Le Parkinson

“Although, at present, uninformed as to the precise nature of the disease, still it ought not to be

considered as one against which there exists no countervailing remedy.” — James Parkinson*, 1817

Curable VS Incurable

Contrairement aux écrits du Dr. James Parkinson lui-même, la médecine moderne définit le Parkinson idiopathique (sans cause connue) comme incurable et, n’ayant pas de test précis, le diagnostic se confirme à l’autopsie. Lorsqu’une personne s’en rétablit, son neurologue risque de dire qu’elle était mal diagnostiquée, névrosée ou qu’elle prétendait ses symptômes… Belle affaire!

Selon l’équipe de recherche du Parkinson’s Recovery Project, la meilleure preuve du contraire est qu’elle a accompagné des personnes atteintes dont les symptômes sont complètement et durablement disparus. Depuis 1998, l’équipe est dédiée à discerner l’information sur les causes et traitements du Parkinson basés sur la médecine chinoise, la neurologie et de nouvelles trouvailles s’en sont découlées : 93% de leurs patients ont à la fois une insensibilité à la douleur induite par leur capacité mentale ET une vielle blessure : pied/cheville/jambe.

Comment m’en rétablir?

Téléchargez gratuitement le livre Recovery from Parkinson’s de leur site web et lisez le attentivement. Si leurs hypothèses résonnent en vous, essayez vous-même les techniques suggérées. Elles concernent le mode neurologique dissociatif et le Forceless, Spontaneous Release, un type de thérapie manuelle chinoise (Yin Tui Na ) quasi identique à la fasciathérapie InterActiveMC.

Mode neurologique dissociatif

Selon les circonstances externes et son état d’esprit, une personne utilise un des quatre modes neurologiques ou une combinaison. Ce choix du moment détermine les rythmes cardiaque et respiratoire, les niveaux et types de neurotransmetteur, la distribution du sang et autres fonctions physiologiques.

Une personne éveillée et calme se sentant bien, utilise le neurotransmetteur dopamine en mode parasympathique. Une personne éveillée sentant de l’insécurité et vivant de la peur, utilise le neurotransmetteur adrénaline en mode sympathique, connu sous « résister ou fuir » (fight or flight). Au quotidien, la majorité utilise un mélange des deux modes. Le mode dormir abaisse significativement ces deux neurotransmetteurs, sauf dans certains rêves.

Une personne vivant une situation de quasi perte de vie, une expérience traumatisante et ayant de terribles douleurs physiques et/ou souffrances émotives, peut inhiber sa production de dopamine en mode dissociatif, connu sous « se geler » (freeze) ou "semi-mort". Si cet acte mental puissant de survie raidit, engourdit, insensibilise et fait plein de sens à court terme, l’utiliser dès qu’on sent de l’insécurité favorise la raideur en tout temps. Une personne à presque 100% dans ce mode devient immobile, ses doigts fléchissent, sa température chute et son corps prend une posture modérément ou complètement fœtale. La connaissance du mode dissociatif peut servir à motiver son renversement via un changement d'attitude puissant envers sa perception du danger: "Maintenant, je suis assez en sécurité pour revenir à la vie».

Un exemple commun de dissociation (biologique et non psychologique) que certains d’entre nous avons vu est lorsqu’une souris est attrapée par un chat. Lorsque les griffes du chat perforent la peau de la souris (un niveau important de perforation et/ou de perte de sang peut déclencher le mode dissociatif), la souris devient rigide, sa respiration devient imperceptible et ses griffes se retroussent en ce qui ressemble à un état de rigidité cadavérique. Si le chat chasse pour le sport et non la faim, il la pousse ici et là pendant quelques minutes, s’en lasse et la quitte pour trouver une proie plus vigoureuse. À peine dix minutes plus tard, la "semi-morte" souris sort de son état de choc ou dissocié, prend une respiration profonde, frissonne, tremble, frémit, vibre de la tête à la queue, réinitialise (reset) ainsi son corps à son mélange habituel de modes parasympathique (sans peur) et sympathique (résister ou fuir) et gambade dans la vie.

