Les médias sociaux réduisent les barrières géographiques et sociales; il s'agit d’un moyen grâce auquel on peut contacter facilement des personnes de différents pays et diverses cultures. Ils augmentent le cercle social et offrent l’occasion de connaître des idées et des opinions variées. De cette manière, les réseaux sociaux favorisent la compréhension interculturelle et élargissent les horizons, même si cette expansion apparente des relations peut générer une superficialité.

Les dangers des réseaux sociaux

Les interactions en ligne peuvent réduire la profondeur émotionnelle et manquer d’authenticité, par rapport à des conversations en face à face. Les émoticônes et les commentaires ne parviennent pas toujours à traduire la complexité des sentiments et des expériences. L’illusion de proximité créée par les réseaux sociaux peut aussi masquer une véritable solitude, car les interactions virtuelles ne remplacent pas nécessairement le contact humain réel.

Malgré les avantages des réseaux sociaux, certains défis peuvent avoir un impact négatif sur les relations interpersonnelles. Le temps incontrôlé passé sur les réseaux sociaux peut dégrader la qualité des relations réelles et avoir un impact négatif sur le bien-être mental des jeunes.  De plus, les médias sociaux peuvent favoriser l’envie, une faible estime de soi et les comparaisons négatives avec les autres.

La nécessité d'une réflexion critique

Pour créer des relations interpersonnelles saines à l’ère des médias sociaux, il est important d’utiliser les médias sociaux de manière réfléchie. Certaines recommandations incluent la limitation du temps passé sur les réseaux sociaux, le maintien d’un équilibre entre les interactions en ligne et hors ligne et une réflexion critique sur les informations que nous consommons.

Une utilisation consciente et saine des réseaux sociaux  peut aider à développer des relations interpersonnelles de qualité à l'ère numérique.

Une déclaration de revenus est un rapport adressé au gouvernement sur l’argent que vous avez gagné et les impôts que vous avez déjà payés pour l'année. Au Canada, ce document est soumis à la fois par les résidents et les non-résidents qui gagnent un revenu dans le pays.

Pourquoi?

Pour effectuer ses tâches, le gouvernement  demande aux travailleurs et aux entreprises de communiquer leurs revenus annuels. L'implication du paiement de l'impôt sur le revenu est d'ordre social, afin de générer de l'argent pour améliorer la qualité de vie de la population. Une partie des impôts collectés est affectée à la santé, à l'éducation, aux programmes de transfert de revenus, à la sécurité. La santé et l'éducation sont deux des principales parties budget du Québec. 

Comment?

L’une des choses les plus importantes à retenir en tant que contribuable, ce sont les dates limites de production de votre déclaration de revenus qui, cette année, sont le 30 avril 2024 pour les salariés et le 17 juin 2024 pour les travailleurs autonomes. Vous pouvez soumettre une déclaration sur papier ou remplir votre déclaration de revenus en ligne à l'aide du logiciel d'impôt certifié NETFILE. Vous pouvez aussi la remplir vous-même ou faire appel à un comptable. 

Pour faire une déclaration de revenus, vous devez avoir les documents de tous les endroits où vous avez reçu des revenus. Le document indique le montant de votre salaire et le montant des impôts que vous avez payés (formulaire T4). Il est important de savoir que tous vos revenus doivent être déclarés, comme par exemple un travail indépendant, des indemnités pour un accident de travail, un montant imposable d'une bourse d'étude et même d'une subvention pour un projet artistique. 

Les documents à produire 

• Revenus d'emploi (T4 et Relevé 1)

• Cotisations REER

• Retraits REER ou FERR (T4RSP et T4RIF)

• Frais médicaux (dentiste, médicaments, lunettes, etc.)

