi qu’une école de garçons et des installations sportives (gymnase, salles de réunions et terrains de jeux) mises aussi à la disposition des sociétés post-scolaires.
Ce groupe scolaire de trois bâtiments et de 4 logements destinés aux enseignants est livré à la rentrée de septembre 1967. Il comprend, la maternelle (5 classes), l’école de filles (10 classes) et l’ école de garçons (10 classes). Monsieur Chaineux, ancien directeur de l’école de la rue de Warcq prend la direction des classes primaires ‘Louis Hanot’ . Les classes maternelles sont dirigées par madame Vairetti, ancienne directrice du Bd de Bethune, elle est remplacée par madame Duterque ancienne adjointe de l’école de Manchester.
Restauration scolaire
En 1983, le terminal de restauration scolaire est installé dans les locaux inoccupés de l'école Barrillon (rue de Warcq). Une quarantaine d'enfants du quartier y mangent le midi jusqu'à la construction, en 1995, du nouveau restaurant scolaire à l'école Hanot.
La rentrée de septembre 1998
Qu'elle sera la physionomie des écoles de Manchester à la rentrée de septembre 1998 ? Deux grands groupes scolaires, Bronnert et Hanot, accueilleront les enfants du quartier. Une classe maternelle ouvrira à l'école Bronnert. Elle doit absorber la plus grande partie des élèves de Barrillon ( école Rue de Warcq). Une dizaine d'enfants rejoindront l'école Hanot. Cette répartition se fera dans le respect des différents secteurs de recrutement des deux établissements. Les familles, si elles ne le sont déjà, seront informés des nouvelles dispositions. Un rapide bilan de la situation permet de constater qu'à la fermeture des deux classes maternelles correspond une seule ouverture ! Les écoles du quartier auront-elles la capacité, les moyens, de gérer cet état de fait ? pourront-elles accueillir la totalité des enfants âgés de deux ans ? (Rappelons que c'est un objectif premier de la Zone d'Education Prioritaire.) Avant la fin du mois de juin, l'étude approfondie des effectifs des deux écoles permettra de répondre à ces questions et d'envisager les solutions appropriées. (MB)
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