Le rugissement de la Vie

Ce rugissement est d’une énorme puissance. Le rugissement ne se puise pas d’une pensée basée sur l’égo, mais dans la force de la Vie elle-même. Lorsqu’un papillon émerge de sa chrysalide, il doit générer une énorme quantité d’énergie. Si un humain bien intentionné l’aide en ouvrant la chrysalide pour lui, le papillon ne vivra pas. Il n’aura pas accumulé assez d’énergie pour ouvrir complètement ses ailes et voler. Afin de se préparer pour le travail de la vie, le papillon doit expérimenter une poussée de puissance qu’il fait monter en lui, lorsqu’il se bas contre la chrysalide et la brise en morceaux. C’est cette énergie vitale qui est subconsciemment inhibée chez la plupart des personnes atteintes du Parkinson.

La fasciathérapie, c’est le pied!

Selon l’équipe de recherche du Parkinson’s Recovery Project, 98% des patients présentent une blessure non guérit au pied/cheville/jambe. Ceci affecte l’arche du pied, la démarche, la posture et la libre circulation de liquides, d'électricité et d’énergie vitale. Mes manœuvres non-invasives sont lentes et fermes, soutiennent et procurent un véritable sentiment de sécurité. Cette technique manuelle douce peut être à la fois révélatrice et thérapeutique. Elle est parmi les plus efficaces pour amener une focalisation mentale, émotive et somatique (sensation dans le corps) sur la blessure, afin que le rétablissement biologique commence.

Rétablissement psychologique

Le corps est conçu pour guérir. Lorsqu’il ne guérit pas, c’est parce que l’esprit et/ou un quelconque blocage électrique, induit soit de l’intérieur ou de l’extérieur, fait quelque chose pour l’en empêcher. Il ne sera jamais trop tard pour se rétablir. Si une personne veut se rétablir du Parkinson, elle doit arrêter d’essayer de trouver de la sécurité en jouant au mort et commencer à vivre!

CONTRE INDICATION: Les personnes sous médication pour cette maladie ne doivent pas entreprendre cette méthode de rétablissement. Pour plus de détails, lire la notice ici et télécharger gratuitement le livre Medications of Parkinson's disease_Once upon a Pill ici. Le chapitre 7, Dopamine distribution, est très instructif sur les rôles de la dopamine (DA) et de sa distribution dans le cerveau. Le chapitre 10, The Anti-Parkinson's drugs, nous éduque sur la façon que ces médicaments qui créent une "forte dépendance" (highly addictive) fonctionnent dans le cerveau, en les comparant à leurs "cousins plus doux" de la rue tels que nicotine, métamphétamine, belladonna et cocaïne.

Médicaments plus chers, guérison plus rapide ?

Deux médicaments identiques sont administrés à des patients souffrant de Parkinson. L'un est cher, l'autre non. Eh bien, le premier atténue davantage les symptômes moteurs... Lire le résumé de cette récente recherche sur l'effet placebo ici.

Bon projet sécuritaire de rétablissement actif!

* Note : James Parkinson, est un médecin, géologue, paléontologue et activiste politique anglais. En tant que médecin, il a marqué l'histoire de la neurologie pour avoir décrit avec précision, en 1817, une affection jusqu'alors méconnue dans un essai intitulé An Essay on the Shaking Palsy. Cette maladie que Parkinson appelait Paralysis Agitans (paralysie agitante) sera plus tard renommée en son honneur la maladie de Parkinson par le neurologue français Jean-Martin Charcot.

Références

- Parkinson J. An Essay on the Shaking Palsy. Sherwood, Neely, and Jones, London, 1817. page 56.

- Walton-Hadlock J. Recovery from Parkinson’s; Fastpencil.com; 2013; 499 pages.

- Walton-Hadlock J. Yin Tui Na:Techniques for Treating Injuries of Parkinson’s Disease or Any Dissociated Injury; Fastpencil.com; 2012; 163 pages.

- Walton-Hadlock J. Medications of Parkinson's disease_Once upon a Pill: Patient Experiences with Dopamine-Enhancing Drugs and Supplements ; 2003; 660 pages.

- Wikipédia.