• Reçus de dons de charité

• Revenus de placements (T5/Relevé 3, T3/Relevé 16, T5008/Relevé 18)

Les déductions possibles

En revanche, un remboursement peut être obtenu grâce à des déductions pour les frais liés, par exemple, aux transports en commun (vous pouvez présenter les factures de la carte Opus pour réduire le montant de vos impôts), à l'achat d'une maison, à des cotisations syndicales et à des dons de charité, aux frais de scolarité, aux frais d'abonnement aux nouvelles numériques pour soutenir le journalisme canadien, paiement du loyer, dépenses pour la maternelle et les frais médicaux, tant que cette valeur dépasse le montant de 2.352 ou 3% de vos revenus de l'année.

Les organismes de soutien

Si vous avez un faible revenu et une situation fiscale simple, vous pouvez bénéficier de l'aide gratuite d’un bénévole pour remplir votre déclaration de revenus dans un CACI (Centre d'appui aux communautés immigrantes) ou au CARI St-Laurent (Centre d’Accueil et de Référence sociale et économique pour Immigrants).

Qu’est-ce que les collations?

Il s'agit de la consommation de nourriture ou de boissons entre le déjeuner, le dîner et le souper. La raison pour laquelle on mange des collations est pour satisfaire la faim.

Autrefois, au Québec, le déjeuner était considéré comme un repas principal et était souvent copieux, tandis que le dîner avait lieu vers 17h30. Mais à présent, avec les changements et les pressions sociales dans lesquels on vit, ces deux habitudes semblent totalement incompatibles avec le rythme de vie, ce qui a contribué à imposer les collations comme un incontournable dans le quotidien. La question qu’on abordera est donc la suivante: les collations sont-elles une bonne ou une mauvaise chose?

Les inconvénients

C'est un fait connu que les gens recherchent aujourd’hui à manger sur le pouce, ce qui signifie que dans la plupart des cas, ces repas ne fournissent pas assez de carburant pour la journée. Cela dit, on doit avoir des collations saines entre les repas et faciles à préparer. Cependant, il existe certains inconvénients dont nous devons être conscients.

• Le risque d’augmenter les calories quotidiennes et de prendre du poids Consommer plus de calories qu’on peut en brûler pendant une journée provoquera une prise de poids. Si cela arrive tout le temps, il y aura le risque de développer une obésité et des maladies chroniques associées.  

• Le risque d’augmentation des taux de cholestérol et de glucose
  Les collations nocives qui contiennent beaucoup de sucre, de graisses et de glucides, ainsi que les collations tardives, rendent le corps plus résistant à l’insuline. Une augmentation de la glycémie affecte le bien-être général, par exemple elle entraîne de la fatigue, de la somnolence, de la faiblesse. 

• Le risque de mise en place d’une mauvaise habitude
  Si on mange quand on est triste, ennuyé, ou anxieux, mais qu’en réalité on n'a pas vraiment faim, c’est une étape vers la prise d’habitude de tous les temps, constamment. 

• Le risque de développement de caries
  Lorsque les dents sont plus souvent en contact avec les aliments, les bactéries de la plaque dentaire ont plus le temps de produire des acides nocifs pour l’email. 

Les avantages

D’un autre côté, prendre des collations entre les repas présente de nombreux avantages, notamment les suivants.

• Maximiser la concentration en après-midi et permettre d’apaiser la faim entre les repas

• Aider à maintenir le niveau d’énergie.

• Maintenir un taux de glycémie stable.

• Intégrer des groupes d’aliments qu’on néglige parfois (fruit, noix, produits laitiers…).

• Permettre une meilleure digestion.

Comment ne pas nuire à sa santé en mangeant des collations?

Il faut choisir des collations saines, en petites portions. On doit éviter les collations toutes prêtes qui contiennent beaucoup de sucre et de calories superflues. Il faut planifier à l’avance les collations pour ne pas dépasser la limite calorique quotidienne. Il faut être attentif quand on prend des collations à manger lentement, en évitant les distractions. Enfin, il ne faut pas manger uniquement par habitude ou en raison de son état émotionnel.

