Ce qui avait été rempli doit être délesté de ce qu’on y avait mis. Vider les valises, demander la coopération de la machine à laver, trier le courrier accumulé, faire un petit marché, bref se remettre à la quotidienneté…
Et puis il restera à contrôler ce que contient le ventre de ce précieux bidule qui sert à numériser des images. Je me demande ce que Monsieur Kodak doit en penser. Personnellement, je le trouve tout simplement d’une grande convivialité et il m’est impossible d’envisager de m’en séparer. Il est ma mémoire en images.
Marybé mars 2011