Depuis que l'humain existe, la cuisine a contribué à son évolution à travers l'amélioration de sa qualité de vie et grâce à l'utilisation de diverses manières de préparation et de conservation des aliments.

Au fil des années, le système immunitaire a créé des défenses contre beaucoup de micro-organismes étrangers qui peuvent nous causer des maladies. Quelques chercheurs supposent que, pendant leur évolution, les primates ont été forcés de descendre des cimes des arbres, qu’ils ont mangé des fruits fermentés et que cette action leur a permis de développer le récepteur HCA3 qui permet au système immunitaire de réagir rapidement à l'arrivée de bactéries étrangères. 

Pendant des milliers d'années, la fermentation était considérée comme l’une des meilleures méthodes pour la conservation des aliments puisque cette méthode est plus naturelle donc plus saine. Malheureusement, aujourd'hui, cette méthode a été un peu oubliée et remplacée par les nouvelles méthodes qui utilisent des conservateurs chimiques. La nourriture fermentée a pourtant plusieurs avantages sur les aliments transformés, car elle va nous aider à incrémenter ou soutenir le niveau normal de la flore intestinale, en développant ainsi la barrière qui protège les intestins.

Dans notre organisme, nous avons beaucoup de bactéries bénéfiques qui vont avoir plusieurs fonctions dans notre corps: par exemple, elles peuvent nous aider à éviter des maladies, à produire des vitamines, à digérer les aliments et à assurer le métabolisme de quelques substances nécessaires pour le corps.

kombucha, kefir, kimchi, choucroute, yogourt...

Mais quels sont les aliments fermentés et comment se passe le processus de la fermentation? Il s'agit d’aliments “vivants”: par exemple, le kombucha, le kefir, le kimchi, le yogourt (sans sucre), le pain au levain, etc. 

Les bactéries transforment le sucre, qui se trouve normalement dans les fruits ou les légumes, en acide lactique. Cet acide est un conservateur naturel qui aide à combattre les mauvaises bactéries et préserve non seulement la saveur et la texture des aliments, mais aussi leurs nutriments. Ces bactéries aident aussi à protéger contre les inflammations et les maladies chroniques et peuvent même  prévenir certains types de cancer qui sont reliés aux inflammations.

Qu’est-ce que la dépendance au téléphone portable? L’addiction au téléphone portable n’engendre pas une dépendance à une substance, mais une dépendance affective et comportementale. L'utilisation du téléphone portable devient une dépendance lorsque ce comportement est irrépressible, incontrôlable et abusif, supplantant d'autres activités.

La personne éprouve du plaisir dans les comportements répétitifs liés au téléphone portable, qu'il s'agisse de consulter constamment les réseaux sociaux, d'envoyer des messages, de passer des appels ou de jouer à des jeux.

Quelle maladie provoque la dépendance au téléphone portable ?

Cela a conduit de nombreuses personnes à développer des problèmes de dépendance et d’addiction. C'est ce qu'on appelle la nomophobie.  Le terme nomophobie vient de l’anglais «no-mobile-phone-phobia» et implique cette peur irrationnelle de se retrouver sans son téléphone cellulaire.

La nomophobie n’est toutefois pas un diagnostic officiel et médicalement accepté, principalement en raison du manque de recherches à ce sujet. Cependant, certains critères sont utilisés par les experts pour décrire les comportements, les sentiments et les pensées qui indiquent un manque de contrôle sur l'utilisation du téléphone.  Parmi eux, l’utilisation du téléphone interfère avec les engagements et les relations;  le manque d'accès au téléphone provoque de la peur, de l'anxiété ou de l'irritabilité;  et la capacité de penser profondément ou de manière créative est entravée.

Les smartphones sont devenus essentiels, mais la fixation sur tout ce qu’ils offrent (applications de réseaux sociaux, streaming, jeux, etc.) peut devenir une pente glissante.

Il existe différentes manières de surmonter cette "maladie",

• Désactiver les notifications.

• Activer le mode Avion ou le mode ne pas déranger.

• Ne pas utiliser le téléphone en mangeant.

• Ne pas utiliser le téléphone aux toilettes.

• Désactiver les groupes de Whatsapp.

• Essayer de faire de petites sorties sans votre téléphone.

À notre avis, la vie est plus belle sans téléphone.

Pourquoi faut-il que vous vous prépariez avant de passer un entretien? Comme les autres candidats, vous pouvez être stressé lors d’un entretien. C’est la première raison pour laquelle il est utile et efficace de pratiquer. Si vous vous  préparez pour toutes les situations et toutes les questions, vous serez capables de réussir parfaitement  votre entretien d'embauche, grâce à votre concentration, votre communication naturelle et la présentation de vos qualités personnelles. Pendant un entretien, vous devez vous démarquer des autres candidats qui aimeraient obtenir le même poste que vous. 

Nous vous proposons 9 conseils pour réussir votre entretien d’embauche. 

Faites  des recherches sur l’entreprise

Le recruteur doit comprendre  que vous avez effectué des recherches avant de participer à un entretien; cela montrera votre motivation. Il est aussi possible que le recruteur vous demande directement après la présentation de votre parcours : «Que connaissez-vous de notre organisation ?»

Analysez la description de l’emploi

Repérez tous les mots clés, analysez les compétences attendues qui y sont mentionnées et faites une comparaison avec votre profil : qu’est-ce que vous maîtrisez, quelles sont vos lacunes? 

Préparez des questions à poser

Avant les remerciements, n’hésitez pas à poser des questions à votre futur employeur. C’est une occasion de faire bonne impression à la fin de l’entretien en montrant votre intérêt et votre curiosité pour le poste. Préparez à l’avance une ou deux questions à poser lors de l’entretien. Si le recruteur y a déjà répondu, n’hésitez pas à reformuler pour qu’il puisse compléter.

Ayez une vision claire de vos objectifs et de vos compétences

Soyez honnête avec vous-même : quelles sont les qualités et défauts et quelles sont vos compétences de votre candidature ? Si vous avez clairement en tête ces informations, vous pourrez plus facilement « vendre » votre profil au recruteur.

Prévoyez les questions pièges

Si vous préparez bien votre entretien, aucune question ne sera difficile. Le recruteur ne cherche pas à remettre en cause vos aptitudes, mais plutôt à tester votre répartie, votre motivation et votre écoute. Il vous demandera sans doute : « Pourquoi devrais-je vous choisir ? », « Où vous voyez-vous dans 5 ans ? » « Quel est votre principal défaut ? »

Mettez-vous à la place du recruteur

Les candidats ne pensent pas à se mettre à la place du recruteur ! C’est pourtant une excellente façon pour eux de comprendre les principaux enjeux d’un entretien d’embauche. 

Imaginez votre entretien idéal

Les entretiens se déroulent en général de la même façon et vous pouvez  imaginer à l’avance comment l’entretien devrait se passer. Un peu comme un plan ! Avoir un schéma de l’entretien vous permet d’anticiper et de préparer au mieux votre entretien.

Répétez en demandant un coup de pouce à votre entourage

Maintenant que vous avez en tête le schéma idéal de votre futur entretien, mettez-le en pratique dans une simulation. Essayez de faire cela comme si c’était une vraie entrevue, avec toutes les étapes. 

Planifiez tous les détails pratiques à l’avance

Revérifiez bien la date, l’adresse et l’heure de l’entretien programmé. Ne préparez pas vos affaires à la dernière minute et choisissez votre tenue vestimentaire à l’avance. Pour être sûr de ne rien oublier, faites une liste de vérification de tout ce dont vous aurez besoin le jour de l’entretien : de quoi prendre des notes, votre CV imprimé, vos certificats professionnels, etc.

Nous espérons que cette information sera efficace pour vous. Préparez-vous bien avant votre entretien d'embauche. Bonne chance et bon courage pour votre cheminement sur le marché du travail au Québec!

Tout d’abord, il faut savoir que la retraite au Canada commence à l'âge de 65 ans. On peut bénéficier de deux allocations financières publiques au Québec: celle du Régime de pension fédéral (du Canada) et celle du Régime de rentes du Québec qui, toutes les deux, sont de montant maigre... mais appréciables quand même!

Il y a cependant des régimes complémentaires de retraite privés (des fonds de pension) comme le CRI (compte de retraite immobilisé ) ou le FRV (fond de revenu viager) dont vous pouvez profitez pour augmenter ce que vous gagnerez à la fin. Vous devez alors cotiser dans un régime privé, en parallèle des régimes offerts ou imposés par vos employeurs.

le REER (Régime enregistré d’épargne-retraite)

En effet, dans le cadre de votre carrière professionnelle, vous pouvez aussi être inscrit au régime REER (Régime enregistré d’épargne-retraite). En fait, c’est un compte non imposable dans lequel vous pouvez épargner de l’argent de temps en temps, au fil des années. Ce régime présente un double avantage: 

• lorsque vous  versez une partie de vos revenus dans le REER,  vous diminuez vos impôts sur le revenu;

• et plus vous versez d'argent sur le REER, plus il rapporte d'intérêts.

Vous pourrez ainsi accumuler ces économies, sans payer aucune taxe, jusqu'au 71e anniversaire. Après cet âge, il est possible de transférer l’argent sur un autre régime ou de le retirer. Dans ce cas, il sera imposable... malheureusement! En effet, à chaque fois que vous retirez de l'argent du REER, vous devez payer des impôts. Pour plus de détails sur les taux d'imposition appliqués à chaque retrait, consultez le site du Gouvernement du Canada.

10 ans de résidence au Canada pour bénéficier de la retraite

Pour pouvoir profiter de la retraite au Québec, il faut être demeuré au Canada au moins 10 ans, après l’âge de 18 ans. On aura donc droit à une pension pleine ou partielle, dépendamment du nombre d’années vécues au Canada.

Connaissez-vous la différence entre les paiements mobiles en Chine et au Canada ? Quelles en sont les causes profondes?

Le paiement mobile est un mode de paiement qui gagne en popularité en raison de facteurs comme la sécurité, la rapidité et la commodité.  

Les différents types de paiement mobile au Canada

Maintenant, les plateformes de paiement mobile offertes et utilisées au Canada comprennent:

1. Le virement Interac sur les applications bancaires.

C’est un mode de paiement unique au Canada, efficace et pratique, qui permet aux utilisateurs d’envoyer de l’argent, à l’aide d’une adresse courriel ou d’un numéro de téléphone, directement dans le compte bancaire d’une autre personne.

2. Apple Pay/Google Pay

C’est un paiement sécurisé et sans contact.

Bien que les deux applications aient plus de fonctions, toutes ne sont pas encore pratiquées au Canada.

3. PayPal

Il permet de virer de l’argent rapidement presque n’importe où dans le monde en saisissant simplement une adresse courriel ou un numéro de téléphone cellulaire.

Le système centralisé du paiement mobile en Chine

En comparaison, le marché du paiement mobile en Chine est dominé par deux plateformes qui sont Alipay et WeChat pay. Un QR Code personnel et unique est généré et rattaché à son compte bancaire par les deux applications. Le commerçant scanne le code de paiement, le télécharge et le valide sur le serveur du WeChat/Alipay. Le système extrait l'identifiant de l'utilisateur, qui peut être complété après l'opération de déduction. De son côté, le client peut payer en scannant le QR code du commerçant aussi. 

En fait, les deux peuvent être utilisés pour presque tous les paiements sur place ou en ligne, à vrai dire. Donc il suffit de prendre un smartphone quand on sort.

En général, la raison fondamentale pour laquelle le paiement mobile est plus populaire en Chine qu'au Canada est que la Chine a eu une croissance économique et un développement technologique très rapides au cours des 40 dernières années. 

Il existe plusieurs facteurs clés.

Tout d’abord, les Canadiens/ Canadiennes sont plus soucieux/ses que les Chinois/Chinoises de protéger les informations privées qui pourraient facilement être divulguées par le paiement mobile. 

Deuxièmement, l'Occident dispose d'un système bancaire et de crédit structuré depuis longtemps; il est difficile pour le paiement mobile de s'y intégrer. Les Canadiens/ Canadiennes sont plus habitués à dépenser par carte de crédit qui n’ont donc pas de besoin urgent de paiement mobile. 

Et troisièmement, la réglementation financière est plus stricte en Occident. Cela signifie que de nombreuses lois et réglementations ne laissent pas beaucoup de place à l’innovation financière. En même temps, de nombreux risques sont évités. Au contraire, le système chinois à cet égard doit être amélioré. 

Enfin, la plupart des banques et des fournisseurs de réseaux de télécommunications au Canada sont des entreprises privées, donc la couverture du réseau et la mise en œuvre du paiement mobile sont difficiles à intégrer de manière centralisée. À l’inverse, les trois principaux opérateurs de réseau en Chine sont tous des entreprises d'État, avec une couverture rapide et étendue, et le réseau mobile actuel est répandu dans tout le pays, ce qui crée un environnement propice au paiement mobile, au contrôle des échanges et des données.

La ville de Montréal a beaucoup de ressources en ligne pour aviser comment disposer les déchets d’une manière qui respecte l’environnement. Ici, nous vous informons de trois grands types de déchets - matières recyclables, compostage domestique, et ordures non recyclables. 

Recycler dans le bac vert

Les imprimés, contenants et emballages en carton, papier, plastique, verre et métal, sont tous de matières recyclables. Donc, on doit les déposer dans le bac de récupération vert. Cependant, si les papiers et cartons sont contaminés par des résidus organiques, ils doivent être déposés dans le bac brun. De plus, c’est important de vider et de rincer les contenants ou emballages avec des résidus de nourriture afin de faciliter et d’améliorer le processus de recyclage.

Composter dans le bac brun

On utilise le bac brun pour traiter les composts domestiques, c’est-à-dire les matières organiques comme, par exemple, des épluchures de fruits et de légumes et des résidus de viandes. En faisant du compostage, on contribue à l'environnement en diminuant la quantité de matières envoyées à l’élimination. On en réduit aussi l’impact négatif sur l’environnement. Au contraire, on peut enrichir le sol de façon positive grâce au compost.

Jeter dans le bac gris ou noir

Malgré qu'on ait plusieurs déchets recyclables, il y a néanmoins des ordures non recyclables et dangereuses pour l'environnement, comme les déchets hospitaliers ou hygiéniques (les tubes de dentifrice et les cotons-tiges), le béton de construction et aussi certains restes de repas. Les déchets non recyclables sont efficaces pour produire chaleur ou électricité dans les usines. On peut déposer les ordures non recyclables dans les poubelles grises ou noires. On peut tout de même utiliser ces ordures, à l'exception de produits dangereux qu'il faut aller déposer dans une déchèterie spécialisée: un écocentre. 

Déposer dans un écocentre

Dans la catégorie des déchets non recyclables dangereux, on classe les DEEE (déchets d'équipement électrique et électronique), comme les piles et les ampoules, et des produits chimiques, comme les vernis et les dissolvants. Pour trouver l'écocentre le plus proche de chez vous, à Montréal, cliquez ici.

En somme, grâce à la séparation des déchets, nous pouvons protéger notre environnement plus qu’avant. Même si recycler et composter est fondamental pour l'environnement, ce n’est pas suffisant. Il faut réduire nos déchets et penser à l’environnement avant de jeter n’importe quoi dans la poubelle!